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mardi, 22 août 2017

248 clandestins supplémentaires arriveront en Haute-Garonne avant l’automne

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

 
Hôtel Formule 1 de Séméac (Crédit Photo : Infos-Toulouse)

Le département de la Haute-Garonne va accueillir près de 250 clandestins supplémentaires d’ici l’automne 2017. Trois nouveaux centres d’hébergement vont donc ouvrir à Toulouse, Roques et Aurignac. 

L’afflux de clandestins en Haute-Garonne ne faiblit pas. 248 demandeurs d’asile vont trouver refuge dans trois communes du département. Deux des trois nouveaux CADA sont des hôtels Formule 1 reconvertis, comme à Séméac (65).

A Toulouse tout d’abord, 63 clandestins logeront dans l’ancien hôtel Formule 1 de la rue Babinet, dans le quartier du Mirail, près de l’université Jean Jaurès. Son ouverture est prévue d’ici quelques jours, entre la fin août et le début septembre.

Le second Formule 1 qui accueillera des migrants se trouve sur la commune de Roques-sur-Garonne, au milieu d’une zone commerciale, où 105 places seront disponibles. Une réunion publique est prévue à la rentrée entre les différents acteurs du projet.

Enfin, Aurignac verra 80 clandestins s’installer dans cette commune d’un peu moins de 1 200 habitants. Le centre devrait ouvrir ses portes durant le mois de septembre.

D’autres communes d’Occitanie devront accueillir des clandestins

Une liste d’arrivée qui ne cesse de s’allonger dans la région Occitanie, puisque Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault), Marguerittes (Gard) et Séméac (Hautes-Pyrénées) n’auront, eux aussi, pas d’autre choix que d’accueillir ces nouveaux arrivants.

A lire aussi : En deux semaines, 131 clandestins arrivent en Haute-Garonne

Dans le département déjà, Luchon, Saint-Martory, Cazères, Saint-Bertrand-du-Comminges, Portet-sur-Garonne ou encore Villemur-sur-Tarn ont vu des migrants s’installer dans leur commune. Si les mairies n’ont que très rarement leur mot à dire, c’est l’association Adoma qui est à l’origine de ces déplacements de population. Une volonté pour l’association pro-immigration, de disperser les clandestins un peu partout en France, suite à l’afflux massive et rapide de migrants depuis trois ans. Après avoir racheté 62 établissements hôteliers du groupe Accor Hôtel, l’association Adoma étend ses Centres d’Accueil pour Demandeur d’Asile sur tout le territoire. Des implantations qui ne sont pas toujours du goût des riverains, qui exemptés de concertation, n’ont que des questions sans réponse concernant la cohabitation avec les nouveaux voisins.

 

Source : infos-toulouse

Optimisme en trompe-l’œil

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

POSTÉ LE 21 AOÛT , 2017

code du travail,courbe du chômage,baisse d'impôts,optimisme en trompe-l'oeil,tpeDébut août, alors que la France s’enfonçait dans la torpeur estivale – à peine troublée par un nouvel attentat islamiste, à Levallois, visant nos soldats (désarmés par des coupes budgétaires criminelles) –, les médias se sont tout à coup mis à bruisser à l’unisson d’une merveilleuse nouvelle économique.

Certes, il ne s’agissait pas d’une inversion de la courbe du chômage, ni de baisse d’impôts.

Mais on apprenait que les patrons de petites entreprises étaient d’un optimisme sans faille. 24 points de plus que trois mois plus tôt, nous précisaient les zélés propagandistes du gouvernement.

Connaissant un certain nombre de patrons de PME, je n’avais pas du tout les mêmes informations que mes éminents confrères.

J’ai donc cherché à en savoir plus.

La réalité est nettement moins alléchante que les cocoricos médiatiques ne le laisseraient supposer.

Tout d’abord, un examen rapide permet de constater qu’à chaque élection présidentielle, cet optimisme est au rendez-vous – rapidement suivi, hélas, d’une déception de même ampleur.

L’arrivée d’Emmanuel Macron n’a donc rien de miraculeux. Comme tous les citoyens, les patrons de PME « veulent y croire ».

Rien de plus.

Par ailleurs, si on regarde en détail ce sondage (en réalité, le baromètre des TPE réalisé par Fiducial et l’Ifop), on constate que l’optimisme évoqué par les médias repose sur bien peu de concret.

Ainsi apprend-on que 64 % des patrons de très petites entreprises (TPE, moins de 20 salariés) considèrent que la réforme du Code du travail va dans le bon sens.

Las, ils ne sont plus que 47 % (même pas la moitié) à considérer qu’elle favorisera l’emploi dans leurs propres entreprises.

Et, pire encore, seulement 24 % des patrons de TPE estiment être correctement informés sur cette réforme. Comme pour le programme du candidat Macron, nous pouvons espérer, mais nous ignorons tout !

En d’autres termes, ce sondage a manifestement été exploité soit par le gouvernement, soit par des officines médiatiques qui lui sont entièrement dévouées, mais rien ne permet de considérer que les patrons de petites entreprises sont réellement confiants.

A fortiori, rien ne permet de croire que les bonnes nouvelles économiques soient au rendez-vous.

Une nouvelle fois, on constate la remarquable « indépendance » des médias en France !

 

Source : les4verites

Fausse lutte anti-terroriste

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

POSTÉ LE 21 AOÛT , 2017

fausse lutte anti-terroriste,frontières passoires,gérardcollomb,low cost,L’actualité récente a été marquée par une forte recrudescence de ce que les médias appellent parfois le « terrorisme low cost », c’est-à-dire les attaques au couteau ou avec un véhicule.

Que ce soit en France, en Espagne ou en Finlande, les attaques de ce type sont désormais quasi quotidiennes et ignorées des médias.

Comme s’il était anodin que des milliers de personnes en Europe soient assez fanatisées pour tenter d’assassiner leurs voisins.

Ces attaques sont évidemment un cauchemar pour les forces de sécurité.

Elles échappent totalement aux radars des services de renseignement et une personne qui est prête à mourir est pratiquement impossible à arrêter.

Mais, si la prévention de « ce terrorisme low cost » semble à peu près impossible, on peut, du moins, éviter de créer les conditions dans lesquelles il se développe.

Rien n’impose aux États européens d’accueillir un flot toujours ininterrompu d’immigrés (dont la plupart, comme vient encore de le rappeler l’organisme de l’ONU en charge des réfugiés, ne viennent pas de pays en guerre).

Rien n’impose d’avoir des frontières passoires ou même d’aller chercher les clandestins, aux frais des contribuables, jusque sur les côtes libyennes.

Rien n’impose non plus de leur donner rapidement la nationalité française qui les rend quasiment inexpulsables.

Rien n’impose de donner à n’importe qui toutes sortes d’allocations (combien de djihadistes se sont-ils préparés à leurs méfaits en gagnant le RSA sans rien faire ?).

Et, surtout, rien n’impose de faire la guerre avec un bandeau sur les yeux. Tant que nos dirigeants refuseront de voir la responsabilité de l’islam dans la genèse de l’islam radical, et de l’islam radical dans la genèse du terrorisme islamiste, nous ne lutterons pas sérieusement.

Désormais, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, imagine d’utiliser les hôpitaux psychiatriques pour lutter contre le terrorisme. Logique, puisqu’il n’y voit que des « déséquilibrés » ! Mais, outre que cela rappelle les sombres heures de l’Union soviétique, qui ne voit qu’en autorisant une bonne centaine de mosquées salafistes à diffuser leur propagande haineuse, nous n’aurons jamais assez d’hôpitaux psychiatriques pour « soigner » tous les terroristes ?

Je préfère la version polonaise, où le ministre de l’Intérieur ferme les frontières pour éviter d’avoir des enclaves musulmanes où les terroristes pourraient s’abriter. Là, au moins, je comprends la logique !

 

Source : les4verites

Les téléphones portables bientôt autorisés en prison ?

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

Image d'illustration. Photo © Christophe Ena/AP/SIPA

Laxisme. En visite au centre pénitentiaire de La Farlède (Var), la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s’est montrée plutôt favorable à l’idée d’autoriser les téléphones portables en prison, rapporte Corse-Matin ce lundi.

Les détenus des prisons françaises pourront-ils bientôt jouir librement et en toute légalité de leur téléphone portable ? Cela en prend en tout cas le chemin, alors que, de passage au centre pénitentiaire varois de La Farlède, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, ne s’est pas opposée à ce projet, indique Corse-Matin ce lundi.

Des téléphones “bridés et contrôlés”

L’idée, proposée par la contrôleuse générale des privations des libertés, Adeline Hazan, “n’a rien d’absurde”, a tranché la ministre, “d’autant qu’il s’agirait de portables bridés et contrôlés”. Et d’ajouter : “Tout ce qu'elle dit sur la surpopulation carcérale et ses conséquences sont censées. Il faut donner aux détenus des moyens de communiquer”. Serait également étudiée la possibilité d’installer des téléphones fixes dans les cellules, comme c’est actuellement le cas dans une prison de la Meuse, précise le quotidien corse.

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Une mesure censée endiguer le flux de téléphones portables “illégaux” dans les prisons, alors que quelque 33.000 d’entre eux ont été saisis dans les centres pénitentiaires de l’Hexagone. Ceux-ci pourraient notamment servir à organiser des crimes, voire des évasions. Toutefois, il semble que les détenus n’aient pas attendu le feu vert de Nicole Belloubet pour se servir allègrement de leurs mobiles. Le 7 août dernier, un clip de rap tourné dans la prison d’Aiton (Savoie) et mettant en scène plusieurs détenus en train de manger, fumer, jouer aux jeux vidéos ou encore danser, avait été partagé à de nombreuses reprises sur les réseaux sociaux et visionné plus de 300.000 fois.

 

Source : valeursactuelles

Le président du Zimbabwe : « Les tueurs de fermiers blancs ne doivent pas être poursuivis »

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

Le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, a déclaré que les personnes qui ont assassiné des agriculteurs blancs lors d’une purge approuvée par le gouvernement dans les années 2000 ne seront jamais poursuivies.

Le président de 93 ans a prononcé un discours à un rassemblement à Harare lundi pour marquer la « fête des héros », qui commémore les soldats qui ont combattu pour le pays, en particulier dans sa guerre d’indépendance contre les colonisateurs britanniques.

Le Zimbabwe a mis en œuvre un programme controversé de réforme agraire en 2000 qui a vu les partisans de Mugabe envahir et saisir des centaines de fermes appartenant à des blancs à travers le pays. Les saisies violentes ont entraîné le meurtre de plusieurs agriculteurs blancs.

« Nous ne poursuivrons jamais ceux qui ont tués les agriculteurs blancs. Je demande pourquoi devrions-nous les arrêter? « , A déclaré Mugabe, selon le journal d’information du Zimbabwe NewsDay.

 

Source : fdesouche via Newsweek