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mercredi, 23 août 2017

Odieux traitement médiatique des attentats islamistes

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017

POSTÉ LE 22 AOÛT , 2017

attentats islamistes,martyr,odieux traitement médiatiqueCombien faudra-t-il encore d’attentats pour que les médias prennent conscience que la façon dont ils les traitent, sous couvert de l’éternel prétexte d’informer le public (et surtout d’être les premiers à le faire), ne sert, en fait, qu’à être le support publicitaire gratuit des auteurs de ces actes odieux et inqualifiables.

C’est en boucle, sur certaines chaînes d’information, qu’on nous montre toujours les mêmes scènes de carnage, que l’on en détaille à loisir les circonstances, d’ailleurs bien souvent hypothétiques et fluctuantes, comme le sont également les bilans en termes de morts, de blessés et de leur état physique réel !

Le comble réside, cependant, dans la large diffusion des portraits de ces criminels, dont on nous présente les visages généralement souriants avant l’accomplissement de leurs forfaits.

Non content d’ailleurs de se satisfaire des acteurs en cause, on en profite pour nous resservir les portraits des frères Kouachi ou autres individus de cet acabit pour que nous ne les oubliions pas et ceci, sans aucun respect pour les familles de leurs victimes.

A-t-on besoin de ces rappels odieux ou veut-on simplement conforter chez leurs coreligionnaires, du même bord, le statut de « martyr » que leurs prêcheurs prosélytes leur ont promis ?

Ne peut-on pas se contenter de diffuser la photo de ceux ou celles qui sont recherchés ?

Ce serait là la seule façon de faire œuvre utile en donnant enfin une réelle information visant à les empêcher de nuire.

Il serait bon aussi de supprimer ces interviews ou débats inutiles de soi-disant spécialistes ou experts qui, hormis les gargarismes mille fois ressassés, sont bien incapables de présenter une quelconque action concrète pour tenter de mettre à l’abri de ces monstres leurs futures innocentes victimes.

Pour ces dernières, la seule défense est d’essayer de continuer à vivre normalement pour montrer qu’elles n’ont pas peur en restant courageuses et solidaires, avec pour seul réconfort la visite éphémère d’un ministre ou d’une personnalité venue compatir à leurs souffrances, avant de rejoindre leurs bureaux capitonnés et protégés.

 

Désolés, Saint-Père, nous ne sommes pas d'accord

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017

  
 

Dans un message pour la journée mondiale du migrant et du réfugié, - que le Vatican a publié le 21 août, pour une célébration devant avoir lieu en janvier 2018 -  le pape François vient de déclarer que « la sécurité des migrants passe toujours avant celle des nations ». Parce que, dit-il, les personnes passent avant les communautés auxquelles elles appartiennent.

Désolés, Saint Père, nous n'adhérons pas à cet enseignement ; fussions-nous de fervents catholiques, nous n'y obéirons pas ; nous le contesterons dans son fond et dans ses effets que tout nous désigne comme détestables. 

Le « principe de la centralité de la personne humaine » qu’invoque le pape François s’applique justement comme condition de la réalisation du Bien Commun. Non comme prévalence ou opposition à ce dernier. Il n'existe pas, en effet, de personnes humaines sans appartenance à une communauté, notamment nationale, soit par simple naissance, ce qui est le cas très général, soit, dans des cas particuliers, par choix ultérieur d'une autre communauté que celle de naissance, mais de toute façon antérieure à cette dernière.

Les victimes du terrorisme, dont on a aujourd'hui la certitude qu'il est largement induit par les flux migratoires, sont aussi des personnes. Personnes appartenant à des nations, dont le pape voudrait que les dirigeants fassent passer leur sécurité après celle des migrants. Mais eux au moins savent appartenir à des communautés dépassant leur personne. L'Ouma, par exemple, pour les Musulmans.

L'affirmation du pape d'un droit des personnes migrantes supérieur à celui des nations qu'elles traversent ou qu’elles rejoignent, et de leurs ressortissants, nous paraît être de pure démagogie, fausse en son principe, pernicieuse en ses effets. En tout cas non opposable au Politique et à ses droits et devoirs.

Car la démagogie pontificale favorise, encourage et justifie la vague de migrants qui, aujourd'hui, submerge l'Europe. Et qui la frappe en de nombreuses personnes, victimes de la fureur.

Le Pontife Romain prêche ici contre sa paroisse. Il n'est pas sûr que lui-même ou l'un de ses successeurs ne doive pas un jour s'en repentir amèrement.

 

Source : lafautearousseau

Migrants: comment François mène son combat depuis le début de son pontificat

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017

Par Elena Scappaticci Mis à jour 

 

Migrants: comment François mène son combat depuis le début de son pontificat

Alors que le souverain pontife rend public un ensemble de préconisations destinées à faciliter l'intégration des réfugiés dans les pays d'accueil, retour sur ses prises de position les plus fortes depuis 2013.

Le long texte publié par le Pape François le 21 août pour la journée mondiale du migrant et du réfugié tranche nettement avec l'appel à la «prudence» formulé en octobre dernier par le souverain pontife, mais confirme son engagement personnel fondamental sur le sujet. Le Pape y défend des propositions concrètes pour accélérer l'intégration des migrants dans les pays d'accueil (création de «visas temporaires spéciaux», regroupement familial, «parcours de régularisation extraordinaire») tout en conseillant l'abandon des «expulsions collectives et arbitraires» et des procédures de détention. Autant de suggestions audacieuses qui indiquent que le souverain pontife souhaite imprimer sa marque sur ce dossier et obtenir de la communauté internationale qu'elle parvienne à la ratification des accords globaux pour faciliter l'immigration, promis à l'ONU en septembre 2016. Du plaidoyer de Lampedusa en faveur d'une immigration sans-limite à l'appel à la «prudence» d'octobre dernier face au danger populiste, retour sur les étapes décisives du combat papal en faveur des migrants.

 Juillet 2013: Á Lampedusa, le nouveau pape dénonce la «mondialisation de l'indifférence»

Tout juste élu, le pape choisit un lieu lourd de symboles pour son premier voyage officiel: l'île de Lampedusa, où échouent chaque année des milliers de migrants tentant de traverser la Méditerranée. Il y prononce un discours en forme de plaidoyer pour l'accueil inconditionnel des réfugiés et des migrants, dans lequel il fustige l'incapacité des États européens à prendre en charge les migrants: «Nous avons perdu le sens de la responsabilité fraternelle», «la culture du bien-être nous rend insensibles aux cris d'autrui (...), et aboutit à une mondialisation de l'indifférence», dénonce-t-il.

● Novembre 2014: devant le Parlement européen, le Pape enjoint l'Europe à retrouver son «esprit humaniste»

«On ne peut pas tolérer que la Méditerranée devienne un grand cimetière!» lance le Pape aux députés européens venus l'écouter au Parlement de Strasbourg, le 25 novembre 2014. Dans ce discours, le souverain pontife exhorte l'Europe à retrouver ses «racines religieuses». «Une Europe qui n'a plus la capacité de s'ouvrir à la dimension transcendante de la vie est une Europe qui lentement risque de perdre son âme, ainsi que cet «esprit humaniste» qu'elle aime et défend cependant.». Son discours est salué par une standing ovation.

● Février 2016: à la frontière mexicaine, le Pape débute sa croisade «anti-mur»

En voyage à Cidudad Juarez, ville mexicaine frontalière avec les États-Unis, le Pape célèbre une messe géante pour promouvoir «les doits des migrants». Alors que la campagne présidentielle bat son plein aux États-Unis, son message d'ouverture apparaît comme un geste de défi adressé au candidat républicain Donald Trump, dont le programme préconise le renforcement de la frontière entre les deux États. Appelant à la «miséricorde», le souverain pontife associe dans un même geste la situation des immigrants mexicains à celle des réfugiés qui fuient les conflits au Moyen-orient: «Ici, à Juárez, comme dans d'autres régions frontalières, des milliers de migrants centraméricains se sont concentrés, sans oublier les nombreux Mexicains qui cherchent aussi à passer ‘‘de l'autre côté''.»

» Lire aussi: La messe surréaliste du pape François à la frontière entre le Mexique et les États-Unis

 

Source : lefigaro

Nouvelles violences inter-ethniques entre immigrés à Calais

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2017 

par   22 août 2017 

Tôt ce mardi matin, à Calais, plusieurs rixes ont impliqué entre 150 et 200 immigrés. Il s’agissait de violences inter-ethniques opposant Afghans et Africains, faisant seize blessés légers.

 La première dispute a débuté peu avant minuit, lors d’une distribution de repas.  Une cinquantaine d’immigrés afghans et africains se sont heurtés. Au fil des heures, le nombre d’immigrés impliqués n’a cessé de croître et les bagarres se sont étendues dans la ville et sa périphérie.

Les CRS appelés sur place ont fait usage de gaz lacrymogènes. Aucune arrestation n’a été effectuée.

 

Source : medias-presse.info

mardi, 22 août 2017

QUELLE GUERRE ?

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2017

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Pieter Kerstens 

Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ?

Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».

De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.

On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…

En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.

Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».

Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des musulmans et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes, sans que les journaux écrivent leurs prénoms : Saïd, Mohamed, Hassan , Abdeslam, Younes, Abdul ou Fayçal…

Quand NKM avait prise une claque à Paris durant la campagne des législatives, TOUS LES MEDIAS se sont empressés de diffuser le nom, le prénom et l’adresse du coupable, qui a été jugé en 4ème vitesse : mais lui, ce n’était pas un rebeu !

Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.

Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».

Une réaction des mougeons * n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.

Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.

Un peuple qui se respecte, venge ses morts.

Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques musulmans qui tuent nos enfants !

*½ mouton ½ pigeon « En marche ». 

 

Source : synthesenationale