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vendredi, 25 août 2017

La tournée chaotique de Macron dans les pays de l'Est vire à l'incident diplomatique

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

Le Premier ministre bulgare Bojko Borisov avec Emmanuel Macron. Photo © Vadim Ghirda/AP/SIPA
Le Premier ministre bulgare Bojko Borisov avec Emmanuel Macron. Photo © Vadim Ghirda/AP/SIPA
 

Incident. Emmanuel Macron a créé un incident diplomatique avec la Pologne, quelques jours seulement après avoir contrarié son homologue roumain.

Un incident diplomatique avec la Pologne. Après un premier échec en Roumanie sur les travailleurs détachés, le président de la République avait essuyé un deuxième échec cinglant en Pologne. Mais la violence des déclarations du président français a surpris et choqué la présidence polonaise. Ainsi, Emmanuel Macron n'a pas hésité à dire que Varsovie faisait “une nouvelle erreur” en refusant de s'aligner sur la position française de durcir les accords sur les travailleurs détachés, et a estimé que Pologne se “mettait en marge de l'Europe sur de nombreux sujets”. “La Pologne n’est en rien ce qui définit le cap de l’Europe” a-t-il ajouté pour enfoncer le clou, en concluant que “le peuple polonais mérite mieux que cela”.

Les officiels polonais sous le choc

Les déclarations d'Emmanuel Macron ont été accueillies avec consternation côté polonais. “Peut-être, ses déclarations arrogantes sont-elles dues à son manque d’expérience et de pratique politique, ce que j’observe avec compréhension, mais j’attends qu’il rattrape rapidement ces lacunes et qu’il soit à l’avenir plus réservé” a déclaré, pour lui répondre, la première ministre polonaise.

 

Source : valeursactuelles

Le chômage repart à la hausse en juillet

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

Le chômage en hausse en juillet
 
 

Après une baisse de 0,7% en juin, le nombre des demandeurs d'emploi a rebondi en juillet. La France comptait à la fin du mois dernier 3,518 millions de chômeurs en catégorie A.

Après le coiffeur de Hollande, la facture de maquillage de 26.000 euros d’Emmanuel Macron

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

PRESTATION DE LUXE L’Elysée devra s’acquitter des 26.000 euros dus à la maquilleuse professionnelle pour ses prestations assurées durant les trois premiers mois de la présidence d’Emmanuel Macron…

A.B. avec AFP

L'Elysée devrait s'acquitter d'une facture de 26.000 euros pour régler les trois mois de prestation de la maquilleuse professionnelle d'Emmanuel Macron.

L'Elysée devrait s'acquitter d'une facture de 26.000 euros pour régler les trois mois de prestation de la maquilleuse professionnelle d'Emmanuel Macron. — CHAMUSSY/SIPA

Camoufler les cernes disgracieux, matifier le teint et assurer une mine radieuse : les maquilleuses professionnelles peuvent accomplir de vrais petits miracles… qui ont un coût conséquent quand le client n’est autre que le président de la République. Emmanuel Macron devrait ainsi 26.000 euros à sa maquilleuse, rapporte Le Point.

26.000 euros de maquillage pour trois mois

Natacha M., 40 ans, assurait déjà le maquillage du candidat Macron durant la campagne électorale. Et le nouveau locataire de l’Elysée a tenu à conserver les services de la maquilleuse professionnelle après son élection. Natacha M. a ainsi adressé deux factures de 10.000 et 16.000 euros, que l’hebdomadaire a pu consulter, au titre de ses prestations pour le président Emmanuel Macron.

L’Elysée devra donc régler une note salée de 26.000 euros de maquillage pour trois mois. « Nous avons fait appel à un prestataire dans l’urgence », confirme l’Élysée, qui précise que ce poste de dépense « a vocation à être réduit significativement ».

La maquilleuse de François Hollande, salariée par l’Elysée, percevait quant à elle un salaire de 6.000 euros par mois, alors que le salaire mensuel de son coiffeur s’élevait à 9.895 euros brut.

 

Source : 20minutes

“Si quelqu’un crie ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, prévient le maire de Venise

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

 
La place Saint-Marc, à Venise, en Italie. Photo © Luca Bruno/AP/SIPA

Terrorisme. L’édile de droite Luigi Brugnaro affirme que sa ville est plus sûre que Barcelone, frappée par un attentat meurtrier, la semaine dernière.

Le maire de Venise Luigi Brugnaro assure que sa ville est plus sûre que Barcelone, où 13 personnes sont mortes dans un attentat, la semaine dernière, rapporte le Times. Lors d’une conférence à Rimini, dans le nord-est de l’Italie, l’édile de droite, réputé pour son franc-parler, a même menacé de faire tirer sans sommation sur les suspects de terrorisme.

“À l’opposé de Barcelone, où ils n’ont pas installé de protections, nous restons sur nos gardes”, a-t-il déclaré sous les applaudissements. “Si quelqu’un court sur la place Saint-Marc en criant ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, a prévenu le maire. “Nous enverrons les terroristes directement chez Allah avant qu'ils ne puissent nous faire du mal”, a-t-il conclu.

 

Source : valeursactuelles

jeudi, 24 août 2017

Signalé comme sans-papier à Toulouse en 2009, il commet un attentat à Levallois-Perret

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

   

Le suspect de l’attaque à la voiture bélier, blessant six militaires à Levallois-Perret, le 9 août dernier avait été signalé à Toulouse en 2009. Il était alors impliqué dans la vente de cigarettes de contrefaçon, il séjournait aussi illégalement sur le territoire Français.

A défaut d’être expulsé, Hamou B., un algérien de 36 ans, a obtenu un titre de séjour en mars dernier. En guise de reconnaissance, le néo-français a tenté d’assassiner une patrouille de militaires, le 9 août à Levallois-Perret. Blessant six soldats à l’aide de sa voiture, cet acte aurait pu être évité… huit ans auparavant.

En effet, contrôlé en 2009 à Toulouse, Hamou B. revendait des cigarettes de contrefaçon dans les artères de la ville rose, alors qu’il séjournait illégalement sur le territoire français. C’est ce qu’a indiqué François Molins, procureur de la République de Paris, en charge des dossiers de terrorisme, lors d’une conférence de presse tenue mercredi. Bien qu’étant donc impliqué dans deux affaires délictuelles, le suspect du dernier attentat sur le sol français « n’a jamais été condamné » et encore moins expulsé, indique François Molins.

De Toulouse à Levallois-Perret

Signalé également plus tard, à Sartrouville comme clandestin, l’Algérien a réussi à se maintenir sur le territoire français pendant près d’une décennie avant d’être régularisé le 6 mars dernier. Le 9 août, il a été blessé par balle par des policiers, qui tentaient de l’interpeller alors qu’il se dirigeait vers Calais, après l’attaque à la voiture bélier, au petit matin, blessant six militaires, dont trois grièvement, place de Verdun à Levallois-Perret.

Chauffeur de VTC et manutentionnaire, il n’était pas connu des services de renseignement et bénéficiait d’un casier judiciaire vierge. Proche du mouvement Tabligh (« Association pour la prédication, mouvement qui prône une vision ultra-rigoriste, littérale de l’islam »), son téléphone saisi à son domicile comporte par ailleurs « une douzaine d’images relatives à l’État islamique ou avec des objets tels que drapeaux, images de dirigeants ou d’idéologues ».

Le procureur de la République a précisé que Hamou B. avait « un intérêt récent mais certain » pour l’Etat Islamique et s’était renseigné pour rejoindre Daech en Syrie. L’individu n’a pas encore pu être interrogé par les enquêteurs, à cause de son état de santé.

 

Source : infos-toulouse