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dimanche, 16 juillet 2017

Fête nationale : 897 voitures ont été brûlées dans la nuit des 13 et 14 juillet

Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2017

Le ministère de l'Intérieur a communiqué sur l'étendue des dégâts, qui est en très légère hausse par rapport à 2016.

Des voitures brûlées à la gare de Moirans
Des voitures brûlées à la gare de MoiransCrédit : PHILIPPE DESMAZES AFP
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Ludovic Galtier et AFP

Les soirées des 13 et 14 juillet, au cours desquelles toutes les communes de France organisent leurs traditionnels feu d'artifice et bal populaire, ont été émaillé, comme chaque année, par des mises à feu de voitures. En 2017, le ministère de l'Intérieur a comptabilisé pas moins de 897 véhicules brûlés lors des deux dernières nuits. En outre, 368 personnes ont été placées en garde à vue.

Un chiffre en très légère hausse par rapport à l'année 2016. L'an passé, 855 véhicules avaient pris feu quand 577 personnes avaient été placées en garde à vue. Le ministère estime, dans son communiqué, que l'importante mobilisation des forces de l'ordre a permis de limiter le nombre d'incidents.

 

Source : rtl

« J’assume parfaitement de mentir » : la révélation choc de la conseillère communication d’Emmanuel Macron

Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2017

 
 

La jeune femme n’hésite par exemple pas à blacklister les journalistes dont elle n’a pas aimé les articles.

Sibeth Ndiaye, la conseillère communication de l’Elysée, a été la révélation du documentaire sur Emmanuel Macron Les Coulisses d’une victoire, diffusé sur TF1 au lendemain de son élection.

Un article publié dans L’Express le 12 juillet s’interroge sur le rôle de ce membre essentiel de l’équipe du nouveau président. Selon l’hebdomadaire, Sibeth Ndiaye « assume parfaitement de mentir pour protéger le président ».

L’article, intitulé Silence radio au château, explique notamment que la jeune femme n’hésite pas à blacklister les journalistes dont elle n’a pas aimé les articles: « J’ai reçu des pressions lunaires », a ainsi affirmé un journaliste à l’hebdomadaire.

Sibeth Ndiaye confirme: « Nous appelons les médias quotidiennement quand on a des divergences d’interprétation ».

Source : fdesouche via SFR.fr

Douce France – Ado, écolo, socialo, libéral : Macron, la révolution…..

Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2017

PAR  LE 

 

Macron va convoquer un nouveau sommet du climat. Au bras de son épouse-maman, successeur de Hollande, chouchou de la banque Rothschild, notre Jupiter à visage poupin, sous divers déguisements d’ado, de socialo, de libéral ou d’écolo, incarne toujours la même révolution. Philippe Tesson l’a noté : ce n’est pas Mélenchon, la révolution, c’est Macron. Le vieux sage du Théâtre de poche a toujours des intuitions fortes. Quel est en effet le but de la révolution ? C’est de créer un homme nouveau. Or Mélenchon n’est qu’un très vieux masque de l’homme nouveau, dans sa version dix-neuvième, comme Jean d’Ormesson caricature la version dix-huitième. L’emploi du député de Marseille ex sénateur de l’Essonne (Boulanger, nous voilà !) est de figurer la révolution aux yeux du système pour détourner du populisme les masses les plus crédules.

L’ado Macron fait la révolution sans culotte mais non sans culot

La vraie révolution, c’est Macron. Question d’âge, d’abord. L’ado président chamboule les lignes. En France, les sans-culottes sont jeunes : Saint-Just, Bonaparte. Ça leur donne le culot nécessaire. Il en faut pour dire aux ouvriers de travailler un peu pour se « payer un costard » façon Macron Fillon. Ou pour croiser dans les gares des « gens qui ne sont rien ». Il en faut pour dire tout haut d’une seule phrase ce que pensent tout bas et Hollande et Rothschild. Pour oser dire qu’être quelque chose c’est avoir beaucoup. Pour éliminer du paysage les sans dents, sans mains, sans existence. Jeanne Smits l’a fort bien dit ici même, la révolution socialo prétend servir les pauvres, elle les exploite. C’est de naissance. Marx n’a pas pensé la révolution pour libérer le prolétariat, il a choisi le prolétariat comme moyen de briser par la révolution une société qu’il haïssait (aujourd’hui, certains se servent de l’islam et de l’immigration aux mêmes fins).

Socialo et libéral, Macron c’est Marx et Simone Veil

C’est aussi pour détruire la société haïe qu’il était partisan du libre échange. Il écrivit pour l’expliquer deux discours contre le protectionnisme et pour le libre échange. Selon lui « le système protecteur est conservateur, tandis que le système du libre-échange est destructeur. Il dissout les anciennes nationalités et pousse à l’extrême l’antagonisme entre la bourgeoisie et le prolétariat. En un mot le système de la liberté commerciale hâte la révolution sociale ». Ainsi le libéral atlantiste européiste Macron œuvre-t-il à la même révolution mondialiste que Marx. C’est pourquoi la vieille garde socialo le rallie-t-elle aussi bien que les républicains opportunistes. Macron c’est l’UMPS à lui tout seul, c’est le vrai visage de la république socialo-libérale enfin révélé, cette vieille utopie que les magazines et les sondages préparent depuis Chaban-Delmas. Jusqu’à présent, l’instinct du peuple français l’avait écartée. Ni Rocard ni Simone Veil ne put être élu, Bayrou en rêva longtemps, Macron l’a fait. Macron, c’est Simone Veil, en plus poupin, passé par la « droite » au lieu de passer par la « gauche ».

Macron pour l’immigration car elle favorise la révolution

Mais ce qui fait de Macron un expert efficace de la révolution est qu’il met en œuvre une vraie réflexion sur la révolution. Que faire en effet pour réussir une révolution ? S’appuyer sur une classe révolutionnaire et mobiliser les masses. Quelle classe ? Pas le prolétariat français ou européen, ou le peuple français et européen, contre lesquels cette révolution est dirigée. D’où, sur le modèle recommandé par le Think Tank socialo Terra Nova depuis 2008, le recours en grand à l’invasion immigration. C’est pourquoi Emmanuel Macron est un immigrationniste forcené. La libre circulation des envahisseurs est encore plus destructrice que le libre-échange des biens : en bon marxiste Macron hâte la révolution par l’ouverture des frontières au flot des migrants. Tranquille : le prétexte humanitaire le justifie, l’avidité à court terme et courte vue des entrepreneurs avides de main d’œuvre à bas prix le demande.

Dans son délire, l’ado écolo lie Trump, le terrorisme et le réchauffement

Et comment mobiliser les masses ? En leur proposant un grand devoir humain. Une nouvelle frontière à l’ambition des jeunes. L’ado Macron se fait écolo, il dit aux autres ados, notre avenir, c’est notre mère la Terre. Il défie le senior Trump, le bat au bras de fer (Yesss ! Give me five !!), prend acte de sa décision de sortir de l’accord de Paris sur l’environnement, mais, comme c’est un ado constructif, ne désespère pas de « le convaincre » et annonce pour décembre prochain un nouveau sommet à Paris, notamment pour régler « l’aspect financier ». Au passage il fait le buzz en lâchant : « On ne peut prétendre lutter efficacement contre le terrorisme si on n’a pas une action résolue contre le réchauffement climatique ». Et le grand clabaudage des médias s’emballe.

La révolution Macron exploite les menaces globales

Boulevard Voltaire ironise : « Evidemment, Merah, c’était ça : il fait de plus en plus chaud à Toulouse, c’est bien connu. Molenbeek, Belgique : là aussi, ça se réchauffe ». Libération au contraire défend son président, produit des rapports du Pentagone définissant le changement climatique comme un « multiplicateur de menaces ». Selon notre éminent confrère, « l’académie des sciences américaine a clairement corrélé la sécheresse syrienne, qui a eu lieu de 2006 à 2009, à la naissance du conflit syrien en mars 2011 ». Et de citer un « scientifique spécialisé dans le climat », Richard Seager, lequel estime : « Nous ne disons pas que la sécheresse a causé la guerre (…) mais que cela a fait partie des facteurs de stress qui ont conduit à la naissance du conflit ». Bon sang, mais c’est bien sûr ! De la même manière qu’un battement d’aile de morpho sur le cours supérieur de l’Aproague compterait, selon une copine de ma concierge qui est technicienne de surface au CNRS, parmi les causes du déluge.

Macron, visage poupin de la pensée magique

Le propre – et l’avantage – de la pensée complexe d’Emmanuel Macron, c’est qu’elle est magique. Débarrassé du principe de non contradiction et des autres impédiments de la logique traditionnelle, elle peut affirmer sereinement tout ce qui lui est utile. Et ce qui est utile en l’espèce dans la déclaration de Macron, outre qu’elle fait parler d’elle, c’est la révolution. Peu importe qu’il y ait un réchauffement climatique, peut importe que l’homme y concoure ou non d’une façon significative, peu importe encore la véritable nature du « terrorisme » dont on parle, son existence réelle, les forces qui l’ont organisé et fait croître, ce qui compte, c’est le devoir, devoir moral et intellectuel de lutter contre les grandes menaces qui pèsent sur l’humanité Une en les liant dans un même système.

Le chaman de la révolution utilise le levier écolo

Nicolas Hulot vient d’annoncer la suppression de réacteurs nucléaires (« jusqu’à dix-sept ») pour réduire la part du nucléaire à « 50 % d’ici 2025 »). L’écolo vedette a visiblement les coudées franches, ce n’est qu’à ce prix qu’il a quitté son confort pour un ministère, et le président lui a manifestement donné pour mission de faire le plus de bruit possible. La révolution écolo sera le pendant pour le prochain quinquennat de ce que fut la sociétale sous le précédent. Or Macron n’est pas devenu écolo pour se faire plaisir mais parce que maman Brijou lui a parlé d’Archimède : donnez-moi un levier et je soulèverai le monde. Pour faire la révolution, pour chambouler le monde et créer l’homme nouveau, il faut un levier. Ce levier, c’est l’écologisme. Le devoir imposé à l’humanité enthousiaste, devoir de nature superstitieuse, de sauver la terre. Ce devoir induit une nouvelle morale, une nouvelle politique, une nouvelle spiritualité. C’est cela la révolution d’aujourd’hui, dont Emmanuel Macron est devenu le chaman à la mode.

 

Pauline Mille

http://reinformation.tv/ado-ecolo-socialo-liberal-macron-...

EN BANDE SON :

Aux sources du 14 Juillet

 Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2017 

 

Par Jérémy Loisse

Il est des idées, des analyses, des rappels historiques, et, finalement, des constations, que nous ne sommes plus seuls à exprimer, que nous n'avons même plus la peine d'exprimer, tant elles sont aujourd'hui partagées, diffusées. Il est même bon, voire préférable, que cela soit publié sur d'autres médias que royalistes, d'autres médias que les nôtres. Ainsi de cette excellente réflexion de Jérémy Loisse, parue hier, 15 juillet, sur Boulevard Voltaire. S'étonnera-t-on que nous préférions reprendre ainsi ces vérités dites par d'autres, notamment sur ce que fut la Révolution ? Hé bien, l'on aurait tort. Que l'on y réfléchisse. Bravo à l'auteur ! LFAR    

 

ba4cf6877969a6350a052b6bf5ac64e2.jpeg.jpgEn ce jour du 14 juillet 2017, il n’est jamais mauvais de rappeler ce que fut cette journée et à quoi elle donna naissance.

Le 14 juillet 1789, les révolutionnaires prennent la Bastille pour libérer sept détenus qui y étaient emprisonnés :

 Jean Béchade, Bernard Laroche, Jean La Corrège et Jean-Antoine Pujade, quatre faussaires accusés d’avoir falsifié des lettres de change ;

 le comte Hubert de Solages, criminel coupable de deux tentatives d’assassinat sur son frère frère aîné, ainsi que de viol, vol et assassinat sur sa terre de Trévien ;

 Auguste Tavernier, supposé complice de Robert-François Damiens, l’auteur d’une tentative d’assassinat (régicide) sur Louis XV

 le comte de Whyte de Malleville, embastillé pour démence à la demande de sa famille.

Ces sept détenus sont tous à l’image de cette révolution : entre la démence, la falsification, le meurtre et le régicide. Les révolutionnaires jugeaient sans preuve, condamnaient sans motif, guillotinaient sans pitié. À voir les flots d’émotions que suscitent ces cris de « liberté, égalité, fraternité » et les flots de sang versés par ces mêmes personnes, on ne saurait oublier le proverbe qui dit que l’enfer est pavé de bonnes intentions. Les meurtres des ecclésiastiques, le saccages des églises, le renversement des mœurs, les massacres de septembre 1792, massacres de la guerre de Vendée et de la Chouannerie, la Terreur, le Tribunal révolutionnaire, Louis XVI et Marie-Antoinette guillotinés après des mascarades de procès auxquels les procès staliniens n’auraient rien à envier, la profanation des tombes de la basilique Saint-Denis, les révolutionnaires jetant les cendres de plus de 170 personnes, dont des rois et reines de France, des princes, des serviteurs du royaume ainsi que des religieux, dans des fosses communes… Voilà ce qu’étaient les actes de cette révolution.

Comment ne pas trembler à l’écoute des noms de ses sanglants prophètes tels que Robespierre, Saint-Just, Marat ou Fouquier-Tinville ? Des loups maçonniques assoiffés de sang. La Révolution fut un leurre, mais un leurre entaché de crimes, de meurtres d’hommes, de femmes et d’enfants. Voyez ces trois mots mensongers de liberté (qui enchaîna la France), d’égalité (qui mit la France en dessous de toutes les nations) et de fraternité (qui amena les Français dans la période la plus fratricide de toute son Histoire). 

Je conclurai en citant Alexandre Soljenitsyne : 

« La Révolution française s’est déroulée au nom d’un slogan intrinsèquement contradictoire et irréalisable : liberté, égalité, fraternité. […] liberté et égalité tendent à s’exclure mutuellement, sont antagoniques l’une de l’autre ! La liberté détruit l’égalité sociale – c’est même là un des rôles de la liberté -, tandis que l’égalité restreint la liberté, car, autrement, on ne saurait y atteindre. Quant à la fraternité, elle n’est pas de leur famille. Ce n’est qu’un aventureux ajout au slogan… »  

 

samedi, 15 juillet 2017

La France sous anesthésie

Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2017

les4verites

POSTÉ LE 11 JUILLET , 2017, 10:12
 

Je sais que c’est l’été et qu’en France, pendant l’été, il ne se passe rien.

Les grévistes potentiels sont en vacances en attendant septembre et la saison des grèves. Les émeutiers potentiels sont aussi en vacances.

L’été dernier a montré que les terroristes islamiques, eux, ne prenaient pas nécessairement de vacances, et des dizaines de personnes l’ont payé de leur vie, un 14 juillet à Nice. Un peu plus tard, un prêtre avait été atrocement décapité dans une église en Normandie. Mais le pire n’est jamais sûr et on peut souhaiter qu’il n’y ait pas d’acte terroriste islamique en France pendant les semaines à venir.

Je sais que c’est l’été et qu’en France, pendant l’été, les médias travaillent au ralenti et parlent de bronzage plus volontiers que de sujets sérieux.

Je constate néanmoins que le travail au ralenti va de pair, dans les médias français, avec un recours à des doses intenses d’anesthésiants.
Même quand des sujets très sérieux font irruption, ils sont traités comme s’ils n’avaient qu’une importance infime.

Le renforcement des capacités militaires de la Corée du Nord est traité comme un point de détail. Un psychopathe qui dispose des moyens de faire exploser une arme atomique dans la haute atmosphère pour détruire les systèmes électroniques de pays entiers se voit considéré comme quantité négligeable.

La destruction de l’État Islamique fait que des gens formés au djihad sont de retour par milliers en Europe, mais leur retour est traité lui-même comme un point de détail.

La France signe des contrats avec l’Iran et, nulle part, il n’est fait mention des imprécations apocalyptiques proférées par les mollahs au pouvoir à Téhéran.

Donald Trump fait l’objet d’un traitement plus négatif que Kim Jong-un, Abou Bakr al-Baghdadi ou Ali Khamenei.
On pourrait en tirer l’impression d’une volonté d’anesthésier la population et de ne pas l’alarmer face à des dangers bien réels, si on n’avait pas le sentiment que les journalistes qui anesthésient sont eux-mêmes anesthésiés.
On comprend un peu mieux, dans ces conditions, comment un homme aux discours vides tel qu’Emmanuel Macron a pu être élu à la présidence de la république.

Plutôt que de pointer le vide, les journalistes s’extasient.

Plutôt que de se demander ce que cache le vide, si tant est qu’il cache quelque chose, des politologues procèdent à des dissections sémantiques ineptes. Plutôt que de se dire et de dire à haute voix que le roi est nu, ils parlent d’« hyper-présidence » !
J’ai déjà souligné la vacuité des discours précédents d’Emmanuel Macron.

Je n’ai pas voulu préjuger du discours qu’il devait prononcer devant le congrès à Versailles et j’ai attendu le discours pour me prononcer.
Certains ont comparé le discours de Versailles au discours sur l’état de l’union prononcé par le Président des États-Unis chaque année et ont noté qu’Emmanuel Macron voulait sans doute l’imiter. Mais la différence (immense) est que le discours sur l’état de l’union d’un Président des États-Unis regorge d’éléments précis sur le pays et sur le monde.

Chez Macron, il n’y a rien de précis, ni sur le pays, ni sur le monde, ni sur quoi que ce soit, sinon sur quelques bricolages institutionnels.

Certains ont voulu trouver au discours une teneur intellectuelle.

J’ai eu, en lisant le discours, l’impression de lire une mauvaise copie d’un élève de terminale rédigée il y a trente ans.
J’ai cherché en vain les propositions à même de redresser l’économie et la société françaises, de lutter efficacement contre les difficultés majeures auxquelles se heurte le pays, immigration, insécurité, prolifération des zones de non-droit.
Je n’ai pas trouvé le moindre sujet de politique étrangère.

Certains, trop rares, ont dit que le discours était soporifique.

L’adjectif est adéquat.

Combien de temps des journalistes et des politologues vont-ils élucubrer pour rien ?

Emmanuel Macron est anesthésié et anesthésiant. Une cohorte de gens anesthésiés et anesthésiants lui font cortège. La population est inquiète, mais anesthésiée.

Se réveillera-t-elle avant qu’il soit trop tard et découvre ce qui est en jeu et que j’ai souligné dans de précédents articles : la soumission a l’Union européenne et à l’islamisation ? Telle est la question.

Plus le temps passe et plus un réveil devient improbable, je le crains.

 

Source : les4verites