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samedi, 27 février 2016

Rodez : une cinquantaine d'agriculteurs font main basse sur les fromages de Lactalis

Publié par Guy Jovelin le 27 février 2016 

En pleine crise de l'élevage, une cinquantaine d'agriculteurs de la Confédération paysanne ont mené une opération coup de poing chez Lactalis à Rodez (Aveyron). Il s'y sont emparés de cartons de fromages, le "fruit de leur travail", pour aller les distibuer au centre ville.

 
L'action de la Confédération paysanne chez Lactalis à Rodez © Rouzane Avanissian/France 3 Quercy Rouergue

© Rouzane Avanissian/France 3 Quercy Rouergue L'action de la Confédération paysanne chez Lactalis à Rodez

 
L’opération coup de poing n’a duré que quelques minutes.

Arrivés chez Lactalis vers midi, une cinquantaine d’agriculteurs de la Confédération paysanne ont fait main basse sur "le fruit de leur travail", soit quelques dizaines de cartons de fromages, devant les employés médusés. Les fromages ainsi réquisitionnés ont aussitôt été offferts aux passant devant la préfecture de l'Aveyron.

Cette action survient au milieu d'une crise de l’élevage qui affecte de plein fouet les producteurs de lait.

La Confédération paysanne entendait dénoncer "productivisme, exportations, cours mondiaux" (...) autant de "termes derrière lesquels se cache l'ultra libéralisme". "A court terme", prévient l'organisation, "tous, femmes et hommes, territoires et productions qui refusent l'industrialisation sont menacés".

Voir le reportage de Rouzane Avanissian et de Luc Tazelmati :
Main basse sur les fromages de Lactalis

A Rodez, une cinquantaine de militants de la Confédération paysanne ont fait main basse à Rodez sur des cartons de fromages de Lactalis qu'ils sont allés redistribuer en ville, pour protester contre les prix auxquels les industriels rétribuent les producteurs.

 

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/

 

vendredi, 26 février 2016

Civilisation européenne : face à la réalité, il n’y a pas d’échappatoire

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

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25/02/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)

Si l’Europe veut s’en sortir pour construire un avenir solide à ses enfants, elle doit impérativement prendre conscience de sa singularité et de sa richesse culturelle et tourner définitivement le dos à la politique de déconstruction de nos sociétés.

Les mondialistes et altermondialistes revendiquent, souvent avec virulence, le droit à la différence pour les Tibétains, les habitants du Darfour, les rebelles de la Casamance, les Kurdes, les Indiens d’Amazonie, le peuple karen… Les patriotes européens revendiquent le même droit pour la civilisation européenne. Nos sociétés multiculturelles détruisent lentement l’idée de nation et confrontent nos jeunes à un vide identitaire. La transmission de notre héritage ne se fait plus. Nier cette réalité revient à s’exposer à des dangers, comme le communautarisme et l’islamisme, et à des contestations, comme la montée d’un nationalisme intolérant et brutal. L’équilibre de nos nations doit reposer sur le socle de notre patrimoine culturel et historique. Chacun doit pouvoir s’identifier au passé de son pays.

Intégrer de force des personnes étrangères à ce passé est un risque que nous avons négligé. Préparer et consolider la paix, c’est aussi prévoir les conflits. Vivre d’utopie en laissant les seuls partisans du multiculturalisme gérer avec arrogance l’évolution de nos pays européens et le monde de la pensée risque de placer les générations prochaines dans des situations tendues et conflictuelles. Nos pseudo-révolutionnaires de mai 68 voulaient remettre en cause l’ordre établi. Il serait probablement urgent d’en faire autant aujourd’hui. Apprenons à devenir des dissidents, prompts à se lever contre la tyrannie des médias. Ces derniers, collaborateurs d’une pensée unique, au service d’une oligarchie, qui maîtrise la politique, l’économie et la culture, tuent jour après jour la liberté d’expression avec la ferme volonté de détruire les peuples européens, pour en faire des citoyens du monde déracinés de leurs patries charnelles.
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L’historien Sylvain Gouguenheim nous démontre, à travers son ouvrage, Aristote au Mont-Saint-Michel, les racines grecques de l’Europe chrétienne, la continuité, sans interruption, de la transmission du savoir de la Grèce antique à nos jours. L’Europe n’a eu besoin de personne, si ce n’est des chrétiens d’Orient, pour connaître son héritage, mais surtout elle a eu le souci de ne pas le perdre. « La thèse d’une chrétienté médiévale à la traîne d’un Islam des Lumières relève plus du parti pris idéologique que de l’analyse scientifique. » Pour exemple, à la somptueuse cour de Philippe le Bon, duc de Bourgogne de 1419 à 1467, Alexandre le Grand, Achille et Hector sont autant cités que Arthur, Charlemagne et Roland. Les personnages d’Homère y côtoient ceux de Chrétiens de Troyes et des autres auteurs médiévaux.
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L’Europe doit retrouver la même volonté qui animait les intellectuels du Moyen-âge dans leur désir de transmettre leurs connaissances. Sans transmission, rien ne dure. Les Européens ne doivent plus « se présenter comme héritiers d’un passé moribond. » Comme nous le dit Jean-Paul Roux dans son livre Un choc de religions, les Européens en se détournant de leurs racines culturelles et religieuses « ont perdu, avec leur foi, la plupart des repères de leurs anciens.
Par ailleurs, ils n’ont plus le même attachement à la patrie, et l’Europe sert souvent d’alibi à leur indifférence pour leur pays. » Prenons garde à ne pas faire disparaître 3000 ans d’histoire dans le seul but de flatter notre ego. À vouloir construire, à tout prix, la société idéale, basée sur le multiculturalisme et l’égalitarisme, en écartant avec mépris l’héritage de nos ancêtres tout en négligeant, par lâcheté, les dangers de l’immigration de masse, du communautarisme et de l’islamisation, nous risquons bien de participer activement pour certains et passivement pour la grande majorité d’entre-nous à la destruction de la civilisation européenne.

Vincent Revel

Le patriarche Béchara Raï rappelle l’utilité de la peine de mort : « l’Etat a le devoir de protéger les citoyens des assassins et des criminels qui circulent librement »

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

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Tandis que le pape François lançait, le dimanche 21 février, à l’issue de la prière de l’Angélus, un nouvel appel pour l’abolition de la peine de mort au plan mondial, à Beyrouth, le patriarche Béchara Raï rappelait au même moment le droit de l’autorité publique d’appliquer la peine de mort.

Au cours de la messe qu’il présidait dimanche, le patriarche maronite a fait référence directe au Catéchisme de l’Eglise catholique, qui, dans son point n° 2266 (*), permet à l’autorité publique légitime de sévir par des peines proportionnées à la gravité du délit, “sans exclure dans des cas d’une extrême gravité la peine de mort”.

Le cardinal Béchara Raï, chef de l’Eglise maronite, dénonçait “l’apparente impunité qui entoure certains crimes, comme celui de l’assassinat de Marcelino Zamata à Achrafieh, la semaine dernière, et celui de Georges Rif, l’été dernier, à Gemmayzé”.

Les citoyens sentent désormais que l’Etat ne les protège plus, et les assassins croient que le champ pour eux est libre, qu’ils peuvent tuer quand bon leur semble, tant que la dissuasion est absente et qu’une couverture politique leur est assurée”, a-t-il constaté.

En tout état de cause, l’Etat a le devoir de protéger les citoyens des assassins et des criminels qui circulent librement. C’est à cette fin que les lois lui reconnaissent le droit d’appliquer la peine capitale”.

(*) Catéchisme de l’Eglise catholique, n° 2266: “Préserver le bien commun de la société exige la mise hors d’état de nuire de l’agresseur. A ce titre, l’enseignement traditionnel de l’Eglise a reconnu le bien-fondé du droit et du devoir de l’autorité publique légitime de sévir par des peines proportionnées à la gravité du délit, sans exclure dans des cas d’une extrême gravité la peine de mort”.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

« Il y a 3 millions de musulmans qui veulent arriver en Europe. Supposons qu’ils aient trois enfants. Ils seront 20 millions de plus dans 20 ans puis, un jour, ils seront 100 millions. » (le bourgmestre de Knokke)

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

Leopold-Lippens-bourgmestre-de-Knokke

Depuis quelques semaines, des immigrés illégaux quittent Calais pour se rendre à la Côte belge en vue d’y trouver le moyen de rejoindre l’Angleterre. Le phénomène s’est accéléré avec l’annonce d’un prochain démantèlement de la « Jungle » de Calais.

Du côté belge, le gouvernement s’affole et prend des mesures essentiellement symboliques comme le rétablissement des contrôles à la frontière franco-belge. Mais les élus locaux des communes de la Côte belge font part de leur insatisfaction.

La rédaction de Sudpresse a contacté le Comte Léopold Lippens, bourgmestre de Knokke, station balnéaire huppée du Royaume de Belgique. Celui-ci a tenu des propos pour le moins décoiffants !

. « Ce qui commence à me pomper l’air, c’est qu’on ne parle plus que des migrants, de l’EI, des musulmans. »

. « Bon, les gens rentrent dans notre pays. Soit ils ont la permission de rester, ils sont en règle. Soit, ils sont illégaux. Alors, avec eux, qu’on fasse un camp comme à Guantanamo. Sans les torturer. Et qu’on les envoie dans leur pays! Et qu’on n’attende pas la décision du procureur du Roi pour leur demander de quitter le pays dans les 5 jours. » 

. « Les Français jouent les Sainte-Nitouche en laissant prendre le tram aux migrants de Calais. Ils s’arrêtent à La Panne puis ils prennent la direction de Zeebrugge où ils espèrent tenter l’aventure pour l’Angleterre. La police n’est plus assez efficace. Il y a 3 millions de musulmans qui veulent arriver en Europe. Supposons qu’ils aient trois enfants. Ils seront 20 millions de plus dans 20 ans puis, un jour, ils seront 100 millions. On ne veut pas de cela. On aurait dû rester dans une Europe à 9 et fermer les frontières! Heureusement qu’on a la N-VA. Avec les socialistes, on aurait 80.000 illégaux de plus. Et ils auraient reçu leur carte de séjour et ils pourraient voter aux prochaines élections! »

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Marseille : un professeur juif qui se disait victime d’une agression antisémite placé en garde à vue

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

25 février 2016 par admin4

Un professeur d’une école juive marseillaise, qui assurait, mi-novembre, avoir été agressé par trois hommes antisémites est entendu pour « dénonciation mensongère ».

Il faut bien reconnaître que ce schéma est devenu un grand classique…

« Son agression présumée intervenait moins d’une semaine après les attentats du 13 novembre à Paris. Un professeur d’une école juive, qui assurait avoir été agressé par trois hommes a été placé en garde à vue mercredi matin, selon La Provence. Il est entendu par les enquêteurs de la sûreté départementale de Marseille pour « dénonciation mensongère ». »

« Légèrement blessé. Le 18 novembre dernier, alors que la France est en pleine sidération post-attentats, un professeur d’une école juive de Marseille assure avoir été blessé à coups de couteau par trois hommes à scooter, dans le 13e arrondissement de Marseille. Selon son récit, ces derniers auraient proféré des menaces et des insultes antisémites, avant d’exhiber un tee-shirt estampillé Daech.
Le soir des faits, le préfet de police des Bouches-du-Rhône rassure, précisant quede très importants moyens policiers avaient été déployés pour en retrouver les auteurs. La victime, blessée aux bras aux jambes et au ventre, est hospitalisée, mais son pronostic vital n’est pas engagé. Il s’en sort avec quelques plaies et quitte l’hôpital le soir même.
Hollande avait appelé à une réponse impitoyable. L’affaire avait suscité une pluie de déclarations politiques et associatives. François Hollande avait vivement condamné cette agression, en appelant à une « réponse impitoyable ». Michèle Teboul, présidente du Crif Marseille-Provence, s’était dit « très choquée ». « Cela fait deux affaires du même type en très peu de temps », avait-elle relevé, se disant « très inquiète ».
Des incohérences dans le récit de l’enseignant. L’enquête, confiée à la sûreté départementale, a finalement mis en lumière les incohérences du récit de l’enseignant. « Les blessures font un peu rigoler si l’on peut dire, et les constatations médico-légales qui ont été effectuées ne collent pas à ce qu’il raconte, tout comme d’autres examens qui ont été réalisés au cours de ces semaines d’investigations », a confié une source proche de l’affaire, interrogée parLa Provence. »

Source Europe 1