En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La femme aurait crié « Allah Akbar » et menaçait de se faire exploser. L’islamiste, vêtue d’un hijab noir, déambulait aux alentours de la station de métro Oktiabrskoïe Pole, au nord-ouest de Moscou, brandissant la tête découpée d’une petite fille qu’elle montrait aux passants en les menaçant:
« Je déteste la démocratie. Hurle-t-elle, je suis une terroriste. Je veux votre mort […]. Vous avez dépassé toutes les bornes, vous nous avez détruits. Regardez, je suis une femme kamikaze, je mourrai et, dans une seconde, c’est la fin du monde », crie-t-elle dans les vidéos publiées par des passants.
En vidéo, la femme à Oktiabrskoïe Pole :
La meurtrière âgée de 38 ans, Gioultchekhra Bobokoulova serait originaire de la région de Samarcande, en Ouzbékistan. Elle a tué l’enfant dont elle avait la garde, avant de déclencher un incendie dans l’appartement. « La nounou a attendu que les parents quittent les lieux avec l’aîné avant de tuer le plus jeune enfant, et de mettre le feu et quitter le lieu du crime »,selon le communiqué officiel du Comité d’enquête russe.
Les parents, en état de choc, ont été entendus par la police avant d’être conduits aux urgences. Selon certaines sources, la garde d’enfants travaillait depuis un peu plus d’un an pour cette famille.
L’enfant qui se prénommait Nastia, était une petite fille âgée de quatre ans .
Le Comité d’enquête note que la femme est « déséquilibrée ». Elle aurait été sous l’influence de substances psychotropes. Les examens psychologiques et des analyses de sang détermineront si cette barbare se trouvait sous l’emprise de drogues ou de substances psychotropes.
Installer le loup dans la bergerie
Quoiqu’il en soit. Il est clair qu’il faut être gravement déséquilibrée pour commettre de telles horreurs. Mais cette religion génère un grand nombre de monstres. Qu’elle ait été dérangée ou non, n’est donc pas le fond du problème; si elle n’avait pas été musulmane, elle n’aurait pas recraché sa haine islamiste et elle n’aurait pas décapité cette petite fille comme un mouton. Rien que sa tenue aurait du alerter les parents. Ces gens-là étaient-ils inconscients pour confier ainsi leurs enfants à une personne dont manifestement ils auraient au moins du se méfier s’ils avaient eu le moindre bon sens ?
La prochaine réunion du cercle Civitas Paris-IDF se déroulera le mardi 8 mars à St Nicolas du Chardonnet , salle St Germain à 20h00
Au programme:
Quatrième conférence du cycle de formation en philosophie politique professé par l’abbé Billecocq sur le thème du Christ Roi: La royauté de Notre Seigneur et la vérité
Eglise St Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins 75005 Paris. Métro Maubert-Mutualité Ligne 10. Entrée rue Monge.
Que du beau monde ! Quand je regarde la vidéo et que je découvre les noms des «grosses pointures» de la Droite Nationale qui participeront à ce banquet, je ne peux m’empêcher de me remémorer les propos tenus, à l’automne 2015, à Montpellier, par Louis Aliot auprès d’un journaliste du Midi Libre. A travers ses propos qui nous ont été rapportés par le dit journaliste, « Loulou la Purge » menaçait de dénoncer publiquement certains colistiers de la liste Martinez aux dernières Elections Régionales, coupables à ses yeux d’être des «adorateurs de Rivarol» (sic) avec tous les sous-entendus que, dans sa bouche, cela pouvait signifier.
Un vice-président…..de rien, qui sans Marine n’est rien, et qui se permet de porter un jugement de mépris et de calomnie à l’égard des nationaux qui aiment lire «Rivarol». L’individu en question oublie que ces gens là, et particulièrement ceux cités dans la vidéo, ont individuellement bien plus de talent et de mérite qu’il n’en a jamais eu, et qu’il n’en aura jamais.
Quelques semaines après un déplacement en Algérie, Alain Juppé, candidat aux primaires de la droite pour la présidentielle de 2017, a poursuivi sa campagne auprès des « binationaux » (c’est-à-dire, concrètement des Maghrébins ayant les cartes d’identité de leur véritable pays et de la France) lors d’une visite de deux jours en Tunisie.
Si en Tunisie les « binationaux » sont estimés à 20 000, Juppé lorgne aussi les 420 000 « Franco-Tunisiens » résidant officiellement en France aujourd’hui, selon les chiffres de l’ambassade de France.
Gros émoi au Japon où la délinquance violente… et l’immigration sont pratiquement inexistantes, avec cette affaire de viol par des réfugiés.
Vers 12 h 30, le 27 décembre de l’année dernière, Onder Pinarbasi, 22 ans, et un garçon de 16 ans ont agressé sexuellement une Japonaise d’une trentaine d’années dans les toilettes publiques de la gare d’Akabane. Les suspects ont également volé à la victime 9000 yens en argent liquide. Pinarbasi, qui a été inculpé de viol et de vol qualifié, prétend que c’est le mineur qui a commis les deux crimes. Son complice ne reconnaît que l’accusation de vol qualifié. « J’ai ne l’ai pas forcée, » a-t-il déclaré à la police en niant l’accusation de viol, selon le journal Yomiuri Shimbun du 22 février. L’incident s’est produit après que les suspects demandaient de l’aide à la jeune femme, alors qu’elle rentrait chez elle. Les suspects sont arrivés au Japon l’année dernière. Ils ont demandé le statut de réfugié en août et en octobre, d’après le Bureau de l’Immigration du Japon, au motif qu’ils ne pouvaient pas retourner en Turquie en raison de « problèmes familiaux ». Pendant que leurs demandes étaient en cours d’examen, les suspects ont reçu un statut de visa accordant « une permission spéciale pour rester au Japon ». Ces individus sont devenus des suspects pour la police après l’examen des images de caméra de surveillance prises dans le secteur de l’agression.