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mercredi, 24 février 2016

« les reporters étrangers payent des « réfugiés » pour jouer les victimes de noyade » selon le métropolite orthodoxe de l’île de Kos

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2016

23 février 2016 par admin4

Mgr Nathanael, métropolite de Kos et Nisyros, a déclaré dans un entretien à la radio Alpha 98.9 mercredi, en parlant des « réfugiés » : « J’ai vu de mes propres yeux des reporters de télévisions étrangères donner 20 euros à des gens pour qu’ils jouent les victimes de noyade ».

Kos est une de ces îles grecques envahies par les immigrants clandestins depuis l’année dernière.
Elle a été le théâtre ces derniers jours de manifestations des habitants qui refusaient qu’on y ouvre un des 5 nouveaux centres de tris (hotspots) grecs.

Source GreekReporter

mardi, 23 février 2016

C’était un 23 février… 1981 : tentative de coup d’Etat patriotique en Espagne

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2016

23 février 2016 par admin4

En 1981, en Espagne, alors que le roi Juan-Carlos trahissait tout – en bradant l’héritage du général Franco, à qui il devait son trône – et offrait le pays à la Franc-maçonnerie et à toute la racaille politicienne, la situation politique avait rapidement dégénéré.
Une tentative de coup d’État eut donc lieu ce 23 février, impliquant divers officiers et soutenue par les nationalistes.

Ce jour-là, le lieutenant-colonel Antonio Tejero Molina (père de 6 enfants), voulant rétablir un régime d’ordre, s’empara de la chambre des députés, avec sous ses ordres de nombreux policiers (cf video ci-dessous).

Il garda les politicards prisonniers jusqu’au lendemain, après que l’échec du coup d’Etat (du à l’intervention expresse de Juan-Carlos) fut indiscutable…

Molina fera 15 ans de prison.
A sa libération, il se rendra pour sa première sortie au Valle de Los Caïdos, immense mausolée où sont notamment enterrés le général Franco et Jose-Antonio Primo de Rivera.

 

Source : http://www.contre-info.com/

lundi, 22 février 2016

REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

Des éleveurs en colère aux domiciles de Le Drian et Le Foll dans l'Ouest dimanche soir

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

Des éleveurs en colère aux domiciles de Le Drian et Le Foll dans l'Ouest dimanche soir
Stéphane Le Foll (d), ministre de l'Agriculture, discute avec des agriculteurs en colère venus manifester devant chez lui au Mans le 21 février 2016
© JEAN-FRANCOIS MONIER

Plusieurs dizaines d'éleveurs en colère ont manifesté dimanche soir devant le domicile du ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll au Mans et à...

Plusieurs dizaines d'éleveurs en colère ont manifesté dimanche soir devant le domicile du ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll au Mans et à proximité de celui de son collègue de la Défense Jean-Yves Le Drian près de Lorient.

Une trentaine d'agriculteurs se sont présentés vers 20H00 au domicile de M. Le Foll en périphérie du Mans, où le ministre a ouvert la porte de son jardin avant d'engager une conversation tendue pendant près d'une heure avec les manifestants, a constaté un photographe de l'AFP.

"Comment je fais avec mes factures?", lançait un éleveur, pendant qu'un autre provoquait la colère du ministre en le comparant à son ancien collègue du Budget, Jérôme Cahuzac, poursuivi pour fraude fiscale.

"Je fais ce que j'ai à faire, je fais mon travail", a répondu M. Le Foll, ancien député de la Sarthe, pendant ces longs échanges.

Les éleveurs ont apposé une banderole sur la haie du ministre avec le slogan "Nous sommes comme nos vaches sur la paille", ainsi qu'un cercueil où était inscrit la mention "Morts pour la France".

"Il a été très surpris de nous voir, piqué à vif", a témoigné pour l'AFP François Thomelin, producteur laitier à La Ferté-Bernard (Sarthe). "On avait accroché un pendu en paille, il a dit: 'Vous m'enlevez ça tout de suite".

M. Thomelin, qui a précisé être venu "en partenariat" avec le syndicat des Jeunes agriculteurs (JA), a dit vouloir expliquer au ministre "le malaise agricole". "On n'a plus rien, plus de sous, plus d'avenir", a-t-il résumé. "Il a dit qu'il est pas responsable de grand chose, ce qui ne nous convient qu'à moitié", a rapporté l'éleveur.

Par ailleurs, entre 60 et 80 agriculteurs en provenance du Finistère ont tenté d'approcher du domicile de M. Le Drian à Guidel, dans le Morbihan, mais ont été stoppés par les forces de l'ordre, a indiqué la préfecture.

La préfecture n'était pas en mesure de préciser si M. Le Drian, également président du conseil régional de Bretagne, se trouvait ou non sur place.

Les agriculteurs, venus à bord d'une vingtaine de tracteurs, ont pique-niqué dans le centre de Guidel, selon la même source.

 

Source : http://www.publicsenat.fr/

Libye : un gouvernement de dilution de l’Etat – par Bernard Lugan

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

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22/02/2016 – FRANCE (NOVOpress avec Bernard Lugan)

Dans une Libye disloquée par une guerre de tous contre tous, trois gouvernements s’opposent. A Tobrouk, siège la Chambre des représentants reconnue par la communauté internationale ; à Tripoli est installé le parlement de Salut national sous influence des islamistes d’Abdelhamid Belhadj et des Frères musulmans de Misrata. Quant au Gouvernement d’union nationale constitué le 19 janvier 2016 sous les pressions de l’ONU par le Conseil présidentiel de neuf membres dirigé par Fayez el-Sarraj, il n’est pas parvenu à se faire reconnaître par les Libyens. Composé de plus de trente membres, il a en effet été rejeté par les deux parlements rivaux de Tobrouk et de Tripoli.

Prié de « revoir sa copie », le 14 février, Fayez el-Sarraj a présenté un nouveau gouvernement de 13 membres plus cinq secrétaires d’Etat, dans lequel, en principe, chaque grande faction libyenne est représentée. Cependant, deux des neuf membres du Conseil présidentiel se sont opposés à sa composition. Il s’agit d’Omar lassoued (Omar Al Aswad), représentant de Zenten et d’Ali Kotrani (Ali al Gatrani) de Tobrouk qui reprochent à ce gouvernement de faire la part trop belle aux Frères musulmans de Misrata et aux islamistes de Tripoli.

La composition de ce Gouvernement d’union nationale a également buté sur le portefeuille de la Défense qui était brigué à la fois par le général Haftar, le chef de l’armée de Cyrénaïque soutenu par l’Egypte, et par l’ancien bras droit de Ben Laden, Abdelhakim Belhaj, le chef du GICL (Goupe islamiste de combat de la Libye) une des plus puissantes milices islamistes de Tripoli, soutenu par la Turquie et le Qatar. Finalement, le portefeuille est revenu au colonel Mehdi Brahim Barghethi (Mahdi al-Barghati), proche du gouvernement de Tobrouk mais que certains observateurs pensent être en froid avec le général Haftar. Quant au ministère de l’Intérieur, il a été attribué à El Aref Salah Khouja (Salel al-Khoja), un lieutenant d’Abdelhakim Belhaj. Les forces de sécurité libyennes vont donc dépendre de deux chefs dont les objectifs sont à l’opposé… La coupure entre la Tripolitaine et la Cyrénaïque est donc inscrite dans les faits.

Concernant les autres ministères, chaque région, chaque grande faction a en principe obtenu d’être représentée. Dans cette dilution de l’Etat, certains sont favorisés, comme les Frères musulmans de Misrata, inconditionnellement appuyés par la Turquie et le Qatar. D’autres sont marginalisés, comme Zenten, qui détient prisonnier Saïf al Islam, le fils du colonel Kadhafi. De fait, la Tripolitaine est donc partagée entre Frères musulmans de Misrata et Milices de Tripoli apparentées à Al Qaïda. Le nouveau gouvernement devant s’installer à Tripoli, il sera donc, de fait, sous le contrôle de ces derniers, d’où d’inévitables tensions avec les forces de Cyrénaïque.

Mais peu importe ce bricolage issu d’un quasi marchandage de souk puisque la « communauté internationale » a enfin réussi à mettre en place une autorité « légale » qui va pouvoir lui demander d’intervenir contre l’Etat islamique. Une intervention refusée par l’Algérie et la Tunisie mais qui va se faire au profit des Frères musulmans et des diverticules d’Al Qaïda qui contrôlent la Tripolitaine. Tous espèrent que les forces spéciales occidentales les débarrasseront de l’Etat islamique afin qu’ils puissent reprendre ensuite leurs guerres internes et continuer à s’enrichir en acheminant des « migrants » en Europe.
Regardons en effet les choses en face : le résultat de la calamiteuse guerre décidée en 2011 par Nicolas Sarkozy et BHL est que, aujourd’hui, nous allons intervenir en Libye, certes contre l’Etat islamique, mais d’abord au profit d’une coalition rassemblant Al-Qaïda et Frères musulmans…

Bernard Lugan