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mardi, 16 février 2016

Racisme, antiracisme : l’imposture républicaine

 

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Ce reportage démontre comment le christianisme et la république s’opposent intrinsèquement, y compris en ce qui concerne l’identité.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Le vent s’essouffle dans l’emploi éolien

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

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Michel Gay Métamag cliquez ici

Éolien : mauvaise nouvelle pour les emplois en France qui vont se concentrer en Allemagne.

La concentration des acteurs du marché de l’éolien offshore et la sortie d’Areva de ce secteur se confirme, comme le prédisaient les opposants, et certains professionnels de la branche. Mauvaise nouvelle pour les emplois en France qui vont se concentrer en Allemagne.

Quand des entreprises sont en avance sur un marché, comme Siemens (plus de 1.000 éoliennes offshore) et le géant danois Vestas, alors ceux qui sont partis trop tard, comme Areva ou Alstom, ne peuvent plus être compétitifs. Il était donc à prévoir que le marché s’adapterait aux règles économiques.

Le rachat d’Adwen/Gamesa par Siemens n’est pas une bonne nouvelle pour les opposants à l’éolien. Siemens aura les moyens financiers de développer la turbine de 8 mégawatts (MW) de puissance promise dans les appels d’offre français. Le prototype Adwen était toujours à l’étude et Areva / Gamesa n’avait pas les moyens financiers de développer à la fois la turbine de 8 MW, dont le coût de développement est d’environ 100 millions d’euros (M€), et de mettre en place son seul projet éolien offshore « Vikinger ».

Malheureusement, l’éolien offshore n’apportera presque pas d’emplois en France. Les habitants de la région qui escomptaient du travail peuvent se faire du souci. Il ne faudra pas compter sur les postes locaux de maintenance : c’est l’entreprise allemande Siemens qui en sera responsable. Les Allemands vont d’abord utiliser leurs effectifs, et ils ne formeront des « locaux » à la marge que pour des tâches subalternes. Il n’est en effet pas économiquement pertinent pour une entreprise de former quelques dizaines de personnes éparpillées ici et là. Le personnel doit être transférable, « mutualisable ».

Par ailleurs, Siemens a déjà ses outils de production et ses fournisseurs pour construire les éoliennes, et ils ne se sentiront pas obligés d’embaucher des Français. Si l’État français demande des garanties d’emplois locaux dans les accords de rachat avec Gamesa / Adwen / Areva, ce sera juste une façade rutilante pour rassurer la population et calmer les esprits.

C’est affligeant mais, en clair, il n’y a aura pas d’emplois locaux. Les élus avaient été prévenus il y a un an, mais ils ne savaient comment allait se dérouler le scénario. Maintenant, ils savent. L’éolien offshore en France sera allemand, danois, mais pas français.

Alstom sortira de l’éolien quand cette entreprise aura mené à terme les trois projets offshore français promis, à contre-cœur, au gouvernement français par General Electric lors du rachat d’Alstom Power… sauf s’ils trouvent une solution de sortie d’ici là.

Les turbines des six projets français d’éoliennes devaient être de fabrication française (trois projets avec Alstom et trois autres avec Areva). Mais maintenant, adieu la filière éolienne française et les emplois locaux avec la sortie de notre fleuron français Areva.

En revanche, les nuisances visuelles, le tourisme sacrifié, les dégâts environnementaux, les prix d’électricité en hausse, les populations divisées, et les élus décrédibilisés sont une réalité.

Et tout ça pour des projets inutiles, ruineux pour les contribuables, et… si peu d’emplois français.

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

Volkswagen, YouTube, renseignement... Un journaliste énumère les enquêtes retoquées par Canal+

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

Vincent Bolloré, le 29 septembre 2015. - AFP F.R.

« Volkswagen, entreprise de tous les scandales », « Le monde selon YouTube », « François Homeland » (sur le chef de l’Etat et les guerres), « Attentats : Les dysfonctionnements des services de renseignement », « Les placards dorés de la République » (consacrés aux emplois fictifs dans la fonction publique), « La répression made in France » (dédié à l’exportation, par la France des matraques électriques et autres outils de répression), « Nutella, les tartines de la discorde » Autant de sujets d’enquêtes que vous ne verrez pas à la télévision. En tout cas, pas sur Canal +.

Jean-Baptiste Rivoire, rédacteur en chef adjoint de Spécial Investigation, l’émission de Canal +, a confié sur le plateau d’arretsurimages.net que toutes ces propositions d’enquêtes ont été retoquées par la chaîne cryptée. Selon le journaliste, la direction a fait savoir qu’elle tenait « avant tout à défendre les intérêts du groupe Canal et estime qu’il est préférable d’éviter certaines attaques frontales ou polémiques à l’encontre des partenaires actuels ou futurs du groupe ».

« Il n’y aura plus d’enquête sur le monde bancaire »

« Autant vous dire qu’on reçoit beaucoup moins de projets d’investigation », déplore Jean-Baptiste Rivoire en expliquant que « les agences de presse qui essaient de travailler pour Canal + se creusent la tête pour essayer de savoir qui sont les partenaires actuels ou futurs éventuels de Vincent Bolloré [le président du conseil de surveillance du groupe Canal +]. »

Le journaliste de Canal + avance ainsi qu’« il n’y aura plus d’enquêtes sur le monde bancaire » diffusées sur l’antenne de la chaîne cryptée. Le reportage consacré au Crédit Mutuel et l’accusant d’évasion fiscale a semble-t-il fait jurisprudence. Rejeté par Canal +, il avait finalement été diffusé sur France 3, en octobre, dans le magazine Pièces à conviction.

Jean-Baptiste Rivoire raconte que Vincent Bolloré s’est exprimé sur cette censure le 3 septembre en comité d’entreprise (CE) : « Il a assumé en disant : "Ce n’est pas de la censure, c’est de la connerie. (…) Il ne faut pas embêter les partenaires du groupe, attaquer la BNP ou le Crédit Mutuel, c’est débile" ». Des propos qui figureraient dans le compte-rendu écrit du CE.

 

Source : http://www.20minutes.fr/

RÉSERVE PARLEMENTAIRE : 136 MILLIONS D’EUROS, LE COÛT DU CLIENTÉLISME

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

Réserve parlementaire

L’Assemblée nationale et le Sénat vont dévoiler dans quelques jours la répartition de la réserve parlementaire, qui permet aux parlementaires de subventionner des « investissements de proximité ». L’association Contribuables Associés rappelle son opposition totale à la distribution de cette cagnotte : un parlementaire est un législateur, pas un mécène d’argent public !

1 milliard d’euros depuis 8 ans, près de 136 millions d’euros annuels, 130 000 euros par député et sénateur (davantage pour les hautes responsabilités) : la réserve parlementaire dilapide l’impôt sur le revenu annuel de 33 000 familles assujetties !

Pour Eudes Baufreton, délégué général de Contribuables Associés, « le rôle d’un parlementaire est de voter la loi, contrôler l’action du gouvernement et évaluer les politiques publiques, pas de distribuer l’argent des Français dans des placements souvent clientélistes, faisant ainsi campagne aux frais du contribuable. Dans le contexte actuel de matraquage fiscal des Français d’une part, mais aussi de la nécessaire réduction des dépenses publiques (56% du PIB) d’autre part, il est indispensable de supprimer la coûteuse et inutile réserve parlementaire ».

L’investissement et le subventionnement des associations et des collectivités territoriales ne doivent pas être assurés par les parlementaires, qui sont des élus nationaux et non locaux. Les députés et sénateurs doivent se consacrer entièrement à leur rôle de législateur.

Tandis que des parlementaires sont fréquemment absents de l’hémicycle, les contribuables peuvent regretter leur empressement à distribuer l’argent public, qui est l’argent de tous les Français.

Contribuables Associés soutient la proposition de loi du député Véronique Besse visant à supprimer la réserve parlementaire et a lancé une pétition pour exiger la suppression de cette pratique clientéliste.

 

Source :https://www.contribuables.org

lundi, 15 février 2016

Audrey Azoulay, la nouvelle ministre de la Culture, huée lors de sa première sortie publique



 

audrey_azoulayAudrey Azoulay, la nouvelle ministre de la Culture huée lors de sa première sortie publique à la 31e édition des Victoires de la musique, au Zénith de Paris.

Virginie Guilhaume, co-présentatrice de l’événement, a souhaité signaler sa présence au micro:

«J’aimerais saluer la présence ici de Madame la ministre de la Culture et de la Communication, Audrey Azoulay, qui nous fait l’honneur de sa première soirée publique».

Aussitôt, des huées ont été poussées dans la salle.

 

Source : http://www.medias-presse.info/