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mercredi, 17 février 2016

Aveyron: la visite pour un conseil d'élevage tourne au drame

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2016

Une technicienne de la Chambre de l'agriculture du département de 26 ans est décédée dans une exploitation laitière du village des Farguettes, située sur la commune de Meyran (Aveyron). D'après les informations du Figaro,

 

Venue effectuer une visite à Mayran, dans l'Aveyron, une jeune femme salariée de la Chambre d'agriculture aurait été victime d'un homicide volontaire.

Mercredi 17 février au matin, un drame s'est produit dans une exploitation laitière du village des Farguettes, située sur la commune de Meyran (Aveyron). D'après les informations du Figaro, une technicienne de la Chambre de l'agriculture du département, âgée de 26 ans, s'est rendue pour une visite de conseil, en élevage et alimentation. Elle est accueillie vers 8h30 par un individu qui s'emporte, sous les yeux d'un témoin. La jeune femme est retrouvée plus tard dans un étang glacé voisin de la ferme, en arrêt cardio-respiratoire. Elle aurait été poussée dans l'eau violemment, et serait décédée d'une crise cardiaque. Les sapeurs-pompiers ont été dépêchés sur place.

L'auteur présumé de l'homicide a été interpellé et placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Rodez. Contacté par Le Figaro, le centre opérationnel de la gendarmerie n'a pas voulu commenter pour le moment l'enquête en cours.

Le chef d'exploitation hors de cause

Le site d'informations local Centre Presse Aveyron a très tôt indiqué que l'individu incriminé n'est pas le chef de l'exploitation agricole, mais son frère, âgé de 47 ans, qui travaille dans la même ferme. L'innocence du propriétaire de la ferme a été confirmée dans la matinée par le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll.

Dans un communiqué, le président des Chambres d'agriculture Guy Vasseur a fait part de sa «stupeur» et sa «tristesse», et a exprimé son soutien aux proches de la victime, ainsi qu'aux membres de la Chambre d'agriculture de l'Aveyron.

Le précédent de Saussignac

La jeune femme décédée ne venait pas pour un contrôle administratif, qui relève de la Direction départementale des territoires, mais pour un conseil élevage de la chambre d'agriculture. «Dans un élevage, les vaches doivent être régulièrement contrôlées, des prélèvements sont effectués sur le lait pour mesurer les taux protéiques, butyriques... À partir de là, le technicien peut donner des conseils à l'éleveur», a expliqué le président de la chambre d'agriculture de l'Aveyron Jacques Molières, au site Centre Presse Aveyron.

Cette tragédie rappelle la mort violente de deux inspecteurs du travail, le 2 seprembre 2004, abattus lors du contrôle d'une exploitation agricole à Saussignac (Dordogne). Les contrôleurs avaient été assassinés d'un coup de fusil. Leur meurtier, explique le quotidien régional Sud-Ouest, rencontrait des difficultés financières. Il fut condamné en 2007 à trente ans de réclusion criminelle. Une affaire qui avait mis en lumière les tensions existantes entre les exploitants agricoles et les contrôleurs, accusés par les intéressés de manquer de souplesse et d'humanité à leur égard.

 

Source : http://www.lefigaro.fr/

COMMENT DAECH ATTIRE DE JEUNES MÉDECINS ET INGÉNIEURS

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2016

Ils viennent de France, de Tunisie ou d'Australie et sont médecins, ingénieurs ou responsables administratifs. Ils ont répondu à l'appel de Daech, qui à coup de propagande, cherche à attirer les étrangers qualifiés pour «construire le califat».


Comment Daech attire de jeunes médecins et ingénieurs

Les rangs de l'Etat islamique ne sont pas uniquement composés de combattants et de candidats au martyr. Des médecins, des ingénieurs, des informaticiens et des étudiants prennent aussi la route du djihad, répondant aux appels lancés par Daech. Dès son premier discours en juin 2014, le chef de l'Etat islamique Abou Bakr al-Baghdadi avait invité les «savants» et les «experts» à rejoindre les territoires contrôlés par Daech pour aider à «construire le califat». Un appel réitéré quelques mois plus tard dans le troisième numéro de Dabiq, version anglophone du magazine de propagande de l'EI.

Les métiers recherchés

Pour mener à bien son «projet», Daech recrute dans tous les corps de métiers: des médecins pour soigner leurs combattants blessés, des ingénieurs pour gérer des raffineries de pétrole ou mettre au point des explosifs, des journalistes et communicants pour diffuser au plus grand nombre la propagande du groupe terroriste ou encore des responsables administratifs pour assurer le fonctionnement bureaucratique de «l'Etat».

Les quatre années de conflit en Syrie et la progression de l'Etat islamique ont entraîné l'exode des Syriens et Irakiens instruits et qualifiés. «Il y a eu une fuite des cerveaux», résume Romain Caillet, chercheur et consultant sur les questions islamistes. Fin 2012, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) expliquait déjà que la Syrie avait perdu ses neuf psychiatres et que la moitié des médecins de Homs étaient partis à l'étranger. La progression de l'Etat islamique n'a fait qu'accentuer les départs.

Une propagande ciblée

Pour pallier cette (...) Lire la suite sur Figaro.fr

 

 

Près de 10.000 SDF ayant composé le 115 en janvier n’ont pas eu d’hébergement

 Publié par Guy Jovelin le 17 février 2016
Shutterstock« En janvier, près de 10.000 sans-abri ayant sollicité un hébergement n’ont pas eu de réponse favorable, dont de nombreuses familles avec enfants, selon le baromètre 115 publié aujourd’hui. »

 

Alors que le gouvernement se décarcasse pour loger les « migrants »…

Par ailleurs, selon l’association Les enfants du Canal, un SDF de 66 ans est mort de froid dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 janvier, dans le huitième arrondissement de Paris, sur la rampe d’un parking dans lequel il avait ses habitudes. […] Les enfants du Canal assurent que le SDF avait effectué une demande d’hébergement d’urgence auprès des services de l’État (SIAO) dès le 9 décembre 2015. Une information confirmée par la préfecture.

Les Echos via fds

mardi, 16 février 2016

Un projet de génocide des peuples européens?

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

Résultat de recherche d'images pour "génocide européens"

 

14 FÉVRIER 2016 PAR GUILLAUME FAYE

Le génocide a été pratiqué depuis la plus haute antiquité. Dans un passé récent, on évoque évidemment la Shoah, les Arméniens, le Rwanda, le Cambodge de Pol Pot (auto–génocide). Le génocide peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autre types de mesures criminelles. Le génocide indirect a été commis de nombreuses fois dans l’histoire. L’actuelle ”crise des migrants” participe de ce projet : la noyade démographique des peuples européens. 

Le soft génocide volontaire et nihiliste  

Les peuples européens sont subrepticement victimes d’une tentative de génocide, d’élimination démographique et culturelle, pilotée par leurs propres élites ethnomasochistes et xénophiles. Une première dans l’histoire. Les autorités françaises sont, avec les belges, les plus impliquées dans cette entreprise de soft génocide. Ce dernier est à la fois physique et culturel.

Enrobé par l’idéologie antiraciste, il suit pourtant un objectif racial et raciste : éliminer d’Europe, progressivement, – et en particulier de France – les populations autochtones. Les éliminer par cinq moyens : en favorisant une immigration de peuplement de provenance extra-européenne ; en décourageant la natalité des autochtones et en pénalisant les familles des classes moyennes ; en provoquant l’exil  des jeunes forces vives autochtones par des mesures de taxation dissuasive ; en privilégiant, sur les plans sociaux, économiques, juridiques et culturels, les populations d’origine extra-européenne par rapport aux autochtones ; en pénalisant et punissant toute opposition au projet global immigrationniste et toute entrave à son idéologie.        

Certains à droite répètent que le ”système”, le pouvoir, l’État, les autorités de l’UE sont impuissants à maîtriser l’immigration massive et incontrôlée. Impuissants ? Ils sont très puissants au contraire et fort efficaces dans la réalisation de leur dessein : épuration ethnique de l’Europe, et de la France pour commencer.

En France, l’idéologie trotskiste joue un rôle central  dans cette entreprise, dont le PS bourgeois et gauchiste et son conseil, le think tank Terra Nova, sont les fers de lance. Un de ses dirigeants a récemment déclaré qu’il ne fallait pas trop s’inquiéter du votre FN parce qu’il allait décliner en proportion pour des raisons démographiques. C’est une stratégie subtile, cynique, élaborée. Les électeurs mal–pensants vont disparaître au profit de nouveaux. Ce ”grand remplacement” ethnique est souhaité.

Terra Nova (”nouvelle terre”, nouveau pays, nouvelle population) est un lobby métapolitique fort efficace, qui influence toutes les sphères du pouvoir. Son calcul électoral (séduire les immigrés et délaisser les classes populaires ou moyennes) est motivé par son animosité contre la France ”de souche”. Cette hostilité provient de l’idéologie marxiste–trotskiste, dont l’ ”internationalisme prolétarien ” est le cœur : détruire les appartenances nationales, enfin surtout celles des Européens.  

Que l’islam soit sexiste, rétrograde, antidémocratique, etc. n’est pas le problème des idéologues trotskistes du PS et de Terra Nova, qui n’ont rien de ”républicains”. Leur objectif obsessionnel est  l’éradication de l’identité ethnique des peuples européens et notamment de la France. Cette idéologie trotskiste, ”internationaliste” au départ, n’est-elle pas suicidaire  pour ceux-là mêmes qui la prônent ? Oui, et alors ?  Ils s’en moquent. Car ils sont logiques avec eux mêmes, ils sont nihilistes. Leur objectif est la destruction de ce qu’ils haïssent – la civilisation européenne. Pas la construction d’un nouveau monde auxquels ils ne croient pas eux-mêmes.   

Les axes stratégiques du soft génocide

Les moyens utilisés, notamment en France, un laboratoire, sont les suivants. On les retrouve évidemment à l’échelle de l’Union européenne. Ils sont à la fois idéologiques, économiques, judiciaires et policiers.

1) Encourager l’immigration. Laisser faire et favoriser cyniquement par tous les moyens la colonisation  de peuplement. La crise des ”migrants ”en est la dernière démonstration. On est passé à la vitesse supérieure. Après une immigration continue depuis trente ans (fuite d’eau) on en vient (inondation) à l’accueil de la déferlante de millions de migrants, sous le label humanitaire de ”réfugiés”. Il n’y a aucune ”impuissance” des autorités européennes à arrêter les flux migratoires ; on note  au contraire (l’angélique et folle Mme Merkel en est l’exemple) la volonté de les accentuer. Toute expulsion est rendue impossible.

2) Favoriser l’islamisation. Tout ce qui est arabo-musulman devient intouchable et sacralisé par le pouvoir, en dépit des attentats islamiques et des gesticulations militaires contre Dae’ch. Le favoritisme envers l’islam est devenu une politique d’État. Et, de ce fait, l’ ”islamophobie” s’impose comme péché capital, délit impardonnable. 

3) Appauvrir et taxer les classes populaires et moyennes autochtones. Et les faires payer pour les autres. Toute la politique fiscale du gouvernement socialiste va dans ce sens : assistanat pour les immigrés même clandestins (pompe aspirante) financé par des ponctions croissantes sur le peuple de souche.    

4) Mener une politique antifamiliale et antinataliste. En déconstruisant le système des allocations familiales, le gouvernement a réussi à faire baisser la natalité des autochtones en 2015. C’était bien calculé. La famille nombreuse de souche française n’est pas très appréciée…

 5) Pratiquer la discrimination positive. Il s’agit de la préférence étrangère et ethnique dans l’emploi, au nom de l’ ”antiracisme”. Les entreprises privées y sont fortement encouragées et les administrations publiques y ont systématiquement recours dans les emplois peu qualifiés.

6) Assurer l’impunité judiciaire des délinquants  d’origine étrangère. Cette politique, inaugurée depuis trente ans au moins, a été accentuée par le passage de Mme Taubira au ministère de la Justice, dont les orientation idéologiques (schizophrènes par ailleurs) sont parfaitement repérées : animosité envers tout ce qui est labellisé ”franco-européen”.   

7) Détruire la transmission culturelle dans l’Éducation nationale. Culpabiliser l’histoire de France, démanteler l’enseignement du grec et du latin, démolir la grammaire et l’orthographe, dégrader  l’ enseignement de la langue française, déraciner, promouvoir et encenser les cultures  des populations immigrées –islamiques, africaines et autres… Tel est le programme suivi par l’État. Cette défrancisation, cette déseuropéanisation, Mme Vallaud–Belkacem, ministre de l’Éducation nationale ”socialiste” et pseudo-féministe, en est l’actrice souriante, après bien d’autres ministres et syndicalistes de formation trotskiste. 

8) Réprimer et punir tous les résistants à l’idéologie dominante.  

Jungle de Calais et des environs : les immigrés illégaux qui commettent des exactions sont impunis ; les Français qui résistent, manifestent et tentent de se protéger sont matraqués, incarcérés et poursuivis. Les répressions contre la ”Manif pour Tous” obéissaient à la même logique. Tout ce qui défend l’identité française est menacé et puni par l’État ”français”. La même répression est observable dans les médias, écrits, audiovisuels ou internet. Les tribunaux et la police sont tolérants envers l’envahisseur occupant et impitoyables envers la résistance. On pourrait appeler ça le syndrome de Vichy,  non ? 

Collabos contre résistants

Les deux camps sont assez bien définis. Les autorités étatiques, médiatiques, judiciaires, policières – ces dernières aux ordres des précédentes – ont pour mission de juguler et de neutraliser la résistance du peuple autochtone et de ses défenseurs. Ils auraient tort de croire qu’ils ont gagné.

Ceux qui ont semé le vent de la guerre civile à venir en récolteront la tempête. Elle sera probablement sanglante. Ce n’est ni la bêtise, ni l’angélisme qui les a motivés. C’est la haine consciente et le désir de guerre, c’est la collaboration avec l’envahisseur et le pari de sa victoire. Mais ils risquent aussi de perdre la guerre qu’ils ont provoquée. Les résistants ont plus de chance de l’emporter parce qu’ils sont animés par une fidélité à leurs racines alors que les collabos sont soumis à des maîtres qu’ils peuvent toujours trahir .

Nous verrons bien qui vaincra, mais, à mon avis, ce sera comme toujours L’Armée des Ombres.    

 

Source : http://www.gfaye.com/

Financement de la campagne 2012 : Sarkozy chez les juges

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2016

PARIS, MARDI. Nicolas Sarkozy à son arrivée au pôle financier.  
PARIS, MARDI. Nicolas Sarkozy à son arrivée au pôle financier.  (AFP/THOMAS SAMSON).

Nicolas Sarkozy est arrivé ce mardi matin chez les juges d'instruction parisiens pour être entendu dans l'enquête sur les fausses factures de Bygmalion et les comptes de sa campagne présidentielle en 2012.


L'enquête Bygmalion, du nom de la société qui organisait ses meetings, porte à l'origine sur un système de fausses factures pour cacher une explosion du plafond légal des dépenses pour la présidentielle, fixé à 22,5 millions d'euros. Ces fausses factures auraient eu pour objet d'imputer à l'UMP quelque 18,5 millions d'euros de dépenses qui auraient dû rentrer dans le compte de campagne.

«L'argument d'une campagne qui dérape est une farce», selon Sarkozy



Plusieurs cadres de Bygmalion, son comptable, ainsi que Jérôme Lavrilleux à l'UMP, ont reconnu l'existence de cette fraude, mais aucun protagoniste n'a mis en cause Nicolas Sarkozy pour l'avoir décidée ou en avoir eu connaissance.

L'enquête montre cependant que l'ex-président a demandé et obtenu plus de meetings, vers la mi-mars 2012. Guillaume Lambert, ancien directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, a déclaré aux policiers qu'il l'avait informé d'une note de l'expert-comptable pointant un risque de dépassement du plafond et interdisant toute dépense supplémentaire.

Entendu par les enquêteurs en septembre 2015, Nicolas Sarkozy a assuré ne pas s'en souvenir et a relativisé le coût que pouvaient engendrer les événements ajoutés. «L'argument d'une campagne qui dérape est une farce», a-t-il affirmé. Il a renvoyé la responsabilité des fausses factures sur Bygmalion et l'UMP dirigée alors par Jean-François Copé, qui a été placé sous le statut de témoin assisté.

Mais depuis les enquêteurs ont élargi leurs investigations aux comptes de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012.

Dans ce volet de l'affaire, quatre personnes ont été mises en examen en janvier dont l'ancien directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, Guillaume Lambert.


La semaine dernière, c'est Jean-François Copé qui avait été entendu comme témoin assisté. Il en était ressorti sans être mis en examen.