Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 18 février 2016

Le dhimmi du jour est le maire de Courbevoie, Jacques Kossowski

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016

mosquee_courbevoie
17/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)

Pendant la menace d’attentats islamistes et l’état d’urgence, l’islamisation continue. À Courbevoie, les habitants ont pu découvrir leur future mosquée, sur terrain municipal bien sûr.

Le bail emphytéotique de 80 ans pour un terrain communal de Courbevoie pour la construction d’une mosquée d’une surface au sol de 680m2 avait été signé fin juin. Ce week-end, les Courbevoisiens ont pu découvrir leur future mosquée lors d’une journée portes ouvertes de l’actuelle salle de prière dirigée par l’ACMC, l’association Cultuelle des Musulmans de Courbevoie. Le bâtiment pourra recevoir environ 1 800 fidèles, avec salles de prière pour femmes séparées, bien entendu. Si le style est bien d’inspiration orientale, il ne comporte pas de minaret, c’est toujours ça.
courbevoie_mosquee
Il faut croire que ce projet était d’une grande importance puisque la présentation des maquettes et plans s’est faite en présence du préfet des Hauts-de-Seine, Yann Jounot, du président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, de militants de gauche, en passant par les adjointes de droite de Courbevoie, Aurélie Taquillain et Puteaux.
Le parisien relève aussi la présence de « riverains, un peu sur la réserve ». Ce délicat euphémisme dit bien la joie des voisins d’entendre bientôt l’appel à la prière.

Si la laïcité suppose le respect de tous les cultes, elle n’implique pas d’en favoriser une par l’octroi de conditions particulièrement favorables pour l’implantation de ses lieux de culte, faut-il le rappeler une nouvelle fois. Par l’octroi d’un bail emphytéotique dont le montant des loyers reste mystérieux, la présence de son adjointe à cette journée portes ouvertes, consacrant l’importance que le projet revêt à ses yeux, Jacques Kossowski mérite bien son titre de dhimmi du jour.

Crédit photo : Agence XXM architecturesvia


 
Source : http://fr.novopress.info/

 

Promu au gouvernement, Jean-Michel Baylet recase ses proches

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016

Jean-Michel Baylet (PRG), dans les locaux de la Dépêche du Midi

 

LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO - Le nouveau ministre de l'Aménagement du territoire a nommé son ex-femme à la tête de la Dépêche du Midi, dont les «unes» enthousiastes au lendemain du remaniement ont suscité des interrogations quant à son indépendance politique.

Longtemps président directeur général du groupe La Dépêche, propriétaire de La Dépêche du Midi, le patron du PRG a cédé la place lorsqu'il est entré au gouvernement le jeudi 11 février. Il s'agissait notamment d'épargner au célèbre journal toulousain toute accusation de traitement partisan de l'actualité politique. Mais les Unes très enthousiastes du quotidien régional au lendemain du remaniement qui a vu l'entrée de Jean-Michel Baylet au gouvernement n'ont pas manqué de soulever interrogations et sarcasmes. Invité ce matin sur RTL, le nouveau ministre balaye les accusations portées notamment par un élu syndical du titre régionalauprès du Petit Journal de Canal +, et selon lesquelles «il est évident qu'il intervient auprès de responsables, qui ensuite, donnent des consignes aux journalistes».

«J'ai vu qu'il y avait une polémique là-dessus que je trouve assez pitoyable. La Dépêche du Midi est un journal qui a une histoire, La Dépêche du Midi est un journal qui a une ligne politique qui est connue. Que ce soit ce remaniement ou d'autres, La Dépêche du Midi et les journalistes, dans leur indépendance d'esprit et de plume, ont jugé ce remaniement comme ils l'entendaient», a promis Jean-Michel Baylet. «Jamais» l'ex-PDG n'a passé de coup de fil aux rédacteurs du titre, martèle-t-il. «D'ailleurs, ceux qui ont essayé de trouver des journalistes pour dire qu'il y avait des pressions se sont fait renvoyer dans les cordes et n'ont rien trouvé», a-t-il enchaîné. Quant au syndicaliste interrogé par le Petit Journal, «oui bon, il est dans son rôle», a éludé Baylet. Avant de relever: «il est de chez moi d'ailleurs, de Valence-d'Agen (Tarn-et-Garonne)».

Une affaire de famille solidement verrouillée

Malgré cette mise à l'écart de la direction du groupe, La Dépêche du Midi reste une affaire de famille chez les Baylet. Jean-Michel Baylet lui-même avait pris les rênes du groupe après un règne de près d'un demi-siècle de sa mère Evelyne-Jean Baylet. Pour prendre sa propre suite aux commandes du groupe, le nouveau ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales, a choisi son ex-femme Marie-France Marchand-Baylet. Elle n'est autre que l'actuelle compagne de Laurent Fabius, lui-même sortant du Quai d'Orsay. Par ailleurs la famille Baylet garde le groupe sous sa férule puisque l'un des fils de Jean-Michel Baylet, Jean-Nicolas Baylet, est directeur général du Groupe la Dépêche depuis septembre 2012. Une emprise renforcée en septembre 2015 avec la nomination de Jean-Benoît Baylet, 27 ans, au poste de directeur-délégué du groupe consacré au quotidien régional et à ses suppléments.


Les chaises musicales aussi à la tête du PRG

Avant entrée de Jean-Michel Baylet au gouvernement, le Parti radical de gauche, principal parti allié du PS , était déjà représenté par Sylvia Pinel, ancienne ministre du Logement, de l'Égalité des territoires et de la Ruralité. Très proche de Jean-Michel Baylet, c'est elle qui prend sa suite ce mercredi à la tête du PRG. Le bureau national du parti a désigné «conformément à l'article 12 des statuts du PRG», la première vice-présidente du PRG Sylvia Pinel, pour assurer l'intérim. «Elle présidera donc le parti dans l'attente d'un congrès», est-il indiqué dans un communiqué.

 

 

mercredi, 17 février 2016

Homicides en Allemagne : taux de suspects par nationalité

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2016

Homicides en Allemagne : taux de suspects par nationalité

Source : http://www.ndf.fr/

 

Libye : un bricolage au profit des Frères Musulmans

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2016

Résultat de recherche d'images pour "lugan"Bernard Lugan, spécialiste du continent africain, vient de rédiger un article à propos de la situation en Libye que nous vous livrons ci-dessous.

Dans une Libye disloquée par une guerre de tous contre tous, trois gouvernements s’opposent. A Tobrouk, siège la Chambre des représentants reconnue par la communauté internationale ; à Tripoli est installé le parlement de Salut national sous influence des islamistes d’Abdelhamid Belhadj et des Frères musulmans de Misrata. Quant au Gouvernement d’union nationale constitué le 19 janvier 2016 sous les pressions de l’ONU par le Conseil présidentiel de neuf membres dirigé par Fayez el-Sarraj, il n’est pas parvenu à se faire reconnaître par les Libyens. Composé de plus de trente membres, il a en effet  été rejeté par les deux parlements rivaux de Tobrouk et de Tripoli. 

Prié de  « revoir sa copie », le 14 février, Fayez el-Sarraj a présenté un nouveau gouvernement de 13 membres plus cinq secrétaires d’Etat, dans lequel, en principe, chaque grande faction libyenne est représentée. Cependant, deux des neuf membres  du Conseil présidentiel se sont opposés à sa composition. Il s’agit d’Omar lassoued (Omar Al Aswad), représentant de Zenten et d’Ali Kotrani (Ali al Gatrani) de Tobrouk qui reprochent à ce gouvernement de faire la part trop belle aux Frères musulmans de Misrata et aux islamistes de Tripoli.

La composition de ce Gouvernement d’union nationale a également buté sur le portefeuille de la Défense qui était brigué à la fois par le général Haftar, le chef de l’armée de Cyrénaïque soutenu par l’Egypte, et par l’ancien bras droit de Ben Laden,  Abdelhakim Belhaj, le chef du GICL (Goupe islamiste de combat de la Libye) une des plus puissantes milices islamistes de Tripoli, soutenu par la Turquie et le Qatar. Finalement, le portefeuille est revenu au colonel Mehdi Brahim Barghethi (Mahdi al-Barghati), proche du gouvernement de Tobrouk mais que certains observateurs pensent être en froid avec le général Haftar. Quant au ministère de l’Intérieur, il a été attribué à El Aref Salah Khouja (Salel al-Khoja), un lieutenant d’Abdelhakim Belhaj. Les forces de sécurité libyennes vont donc dépendre de deux chefs dont les objectifs sont à l’opposé… La coupure entre la Tripolitaine et la Cyrénaïque est donc inscrite dans les faits.

Concernant les autres ministères, chaque région, chaque grande faction a en principe obtenu d’être représentée. Dans cette dilution de l’Etat, certains sont favorisés, comme les Frères musulmans de Misrata, inconditionnellement appuyés par la Turquie et le Qatar. D’autres sont marginalisés, comme Zenten, qui détient prisonnier Saïf al Islam, le fils du colonel Kadhafi. De fait, la Tripolitaine est donc partagée entre Frères musulmans de Misrata et Milices de Tripoli apparentées à Al Qaïda. Le nouveau gouvernement devant s’installer à Tripoli, il sera donc, de fait, sous le contrôle de ces derniers, d’où d’inévitables tensions avec les forces de Cyrénaïque.

Mais peu importe ce bricolage issu d’un quasi marchandage de souk puisque la « communauté internationale » a enfin réussi à mettre en place une autorité « légale » qui va pouvoir lui demander d’intervenir contre l’Etat islamique. Une intervention refusée par l’Algérie et la Tunisie mais qui va se faire au profit des Frères musulmans et des diverticules d’Al Qaïda qui contrôlent la Tripolitaine. Tous espèrent que les forces spéciales occidentales les débarrasseront de l’Etat islamique afin qu’ils puissent reprendre ensuite leurs guerres internes et continuer à s’enrichir en acheminant des « migrants » en Europe.

Regardons en effet les choses en face : le résultat de la calamiteuse guerre décidée en 2011 par Nicolas Sarkozy et BHL est que, aujourd’hui, nous allons intervenir en Libye, certes contre l’Etat islamique, mais d’abord au profit d’une coalition rassemblant Al-Qaïda et Frères musulmans…

Bernard Lugan

16/02/2016 (bernardlugan.blogspot.be)

Elections présidentielles de 2017 : tous les candidats sous l’emprise israélienne ?

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2019


Afficher l'image d'origine

Tour d’horizon en images des liens indéfectibles entre les différents candidats à l’élection présidentielle française de 2017 et Israël.

 

 

Source : http://www.medias-presse.info/