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mardi, 09 février 2016

FN 66 - Après Font, Kortanek claque aussi la porte

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

 L’ex-conseillère régionale frontiste, Irina Kortanek, aujourd’hui conseillère d’opposition à Bompas, ne veut plus de l’étiquette FN. Irina Kortanek, encartée depuis 2007 mais qui a "toujours voté FN", dit ne pas avoir renouvelé son adhésion.

Et cogne, fort, sur Louis Aliot : "Il semble oublier qu’un de ses sports favoris consiste à se faire élire, quel que soit le mandat, mais de préférence bien rétribué, d’encaisser les indemnités et de battre ensuite des records d’absentéisme". Kortanek digère mal l’arrivée, suivie de l’élection à la Région, de l’ex-UMP Jean-François Fons : "L’ouverture c’est bien mais il y a des limites, il ne faut pas que ça devienne le rassemblement des petits copains ! J’ai découvert la liste des Régionales dans la presse sans qu’on m’en ait parlé avant."

Après Clotilde Font à Perpignan, c’est le second élu frontiste qui se désolidarise du FN 66.

"Qu’elles démissionnent !"

De quoi faire réagir les "cadres et élus" de la fédé catalane qui demandent"solennellement à ces deux élues de respecter les électeurs en démissionnant de leurs mandats. Nous rappelons qu’elles ne doivent leurs sièges qu’à l’investiture du FN ou RBM, et leurs responsabilités à l’aval de Louis Aliot". "Qu’ils demandent ce qu’ils veulent, ce ne sont pas eux qui m’ont élue et je garde mon mandat",réagit Kortanek.

Même inflexibilité chez Clotilde Font : "Je ne démissionnerai d’aucun mandat !" Font est aussi conseillère communautaire. Elle lance par ailleurs son association, "Évolution 66", pour continuer à fédérer autour d’elle : "J’ai beaucoup de monde autour de moi".

 

Source : http://www.lindependant.fr/

SERAIT-IL POSSIBLE QU’UN JOUR UN « PENSEUR » DIFFÉRENTIE LE POPULISME DE « L’EXTRÊME DROITE » ?

 Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

 

2941283946.jpgDr Bernard Plouvier

Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours – et très justement – assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.  

À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891… qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle – pas celle enseignée dans nos écoles & facultés – offre de petites joies au chercheur !

Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui permet, par son immobilisme et son égoïsme, aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais. À octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.

De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.

Pour désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes… pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire – adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.  

On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de cette économie globale et de cette mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la merdocratie que de la méritocratie.

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

A méditer :

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

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lundi, 08 février 2016

Adoption gay, les pédiatres sonnent l’alarme : « Dommages psychiques chez les enfants »

Publié par Guy Jovelin le 8 février 2016


Résultat de recherche d'images pour "adoption gay"C’est un sujet tabou chez les tenants des droits des homosexuels, du mariage pour tous, de l’utérus en location : les dommages psychiques chez les enfants élevés dans des couples de même sexe. Ces pourfendeurs de la famille traditionnelle qui veulent imposer, mus par des concepts totalement idéologiques et égoïstes, une égalité arbitraire et anti-naturelle à toute l’humanité, ferment les yeux consciemment sur les réalités naturelles.

Pourtant des données scientifiques sont là pour appuyer le bon sens : « On ne peut exclure que vivre avec deux parents de même sexe n’ait pas des retombées négatives sur les processus psychiques et relationnels dans l’âge évolutif » affirme, à propos des adoptions par des invertis, le président de la Société Italienne de Pédiatrie, Giovanni Corsello.

Le débat sur la Loi Cirinnà qui a lieu au Sénat italien actuellement « s’est maintenu dans une sphère politique et idéologique » alors que selon le médecin-pédiatre Corsello il faudrait « que la discussion comprenne aussi les aperçus cliniques et psychologiques de l’enfant et de l’adolescent. »

Ce sont là des considérations de sagesse et d’équilibre que les théoriciens du gender et de la stepchild adoption, relayés par les politiciens du système, ne veulent pas entendre tout à leur volonté de changer mondialement la société, anciennement bâtie sur des règles chrétiennes et naturelles, à partir des nouveaux critères idéologiques anti-naturels patronnés par les loges maçonniques et imposés grâce au politiquement correct.

« La maturation psychologique d’un enfant se développe le long d’un parcours lié avec la qualité des liens affectifs à l’intérieur de la famille et avec les contemporains. La qualité des relations humaines et interpersonnelles, ainsi que le niveau de stabilité émotionnelle et la sécurité sociale d’un enfant sont la conséquence d’une maturation psycho-affective harmonieuse » continue le pédiatre.

« Les études et les recherches cliniques, conclut Corello, ont mis en évidence que ces processus peuvent se révéler incertains et affaiblis dans une vie en commun à l’intérieur d’une famille conflictuelle, mais aussi dans une famille dans laquelle le noyau parental n’a pas le père et la mère comme modèle de référence. Quand on fait des choix sur des thèmes aussi importants socialement, qui ont une incidence sur les droits des enfants à grandir dans des systèmes protecteurs et sûrs, on ne peut pas considérer uniquement les droits du couple ou des partenaires, mais doit être examiné l’intérêt supérieur de l’enfant. »

Paroles claires, de bon sens, mais totalement inintelligibles aux apprentis-sorciers qui nous gouvernent.        

Francesca de Villasmundo

 

Morbihan : 508 000 euros accordés aux demandeurs d’asile pour le seul premier trimestre 2016

Publié par Guy Jovelin le 8 février 2016

8 février 2016 par Admin4

« En 2015 l’État avait alloué au bas mot deux millions d’euros pour les centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) de l’Hermine (Pontivy et Vannes) et Sauvegarde 56 (Lorient). Ce sera finalement 20.225 € de plus, entièrement absorbé par le premier centre d’accueil – ce qui signifie qu’il a reçu sur le tard de nouveaux migrants, qui ne cessent d’affluer toujours plus nombreux en Bretagne ces dernières années. 2 millions d’euros, soit l’équivalent de plus de 600 000 repas dans les cantines scolaires de Vannes…

Alors que la région connaît des problèmes croissants en raison de la crise et du chômage – ce qui logiquement devrait remettre en cause ses capacités d’intégrer de nouvelles populations, en leur donnant un travail qui leur permette de se passer de la charité payée par le contribuable, rien n’indique qu’en 2016, la gabegie s’arrêtera. En effet, par deux arrêtés du 22 janvier 2016, la préfecture du Morbihan vient de fixer les sommes qui seront allouées aux deux CADA du Morbihan. Et ce, de façon « provisoire » : s’il arrive plus de migrants, elles seront revues à la hausse.

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