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mardi, 09 février 2016

VASTE PIRATAGE DES SITES WEB PRO-FAMILLE EN ITALIE

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

Ce week-end, la majorité d’entre eux ont été hackés, piratés, bloqués. Vaste campagne d’intolérance  des défenseurs de tous les droits ! 

Le media internet La Nouva Bussola quotidiana, un des plus actifs contre la loi Cirinnà, l’avortement,  l’euthanasie, en somme contre la culture de mort, a été sujet d’une puissante attaque hacker vendredi dans la nuit.

Parallèlement, Anonymous Italia a bloqué une série de site pro-famille et communique :« Pour vous souhaiter une bonne journée nous souhaitons vous informer que les sites… »,suivent les noms de différents sites web, « proches du Family Day sont pour l’instant inaccessibles. Ooops, we did it again (nous l’avons fait à nouveau.) »

Anonymous, les Anonymes, est un mouvement hacktiviste, qui prétend défendre la liberté d’expression sur Internet et en dehors. Sempiternels champions de la démocratie qui interdisent la parole qui leur est contraire, censurent ce qui leur déplaît ! Liberté à géométrie variable !

Le point positif : les médias de ré-information leur font peur, de plus en plus peur. Ils font peur à tous ces bien-pensants, bobos, altruistes et humanitaristes qui avec  la complicité des gouvernements et politiques aux ordres des lobbies extrémistes homosexuels et immigrationistes, essayent par tous les moyens, lois, intimidations, piratages, contrôles fiscaux, de faire taire la voix du bon sens et de la Vie qui dérange !  Qui ne se laisse pas manipuler !

 

Francesca de Villasmundo


Source : http://www.medias-presse.info/

Lettre ouverte de l’abbé Pagès à Manuel Valls sur l’Islam : « ma profonde indignation devant le choix du mensonge comme boussole pour notre pays »

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

abbe_pagesNous reproduisons l’excellente lettre de l’abbé Pagès, grand spécialiste de l’Islam et du Coran, au premier ministre Manuel Valls, suite à la déclaration de ce dernier affirmant qu’il est possible de « voir s’épanouir un islam vivant et moderne en terme de liberté, d’égalité et de laïcité » (cf. discours à la Grande Mosquée de Strasbourg, le 3 mars 2015) :

Monsieur le Premier Ministre,

Vous nous dites qu’il est possible de « voir s’épanouir un islam vivant et moderne en terme de liberté, d’égalité et de laïcité » (cf. votre discours à la Grande Mosquée de Strasbourg, le 3 mars 2015), parce que l’islam serait  « tolérant, ouvert, pleinement compatible avec nos valeurs et la République » (cf.Votre discours à Mayotte, le 13.06.2015).

Or, le président honoraire du Conseil Français du Culte musulman et recteur de la Grande Mosquée de Paris affirme : « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. […] Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire. » (Le Figaro Magazine, 29 juin 2002).

Qui nous dit la vérité, vous ou M. Dalil Boubakeur ?

Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, écrit : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. » (Cf. Déclaration islamique).

Qui nous dit la vérité, vous ou M. Alija Izetbegovic ?

Hassan al-Bannâ (1906-1949), père des Frères Musulmans et de notre UOIF, enseignait : « L’islam est dogme et culte, patrie et nationalité, religion et État, spiritualité et action. » (Alain Durand, L’Islam au risque de la laïcité : Émergences et ruptures, L’Harmattan, 2005, p.107).

Qui nous dit la vérité, vous ou Hassan al-Bannâ ?

Feu Hassan II, roi du Maroc et Commandeur des croyants, reconnaît : « Je ne suis pas un chef d’État laïc car à partir du moment où on est musulman, on ne peut pas être laïc. En réalité, tous les chefs d’État du monde musulman, je ne dis pas arabe, ne sont pas des chefs d’État laïcs. Et quand ils disent qu’ils veulent être laïcs, je dis qu’ils ne sont plus musulmans, car le droit musulman nous colle à la peau, qu’on le veuille ou non, tant au plan du droit public que sur le plan du droit privé. »(http://ahp.li/81c560e509fdfcb3ef04.mp4)

Qui nous dit la vérité, vous ou le Commandeur des croyants ?

Allah et Mahomet son prophète enseignent que la communauté musulmane n’est pas soluble : « Ô croyants ! Ne tissez de relations qu’entre vous ; les infidèles ne manqueraient pas de vous corrompre (Coran 3.114). » ; « Vous êtes la meilleure nation. Vous ordonnez le convenable, interdisez le répugnant, et croyez en Allah. » (Coran 3.110). « Le verset : « Vous [les musulmans] êtes la meilleure nation se justifie du fait que vous avez amenés les infidèles enchaînés jusqu’au cou pour qu’ils se convertissent à l’islam. » (Récit d’Abu Huraira, Bukhari 60.80). « Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’Église et que la religion soit uniquement à Allah, seul ! (Coran 2.193) » ;  « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine À JAMAIS jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) »

Qui nous dit la vérité, vous ou bien Allah et son Prophète ?

La Cour européenne des droits de l’homme a déclaré la charia incompatible avec les principes fondamentaux de la démocratie. (http://www.echr.coe.int/Documents/Annual_report_2003_FRA.pdf)

Qui nous ment, vous Monsieur le Premier Ministre, ou bien la Cour européenne des droits de l’homme ?

Que conclure, sinon que les agents de l’islamisation de la France, et donc de sa perte, ne sont pas d’abord ceux que l’on croit ?

Mais comment cela est-il possible ? Tout simplement parce que l’on ne peut pas servir deux maîtres, Dieu et l’argent (Mt 6.24), Jésus-Christ et Satan (2 Co 6.14-18), et que ceux que les Français ont élus, pour recevoir de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite, non seulement leur vendent la France, qui ne serait pas ce qu’elle est sans la foi en Jésus-Christ et les innombrables bienfaits transmis par Son Église, mais en viennent nécessairement  à servir le dieu de leurs nouveaux maîtres…

Je vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre, à l’expression de ma profonde indignation devant le choix du mensonge comme boussole pour notre pays,

Abbé Guy Pagès

 

Source : http://www.medias-presse.info/

IMMIGRATION : « RENVOYEZ LES TOUS ! », DÉCLARE LE CHANCELIER AUTRICHIEN

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

 

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Le chancelier autrichien Werner Faymann a tenu des propos inattendus à propos des immigrés illégaux qui affluent : « Renvoyez les tous ! ».

Werner Faymann, considéré jusqu’ici par les médias comme un « modéré »  et dont la politique migratoire était plutôt calquée sur celle d’Angela Merkel a déclaré que « l’agence Frontex doit réceptionner les gens qui fuient vers la Grèce. Nous devons les sauver, tous. Mais après ces gens doivent être renvoyés directement en Turquie ».

Retour au réel ? Ou changement de discours non suivi par les actes et simplement destiné à rassurer la population exaspérée par cette immigration massive ?

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Roger Holeindre aux côtés du Général Piquemal

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

Voici le communiqué de Roger Holeindre, président du Cercle National des Combattants, ancien député :

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Le 6 février dernier, le général Chistian Piquemal, ancien « patron » de la Légion Étrangère, ancien président de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP) et ami notoire de notre Cercle a eu le courage de s’opposer publiquement à une interdiction de manifestation à Calais. Ce faisant, le général Piquemal n’a pas hésité à s’opposer aux autorités gouvernementales au nom de l’intérêt supérieur du pays, notre pays, la France. Nous lui en saurons toujours gré. Précisons que Calais – ville française ? – est devenue, de fait, une enclave soumise à un autre droit que le droit français légal, ville dont les habitants de certains quartiers sont devenus des otages en puissance que la force publique n’est plus en mesure de protéger. Le scandale est patent.

Le rassemblement entièrement pacifique qui s’est opéré autour du général Piquemal le 6 février dernier était là, comme dans d’autres villes de France, pour justement dénoncer ce scandale. Alors que les trois sommations d’usage avaient été effectuées, le général, dans une adresse aux forces de l’ordre, plus particulièrement en direction des gendarmes présents qu’il traita de « frères d’armes », venait de donner la consigne de dispersion de la manifestation et allait achever son discours, un groupe de policiers en tenue se précipita, l’encercla et, sans ménagement, bousculant même une personne âgée, s’empara de sa personne… Ce, en vue d’une comparution immédiate.

Dans cette affaire, les provocations délibérées sont multiples :

  • le deux poids deux mesures systématique pour l’autorisation de manifester malgré l’état d’urgence, les casseurs gauchistes manifestent et cassent joyeusement ;
  • les manœuvres de désinformation de la part des autorités et de la presse serve au sujet de la nature de cette manifestation de Calais ;
  • les persécutions en tous genres, y-compris fiscales, contre les associations qui déplaisent, comme actuellement nos amis de CIVITAS ;
  • l’interpellation abusive et médiatisée d’un officier général populaire dans le milieu combattant…

Malgré notre indignation légitime, sachons garder le moral et la sagesse des vieilles troupes et ne cédons pas à ces provocations qui visent à nous faire sortir de nos gonds et à manifester bruyamment notre réprobation, ce qui serait le prétexte attendu pour nous faire dissoudre. Rappelons-nous du 6 février 1934 qui servira de prétexte à la dissolution par le gouvernement de tout un ensemble de ligues et associations patriotes, le tout couvert, comme toujours, par le mensonge officiel qui s’imposa par la suite comme vérité…

Ne tombons pas dans leur piège, soyons patients, le régime actuel, à l’agonie, se délite peu à peu…

 

Source : http://www.medias-presse.info/

"Combien de Vincent faudra-t-il pour qu'on entende enfin la douleur des enseignants ?"

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

Dans une lettre ouverte, des enseignants du collège Hubertine Auclert de Toulouse reviennent sur le suicide d'un de leur collègue, enseignant-stagiaire de mathématiques. Ils dénoncent la violence au quotidien et le manque d'encadrement des enseignants qui débutent. 

 
Le collège Hubertine Auclert de Toulouse © Google Maps

© Google Maps Le collège Hubertine Auclert de Toulouse

 
Des enseignants du collège Hubertine Auclert dans le quartier de Croix-Daurade à Toulouse ont écrit une longue et émouvante lettre ouverte (lire l'intégralité dans l'encadré ci-dessous) après le suicide d'un collègue, un jeune professeur stagiaire de mathématiques de 27 ans, qui a mis fin à ses jours fin janvier. 

Ses collègues estiment que c'est le climat délétère et la violence quotidienne dans ce collège qui ont poussé le jeune professeur à bout. Ils reprochent au rectorat de sous-estimer la situation dans ce collège récent et de refuser de lui allouer les moyens nécessaires. 

"Quel mépris pour notre métier et le travail accompli !, écrivent-ils quand ils apprennent que pour l'éducation nationale, ce collège n'est pas connu pour de grandes difficultés.Quelle méconnaissance de la situation de notre établissement, alors même que le Rectorat est en possession de l'état des lieux déplorable dressé en 2014! Par ailleurs on nous propose un soutien psychologique individuel, là où nous dénonçons un dysfonctionnement institutionnel". 

En février 2014, déjà, certains enseignants du collège Hubertine Auclert s'étaient mis en grève pour réclamer des moyens pour lutter contre la violence dans l'établissement. 

Des enseignants réclament le classement du collège en zone d'éducation prioritaireou l'exclusion des élèves les plus difficiles. "On ne peut pas ballotter ces quelques élèves d'un établissement à un autre, ni mettre un surveillant derrière chaque enfant. il faut valoriser les bonnes pratiques des enseignants, comment se comporter face à l'irrespect", leur a répondu Jacques Caillaut, inspecteur d'académie chez nos confrères de France Bleu Toulouse
La lettre ouverte d'enseignants du collège Hubertine Auclert (texte intégral)

Notre jeune collègue de mathématiques a mis fin à ses jours mercredi 27 janvier 2016. Il avait 27 ans et commençait tout juste dans le métier. Vincent était professeur stagiaire en mathématiques, tout comme Anne-Marie, comme Alice en français, ou Ana et Georges en anglais. L'équipe enseignante avait pourtant demandé au Rectorat, en juin dernier, de ne plus affecter de stagiaires dans notre collège. Personne ne peut ignorer les conditions difficiles dans lesquelles nous exerçons notre métier: insultes, incivilités, coups portés sur les adultes, dégradations des locaux, déclenchements incessants de l'alarme incendie, violence dans la cour, en classe ou devant le collège, harcèlements conduisant certains élèves à des absences répétées voire à des départs de notre établissement. Il se tient dans le collège plus de 15 conseils de discipline par an, et tout autant ne sont pas tenus pour faire baisser les chiffres... Il faut regarder les choses en face.

En quatre ans nous avons obtenu la création d'un poste supplémentaire de CPE. Or depuis notre dernière audience au rectorat en 2014, la situation, déjà préoccupante à l'époque, s'est fortement aggravée. L'Équipe Mobile de Sécurité a fait acte de présence de temps à autre, en simple observateur dont nous n'avons jamais lu les conclusions. Rien de plus. Aucun label ZEP, REP, Eclair ou autre, qui permettrait d'alléger les effectifs en classe, d'apporter des réponses à la violence et aux difficultés des élèves. On nous dit que le label fait peur, qu'il risque de pousser certains élèves vers le privé, de faire disparaître pour de bon la mixité sociale. Dans les faits, de nombreux élèves de CM2 évitent notre collège et partent dans le privé. D'autres le quittent en cours d'année, excédés, effrayés par le comportement des camarades et l'absence, de la part de l'institution, de réponse rassurante et de nature proprement éducative. Les professeurs stagiaires, l'an dernier, ont démissionné: celui de mathématiques en décembre 2014 puis celle de français en janvier 2015. Personne ne s'en est ému.

En septembre dernier, ils étaient cinq stagiaires, emplis d'espoir et d'appréhension à la fois, mais la foi a vite cédé la place au désenchantement et à l'angoisse la plus profonde. La réalité du terrain est cruelle: confrontation permanente au bruit et à l'indiscipline, difficulté voire impossibilité de faire cours, furie des élèves dans les couloirs, dans la cour de récréation ou au réfectoire, violence verbale et physique à l'encontre des adultes ou des élèves eux-mêmes, mépris affiché de l'autorité. Les rapports s'amoncellent, symptôme de l'impasse dans laquelle l'institution se trouve. Au final, quelle solitude pour chacun lorsqu'il se retrouve seul dans sa salle de classe! Quelle absence de reconnaissance de la part de notre hiérarchie, nous renvoyant sans cesse à notre responsabilité individuelle, remettant en cause nos compétences, nous rappelant que nous sommes « des professionnels et non des personnes » alors même qu'on nous somme d'incarner « la bienveillance » en toute situation! On nous punit même comme des enfants! On nous interdit même, dans une telle situation, l'exercice de notre droit de retrait!

Le soutien apporté par le collège n'aura pas suffi à aider Vincent. Aujourd'hui nous crions notre colère et notre désespoir. Quelle réponse nous est faite? Le secrétaire général adjoint de l'académie, M. Jean-Jacques Vial, a témoigné dans la presse locale, il considère que lier ce suicide à nos conditions de travail relève d'un «raccourci un peu grossier». L'article qualifie le collège Hubertine Auclert (affublé d'une belle faute d'orthographe) d'«établissement pas connu pour être compliqué». Quel mépris pour notre métier et le travail accompli! Quelle méconnaissance de la situation de notre établissement, alors même que le Rectorat est en possession de l'état des lieux déplorable dressé en 2014! Par ailleurs on nous propose un soutien psychologique individuel, là où nous dénonçons un dysfonctionnement institutionnel.

Le jour de ses obsèques, nous avons appris que Vincent était malade: son dossier médical n'était pas un secret pour l'institution. En toute connaissance de cause, il n'aurait jamais dû être envoyé dans notre collège. Le métier d'enseignant requiert une solidité certaine. Mais à l'heure où il faut absolument mettre des adultes dans les classes, on fait peu de cas de la santé mentale de chacun. Professeurs stagiaires, contractuels ou titulaires sont placés çà et là, qu'ils connaissent, ou pas, la réalité du terrain, qu'ils soient préparés, ou pas, à vivre les situations les plus déstabilisantes, qu'ils aient les épaules, ou pas, pour esquiver les coups. Une fois la porte de la classe fermée, les souffrances sont étouffées: on nous demande coûte que coûte de garder tous les élèves en classe, y compris ceux qui nous insultent et qui empêchent le cours de se dérouler. Et même si les souffrances parviennent jusqu'en salle des professeurs, muselées, elles ne passent pas la porte de l'établissement. Les enseignants souffrent en silence. Nos ministres nous imposent sans cesse de nouvelles réformes, comme des réponses à tous les maux. Nos pratiques pédagogiques ne sont jamais les bonnes, nous sommes, dit-on, responsables de ce qui nous arrive...

En tout cas, nous nous sentons collectivement responsables du décès de notre collègue. Personne n'a su préserver son intégrité physique et morale; personne, surtout pas le grand appareil de l'État.

Combien de Vincent faudra-t-il pour qu'on entende enfin la douleur des enseignants?

Un collectif de professeurs du collège Hubertine Auclert de Toulouse, le 1er février 2016

 

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/