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vendredi, 27 mai 2016

Camarades, il faut savoir terminer une… blague!

Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2016

Si Martinez connaissait son Thorez

 

Philiuppe Martinez, fin 2015, au siège de la CGT (Photo : SIPA.00727191_000010)

Comme je carbure plutôt à la lecture qu’à l’essence, ce mot étant au sens non platonicien du terme, je me dirige à pied vers mon kiosque habituel où deux vendeurs m’annoncent qu’il y a grève pour tous les quotidiens. Hilares, ils précisent : « Sauf l’Humanité ». Ils ont bien compris que ce n’est pas une pure coïncidence…

Mais en rentrant chez moi pour lire les journaux sur mon ordinateur, je vois ce qu’en dit la presse qui n’est-pas l’Huma. Je tombe sur ce communiqué du Monde :

« En raison d’un mouvement de grève dans notre imprimerie parisienne et dans nos centres de distribution, à la suite du refus du Monde de publier un communiqué de la CGT, notre édition papier ne paraîtra pas dans la plupart de nos points de vente, ce jeudi 26 mai. C’est également le cas des autres quotidiens nationaux français, à l’exception de L’Humanité, qui a accepté de publier ce texte.

Le Syndicat de la presse quotidienne nationale rappelle que “pour la troisième fois au cours de ces 2 derniers mois, la CGT bloque l’impression et la distribution des quotidiens nationaux”. Les journaux n’étaient déjà pas parus le 31 mars et le 28 avril. Ils pourront être lus sur les sites Internet des titres, rappelle le SPQN.

Sur France Inter, le secrétaire général du syndicat CGT du Livre, Didier Lourdez, a affirmé que son syndicat n’avait “ni exigence ni diktat”. Il a cependant reconnu que son syndicat avait “proposé à tous les quotidiens de donner une expression à Philippe Martinez” ».

J’avoue que mon premier réflexe a été d’insulter in petto ces salauds qui décident que la liberté de la presse s’arrête à ceux qui ne publient pas leurs appels. « Ni exigence ni diktat » ? Voilà des éléments de langage qui signifient en clair : « Vous n’aviez qu’à faire ce qu’on veut (nous la CGT, nous le peuple), et vous êtes donc les seuls responsables de cette grève des journaux. » CQFD.

Mais j’ai a beau être un anticommuniste primaire, je m’efforce parfois de dépasser mes réflexes. Et je me suis dit, plus raisonnablement, que si l’Huma pouvait paraître malgré un mouvement de grève, c’est qu’elle n’avait qu’à publier un fac-similé de n’importe quel numéro paru depuis des décennies.

D’ailleurs, si par hasard Martinez devait in fine manger son chapeau, il n’aura qu’à re-publier tel quel le numéro de l’Huma dans lequel, en juin 1936, Thorez lança son fameux appel : « Il faut savoir terminer une grève. » Il faut savoir arrêter un blocage, surtout quand les manifs de masse sont d’une absence d’ampleur inégalée.

 

Source : causeur

jeudi, 26 mai 2016

HALTE À LA CHIENLIT ORGANISÉE PAR LES COMMUNISTES DE LA CGT

Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2016

Le Parti de la France demande au gouvernement d'assumer ses responsabilités en mettant fin aux tentatives de déstabilisation de notre pays par une minorité d'agitateurs professionnels communistes qui bloquent les raffineries et paralysent les transports.


Halte à la chienlit organisée par les communistes de la CGT
Il est intolérable que les Français subissent les agissements de ces syndicalistes subventionnés qui ne représentent qu'eux-mêmes et sont à mille lieux des préoccupations des travailleurs dont ils entravent la liberté de circuler.
 
Le rôle d'un gouvernement digne de ce nom est de rétablir l'ordre et de garantir la libre circulation des biens et des personnes ; si le pouvoir socialiste en est incapable, qu'il démissionne et laisse la place à des dirigeants patriotes de la droite nationale qui auront la volonté de mettre fin au désordre et au chaos social.
 

vendredi, 20 mai 2016

La CGT complice, comme hier, des sabotages de la société française

Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2016

cgtimmigresChaque jour qui passe, nous rappelle que l’on ne vit pas dans un monde de logique syndicale et d’amour pour la démocratie dans les entreprises.

Ceux qui pensent que l’on a en France les gentils syndicalistes et des méchants patrons  se trompent lourdement.

Ceux qui s’imaginent qu’il suffit de se mettre autour d’une  table de négociation entre gens responsables et raisonnables, se gourent.

Ceux qui croient dur comme fer qu’en matière de combats sociaux, les syndicalistes ont toujours raison et qu’ils sont les bons et les autres sont des méchants, se mettent le doigt dans l’œil jusqu’au coude et pour les autres, jusqu’au fion.

Tout cela n’est que faux semblants, cinéma, déguisements et autres balivernes. Ces « idiots utiles » se retrouvent en petit groupe Place de la République à nuire debout  depuis quelques semaines. La preuve s’il fallait n’en avoir qu’une seule, est l’article 6 de la loi El Komri dont personne ne soulève le danger de mettre entre les mains des religieux, les TPME et PME pour ne pas citer toutes les autres entreprises de l’artisanat. Pas un mot. Tout le monde s’en moque sauf les premiers concernés, les imams, les voilées de la provocation et les salafistes de tous poils.

Seul le pouvoir compte ! Le pouvoir est et restera le seul objet désirable. Bien plus que l’argent. Aussi bien du côté syndical que patronal autant que gouvernemental. Le reste, n’est que fadaises, de l’esbroufe pour militants des deux côtés de la table.

Aucun syndicaliste en responsabilité ne peut ignorer, qu’il joue sa crédibilité s’il n’exerce pas un moment ou un autre, un pouvoir de nuisance. En cas de besoin bien sûr, mais aussi préventivement, dès le départ d’une action.

Aucun représentant du patronat, ou négociateur gouvernemental ne peut ignorer qu’il a en face de lui des femmes et des hommes qui devront rendre des comptes en cas d’échec et qu’il lui faudra trouver un moyen terme au préalable, pour qu’ils puissent avoir les mains propres, la tête haute y compris en ayant avalé le citron. Pour cela, il suffit de leur mettre du sucre dans le breuvage particulier de ces syndicalistes. Comme au moment où ils déposent le tablier. Ils ne sont pas les plus à plaindre tel cet ex patron de la CGT  Thierry Lepaon recasé par François Hollande comme directeur d’une agence qui en double une autre,  ou Stéphane Lardy, un responsable de Force ouvrière (FO), à l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) et combien d’autres recyclés au conseil économique et social ! (Source)

Certes, tous ne sont pas de cette trempe. Beaucoup sont sincères et croient dur comme fer qu’ils militent pour la cause !

Je me souviendrai toujours d’une collègue, une amie agent de maîtrise à la RATP, femme d’un syndicaliste pur et dur, et qui me disait à propos  de son mari: il a tout donné à la CGT, sacrifié sa carrière, dépensé de ses deniers personnels, oublié sa vie personnelle, passé des heures et mêmes des nuits sur les barricades et autour des feux à la sortie des dépôts, et quand il est  parti en retraite, il n’y avait plus personne pour lui. Il revenait de temps en temps dans son dépôt, buvait un coup avec d’anciens collègues jusqu’à ce qu’il s’aperçoive qu’il ne connaissait plus personne. Tu sais me disait-elle, il est à la maison, il s’emmerde. Assis sur son canapé, il continue à gueuler contre la droite et le patronat mais surtout sur  sa petite retraite et sa carrière loupée. Heureusement  que moi,  j’ai privilégié ma carrière, au moins on peut partir en vacances.

Les décideurs de grèves sont les seuls responsables, in fine, de ces misères de militants de base, transformés en moutons bêlants défilant de la Bastille à la Nation. La grève devrait être  l’arme atomique. Pour la CGT, elle est devenue une arme de feu préventive. De ce fait, elle perd de son efficacité. Combien j’ai vu de ces braves gars, bons éléments au travail qui, du jour au lendemain, poussés par je ne sais quelle folie communiste, grimpaient sur les tables de la salle du personnel pour haranguer les collègues, et leur interdire de sortir leurs outils de travail. « Camarade, travailleur, le patronat vous ment », la direction cherche à vous entuber », etc. Parfois ils réussissaient, souvent ils se plantaient pour des raisons diverses comme les traites de la maison, les loyers, la femme qui fait la gueule, etc…  Eux se retrouvaient dans un collimateur, mais tous se rassuraient en se disant qu’ils avaient fait ça pour la cause ! Quelle misère… Mais il y a pire. Il y a ceux qui sabordent, il y a la CGT qui pratique le sabotage. ou dans un autre jounal ICI

Encore des sabotages de la part de la CGT si peu citoyenne.

Encore des sabotages de la part de la CGT si peu citoyenne. Source « Valeurs Actuelles » 2810 p 27

Ce n’est pas la première fois que la CGT sabote l’outil de travail en cas d’impuissance ou sous des prétextes divers. Souvent politique comme cette consigne du Parti communiste lors de la guerre d’Indochine: « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT.

À quoi pouvaient donc bien penser ces syndicalistes en sabotant les armes françaises ? Ne réalisaient-ils pas que des soldats de France allaient en mourir, se trouvaient amputés, faits prisonniers et torturés ?

Réponse de Léon Feix qui écrit dans L’Humanité du 24 mars 1952 : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste  (…) – « Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants… Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion… Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes… » (Source)

Nous n’avons pas entendu d’excuses de la part de la CGT sur ces faits.

Sabotage encore en 1940: Ainsi, un tract distribué en février 1940, déclare aux ouvriers: « Par tous les moyens appropriés, en mettant en œuvre toutes vos ressources d’intelligence, empêchez, retardez, rendez inutilisables toutes les fabrications de guerre. » Des sabotages sont relevés à la Société d’Application Générale d’Électricité et de Mécanique (sabotage de 58 tubes de canon antichar) en octobre 1939, à l’usine de bougies BG en novembre 1939, accompagnés de tracts et papillons calligraphiés, aux usines Renault à Boulogne-Billancourt sur des chars en décembre 1939, à la cartoucherie de Toulouse entre décembre 1939 et février 1940, aux chantiers de constructions navales de Saint-Nazaire… (Source)

C’est de l’histoire ancienne me diront certains. Je rappelle que c’est la même engeance qui nous serine à longueur d’années, et sur tous les plateaux de télévision, sur toutes les radios, dans tous les téléfilms, romans, feuilletons sur les « heures les plus sombres de notre histoire« . Les mêmes qui sans rougir, nous parle du « ventre encore fécond de la bête immonde« . Les mêmes qui tous les deux jours sur nos écrans, n’hésitent pas à infliger à notre jeunesse, des piqûres de rappels empoisonnées. Une histoire revisitée par des gauchistes bien oublieux des réalités et de leurs trahisons multiples. Les communistes de la CGT font partie aussi de cette histoire. La CGT continue semble-t-il dans la même lignée d’hier lorsqu’elle se trouve acculée.

Encore une fois, je ne dénonce pas l’adhérent de base, le syndicaliste sous informé voire inculte sur l’histoire de son syndicat. Je dénonce les responsables syndicaux d’hier et ceux d’aujourd’hui qui sont, quoi qu’ils en disent, d’obédience communiste et sèment trop souvent la tempête au prétexte d’un peu de vent. En face, nous avons un pouvoir socialiste qui n’a qu’un parasol et qui trouve intelligent de le laisser dans un placard à balais.

Gérard Brazon (Liberté d’expression)

 

Source : ripostelaique

vendredi, 06 mai 2016

C’est reparti : la CGT s’en prend encore à la police !

Publié par Guy Jovelin le 6 mai 2016

Cette nouvelle attaque n’est pas anodine. Elle s’intègre dans une stratégie qui vise à affaiblir un État déjà fortement mis à mal.

Persiste et signe. La CGT, en publiant le soir du 1er Mai, sur son compte Facebook, une nouvelle affiche mettant en cause l’action des forces de l’ordre à l’occasion des manifestions Nuit debout, s’est clairement positionnée du côté des casseurs et des fauteurs de troubles qui sévissent place de la République depuis plusieurs semaines.

Cette attitude, que certains, même à gauche, qualifient de « gauchisation » de la centrale syndicale, n’a, en réalité, rien d’étonnant. En perte de vitesse chez les salariés et les travailleurs, à tel point qu’on la donne devancée par la CFDT lors des prochaines élections professionnelles. Malmenée par des affaires internes qui ont terni son image (cf. affaire Lepaon). Lourdement condamnée, il y a quelques mois, lors du procès du comité d’entreprise d’EDF. La CGT se voit contrainte par tous les moyens, y compris les plus vils, de tenter de redorer son blason en se posant comme le chevalier blanc de la réaction à la loi Travail défendue par le gouvernement actuel.

Il est vrai que de nombreux indicateurs lui permettent d’espérer un retour en grâce auprès des travailleurs.

Tout d’abord, une période électorale qui va lui permettre, par Mélenchon interposé, d’exister sur les terrains politique et revendicatif. Et peu importe que ce syndicat ait toujours soutenu, lors des élections, les partis de gauche, y compris celui qui ruine la France aujourd’hui ; il compte sans doute sur la mémoire courte de certains électeurs.

Ensuite, un État en déliquescence et un gouvernement au plus bas dans les sondages. On sait que l’extrême gauche, n’est jamais aussi active et déterminée que lorsque la société va mal et que les gouvernants sont dans l’incapacité de réagir. La CGT et ses affidés doivent déjà rêver de « la révolution culturelle » annoncée par le coprésident du Front de gauche. Enfin, la situation sociale, économique et financière du pays qui ouvre de larges brèches dans le tissu sociétal français, entretenant ainsi pour les extrémistes violents tous les espoirs d’un Grand Soir révolutionnaire.

Cette nouvelle attaque contre la police n’est donc pas anodine. Elle s’intègre dans une stratégie globale qui vise à affaiblir un peu plus encore un État déjà fortement mis à mal. Comptant sur les divisions qui touchent la majorité actuelle et la mollesse d’un président « peut-être-futur-candidat » qui ne sait pas, lui-même, comment remonter son déficit de popularité, la CGT espère bien se positionner en leader de la contestation en France.

Rarement notre pays aura été aussi fragilisé dans ses institutions, ses modes de fonctionnement et son unité citoyenne. Plus que jamais, la division menace et, avec elle, les risques d’une explosion sociale dont personne ne saurait dire où elle nous mènerait. La police, avec l’armée et la justice, doit rester ce socle solide sur lequel toute démocratie doit pouvoir s’ancrer en période de crise. Cela suppose qu’elle soit soutenue et défendue avec détermination.

 

Source : bvoltaire

mercredi, 04 mai 2016

Pourquoi il faut soutenir les forces de l’ordre face aux casseurs…

Publié par Guy Jovelin le 4 mai 2016

Sans police, bras armé de l’État, la société tomberait dans l’anarchie — probablement souhaitée par nombre de militants d’extrême gauche.

 

Les images font le tour du Web, à défaut d’indigner dans les rédactions : sur la Toile, de nombreux clichés dévoilent des policiers gisant sur le sol, après avoir été frappés par des « casseurs » — la nouvelle figure médiatique —, lynchés par des bandes de voyous, atteints par des projectiles lancés par les manifestants croyant pouvoir déliter en 2016 ce que leurs aînés avaient déjà défait en mai 68.

Dans la foulée de ces événements, le cinéaste italien Pier Paolo Pasolini, occupant pourtant une place de choix dans l’empyrée de la gauche moderne, déclarait avec succulence : « Entre un CRS et un étudiant, je choisis le policier, car lui est fils d’ouvrier. »

Les médias, en revanche, ont choisi le camp opposé et se plaisent à faire tourner en boucle les quelques cas de violences policières, certes regrettables, et qui doivent être condamnés pour maintenir l’intégrité de la profession, mais inévitables au vu de la dégradation de la situation et des moyens sans cesse plus violents utilisés par les sauvageons vaguement idéologisés et biberonnés à la haine de l’autorité.

Le syndicat Info’Com de la CGT a surenchéri en publiant une nouvelle affiche polémique sur laquelle le slogan « Loi travail, stop à la répression » renvoie aux traces de sang maculant un trottoir foulé par des bottillons policiers.

L’inénarrable et irrécupérable Daniel Cohn-Bendit, jamais avare d’un amalgame, a quant à lui déclaré : « Il y a des casseurs qui votent Front national au sein de la police. »

Heureusement, pour atténuer le propos, Renaud se targue désormais d’avoir embrassé un « flic » — notez l’utilisation d’un terme vulgaire et peu respectueux pour qualifier la profession — dans son dernier opus.

À cette aune, on ne sait si être policier, à une époque où l’autorité est déconsidérée et où le monopole de la violence légitime a changé de camp, relève du courage, du sens du devoir ou du… masochisme.

Chaque année, partout en Europe, de nombreux policiers mettent ainsi fin à leur jour. En 2015, 45 policiers et 25 gendarmes se sont suicidés en France, ce qui représente une surmortalité par rapport à la moyenne nationale. Les remerciements adressés aux familles par les autorités ne sauraient combler leur peine.

Autant que l’État, les forces de l’ordre défendent, au quotidien, le vivre ensemble avec beaucoup plus d’efficacité que les officines antiracistes, agissent au nom d’une certaine vision de la vie en commun et garantissent in fine l’ordre qui, pour reprendre le mot de Charles Péguy, est seul à pouvoir garantir la liberté.

Sans police, bras armé de l’État, la société tomberait dans l’anarchie — probablement souhaitée par nombre de militants d’extrême gauche —, la dictature de la délinquance — qui a déjà cours dans certains quartiers abandonnés — et la chienlit, avant de terminer dans la guerre civile. C’est pour éviter de sombrer dans de tels extrêmes qu’il importe de soutenir les forces de l’ordre face aux casseurs.

 

Source : bvoltaire