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dimanche, 30 septembre 2018

Toulouse : Couteau, revolver, eau bouillante, deux policiers violemment agressés

Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2018

Par  le 30/09/2018

 

Quarante-huit heures après le drame de Rodez au cours duquel le patron de la police municipale, Pascal Filoé, a perdu la vie, un équipage de la police municipale toulousaine a été très violemment pris à partie, vendredi soir, rue Gatien-Arnoult, dans le quartier Arnaud-Bernard.
Il était 20 h 30 lorsqu’un attroupement bruyant a attiré l’attention des fonctionnaires, devant le « Café Oriental ». Les policiers ont demandé aux personnes de parler moins fort et ont contrôlé l’établissement, dans lequel ils ont constaté des manquements à l’hygiène et des papiers qui n’étaient pas en règle pour l’ouverture.

Une soupière de soupe brûlante jetée sur un des policiers

Des clients s’en sont mêlés et le gérant de l’établissement, un homme de 54 ans s’est soudain énervé. Il a proféré des insultes à l’égard des forces de l’ordre(…). Le frère du gérant a empoigné un policier par son gilet pare-balles et l’a secoué. Les policiers se sont dégagés et ont voulu partir mais le gérant a ceinturé l’un d’entre eux tandis que son frère venait d’attraper un couteau (…). L’un des assaillants s’est alors saisi du revolver d’un des fonctionnaires de police dont il a tenté d’ôter le cran de sûreté (…) des coups violents ont été portés sur les policiers et une soupière de soupe brûlante a été jetée sur l’un d’entre eux.
(…)

ladepeche.fr via fdesouche

jeudi, 07 juin 2018

Agressions au couteau : dans la rue, le détecteur de métaux …

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2017

 

 Agressions au couteau : dans la rue, le détecteur de métaux pour les islamo-racailles !

Les Français, jeunes ou anciens, continuent de tomber ponctuellement sous les coups de couteau musulmans, qui, souvent, visent la gorge. La plupart du temps, les autorités françaises, couvertes par les journalistes, évitent de parler d’égorgement. Et quand Riposte Laïque publie un article de Marcus Graven, expliquant que la fête de l’Aïd apprend aux jeunes musulmans à voir comment on égorge les infidèles (qui, dans les textes de l’islam, sont comparés à des animaux), cela vaut un nouveau procès aux animateurs de notre site.

Pourtant, ce samedi, à 15 heures, le jeune Kévin, 17 ans, a été poignardé 20 fois, et sauvagement égorgé (on parle d’une plaie très profonde au cou). Il y a quelques semaines, c’est Ronan, 29 ans, qui laissait sa vie place de l’Opéra. Il y a quelques mois, c’était le colonel Beltrame qui se faisait, lui aussi, égorger comme un mouton. Et nul n’a oublié le sort des deux cousines de Marseille, Mauranne et Laura. Le jeune Marin, lui, a été victime d’une attaque à la béquille, que l’agresseur avait transformé en arme de combat, et sera handicapé à vie. Et combien d’autres, depuis ces dernières années, meurent dans l’indifférence générale ?

Et pourtant, la seule réaction des autorités françaises est de mener une féroce bataille, à Bruxelles, pour renforcer les contrôles sur les armes des Européens. Nous avons même eu un ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, élu du 93, qui a passé sa vie à vouloir légiférer, non contre l’armement des cités, mais contre les armes détenues par nos compatriotes.

Que devrait faire un ministre de l’Intérieur digne de ce nom (je ne parle pas de ceux que la France vient d’avoir, qu’il s’agisse du cacochyme, de R2D2 ou de Valls), quand il constate le nombre de rixes mortelles au couteau entre migrants, et surtout le nombre d’agressions, en France et dans nombre de pays européens, que subissent les autochtones, de la part des nouveaux venus, souvent musulmans ?

Il devrait se laisser guider par le principe de précaution, et faire tout son possible pour préserver la vie de nos compatriotes. Je n’entrerai pas dans le débat de la nécessité de faire leurs valises pour les clandestins ou d’autres immigrés qui n’ont rien à faire dans notre pays. Prenons les faits tels qu’ils sont. Les policiers devraient être équipés systématiquement de détecteurs de métaux, et avoir le droit de fouiller, systématiquement, toute personne d’apparence arabo-musulmane susceptible de porter un couteau. Bien sûr, arrestation immédiate des détenteurs d’armes, et confiscation de l’outil ! Lourde amende, voire expulsion immédiate.

La Cour Européenne des Droits de l’Homme hurlerait à la discrimination, et condamnerait la France ? On s’en fout ! Les associations dites antiracistes déposeraient plainte contre le ministre ? On en profiterait pour les dissoudre, comme agent d’une puissance étrangère. Mélenchon hurlerait au fascisme ? On lui rappellerait qu’il a soutenu des régimes qui ont fait plus de morts que l’Italie et l’Allemagne réunies. Le Conseil constitutionnel estimerait que cela n’est pas compatible avec la présomption d’innocence et d’égalité ? On dissoudrait ce machin. Le Conseil d’Etat invaliderait la décision du ministre ? On les dissoudrait aussi !

Je ferais remarquer aux pleureuses qu’à cause des attentats musulmans, on fait la queue une heure avant d’entrer dans un tribunal, parce qu’on est fouillé de partout. A cause des assassins islamistes, et de leurs attentats, c’est la même chose, quand on prend un avion. Je ferais également remarquer que le gardiennage est pratiquement tenu par des salariés de la diversité, majoritairement noirs-africains et nord-africains, avec donc une très forte composante musulmane. Autrement dit, nous confions notre sécurité aux coreligionnaires des terroristes !

Je ne pense pas que ceux qui égorgent les jeunes Français se trouvent dans les maisons de retraite, ni fassent partie de la communauté française de cœur. Les statistiques des prisons sont éloquentes. Il faut donc que l’opposition réclame la seule mesure qui s’impose : des contrôles assumés au faciès, non pas à cause de l’origine (on ne va pas contrôler un vieux monsieur ou une grosse et vieille voilée (encore que nos amis Pieds-noirs ont nombre d’anecdotes sur ce sujet), mais de ceux qui, par leur aspect ou leur attitude, pourraient porter un couteau sur eux. S’ils n’ont rien à se reprocher, ils devraient se réjouir d’avoir contribué à protéger la vie de nombre d’innocents. S’ils ont un couteau ou un poignard, les sanctions doivent tomber. Et s’il y a immédiatement émeute, qu’on donne aux policiers tous les moyens de se faire respecter, et cela ne va pas traîner longtemps.

Sinon, d’autres Kévin, Beltrame, Joachim, Mauranne et Laura suivront…

Publié le 5 juin 2018 - par 

source: https://ripostelaique.com/agressions-au-couteau-dans-la-rue-le-detecteur-de-metaux-pour-les-islamo-racailles.html

lundi, 27 novembre 2017

Muret (31) : descente des forces de l’ordre au « Formule 1 » devenu centre de migrants suite à une bagarre au couteau

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

 
 

Une vingtaine de militaires a dû intervenir en fin de semaine dernière, au «Pradha» de Roques (ex-Formule 1) pour ramener le calme après une sérieuse bagarre entre migrants. Le ton serait plus que monté entre deux pensionnaires du centre, des coups violents étant par la suite échangés. La gendarmerie évoque même des coups de couteau distribués sur fond d’alcool. Pas moins d’une vingtaine de militaires s’est rapidement rendue sur les lieux, des gendarmes du PSIG , ainsi que des deux brigades de gendarmerie de Muret et de Portet-sur-Garonne. «On est arrivé au centre prudemment, on ne savait pas trop ce qu’on allait trouver. C’est la première fois qu’il y a une intervention d’une telle ampleur, mais la situation l’exigeait», confie Julien Delforge, commandant en chef de la compagnie de gendarmerie de Muret.

Mathias Beaufort, directeur du centre, rappelle que «chaque personne qui séjourne chez nous souscrit un règlement de bon fonctionnement». Il reconnaît les violences verbales et physiques qui ont émaillé la vie du centre il y a une semaine, des actes que l’auteur a d’abord démenti catégoriquement, avant d’être convoqué, avec sa victime, devant le directeur du «Pradha». Une victime qui, selon nos sources, aurait eu sa part de responsabilité au moment du déclenchement des violences. «J’ai interpellé l’OFI de cet incident et ai préconisé une sanction qui attend d’être validée», précise Mathias Beaufort. La sanction demandée n’est pas mince : un transfert disciplinaire des deux migrants.

La Dépêche via fdesouche

vendredi, 02 septembre 2016

Toulouse : L'auteur de l'agression au couteau sur un policier mis en examen

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2016

YL avec AFP Publié le

L'agresseur du policier toulousain a été mis en examen et écroué. Il avait poignardé au cou un policier à l'intérieur du commissariat ce mardi, après avoir trompé sa vigilance.

Les faits se sont déroulés à l'accueil du commissariat de quartier de Toulouse centre © Pascale Lagorce

© Pascale Lagorce Les faits se sont déroulés à l'accueil du commissariat de quartier de Toulouse centre

L'agresseur présumé du policier poignardé au cou mardi dans un commissariat de Toulouse a été mis en examen ce jeudi soir pour "tentative d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique", a-t-on appris auprès du parquet.

L'agresseur présumé, âgé de 31 ans, a été placé en détention provisoire. Souffrant de troubles psychiatriques, il a reconnu avoir porté un coup de couteau au policier, mais nié son intention de le tuer, selon le parquet.

L'enquête a montré qu'il était allé acheter un couteau "quelques heures auparavant", ce qui montre, selon le parquet, qu'"il inscrit son action dans le temps".
Il a expliqué "avoir eu le sentiment d'être suivi, observé par les policiers de la sécurité intérieure", et en frappant l'adjoint de sécurité, avoir voulu "atteindre un policier" de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), selon la même source.

Une expertise psychiatrique devrait être effectuée en urgence.

La victime, un jeune agent de sécurité, s'est vu prescrire 4 jours d'incapacité totale de travail (ITT).

Peu après 14H00, mercredi, un homme s'était présenté au commissariat du Rempart St-Etienne, en plein centre de Toulouse, pour déposer plainte pour le vol de son téléphone portable. Revenu peu de temps après, il avait poignardé l'agent de sécurité avant de tenter de lui subtiliser son arme de service et d'être interpellé.

L'agresseur n'était pas fiché pour radicalisation, mais avait déclaré lors de son interpellation "en avoir marre de la France", avait déclaré le procureur de Toulouse mercredi. Il était connu de la justice dans deux procédures qui avaient été abandonnées en raison de son état mental, à la suite d'expertises.

Didier Martinez, secrétaire régional du syndicat SGP-Police, a déclaré mercredi dans un communiqué que la victime "allait mieux", et estimé que "plus que jamais, cet événement suscite une vigilance maximale".
 

mercredi, 31 août 2016

Communiqué de presse de Guy Jovelin, membre du bureau politique du Parti de la France, délégué régionale de Midi-Pyrénées

Publié par Guy Jovelin le 31 août 2016


toulouse,algérien d'origine,couteau,agressé un adjoint de sécurité
Mardi 30 août un individu s’est présenté au commissariat du Rempart Saint-Etienne à Toulouse et a agressé un adjoint de sécurité.

Il est 14h30, Abderrahmane Amara, Algérien d’origine et connu des services de police se présente à l’accueil de ce commissariat, tente de s’emparer de l’arme de service de l’adjoint de sécurité mais n’y parvenant pas, sort un couteau et le  frappe  à la gorge aux cris de « j’en ai marre de la France, j’en ai marre de ce pays » [sic].  L’homme a été maîtrise par les collègues  de la victime dont le pronostic vital n’est pas engagé.

Le Parti de la France que je représente condamne cet acte odieux  et anti-français.

L’insécurité sur notre territoire est partout, fruit des politiques laxistes gouvernementales  depuis plusieurs décennies.

En cause le regroupement familial dans les années 70, l’ouverture des frontières, la perte de notre identité tant culturelle que spirituelle, l’avilissement de notre peuple de souche au profit d’une culture que beaucoup de responsables Français désignent comme « un espoir, une chance  pour la France ».

Cet espoir, cette chance, nous ont  amené les incivilités, les attentas, les viols, les crimes les plus odieux sur notre territoire. Non nous ne voulons pas de dette culture qui n’a aucune place dans notre société.

Pour remédier à cette situation, dans l’intérêt des Français, les seules solutions sont les fermetures des frontières aux immigrés clandestins, la suppression de la double nationalité pour les étrangers d’origines non européennes. Inverser le flux migratoire, la remigration doit être appliquée de toute urgence pour rendre la France aux Français et l’Europe aux Européens.

Les forces de l’ordre devront être dotées de moyens puissants nécessaires pour faire face dans un premier temps à ce désordre qui règne dans notre pays. Egalement le peuple doit être en mesure de se protéger en cas de légitime défense.