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mercredi, 30 août 2017

Le Parti de la France a sa page Facebook

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2017

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Le Parti de la France se dote d'une page Facebook officielle. Nous vous invitons à la « liker » et à la consulter régulièrement, vous y trouverez toutes les actualités de notre mouvement et de ses cadres.

Merci de converser avec courtoisie et d'éviter les débats stériles pouvant tomber sous le coup de la loi. Les messages jugés inopportuns seront supprimés et les récidivistes bloqués.

Ensemble, retravaillons au renouveau de la droite nationale, identitaire et sociale !

Consultez cette page cliquez ici

samedi, 20 mai 2017

Suède : Une femme de 70 ans risque 4 ans de prison pour avoir dit sur Facebook que des migrants « mettaient le feu aux voitures, urinaient et déféquaient dans les rues »

Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2017

19 mai 2017 par Pierrot

Trouvé sur Breiz Atao : Une femme de 70 ans de Dalarna est poursuivie pour « incitation à la haine » après avoir indiqué sur Facebook que les migrants urinaient, déféquaient dans la rue et brûlaient les voitures.

Breitbart (source) :

Selon l’accusation, la femme a « exprimé des opinions inacceptables au sujet des migrants » sur Facebook. Elle est en effet accusée d’avoir utilisé le réseau social en juillet 2015 pour poster des commentaires « diffamants », affirmant que les migrants « mettaient le feu aux voitures, urinaient et déféquaient dans les rues ». Les juges suédois affirment que les messages de l’accusée violent les lois nationales sur « l’incitation à la haine », un délit puni de quatre ans de prison. L’accusée a admis avoir écrit les messages mais nié avoir commis un délit.



 

Source : contre-info

mardi, 24 janvier 2017

Un viol diffusé en direct sur Facebook par des immigrés

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2017

Trois hommes ont été arrêtés à Uppsala, en Suède, accusés de viol collectif. Les médias locaux rapportent que la police est intervenue après avoir été informée qu’un viol était diffusé en direct sur Facebook via streaming.

Les faits ont eu lieu tôt dimanche matin. La police en aurait été informée vers 9h00.

Selon le journal local Aftonbladet, les membres d’un groupe Facebook fermé pouvaient assister en direct au viol. La jeune fille violée par un gang d’immigrés était presque inconsciente au moment des faits.

Lovisa, 22 ans, a expliqué à un journaliste qu’elle est venue sur la page par accident tout en bavardant en ligne. Ce qu’elle a vu l’a choquée, dit-elle. «Deux types poussant une fille sur le lit… J’ai d’abord pensé que c’était une plaisanterie mal orchestrée. Mais ce n’était pas le cas. »

Selon Lovisa, environ 200 personnes regardaient le viol en direct avant que la police n’arrive soudainement sur les lieux et que la vidéo s’arrête.

Les violeurs sont d’origine immigrée. Ce qui explique probablement que la presse suédoise cache leurs visages. Le suspect principal se nommerait Emil Khodagholi et avait déjà été précédemment arrêté en 2012 pour avoir agressé un jeune de 16 ans avec une barre de fer.

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 11 janvier 2017

Calvados. Cherchant l'amour, elle héberge des hommes en situation irrégulière rencontrés sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

Calvados. Cherchant l'amour, elle héberge des hommes en situation irrégulière rencontrés sur Facebook

La prévenue rencontrait ses prétendants sur Facebook. - Pixabay - Illustration

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Par : Joëlle Briant

Une femme âgée de 33 ans a comparu jeudi 5 janvier 2017 devant le tribunal de grande instance de Caen (Calvados) pour aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers d'étrangers en France, de 2013 à 2016, à Caen.

Par crainte de la solitude et par besoin d'amour, une trentenaire a hébergé à son domicile, de 2013 à 2016, plusieurs étrangers en situation irrégulière, n'hésitant à devenir leur compagne. Elle a dû répondre de ces agissements devant le tribunal de grande instance de Caen (Calvados), jeudi 5 janvier 2017.

Elle contacte ces hommes sur Facebook

Entrant en contact avec des hommes en situation irrégulière via Facebook et croyant être aimée, plusieurs vivront avec elle en situation maritale en l'espace de trois ans. L'un d'eux deviendra même le père de son enfant, qui décédera au bout de quelques mois. Le couple se sépare, l'homme se montrant violent. La prévenue commence alors à boire cherchant toujours l'âme soeur sur le net. Les hommes se succèdent, parlant d'amour et parlant surtout de lui faire un enfant afin de régulariser leurs situations. Fragile, elle se verra imposer des relations sexuelles.

Déficiente légère et dépendante à l'alcool

La prévenue, sous curatelle, souffre de déficience légère. En carence affective et consommatrice d'alcool, c'est quelqu'un de très vulnérable. ce qui fait dire au procureur : "Elle enchaîne les compagnons en situation irrégulière les uns après les autres. Il faut la protéger d'elle-même." Et le président d'ajouter : "C'est impressionnant le nombre d'hommes de ce genre à votre porte ! On dirait un réseau ! Vous vous rendez compte que ces rapports sexuels imposés, ce n'est pas rien ?"

"Elle était amoureuse"

L'avocate de la défense explique que sa cliente était amoureuse et qu'elle a compris aujourd'hui que ce n'était pas réciproque. "Elle n'avait pas conscience de commettre un délit pénal. Elle était prête à tout accepter pour ne pas vivre seule. Elle était victime des hommes qu'elle hébergeait et subissait les violences psychologiques et sexuelles qu'ils lui imposaient."

Graves infractions

La cour estime les infractions graves. Elle écope d'un mois de prison avec sursis et de 500 euros d'amende. "Ce genre d'infraction coûte très cher à la société, vous pouvez encourir 5 ans de prison ferme, lui explique le président, attention car c'est au-dessus de votre tête !"

 

Source : tendanceouest

vendredi, 16 septembre 2016

Paris : piégée sur Facebook, aguichée à Barbès et violée au Champ de Mars

Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2016

C’est un guet-apens par Internet. Et un viol collectif d’une sauvagerie sans nom dans l’un des plus beaux parcs du centre de Paris.

Une femme, jeune majeure, s’est fait violer par quatre hommes dans la nuit de dimanche à lundi, vers 5 heures du matin, en plein Champ de Mars (VIIe). Les policiers du 3e DPJ (District de police judiciaire), à qui le Parquet de Paris a confié l’enquête criminelle, sont dans une course contre-la-montre pour retrouver et interpeller ses auteurs qui envisageaient de partir le lendemain… en Allemagne.

Les faits ont eu lieu au niveau de l’avenue Charles Risler (VIIe), juste derrière la crèche de la Fondation de la Croix de Saint-Simon. Mais le drame se dessinait avant… La jeune fille, en différend familial, chassée de chez sa mère à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), s’est fait piéger deux jours avant par un prédateur, rencontré sur Facebook. Ils ont entamé une correspondance amicale. Il lui a donné rendez-vous dans la journée de dimanche à Barbes (XVIIIe). Ils ont finalement « fini la soirée sur le Champ de Mars » à « boire du coca, manger des fraises et des raisins ». Sauf que là, ils étaient cinq. Et le piège s’est refermé. Les quatre agresseurs, tous la vingtaine, certains connus des services de police, auraient, d’après les premiers éléments de l’enquête, prémédité le viol en positionnant avant des couvertures dans le bosquet…

Le Parisien

 

Source : lesobservateurs