Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 21 septembre 2018

Reconnaissance de la responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin : un crachat sur la mémoire nationale

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018

Sur la grande toile nauséabonde de la repentance, Macron qui, en février 2017, à Alger, qualifiait la colonisation française de « crime contre l'humanité » vient d’ajouter un crachat supplémentaire à la mémoire nationale en affirmant la responsabilité de l’État dans la mort de Maurice Audin.

Traître communiste et complice des terroristes du FLN, ce mathématicien avait été arrêté et interrogé par les parachutistes de la 10e DP du général Massu dans le cadre de la mission qui leur avait été confiée par le gouvernement socialiste de Guy Mollet, en vertu des pouvoirs spéciaux que lui avait accordés l’assemblée nationale en mars 1956. La bataille d'Alger fut la bataille d'une France qui ne courbait pas encore totalement le dos. En quelques semaines, la 10e DP, par son action exemplaire, mit fin aux attentats arabes qui dévastaient Alger et frappaient la population.

Audin soutenait ces attentats puisqu’il en aidait les auteurs qu'il lui arriva même de cacher. Audin était un traître. Un renégat. Un terroriste par personnes interposées. Son sort fut celui réservé aux traîtres, aux renégats et aux terroristes

En lui rendant un hommage détourné, en demandant « pardon » à sa veuve, Macron vient de donner un écœurant satisfecit à la trahison d'hier et d'ouvrir les portes à celles de demain.

  • Pour les communistes, cette « reconnaissance » est celle de leur action scélérate tout au long des guerres d’Indochine et d’Algérie, eux qui n'eurent pendant soixante ans d'autre patrie que la terre soviétique.
  • Pour les gauchistes d’aujourd’hui, elle est un signe et un encouragement.
  • Pour l’Algérie, elle est un pas de plus vers l’agenouillement total de la France.
  • Pour les familles de Français nés en Algérie, elle est une offense et une souffrance par la réouverture de plaies encore fraîches.
  • Pour les harkis et leurs fils que l’État feignait d’honorer le mois dernier, il s'agit d'un abandon de plus.
  • Pour l’armée Française, il s'agit d'un désaveu cinglant et d'un camouflet, infligés par celui qui s'en prétend le chef.
  • Pour les membres des forces de l'ordre, civiles et militaires, sur les épaules desquels reposent la sécurité de la France et des Français, à l’intérieur comme, en opérations, à l’extérieur de nos frontières, il s'agit d'un coup de couteau dans le dos et d'un acte de démoralisation.
  • Pour les islamistes, elle s’apparente à un coup de pouce donné aux réseaux de soutien au terrorisme d'aujourd'hui comme ceux de Curiel ou Audin hier.

Le Parti de la France rend hommage à tous ceux qui ont construit l’Algérie française et à ceux qui l'ont défendue, souvent jusqu’à la mort, face aux massacreurs du FLN et à leurs complices communistes, puis, quand vint le temps de la trahison et de la félonie, en résistant à un abandon dont ils savaient qu'il serait suivi de bien d’autres.

Macron, dès son élection, avait tenu à placer son mandat sous le signe de De Gaulle. On en mesure les raisons aujourd'hui.

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire

mardi, 18 septembre 2018

La République du mépris

Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 17 septembre 2018. 

« Un flot de haine et de mépris ». Pour une fois Christophe Castaner a raison. Le président de la République est allé trop loin en affirmant ce samedi à un jeune chômeur qu’il n’avait qu’à « traverser la rue » pour trouver du travail. Des paroles indignes venant du chef de l’Etat qui illustrent une nouvelle fois son mépris et son absence totale d’empathie vis-à-vis des Français. Ah mais, non, le « flot de haine et de mépris » vaut pour les réactions scandalisées qui ont fleuri après cette intervention présidentielle inique. La Macronie se sert les coudes, mais la fin n’est pas si éloignée que ça.  

Ce week-end, les Français se sont précipités aux Journées du patrimoine. Et comme d’habitude, de nombreux curieux se sont pressés au palais de l’Elysée, non pas pour acheter des goodies aussi laids que dispendieux, mais pour voir de près sous quels ors se prélassent Macron et ses amis. Comme d’habitude aussi, le président est passé en fin de journée pour se montrer et prendre des selfies avec les quelques gogos qui n’en demandaient pas tant. Et vu que le chef de l’Etat passait par là, un jeune horticulteur au chômage a cru bon lui exprimer son malaise face à ses difficultés pour trouver un emploi. Le malheureux n’avait pas compris qu’il s’adressait à un homme qui n’aime que lui et qui méprise tous ceux qu’il juge en dessous de sa personne.

Horticulteur ? Va me servir un café !

La faute de ce sans-emploi a rapidement sauté aux yeux et surtout aux oreilles. Le court échange s’est passé sur un ton courtois, posé, pas agressif, mais il y avait pourtant de l’agressivité et surtout du mépris dans ce qu’a osé raconter le chef de l’Etat. Un horticulteur qui ne trouve pas de travail ? La solution est simple : devenir serveur ! « Si vous êtes prêt et motivé, dans l’hôtellerie, la restauration ou le bâtiment, il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens. Pas un ! Il y a des métiers qui nécessitent des compétences particulières, quand les gens ne les ont pas, on les forme, c’est pour ça qu’on investit. Mais après il y a des tas de métiers, il faut y aller. Honnêtement, hôtels, cafés, restaurants… je traverse la rue, je vous en trouve ».

Nul besoin de dire qu’après cette leçon hallucinante, Macron n’a pas traversé la rue et n’a donc pas trouvé d’emploi à ce jeune homme. Si d’aventure il l’avait fait, il se serait retrouvé au ministère de l’Intérieur. Ce n’est pas l’endroit rêvé pour le métier de serveur et même de barbouze puisque même un Benalla dépendait directement de l’Elysée… Bref, notre chômeur en question n’a peut-être pas suivi une formation horticole pour se retrouver à servir des Coca Cola à des touristes américains de passage à Paris. Les propos de Macron illustrent son mépris pour le travail et les gens. Tout ce vaut. Horticulteur, serveur, femme de ménage ou loueur de voiture, c’est la même chose ! L’individu n’a plus son mot à dire sur ce qu’il aime, ce à quoi il a été formé, le lieu où il peut travailler. Une sale mentalité qui débouche sur des emplois de baby-sitter pour des BAC +5.

Il est temps de mette Macron à l’épreuve et de le chasser d’une fonction dont il est indigne. Il n’aura qu’à traverser la rue pour retomber dans une grande banque et amasser de nouveaux millions. Là aussi, pas besoin d’une formation spécifique, il faut juste avoir le don de raconter des sornettes sans discontinuer pour se faire une place de choix. Macron n’est bon qu’à communiquer entre quatre mur et face caméra. Dès qu’il sort à la rencontre du bon peuple, il ne peut s’empêcher d’afficher son mépris. Fainéants, analphabètes, cyniques, Gaulois réfractaires au changement, incapables de se payer un costard… Il faut désormais ajouter incapable de traverser la rue pour trouver un boulot. Macron a parié sur un peuple français décidément en dessous de tout. Pour ne pas que le mariage se transforme en fiasco, il serait bon de signer les papiers du divorce. Le plus vite sera le mieux !

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 14 septembre 2018

Algérie : la reconnaissance des crimes contre l'humanité perpétrés en 1962 par le FLN avec la complicité du gouvernement français s'impose

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2018

Communiqué de l'Agrif :

Mail-3"Emmanuel Macron a donc décidé d’imposer à la France une nouvelle repentance par la reconnaissance de l’utilisation de la torture par l’armée française pendant la guerre d’Algérie.

Il entend notamment reconnaître la responsabilité de notre armée dans l’élimination de Maurice Audin, militant communiste et actif collaborateur du terrorisme du FLN.

Ceci va évidemment plaire à la nomenklatura toujours régnante de ce FLN responsable depuis 1962 de la stagnation de l’Algérie dans la misère et dans la privation des libertés.

Mais Emmanuel Macron semble vouloir ignorer toujours l’abomination des immenses crimes contre l’humanité perpétrés en juillet 1962 à Oran où furent notamment enlevées, pour d’atroces destinations et horribles fins de vie, des centaines de femmes françaises de toutes origines, chrétiennes, musulmanes, juives.

Et simultanément se déroulaient à Oran aussi des massacres des hommes, d’une indicible cruauté alors que l’armée française recevait du général Katz l’ordre impérieux exigé par le général de Gaulle de ne pas intervenir, de ne pas porter assistance à populations en danger de mort par tous les raffinements de la cruauté dont était capable la soldatesque FLN. Et il en était ainsi dans toute l’Algérie où furent massacrés des dizaines de milliers de fidèles harkis, selon les lieux enterrés vivants, brûlés vifs, dépecés, émasculés, énucléés.

Le gouvernement français dans son ensemble et le général Katz, chef de l’armée française à Oran, ont ainsi délibérément collaboré avec les responsables des pires crimes contre l’humanité du FLN. Ils se sont donc rendus eux-mêmes complices de ces crimes contre l’humanité de milliers de leurs compatriotes.

Macron fait d’abord porter sa sollicitude mémorielle pour des victimes de l’armée française en guerre contre le terrorisme FLN.

On attend maintenant ce qu’il va faire pour la reconnaissance conjointe par les gouvernements français et algérien des crimes contre l’humanité dont l’État français, sous la férule du général de Gaulle, s’est rendu coupable en 1962.

Lors de la prochaine journée d’Amitié Française le 29 septembre à Paris, nous proclamerons solennellement l’appel à la reconnaissance par l’État français de sa responsabilité d’autant plus lourde dans ces crimes contre l’humanité qu’il avait tous les moyens militaires de les empêcher."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 07 septembre 2018

Macron assiste à une cérémonie à la Synagogue pour le nouvel an juif

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2018 

C’est la première fois qu’un président de la République assiste à cette cérémonie : Emmanuel Macron s’est rendu mardi soir à la Grande Synagogue de Paris pour une présentation des vœux à la communauté juive pour les fêtes du Nouvel an juif, Roch Hachana, qui débutent dimanche.

Il a été accueilli par le grand rabbin de France, Haïm Korsia, le président du consistoire, Joël Mergui, et le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim, en présence de plus d’un millier de personnes qui lui ont réservé un accueil très chaleureux.

« Vous êtes comme le Mur occidental, [souvent appelé Mur des lamentations, NDLR] à qui nous confions nos peines et nos espoirs, sans qu’il ne nous réponde alors que nous savons bien que quelqu’un nous entend! », a déclaré le grand rabbin de France Haïm Korsia.

En présence des responsables de la communauté, le gratin parisien, des membres du gouvernement tel le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, et de politiciens de tout bord comme l’ex-président Nicolas Sarkozy, le maire de Paris, Anne Hidalgo, la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, et des députés, les responsables communautaires juifs ont fait part de leur inquiétude face à ce qu’ils nomment la montée des populismes, « la montée des racismes en Europe » et la hausse de l’antisémitisme :  « Nos rabbins […] constatent la recrudescence des actes antisémites, dont ils refusent que la paternité soit attribuée à des déséquilibrés », a souligné Joël Mergui, déplorant aussi « les dangers et les ravages de la parole antijuive » sur les réseaux sociaux. « Les faits redoublent », a abondé Haïm Korsia.

Joël Mergui a par ailleurs dit vouloir refuser d’être « les victimes collatérales d’une laïcité de repli qui croit lutter contre l’islamisme ». Il a mis en garde :

« Après avoir été longtemps le pays d’Europe de la plus grande immigration juive, la France est devenue aujourd’hui le pays de la plus grande émigration juive du monde ».

Il a demandé aussi que « l’abattage rituel, la circoncision, les fêtes religieuses » ne soient « plus perçues comme des concessions en marge du droit […] mais (soient) des libertés évidentes ».

Bien entendu nous n’oserons prétendre qu’il existe un lobby qui n’existe pas…

Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter
Gérard Collomb
 
@gerardcollomb

À la grande synagogue de Paris, à quelques jours des fêtes de Roch Hachana, aux côtés d’@EmmanuelMacron qui présente ce soir ses vœux à la grande synagogue de Paris.
Shana Tova à tous les Juifs de France !

 

Francesca de Villasmundo

 

Source : www.medias-presse.info

jeudi, 06 septembre 2018

Com’ : Macron procède à son vrai remaniement

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 septembre 2018 

C’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour l’exécutif. Après les scandales en série et la symphonie des couacs inspirées de son mentor Hollande, Macron veut tourner la page et écrire un chapitre brillant de son quinquennat. Pour cela, il a saupoudré la France de poudre de perlimpinpin en mettant de Rugy au ministère de la Transition écologique et en sortant Flessel avant qu’un énième scandale n’éclabousse cette bande de bras cassés. Mais le plus important se passe ailleurs. Il s’agit de revoir la cellule de communication du président. Un haut lieu de la Macronie puisque la com’ en est la quintessence même !  

C’est la crise à l’Elysée ! L’été a laissé la Macronie chancelante, incapable de balayer devant sa porte et d’assumer les échecs politiques et les scandales qui mettent pour certains d’entre eux la démocratie en danger. Les professionnels de l’entourloupe ont montré qu’ils étaient des amateurs dans le domaine de la communication. Un art qu’ils étaient censés maîtriser à en croire les médias qui s’étaient tous agenouillés devant le pouvoir en devenir. Les choses ont changé (un peu) et on commence à voir apparaître des titres moqueurs et des interventions un poil critiques vis-à-vis de Macron. Nos chers journalistes tirent dans le sens du vent et il est peu de dire qu’il est mauvais pour la Macronie.

Changement d’illusionniste en vue

Le président Macron est dans une telle impasse qu’il réussit l’exploit d’être encore plus impopulaire que Hollande après à peine plus d’un an en poste. Le chef de l’Etat est crédité de 31 % d’opinions favorables. C’est une chute de 10 points par rapport au début du mois de juillet. Un beau gadin mérité à la lumière des révélations qui illustrent la manière dont le pouvoir est exercé. Même Hollande faisait mieux en son temps avec 32 % d’opinions favorables. La trajectoire de son traitre de successeur est identique et on peut même se prendre à espérer une fin de quinquennat anticipée. Pour cela il faudra une bonne dose de politiques néfastes pour les Français et des scandales si gros qu’on a peine à les imaginer.

Mais qui aurait pu inventer un couple diabolique comme Benalla-Macron ? Cela relevait d’un film entre science fiction et épouvante. Ils l’ont fait et vu l’ADN de ceux qui nous gouvernent, des histoires au moins aussi sales ne manqueront pas de sortir. A moins que… A moins que la communication de l’Elysée se reprenne et ne boucle une bonne fois pour toutes toute expression un peu contestataire ou curieuse. L’équipe en place a fait preuve de sa grande incompétence, alors le vrai remaniement à lieu en ce moment même au saint des saints.

Cible numéro un : Bruno Roger-Petit. L’ancien journaliste qui faisait tellement la promotion de Macron pendant la campagne qu’il en dégoutait ses collègues a obtenu le porte-parolat de l’Elysée pour services rendus. Un porte-parole discret qui aurait bien fait de le rester, car il a bien handicapé son équipe en racontant n’importe quoi dès que l’affaire Benalla a éclaté. Mais en Macronie, la différence entre le n’importe quoi et le storytelling est très mince et Roger-Le-Petit communicant s’est pris les pieds dans le tapis rouge de l’Elysée. Ses anciens confrères attendent son éviction imminente surtout que le Monsieur discours de Macron va chapeauter l’équipe de com’ de l’Elysée. Une équipe où l’on retrouve l’unique hashtag « La meuf est dead ».

Ce n’est pas avec un tel remaniement que les choses vont mieux aller en Macronie. C’est bien dommage pour elle, car la Macronie ce n’est que du cynisme recouvert de com’. Il serait bon de revoir un peu la qualité des architectes du vide, car au rythme où descend Macron, il ne sera plus bon qu’à jouer au bouffon se prenant des tomates dans une tournée l’amenant de Paris à Chemnitz sans oublier Rome et Budapest. Un joli tour d’Europe, certes, mais qui n’était pas prévu dans les plans initiaux.

 

Source : 24heuresactu