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samedi, 24 juin 2017

Macron: « Nous devons accueillir des réfugiés car c’est notre tradition et notre honneur »

Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2017

23 juin 2017 par Pierrot

Si Honoré de Balzac était en vie, il dirait « La bêtise a deux manières d’être : elle se tait ou elle parle. La bêtise muette est supportable, mais la bêtise de Macron est parleuse. »

 

Source : contre-info

mercredi, 31 mai 2017

Ils veulent moraliser ? Chiche ! Qu'ils démissionnent !

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2017

 

Un proverbe des pays chauds dit que, quand le singe veut monter au cocotier, il faut qu'il ait les fesses propres...

Qu'est-ce qu'il lui a pris, à Macron, de vouloir, d'un coup, comme ça, mettre « du blanc », de la morale, de la pureté partout ? Certes, on sortait du désastreux quinquennium horribilis du non moins désastreux Hollande ; certes il y avait eu Thévenoud et Cahuzac ; certes il y avait eu tout le reste... Alors, oui, on pouvait, et il fallait, promettre qu'on ferait tout pour faire moins pire (ce qui, là, n'était vraiment pas difficile, et n'aurait pas demandé beaucoup d'efforts). Mais, de là à promettre la lune ! De là à se lier soi-même les mains en faisant une promesse par nature impossible à tenir - tous, toujours et partout irréprochables - il y a un pas ! Comment Macron, qui est tout sauf stupide, n'a-t-il pas vu que la démagogie de sa promesse insensée ne pourrait que lui revenir en pleine figure, tôt ou tard ? Ce fut tôt, plus que tard, et beaucoup plus tôt que prévu. Et cela fait d'autant plus mal que la promesse avait fait son petit effet.

Résumons-nous, du moins pour l'instant, parce que, comme on dit familièrement, « ça pleut ! », et il faut suivre ! A chaque jour, son lot de révélation(s)...

1. Véronique Avril aime-t-elle les poissons du même nom ? Si oui, ce qu'on hésite à appeler le sien est de très mauvais goût... Candidate de La République en marche pour les élections législatives à Saint-Denis (2ème circonscription), elle a mis en location un appartement dans un immeuble insalubre, durant cinq ans. Et qu'on ne dise pas qu'il s'agit d'un oubli de l'instant : l'immeuble, de 23 m², dans le centre de Saint-Denis, a été acheté en 2011, alors même que, insalubre, il était déjà classé en état de « péril imminent » à la suite d'arrêtés pris en 2004 et 2008 ! Largement le temps pour une dame, même distraite, de se rendre compte de la situation ! Ah, on allait oublier : Véronique Avril osait louer ce taudis à une famille de 5 personnes, pour 650 euros par mois !

C'est beau, le respect de l'autre, l'amour du genre humain !

Le parti d'Emmanuel Macron a précisé lundi soir avoir saisi le « comité d’éthique » pour examiner l'affaire concernant Véronique Avril. Mais l'annonce de la composition du gouvernement n'avait-elle pas été reportée d'un jour pour, précisément, « tout vérifier » ? Quand le grotesque le dispute à l'amateurisme, à ce point, c'en devient inquiétant... 

2. Et Richard Ferrand ? C'est fou comme il ressemble de plus en plus, et de plus en plus vite, à François Fillon : mêmes mots, même défense (?), même crispation dérisoire et arrogante, même appel au « peuple souverain » qui, lui, décidera par son vote ! Finalement, pour lui aussi - qui avait pourtant été l'un des promoteurs les plus ardents du « laver plus blanc » - la Justice, c'est pour les autres !... On revit le proche passé, pénible pour tous, du candidat LR, et on se dit que, finalement, l'expérience des uns ne sert pas aux autres.

L'enrichissement personnel, pas évoqué au début de « l’affaire », l'est maintenant ouvertement. Soyons clair : Ferrand l'enferré dans sa sale affaire n'a qu'une chose à faire, démissionner ! 

3. Et Sarnez, la comparse de Bayrou, le dernier des Caïmans ? On sait que, Macron étant d'accord - démagogie pré-électorale oblige ! - c'est Bayrou qui a formulé le premier ce projet de « moralisation de la vie publique ». Lui qui a contribué à faire élire Hollande, d'abord, Macron, ensuite, mais qui s'est fait élire, entre les deux, maire de Pau par ce qu'on appelle « la droite » ! Et qui ira bientôt au Tribunal pour avoir insulté une association, mais, là, c'est une autre affaire, dont nous parlerons une autre fois...

Bayrou se pourléchait les babines du cas Ferrand parce qu'il le déteste : Ferrand avait osé conseiller à Macron de refuser de céder aux exigences exorbitantes de Bayrou en matière de circonscriptions gagnables pour le Modem. Du coup, Bayrou se gardait bien de dire quoi que ce soit : il a « perdu sa langue », écrivions-nous récemment. Oui, mais le voilà rattrapé par l'affaire de sa comparse Sarnez, qui - d'ailleurs - n'a rien fait d'autre que de faire comme tout le monde. Mais voilà, comme nous le disions plus haut, à partir du moment où l'on a promis qu'on allait tout changer, et qu'on allait voir ce qu'on allait voir... eh ! bien, on voit ! 

Là aussi, une seule solution : la démission, pour la donneuse de leçon !

Ne restent plus que Bayrou et Macron, dans ce qui ressemble à la comptine des Dix petits nègres d'Agatha Christie, mais divisée par deux. 

Pour ce qui est de Bayrou, rien ne le pousse à démissionner, certes, mais on le voit très mal, maintenant, présenter bientôt, sans éclater de rire, ou sans que quelqu'un (ou quelques-uns) le fasse dans le public, son projet de moralisation de la vie politique...

Quant à Macron, il est maintenant protégé pour cinq ans par l'immunité attachée à sa fonction. Mais Jean-Philippe Delsol a expliqué, avec beaucoup de clarté et de pédagogie (de concision aussi : en 8'13") que Macron était passible d'une sanction d'interdiction d'exercer une fonction publique∗.

Pourquoi ?

Parce que, ayant gagné beaucoup d'argent lorsqu'il était à la Banque Rothschild, il a déclaré avoir employé une grosse part de cet argent pour réaliser des travaux dans l'appartement de sa femme : on vous laisse découvrir l'affaire avec Jean-Philippe Delsol... 

En somme, à côté du dernier des caïmans se cache un gros lézard. Et ce quinquennat, qui avait promis en fanfare de tout changer, commence à peine : ça promet ! 

 

Source : lafautearousseau

jeudi, 25 mai 2017

Emmanuel Macron : la menace terroriste fera partie du quotidien des prochaines années (rappel)

Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2017

25 mai 2017 par admin4

Au moins le programme est clair !

Un engagement qui sera sûrement tenu !

Emmanuel Macron était ici interrogé dans l’émission « 15 minutes pour convaincre », le jeudi 20 avril sur France 2.

 

Source :contre-info

mercredi, 17 mai 2017

Jean-Luc Moudenc, signataire de l’appel au rapprochement avec En Marche!

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2017

  
 

Suite à la décision du 15 mai, portant Edouard Philippe (Maire LR du Havre) à la tête du Gouvernement, 22 élus Les Républicains et UDI appellent dans un communiqué de presse à répondre à « la main tendue par le Président de la République« . Parmi eux, Christian Estrosi, Gérald Darmanin et… Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse.

Il s’est entretenu lundi soir avec Edouard Phillipe, il s’explique : « Je connais Edouard Philippe depuis longtemps, j’ai siégé à ses côtés à l’Assemblée nationale et c’est quelqu’un que j’apprécie. La droite et le centre doivent tenir compte aujourd’hui du fait politique nouveau, avec des partis traditionnels qui ont été mis à l’écart au premier tour de l’élection présidentielle. Les Français aspirent au renouveau, le Président de la République l’incarne, et le Premier ministre l’incarne aussi. Il faut que nos candidats Les Républicains et UDI aux élections législatives, dont j’espère la victoire, défendent notre projet et nos valeurs, mais dans un esprit constructif. Et que l’on n’organise pas une guerre au sommet de l’Etat en cas de victoire et de cohabitation« . Mais pas question d’adhérer au mouvement d’En Marche! : il soutiendra les candidats Les Républicains aux législatives avec qui « il défendra les valeurs de sa famille politique« .

Une position critiquée au sein de sa famille politique

Quant aux élections municipales de 2022… Le Maire toulousain reste évasif : « Les municipales c’est dans trois ans. Beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts. On ne peut pas encore faire de projection »
Ce que l’on pourrait qualifier d’un retournement de veste de la part de l’homme qui s’était fait siffler lors de son discours d’ouverture du meeting de François Fillon à Toulouse n’a pas été bien accueilli dans le camp des Républicains.

Laurence Arribagé, Présidente des Républicains de Haute-Garonne, ne comprend pas cette prise de position : « Ce n’est pas ma position. Je n’ai pas prévu de me mettre En Marche ! Je reste fidèle à ma famille politique« . Pour autant, Jean-Luc Moudenc fait taire les détracteurs qui ne voient là qu’une manière d’accéder à une possible place au gouvernement en affirmant qu’il refuserait toute offre à ce sujet. Dans une interview donnée à Côté-Toulouse, l’actuel maire assume son choix : « Le Président de la République fait ici ce qu’il a dit, c’est à dire qu’il souhaite gouverner avec des gens de droite et de gauche« . Il défend son « ami », qu’il dit « compétent, ouvert et proche des préoccupations des gens » sans pour autant occulter les problèmes que cela pourrait générer dans son parti et la droite toute entière : « Il y aura un grand débat, une grande explication au sein de notre famille, mais celle-ci ne pourra intervenir qu’après les élections législatives ».

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 21 avril 2017

Plainte contre Macron pour injures confirmée à Perpignan après ses propos sur la colonisation

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2017

Par Sébastien Berriot, France Bleu Roussillon et France BleuJeudi 20 avril 2017 

Les rapatriés manifestent devant le palais de justice de Perpignan

Les rapatriés manifestent devant le palais de justice de Perpignan © Radio France - Delphine-Marion Boulle

 

La plainte déposée par le Cercle algérianiste contre Emmanuel Macron a pris forme ce jeudi à Perpignan, après les propos du candidat à la Présidentielle sur la colonisation. L'avocat de l'association a officiellement déposé la consignation réclamée par la justice. 150 rapatriés ont aussi manifesté.

Après les propos controversés d'Emmanuel Macron sur la colonisation, le Cercle algérianiste, association de rapatriés, a franchi une nouvelle étape judiciaire ce jeudi à Perpignan dans le cadre de sa plainte pour injures qui vise le candidat à l'élection présidentielle.

 

L'avocat de l'association a officiellement remis à la justice un chèque de 2.000 euros, correspondant au montant de la consignation demandée par le tribunal. Cette remise ouvre maintenant la voie à la saisine d'un juge d'instruction.

 Maître Gilles-William Goldnadel, l'avocat de Cercle algérianiste - Radio FranceMaître Gilles-William Goldnadel, l'avocat de Cercle algérianiste © Radio France - Delphine-Marion Boulle

A l'extérieur du palais de justice quelques 150 rapatriés d'Algérie étaient rassemblés pour soutenir cette plainte contre Emmanuel Macron et dénoncer les propos du candidat, prononcés à Alger lors d'une interview accordée à une télévision privée algérienne. Emmanuel Macron avait qualifié la colonisation de vraie barbarie et de crime contre l'humanité, provoquant de très vives réactions dans la communauté des rapatriés d'Algérie.

Plusieurs élus Les républicains figuraient parmi les manifestants devant le palais de justice, notamment le maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol, ou encore le président des Républicains dans les Pyrénées-Orientales, François Lietta.

Le président national du Cercle algérianiste Thieery Rolando avait également fait le déplacement. Perpignan a été choisie pour le dépôt de cette plainte, la ville et le département des Pyrénées-Orientales ayant accueilli de très nombreux rapatriés d'Algérie.

 Les manifestants du Cercle algérianiste - Radio FranceLes manifestants du Cercle algérianiste © Radio France - Sébastien BerriotSource : francebleu