Ihr seid noch nicht verheiratet? Vielleicht verliebt Ihr Euch zufällig in einen Menschen, der*die hier noch kein Bleiberecht hat. Könnte passieren, oder? Bleibt offen!
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Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2018
Allemagne – Pour lutter contre les mariages d’enfants pratiqués au sein de certaines communautés immigrées, le Bundestag avait voté l’an passé une loi relevant à 18 ans l’âge requis pour se marier. Cette loi prévoyait en conséquence de ne pas reconnaître la validité des mariages pratiqués à l’étranger avec des personnes âgées de moins de 16 ans.
Mais la Cour suprême fédérale (BGH) vient de se prononcer à ce sujet, considérant comme incompatible avec la constitution l’annulation automatique en Allemagne de mariages contractés selon un droit étranger avec des personnes âgées de moins de 16 ans.
La Cour suprême allemande voit dans la loi destinée à lutter contre les mariages d’enfants une violation de plusieurs articles de la constitution.
Cette problématique est apparue en 2015 avec l’arrivée massive de “réfugiés”.
Le ministère de l’Intérieur allemand a recensé sur son territoire 85 cas de mariages avec mineure parmi les immigrés syriens, 84 cas parmi les immigrés bulgares, 21 cas parmi les immigrés roumains, 18 cas parmi les Irakiens et 16 cas parmi les immigrés afghans.
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2018
Roumanie – Le 11 septembre dernier, le Sénat votait (par 107 voix pour, 13 contre) l’organisation d’un référendum destiné à inscrire dans la constitution la définition du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, mettant ainsi fin à la dénaturation du mariage par les duos homosexuels. Lundi, la Cour constitutionnelle a validé le principe d’une telle consultation populaire.
Le référendum devrait se tenir le 7 octobre, malgré l’opposition du président Klaus Iohannis, issu de la fausse « droite » libérale, et qui voit dans la défense de la famille et du mariage le retour des « fanatiques religieux ».
La Coalition pour la Famille (qui avait organisé en 2016 une pétition signée par trois millions de Roumains pour réclamer ce référendum), soutenue par l’Église orthodoxe et l’Église catholique (notamment les Grecs-catholiques), devrait ainsi obtenir une belle victoire sur le lobby LGBT international.
Les Roumains avaient été choqués, en juin dernier, par l’arrêt de la Cour de Justice de l’UE qui impose à la Roumanie (et à tous les États membres de l’UE) de reconnaître les effets juridiques d’un « mariage » entre personnes de même sexe contracté à l’étranger.
Liviu Dragnea, chef du PSD (gauche) et président de la Chambre des députés, a confirmé que son parti était favorable à l’inscription dans la constitution de la définition du mariage en tant qu’union d’un homme et d’une femme.
Toutes les organisations internationales subversives montent bien sûr à l’assaut pour contrer cette saine réaction des Roumains.
Amnesty International, largement financée par l’Open Society Foundations du milliardaire cosmopolite George Soros, a annoncé le 13 septembre qu’elle chercherait à empêcher la tenue du référendum. L’European Commission on Sexual Orientation Law (ECSOL) et ILGA-Europe (European Region of the International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association) qui, jusque dans les années 1990, comptait parmi ses membres des organisations militant pour la légalisation de la pédophilie, sont également à pied d’œuvre pour s’opposer au bon sens du peuple roumain.
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2018
Par Francois le 14/05/2018
Moins d’un mois après la cérémonie, il frappe son épouse. « Une conception moyenâgeuse du couple », résume le procureur.
« J’étais très en colère », se défend le Chartrain de 42 ans, dans le box des comparutions immédiates du tribunal de Chartres : « Elle était partie pendant quatre jours. Et elle m’a menti ».
Mais il nie avoir frappé la femme qu’il a épousée un peu moins d’un mois auparavant : « Elle marque facilement. Elle a dû tomber toute seule ».
Pourtant, le soir du 6 mai, elle appelle au secours depuis sont balcon. Les voisins téléphonent à la police. À leur arrivée, l’homme leur ouvre la porte : « Tout va bien. Ne vous inquiétez pas ».
« Dans ces conditions, pourquoi l’avez-vous épousée ? », interroge le juge. La réponse se trouve peut-être dans la situation administrative du prévenu. Il est arrivé en France en 2014 et il est en situation irrégulière. Il vivote de petits boulots au noir. (…)
« Il a déjà été violent avec elle en 2016 », révèle le procureur : « Mais aucune poursuite n’avait été engagée ». Le magistrat stigmatise « une vision moyenâgeuse du couple ».
L’homme est condamné à huit mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve, avec l’obligation de soigner sa dépendance alcoolique. Il ne doit plus rentrer en contact avec son épouse.
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Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2016
Dans la suite logique du concept pervers de « mariage pour tous », une mère et son fils ont l’intention de se marier et de faire un enfant.
Les faits se passent aux Etats-Unis. Ben Ford, 32 ans, s’est mis en ménage avec sa mère biologique, Kim West, 51 ans. Ils vivent incestueusement depuis deux ans.
Initialement, la mère avait abandonné son fils à la naissance. En 2013, ils se sont retrouvés. Mais leur relation ne s’est pas cantonnée à l’affection naturelle entre une mère et son fils. Ben Ford a quitté son épouse pour vivre incestueusement avec sa mère. Aujourd’hui, ils vivent ensemble dans le Michigan à proximité d’un autre duo dans la même situation incestueuse.
Et Ben Ford et sa mère ne comptent pas en rester là. Ils ont l’intention de se marier et de faire un enfant.
En attendant, ils se répandant dans les médias sur leur « bonheur sexuel » et, pour contourner la connotation péjorative liée à l’inceste, parlent d’une «attraction sexuelle génétique» (GSA), un nouveau concept subversif à propos des « personnes génétiquement proches qui entretiennent une relation amoureuse à la faveur de retrouvailles tardives suite à une longue séparation depuis la naissance ou la petite enfance« .
Sans honte, Kim, la mère de Ben, déclare aux journalistes : «Je sais que les gens trouvent ça dégoûtant et disent qu’on devrait contrôler nos sentiments mais quand on est amoureux comme ça, on pourrait tout abandonner et il faut se battre.»
Nul doute que ce concept visant à légitimer l’inceste va rapidement pouvoir compter sur des promoteurs. Tout cela était déjà évoqué par les idéologues de la théorie du genre.
Source : http://www.medias-presse.info/
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