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jeudi, 03 janvier 2019

« Je suis devenu fou, je veux retourner au bled » : les migrants qui optent pour un retour volontaire

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

Par  le 02/01/2019

 

L’aide au retour volontaire a concerné en 2018 plus de 10 000 personnes, dont beaucoup d’Afghans.

« (…) Dans un hall de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, Noorislam Oriakhail vit ses derniers moments en France, fébrile. Il prend l’avion pour la première fois de sa vie. Au bout du voyage : l’Afghanistan. Comme 1 055 Afghans en 2018, des hommes majoritairement, Noorislam a choisi de rentrer. Ils étaient déjà 970 à avoir opté pour un « retour volontaire » depuis la France en 2017. »

« L’OFII assume une politique volontariste à leur endroit : « Nous les démarchons pour leur proposer l’aide au retour, d’autant que les retours forcés sont très difficiles ». Au premier semestre, avec 23 éloignements, le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français prononcées à l’encontre des Afghans atteignait 4 %. »

(…)

« Pour promouvoir le retour volontaire, l’OFII se déplace sur des campements, dans des centres d’hébergement du 115 ou des centres de demandeurs d’asile dans lesquels s’éternisent des déboutés. L’office tient même des stands dans des salons « diasporiques ». Le retour volontaire donne droit à un billet d’avion et à un « pécule » dont le montant varie. Les Afghans ont actuellement droit à 1 650 euros. Un programme européen permet aussi de financer un projet de réinsertion à hauteur de 3 500 euros. »

«Un Soudanais s’apprête aussi à embarquer. Salah Mohamed Yaya a 19 ans. Il dit que depuis des mois il n’a plus de traitement contre le VIH. Cela fait deux ans qu’il est en France, passé par Toulouse, Paris, Nantes, les foyers pour mineurs, la rue, l’hôpital. « Je suis devenu fou, dit-il. Je veux retourner au bled.»

(…) Le Monde via fdesouche

lundi, 31 décembre 2018

La gale réapparaît en Allemagne : le nombre de personnes touchées par cette maladie est en constante progression depuis quelques années

Publié par Guy Jovelin le 31 décembre 2018 

Par  le 30/12/2018

 

Ça gratte tellement que vous pouvez vous arracher la peau : La gale peut frapper n’importe qui. Cette maladie de la peau a été pratiquement éradiquée en Allemagne. Mais aujourd’hui, elle est de nouveau en progression, y compris à Berlin. Cela se traduit par une augmentation de prescriptions de médicaments contre la gale par les médecins.

Une analyse des données de l’assurance maladie pour le compte de la société de radiodiffusion Berlin-Brandebourg a montré que le nombre d’ordonnances à Berlin est passé de 7846 en 2016 à 10.024 l’année dernière. Une augmentation est également prévue pour 2018.

(…) Mais personne n’a encore une idée précise du nombre de personnes touchées en Allemagne. En effet, il n’existe pas encore d’obligation de déclaration. Seules les installations où la maladie peut se propager rapidement sont tenues de signaler les éclosions aux autorités sanitaires – comme les garderies, les écoles, les cliniques, les centres pour migrants ou les prisons.

(…) Berliner-Zeitung.de via fdesouche

dimanche, 30 décembre 2018

Allemagne. Migrants. Les « jeunes réfugiés » (100 criminels, 6oo délits) étaient des adultes criminels

Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2018

 

 

C’est une preuve de plus de la dangerosité de l’immigration clandestine de masse organisée par le gouvernement d’alliance de gauche d’Angela Merkel. L’année dernière, des prétendus « réfugés mineurs non-accompagnés » ont semé la terreur dans les rues de Mannheim. Une centaine de « jeunes », originaires d’Afrique du Nord, s’étaient spécialisés entre autres dans des vols effectués sur les corbeilles des bicyclettes. Ils ont commis plus de 600 délits jusqu’à la fin de 2017. Ceux qui ont été arrêtés ont dit être âgés de onze à dix-sept ans, ce qui leur a permis d’éviter d’être mis dans un foyer de requérants d’asile - et de disparaître dans la nature pour près de la moitié d’entre eux, leurs mensonges ayant été naïvement acceptés par les autorités de police. En réalité, il s’agissait d’individus depuis longtemps adultes.

https://www.stuttgarter-nachrichten.de/inhalt.minderjaehr...

Traduction (Claude Haenggli) : Dans 36 cas sur 37, les contrôles d’identité ont donné pour résultat que les criminels soi-disant mineurs étaient, contrairement à leurs déclarations, adultes depuis longtemps. Le plus âgé d’entre eux, un Marocain qui s’était déclaré comme Algérien, était né en 1990 et pas en 2002, comme il l’avait indiqué. Le plus jeune avait dix-huit ans.

Claude Haenggli, 28.12.2018

 

Source : lesobservateurs

vendredi, 28 décembre 2018

Boulogne-sur-Mer (62) : de plus en plus de bateaux de pêche sont forcés par des migrants, les pêcheurs s’inquiètent

Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2018

Par  le 27/12/2018

 

Dans la nuit de mardi à mercredi, quatre bateaux de pêche amarrés dans le port de Boulogne-sur-Mer ont été forcés par des migrants. Alors qu’ils devaient partir en mer dans la nuit, les patrons du Corentin-Lucas, du Murex et du Loïc-II ont découvert ce mercredi matin que la passerelle de leur bateau avait été forcée.

Les migrants sont également montés à bord du Don-Lubi-II. Ils ont dessoudé le tableau de bord pour tenter de faire démarrer le navire, sans succès. Le neiman du bateau étant endommagé, impossible pour le Don-Lubi II de quitter le port ce mercredi matin.

Ce n’est pas la première fois que des migrants, guidés par des passeurs, tentent de rejoindre l’Angleterre à bord de bateaux de pêche volés. Début novembre, un premier fileyeur boulonnais, l’Épervier, avait été intercepté dans le port de Douvres avec à son bord 17 migrants

(…)

La VDN via fdesouche

Damas : des Syriennes demandent à l’Europe de renvoyer tous les migrants syriens chez eux pour qu’ils puissent reconstruire leur pays

Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2018

Par  le 27/12/2018

 

Les femmes syriennes se plaignent qu’il n’y a pas assez d’hommes pour reconstruire le pays, et certaines disent à l’Europe et aux autres pays occidentaux qui ont accueilli des hommes syriens de les « expulser » et de les renvoyer chez eux.

Johan-Mathias Sommarström, journaliste à la chaîne publique suédoise SVT, s’est rendu à Damas (Syrie) et s’est entretenu avec des étudiants de l’Université de Damas, dont 70 pour cent sont des femmes.

« Regardez autour de vous, vous ne voyez que des femmes. A l’université, dans la rue, dans les cafés, juste des femmes », témoignent les étudiantes Safaa et Sheima à Sommarström.

Pour résoudre le problème, une jeune étudiante a déclaré que le gouvernement syrien devrait accorder une amnistie aux hommes qui ont quitté le pays pour éviter le service militaire afin qu’ils puissent aider à reconstruire le pays, en montrant du doigt les nations occidentales qui ont accueilli tous les jeunes hommes syriens.

« La solution est de les expulser et de les renvoyer en Syrie où ils pourront commencer à reconstruire le pays », a déclaré Lina.

(…) Sverige Radio via fdesouche