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vendredi, 17 août 2018

Espagne : le FMI préconise 5,5 millions de migrants d’ici 2050

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2018

Par  le 16/08/2018 

Le faible taux de natalité associé à l’augmentation de l’espérance de vie vont faire de l’Espagne le second pays plus âgé du monde. C’est ce que montrent les projections démographiques de l’OCDE, et c’est ce que signalent également d’autres organismes comme leFonds monétaire International (FMI) qui, plus d’une fois, a mis en garde contre les graves problèmes qu’aura la Sécurité sociale dans ce contexte. C’est pourquoi l’institution que dirige Christine Lagarde indique qu’une solution très forte, c’est l’immigration et, concrètement, elle estime que le système aura besoin de plus de 5 millions d’étrangers d’ici 2050.
L’arrivée de «5,5 millions de personnes d’ici 2050,en partant du principe que 90 % de cette immigration est en âge de travailler», explique le FMI, détendrait considérablement le ratio de dépendance. « Les migration qui augmentent le nombre de travailleurs font également monter le nombre de cotisants au système de retraite », ajoute le Fonds […]

[…] les recommandations du FMI viennent à l’appui des arguments du gouvernement, qui, ces dernières semaines, a répondu à des déclarations sur l’immigration du chef du Parti populaire, Pablo Casado et du responsable en chef des Ciudadanos, Albert Rivera. Les deux politiciens […], ont demandé à l’exécutif de Pedro Sanchez de réguler l’arrivée des migrants en situation irrégulière et l’ont accusé de créer un appel d’air en accueillant 629 migrants de l’Aquarius.
Le gouvernement, et en particulier le Secrétaire d’État à la Sécurité sociale, Octavio Granado, leur a répondu en disant que le «système de protection sociale a besoin de millions de cotisants» et que pour cette raison «les étrangers sont plus une chance qu’une menace».[…]

(Traduction Fdesouche)

El Mundo via fdesouche

Migrants. Rapport d’activités 2017 de SOS Méditerranée : financements, soutiens, mécènes

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2018

Par  le 15/08/2018

 

Dans son rapport d’activités 2017, disponible en ligne, l’ONG SOS Méditerranée affirme disposer d’un budget annuel de 3 621 000 euros. Des revenus en forte hausse puisque le chiffre avancé en 2016 était de 2 225 764.

Extraits du rapport d’activités 2017 de l’association SOS Méditerranée.

Origines des fonds :

• 20500 donateurs particuliers dont 3300 réguliers. • 330 mécènes ou entreprises, associations et fondations • 5 subventions publiques • 24 versements provenant des réserves parlementaires

Le comité de soutien comptait 90 personnalités publiques à la fin de l’année 2017, issues principalement du monde de la mer, des arts, de la recherche et des médias…

A FILETTA, ensemble vocal, d’ABOVILLE Gérard, navigateur,ADLER Laure, journaliste,AGNES B., créatrice de mode,AGRINIER Thomas, artiste peintre, AMBROGIANI Marc, directeur du festival Nuits Métis, AUTISSIER Isabelle, navigatrice, BADIE Bertrand, politologue, BASSY Blick, chanteur, musicien, écrivain, BEAUNE François, écrivain, BENDERBOUS Djamila, neurochirurgienne, BIGNOLAS Laurent, journaliste, BLANCHY Jacqueline, présidente de la Fondation, Les Arts et les Autres, BONNAFFE Jacques, comédien, BOUCHERON Patrick, historien, BUSSI Michel, écrivain, BRUSK, artiste graffeur, CALAME Claude, anthropologue,CHAMOISEAU Patrick, écrivain, poète,CLUZAN Sophie, archéologue,CURLET François, artiste peintre, DAKHLIA Jocelyne, historienne, DAMASIO Alain, écrivain, D’ALMEIDA Fabrice, historien, DAYAN-HERZBRUN Sonia, sociologue, DESCHAMPS Fabianny, cinéaste, DESGRANDCHAMPS Marc, artiste peintre, DI ROSA Hervé, artiste peintre, DISIZ LA PESTE, rappeur, DROZ-VINCENT Philippe, politologue, ESTRELLA Miguel Angel, pianiste, FABRE Thierry, essayiste, FLEURY Eric, artiste peintre, FOCCROULLE Bernard, organiste, compositeur, chef d’orchestre, FOURRIER Philippe, entrepreneur, FRANÇOIS Etienne, historien, GABART François, navigateur, GAGLIONE Nielo, musicien, GAUDE Laurent, écrivain, GLUCKSMAN Raphael, essayiste, GEZE François, éditeur, GUEDIGUIAN Robert, réalisateur, GUYARD Pierre, producteur de cinéma,HELFER-AUBRAC Renaud, militant humanitaire,HENIN Nicolas, journaliste,HERBELIN François, capitaine de la marine marchande,HOUSSEIN Rohan, artiste vidéo, graff, musique, IAM, artistes, musiciens IMHOTEP, DJ, musicien, JOURDAIN Roland, navigateur, KAHN Axel, médecin généticien,KSIKES Driss, auteur, dramaturge, LABORIER Pascale, politologue, LABOURGADE Christelle, artiste peintre, LAMAZOU Titouan, artiste, navigateur, LAVILLIERS Bernard, auteur compositeur interprète, LOIZEAU Emily, auteur, compositeur interprète, LOJKINE Boris, cinéaste, MADAME MONSIEUR, auteurs, compositeurs interprètes, MAKEÏEFF Macha, auteure, metteure en scène, MARCOU Jean, politologue, MEURICE Guillaume, chroniqueur radio, MOATTI Jean-Paul, économiste, MONCANY DE SAINT AIGNAN, Frédéric, président du Cluster, Maritime français, MOREL François, chroniqueur,radio, comédien, chanteur, NEKFEU, rappeur, OGRES DE BARBACK, musiciens, ORSENNA Erick, écrivain, OUJDI Rachid, réalisateur, PENNAC Daniel, écrivain, PERALDI Michel, anthropologue, PIKETTY Thomas, économiste, QUEFFELEC Anne, pianiste, RENAUD, auteur compositeur, interprète, RYFMAN Philippe, avocat et politologue, SAVALL Jordi, musicien, SISSOKO Ballake, musicien, STORA Benjamin, historien, THURAM Lilian, sportif, TORRETON Philippe, comédien, TROUBLE Bruno, skipper, URVOY Marianick, psychologue, VANHONAECKER Charline, journaliste, VIDEAU Philippe, armateur, WIEVIORKA Michel, sociologue,WILD Nicolas, auteur de bandes dessinées,WIHTOL DE WENDEN Catherine, politologue,

MÉDIAS (GRANDE CAUSE NATIONALE) Dons en nature valorisés dans nos comptes :Amaury Media (L’EQUIPE TV) CANAL+ (VICELAND, Planete +, Comedie +, Infosport +, Non stop people, Campagne TV) IP France (RTL) Lagardère Publicité (Europe 1, Virgin radio, RFM, RFM TV, VIRGIN radio TV, Elle Girl) M6 (6TER, W9) NRJ (NRJ12, NRJ hits, Station 25, NRJ, Chérie 25, Nostalgie, Rires et Chansons) REGIS (Mangas, TREK, Animaux, Toute l’Histoire, Sciences et Vie TV, Chasse et Pêche, AB Moteurs, AB1) TF1

Dons en nature non valorisés dans nos comptes : France 2 France 3 NEXT (RMC, BFM Business) Nova Régie (Radio Nova, TSF Jazz) Radio France (France info, France inter, France bleu) Skyrégie (SKYROCK)

Le Parisien via fdesouche

mercredi, 15 août 2018

Jadis, elle aidait les migrants

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

 

 

Il y a des phrases qui déconcertent, l’une d’elles : « Vous n’aurez pas ma haine. »
Eh bien, la mienne, vous l’avez et profond ! Vous pouvez compter sur moi. C’est mathématique et certifié.
Ici, je recopie une partie de l’excellent article de Raphaël Delahaut :
https://ripostelaique.com/les-parents-perez-orphelins-de-...

Autrefois, au temps des guerres, il existait un dérivatif à cette souffrance, une manière de contre-feu qui permettait de survivre, de ne pas s’effondrer, de rester debout.
C’était la haine 
On savait qui était l’ennemi. On pouvait le nommer et le haïr. On pouvait le combattre et le tuer, sans crainte ni remords… Le jeune homme qui, comme mon grand-père, avait vu son frère aîné mourir au champ d’honneur, s’engageait avant l’âge pour aller le venger. Et les pères, comme les mères, entretenaient cette flamme salvatrice de la haine légitime. Mais les parents d’aujourd’hui n’en ont plus le droit. Ils ne sont même plus autorisés à désigner l’ennemi, à nommer les assassins de leur fils.

Il a tout compris !
Personnellement, je ressens de la haine, et pire encore, contre les envahisseurs. J’ai commencé par vouloir aider les migrants, comme tout le monde, comme mes amies, mes cousins et cousines et toute la bonne société bien-pensante. J’ai même dû m’inscrire sur des listes d’attente. Deux ans durant, j’ai joué à la dame patronnesse, à la bienfaitrice des mineurs abandonnés, à la protectrice des nouveaux venus. Mais c’est fini. Plus jamais.

Je me rappelle exactement le jour où ma haine a germé quand, pour la première fois de toute ma vie, j’ai ressenti une irrépressible répulsion, une horreur inexprimable (sauf, bien entendu, lorsqu’une collègue, insignifiante et pas marrante du tout, m’a piqué mon copain de l‘époque et que j’ai rêvé de tortures abominables à son encontre, mais c’était il y a longtemps). Le 16 octobre 2016, lorsque Maria, étudiante en médecine qui, dans son temps libre (et dites-moi, quand une étudiante en médecine a-t-elle du temps libre ?) enseignait l’allemand en bénévole à des réfugiés, a été violée, torturée et noyée par un soi-disant mineur ! Ce jour-là, tout a basculé dans ma tête.

Maria 6 décembre 1996 – 16 octobre 2016

Car j’ai des enfants, plusieurs petits-enfants, et c’est moi qui prendrais perpète s’il leur arrivait quelque chose. Car plus jamais je ne serais heureuse. Fini. Chaque matin, en me réveillant, la réalité me reprendrait à la gorge.

Barbares, pourquoi vous avez ma haine et pourquoi vous l’aurez tant que vous n’aurez pas dégagé :

Parce que j’ai peur pour mes enfants
Parce que je n’ose plus parler librement
Parce que la plupart de mes amis me traitent de raciste
Parce que vous tuez nos enfants
Parce que vous avez systématiquement un couteau en poche
Parce que vous nous bouffez les allocs
Parce que vos femmes voilées sont une provocation et rien d’autre
Parce que vous vous comportez comme en pays conquis
Parce que je n’ose plus prendre les transports en commun
Parce que vous transformez nos villes en poubelles
Parce que vous tentez sournoisement de susciter notre compassion
Parce que votre vue, à elle seule, me fout la nausée
Parce qu’on vous qualifie de « français » alors que votre nom est Saïd, Mohammed ou Mamadou.

Pour ma part, j’éprouve un sentiment de brûlure qui me paraît à la fois très sain et parfaitement logique au vu de ce qui se passe. Ne pas avoir de haine, ne pas détester ceux qui assassinent des milliers d’innocents au nom de leur dogme minable, j’appelle ça être dans le déni, ni plus ni moins. Alors oui, il me paraît normal d’être passablement irritée lorsqu’on massacre votre mari, vos amis, vos enfants. Et non, je ne fais pas partie de ceux qui sont dans la résignation pure et dure. Je fais partie de ceux qui en ont assez que rien ne se fasse et que l’État, tout comme la plupart d’ailleurs, reste toujours passif face à ce déferlement de haine et de violence.

Autre (bout de) phrase récurrente :

JE SUIS :

T-shirts, cendriers, tasses et stylos, briquets et autres souvenirs la propagent à qui mieux mieux.

J’ai envie d’ajouter :

JE SUIS :

dégoûtée, horrifiée, terrifiée, angoissée. Mais surtout, surtout, horriblement pressée de vous voir faire demi-tour, avec bagages, moukères, rejetons et cocotte à tajine. Et n’oubliez surtout pas vos voiles et vos oripeaux burlesques. Et vos couteaux, vos machettes et saignoirs. Plus besoin. On ne veut pas de vous ici. Ça doit être gratifiant pour vous de savoir qu’autour de vous, on vous déteste. Qu’on ne demande qu’une chose, que vous décampiez. Le plus tôt possible. Que vous nous laissiez vivre comme avant. Quand nous étions à mille lieues d’imaginer ce qui nous attendait.

Barbares, je suis pour qu’on vous rembarque tous d’où vous venez. Qu’on vous envoie promener dans les sables chauds de votre terre d’amour et de paix. Qu’on vous rende à vos chameaux. Billet simple.

Et ma haine, vous l’avez, vous l’aurez, vous l’avez eue, vous l’eûtes, vous allez l’avoir, vous l’auriez, que vous l’eussiez, vous l’aviez, à tous les modes et à tous les temps de la conjugaison française et ce, pour de bon !

Anne Schubert

 

Source : lesobservateurs

mardi, 14 août 2018

Des migrants en cuisine ? L’immigration n’enrichit que les patrons

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2018

Des migrants en cuisine ? L’immigration n’enrichit que les patrons

Des migrants en cuisine ? L’immigration n’enrichit que les patrons

Par Julien Dir, contributeur de Breizh-Info ♦ Comme à son habitude, Julien Dir ne mâche pas ses mots en évoquant l’une des actualités du moment : la volonté des syndicats de l’hôtellerie et de la restauration de faire travailler des migrants à des postes vacants. Un cynisme affiché qui a de quoi faire réagir.

Ils dirigent l’UMIH, puissant syndicat patronal de l’hôtellerie restauration, ou bien encore la GNI (Indépendants) : ils ont en commun de vouloir accélérer le processus d’immigration en France au nom d’une soi-disante « pénurie de main d’oeuvre » en France, dans ce domaine.

A l’heure actuelle, 130.000 emplois seraient à pourvoir dans l’hôtellerie-restauration en France. Le turn-over est très important dans de nombreux établissements.

Mais plutôt que de s’interroger sur les causes de ce turn-over, de cette pénurie de main d’oeuvre, c’est la solution des migrants qui est envisagée par ces patrons sans vergogne, qui valident ainsi le slogan « l’immigration n’enrichit que les patrons » qui fleurissait dans les villes de Bretagne il y a quelques années.

Pourtant, les explications à cette pénurie de main d’oeuvre sont simples : quiconque a travaillé dans l’hôtellerie-restauration le sait. C’est très mal payé. Les évolutions ne sont pas nombreuses. Beaucoup de patrons ne sont pas très à cheval sur les horaires et les rotations, et rechignent à payer au tarif juste, y compris quand les salariés font des efforts et s’adaptent aux contraintes du métier. Des patrons – il est vrai – pas vraiment aidés par l’État, qui leur ponctionne charges et taxes, rendant tout simplement impossible l’embauche honnête financièrement d’un employé.

Résultat : ce sont essentiellement des jeunes qui font leurs classes (leurs premiers boulots) dans la restauration, trop contents de pouvoir trouver un job d’été et fermant souvent les yeux sur les conditions de travail (la plupart n’y connaissent d’ailleurs rien du tout au droit du travail). Avec des migrants, le bénéfice serait encore plus large. Difficulté de maîtrise de la langue, méconnaissance totale du droit du travail, l’UMIH espère sans doute avoir à disposition un bataillon de « salariés/esclaves » encore moins regardant que la population européenne, à qui les représentants de l’hôtellerie-restauration sont incapables de proposer des salaires et des conditions de travail justes.

Étonnamment, ce sont les associations d’extrême gauche, pro migrants, qui font également le forcing pour que le patronat puisse embaucher, rapidement, des migrants à bas prix dans les domaines qui seraient « en pénurie » de main d’œuvre. Les idiots utiles qui n’ont toujours pas compris qu’ils servaient les intérêts du marché, et qui ont en plus l’impression de faire de l’humanitaire. Certains doivent se frotter les mains devant tant d’idiotie.

Quoi qu’il en soit, à Paris, dans certaines grandes villes de France, certains n’ont pas attendu pour embaucher des migrants et pour avoir des travailleurs clandestins dans leurs cuisines. Le consommateur, lui, celui qui fréquente les « grands restaurants » ou quelques bistrots ici ou là, serait bien inspiré de demander aux patrons des établissements qu’il fréquente de pouvoir voir les cuisines avant de s’installer. Et de boycotter ceux qui embauchent des migrants au détriment des Européens, patrons qui auraient sans doute fait beaucoup d’argent à l’époque de la traite négrière.

Au rythme où les choses vont, dans 5 ou 10 ans, Mamadou, serveur en crêperie à Huelgoat, vous amènera votre galette de blé noir, en vous comptant l’histoire des Monts d’Arrée, pendant qu’Amza expliquera aux clients d’un restaurant huppé de Saint-Malo l’histoire de Surcouf et de l’indépendance de la cité corsaire.

Le patronat lui – voir en Allemagne où ces derniers protestent contre les expulsions de migrants – se frottera les mains.

« Souriez, vous êtes remplacés ». 

Julien Dir
09/08/2018

Source : Breizh-Info

Crédit photo : Mugisho beni [CC BY-SA 4.0], via Wikimedia Commons

jeudi, 09 août 2018

Rouen : la justice ordonne l’expulsion d’un squat de 160 personnes, dont beaucoup de migrants

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2018

Par  le 08/08/2018

 

Le tribunal d’instance de Rouen a ordonné, mercredi 8 août, l’expulsion, assortie du délai réglementaire de deux mois, d’un ancien Ehpad occupé depuis mai par quelque 160 personnes, dont beaucoup de migrants

La ville de Rouen, propriétaire du bâtiment dit « Hameau des Brouettes », était à l’origine de la demande d’expulsion (…). Le tribunal n’a en revanche pas retenu l’existence de voies de fait qui auraient été commises par les occupants, comme le demandait l’avocat de la mairie, ce qui aurait permis une évacuation sans délai.

www.ouest-france.fr via fdesouche