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jeudi, 18 octobre 2018

Calais : une bénévole aidant les migrants violée par un clandestin

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2018

Auteur : admin4
contre-info

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« Le quotidien « La Voix du Nord » a signalé ce fait divers, mais il n’a pas été repris par les chaînes de télévision et nous l’apprenons par le média espagnol « Casoaislado ».

Le 4 octobre, à Calais (Nord), une jeune femme bénévole et très engagée dans la défense de l’arrivée massive de migrants illégaux, a été violée par un migrant d’origine marocaine, également volontaire dans la même association d’accueil des migrants.

Il l’a entraînée dans le camping « Les Palominos » et l’a forcée à avoir une relation sexuelle non consentie.

L’association a confirmé avoir « expulsé » le volontaire et apporté toute son aide à la jeune victime qui a dénoncé ce viol.

Le procureur, Pascal Marcouville, a déclaré que la plainte pour viol avait été enregistrée au commissariat de Calais.

Ce n’est pas la première fois qu’une bénévole d’association, partisane d’une immigration massive, est violentée.

« Casoaislado » signale également que le 3 octobre a comparu devant les magistrats de Viscaya (Pays basque espagnol), un migrant d’origine marocaine accusé d’avoir pratiqué un viol anal, avec l’aide d’un complice, sur une jeune fille de 14 ans, lors des fêtes d’Halloween, en 2016, dans la cité de Lejona. […] »

Source

samedi, 13 octobre 2018

Grèce : une grande croix chrétienne détruite pour ne pas « offenser les migrants », la population locale en colère (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2018

Par  le 12/10/2018 

Grèce – Une grande croix chrétienne en ciment, construite sur le rivage rocheux d’Apelli, sous le château de Mytilène sur l’île de Lesbos, érigée en l’honneur des gens qui sont morts en mer, a été détruite après qu’une ONG ait indiqué à la municipalité qu’elle était « offensante pour les migrants ».

« C’était un acte de haine ! Cette croix a été faite en béton armé, ils ont utilisé des outils lourds pour niveler la croix au sol… Nous ne voulons pas d’ennuis mais nous n’accepterons pas ce comportement… C’est inacceptable ! »

Le placement de la croix, début septembre, a provoqué des réactions négatives de la part des organisations d’aide aux migrants et une lettre a été envoyée au capitaine du port de Lesbos et au maire de la ville, indiquant que la croix avait été placée à cet endroit pour empêcher les migrants de se baigner.

« Il y a quelques jours, ils ont placé une grande croix, afin d’empêcher les migrants de venir nager. Cet acte est illégal, inesthétique mais surtout offensant pour le christianisme, une religion d’amour et de sacrifice, et non de racisme et d’intolérance. (…) S’il vous plaît, nous vous demandons de vous débarrasser de ce symbole religieux inapproprié (…) » dit l’ONG pro-migrants.

Quelques jours plus tard, la croix a été enlevée pendant la nuit.

L’annonce de cette affaire a provoqué de vives réactions de la population locale qui estime que cette destruction va à l’encontre des croyances religieuses de la majorité des habitants de l’île. Certains ont promis de reconstruire la croix.

 

Greek City Times / Naftemporiki.gr via fdesouche

Paris (16e) : la grogne monte chez les riverains du centre qui doit accueillir 300 migrants

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2018

Par  le 11/10/2018

 

Dans une lettre ouverte adressée au préfet Michel Cadot, à l’adjoint au logement de Paris Ian Brossat, et à la maire du 16e arrondissement, Danièle Giazzi, des riverains dénoncent l’absence de concertation préalable à l’installation de 300 migrants et réfugiés dans les anciens locaux de la gendarmerie du boulevard Exelmans.

Lors de l’inauguration en septembre, le préfet de région Michel Cadot l’assurait: «Le site ne pose pas de problème de voisinage», et «se prête à une intégration réussie dans le quartier». Trois semaines plus tard, les riverains du centre pour migrants et demandeurs d’asile du boulevard Exelmans, dans le 16ème arrondissement de Paris, font valoir l’inverse. «À aucun moment, nous n’avons été consultés par les autorités, ni même informés», assurent-ils dans une lettre ouverte adressée au préfet Michel Cadot, à l’adjoint au logement de Paris Ian Brossat, et à la maire du 16e arrondissement, Danièle Giazzi.

Les auteurs du courrier, signé par plus de 150 personnes selon eux, demandent «sans délai un réunion d’information pour tous les habitants du quartier». «Faut-il vous rappeler qu’en tant que voisins directs, nous sommes les principaux intéressés par cette décision qui nous est imposée?», poursuivent-ils dans ce texte également publié sous forme de pétition sur change.org.: « Nous sommes très inquiets sur les conséquences de cette concentration (très largement masculine) pour notre quartier et notre vie quotidienne, à bien des égards », ajoutent-ils. […]

Ouvert depuis 1 mois dans une ancienne caserne de gendarmerie, le site doit accueillera à terme 300 migrants, réfugiés et familles pauvres pendant deux ans, le temps que des travaux commencent pour faire des logements sociaux. Dans le détail, il y aura 150 demandeurs d’asile, 100 réfugiés statutaires (qui ont obtenu le statut et un titre de séjour), et disposera de 50 places pour héberger des familles sans abris. Les étrangers accueillis sont essentiellement Erythréens, Soudanais et Afghans. […]

Le Figaro via fdesouche

dimanche, 07 octobre 2018

Montpellier : elles reviennent du rassemblement pro-migrants de l’Aquarius et se font sauvagement détrousser par des migrants clandestins

Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2018

  
 

BREIZATAO – NEVEZINTIOU (07/10/2018) C’est ce que l’on appelle l’histoire de l’arroseur arrosé.

E-Metropolitain :

Un courageux commerçant du boulevard du Jeu de Paume, à Montpellier a neutralisé trois mineurs âgés de 13 ans pour deux d’entre-eux et de 15 ans, samedi après-midi en les coursant au guidon de son scooter. Des scènes surréalistes dignes d’un polar vécues par des centaines de témoins.
Samedi peu après 16h, le commerçant regagnait sa boutique sur le Jeu de paume sur son scooter, où avait pris place son fils âgé de 12 ans : « Je venais d’aller le récupérer à son cours de boxe, quand dans la rue Marceau, entre Gambetta et Jeu de Paume, j’ai entendu des cris de femmes et j’ai aperçu deux dames de 50 à 60 ans courir dans le hall d’un immeuble poursuivies par trois jeunes. Le trio est ressorti et a détalé, après avoir arraché le collier en or autour du cou de l’une des victimes. J’ai aussitôt déposé mon fils auprès des deux dames pour les rassurer et à scooter, j’ai pris en chasse les trois individus qui couraient sur les trottoirs du boulevard du Jeu de Paume. Deux policiers municipaux en patrouille, témoins de cette course-poursuite sont intervenus au moment où je venais de coincer deux des agresseurs. Ils ont eu leur attention attirée par ce remue-ménage ».
Pendant que les policiers municipaux rapidement renforcés par une autre patrouille menottaient les deux adolescents en attendant de les remettre aux policiers de la Sécurité publique, le courageux témoin partait à la recherche de leur complice, toujours juché sur son scooter : « J’ai réussi à le localiser dans la rue Alexandre Cabanel, entre le Jeu de Paume et l’église Saint-Roch. Je l’ai bloqué avec la roue avant de mon scooter, je lui ai sauté dessus, je lui ai fait une clé de bras pour lui faire cracher le collier en or qu’il venait de dissimuler dans sa bouche. Des passants et des commerçants se demandaient ce qu’il arrivait. Puis, je l’ai ramené aux policiers municipaux encore présents sur le boulevard du Jeu de Paume, avant de foncer sur Marceau où mon fils avait réconforté les deux dames, à qui j’ai remis le bijou. Elles m’ont vivement remercié. Je leur ai simplement dit que j’avais fait mon devoir de citoyen; Que j’étais fier d’avoir fait preuve de civisme sous les yeux de mon gamin de 12 ans ».
Pour l’anecdote, les deux femmes agressées revenaient du rassemblement organisé sur la place de la Comédie en faveur du bateau des migrants Aquarius. Et elles ont croisé le chemin des trois arracheurs de colliers en or : des mineurs étrangers de 13 et 15 ans non accompagnés [des migrants clandestins, NDLR]

 

Source : breizatao

 

samedi, 06 octobre 2018

Dijon (21) : les migrants squatteurs de Stalingrad portent plainte pour violation de domicile

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2018

Par  le 05/10/2018

 

Ce vendredi, en début d’après-midi, une vingtaine de migrants qui occupaient fin août l’immeuble situé 41, avenue Stalingrad, à Dijon, et la Ligue des droits de l’homme se sont donnés rendez-vous devant la cité judiciaire.

Contestant la légalité de leur expulsion, ils vont déposer une plainte pour violation de domicile.

Pour rappel, le 28 août dernier, environ 80 demandeurs d’asile originaire du Tchad, du Mali, du Soudan, d’Érythrée ou encore du Nigeria étaient délogés d’un bâtiment de l’armée de l’air désaffecté, situé avenue de Stalingrad à Dijon.