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jeudi, 30 août 2018

Après le meurtre d’un Allemand par des migrants, grande mobilisation nationaliste

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

Auteur : admin4

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À Chemnitz (Saxe, Allemagne), un « réfugié » syrien et un « réfugié » irakien ont poignardé « sans raison » trois Allemands dans la nuit de samedi à dimanche lors d’une fête municipale.

Un père de famille âgé de 35 ans est décédé des suites de l’attaque au couteau, deux autres Allemands ont été grièvement blessés.

A la suite de quoi, dimanche puis lundi, des milliers d’Allemands se sont rassemblés dans cette ville moyenne pour exprimer leur colère et exiger la remigration. Une réaction d’une ampleur inédite en Allemagne.


En Allemagne et ailleurs en Europe, les grands médias sont unanimes pour dénoncer… les manifestants.

Les réactions des Européens face à l’immigration massive et ses terribles conséquences leur sont odieuses, beaucoup plus que les meurtres des Européens sur leurs terres.

On notera aussi la différence de traitement avec les cas où ce sont des immigrés qui cassent tout quand l’un d’eux est mort en affrontant la police…

 

Source : contre-info

mardi, 28 août 2018

L’Europe bruxelloise en guerre : la police recule partout devant les migrants

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Police Recule Migrants Guerre Europe Bruxelloise

La « crise des migrants » engendre logiquement une guerre en Europe. Alors que l’Est résiste à l’envahisseur, dans les pays sous influence bruxelloise la police recule devant des migrants de plus en plus sûrs d’eux et dominateurs. Au point que c’est aux militaires d’être attaqués.
 
En 2014, les médias dominants dans l’Europe bruxelloise ont nommé « crise des migrants », l’intrusion brutale, en sus de l’immigration habituelle, tant officielle que « clandestine », de centaines de milliers d’immigrés supplémentaires inassimilables, en majorité mâles et jeunes, par un abus manifeste de deux mots attachés à deux droits très anciens et respectables, l’asile à terre et la détresse en mer. Cet abus était conscient et organisé, afin de subvertir et d’exploiter, en vue d’une invasion planifiée par l’ONU, la compassion pour le malheureux, et le vieux devoir de solidarité humaine que souffle à chacun sa conscience.
 

Officiel : pour le HCR de l’ONU les migrants ne sont pas des réfugiés 

 
Aujourd’hui l’imposture est éventée. Le HCR, le Haut comité aux réfugiés de l’ONU, confirme ce que le téléspectateur pouvait voir sur son écran : 75 % au moins des migrants sont des hommes, d’âge compris entre vingt et quarante ans, les « mineurs », quand on parvient à leur donner un âge, ont souvent 35 ans, ils viennent de pays qui ne sont pas en guerre pour la plupart, et même dans le cas contraire, on a vu des Syriens, par exemple, retourner chez eux le temps des vacances avec l’argent du contribuable allemand. En d’autres termes, ces migrants ne sont, dans l’ensemble, pas des réfugiés, ce sont pour une part des immigrés « économiques », les autres étant des prédateurs, comme l’actualité nous le montre.
 

A Ceuta, l’attaque d’une horde de mâles en guerre

 
Les 116 migrants qui viennent d’envahir l’enclave espagnole de Ceuta étaient tous jeunes, en bonne santé, sportifs, n’ayant visiblement été brimés ni maltraités par personne. Ils ont escaladé les grilles vivement, et, pour repousser la police, lui ont jeté des excréments et de la chaux, causant pas mal de blessures. La police a reculé. Ils sont passés, faisant des V de la victoire et pour certains remerciant Allah, le grand, le miséricordieux, de la victoire qu’il leur avait donnée. On peut tourner les mots dans tous les sens, on n’empêchera pas la chose d’être un acte de guerre. Une guerre d’un genre nouveau puisqu’au lieu de planter leur drapeau en terre espagnole et européenne, ils ont brandi les drapeaux de l’Espagne et de l’Europe bruxelloise. Cela signifie plus que : nous vous vainquons. Cela signifie : nous sommes vous demain, nous vous éliminons, nous vous remplaçons.
 

Les dépouilles de l’Europe bruxelloise : argent, tueries, femmes

 
Sans doute Pedro Sanchez a-t-il renvoyé au Maroc, deux jours plus tard, ces envahisseurs victorieux (Pourquoi au Maroc ? C’est chez eux qu’il fallait renvoyer ces migrants, avec une sévère admonestation à leur gouvernement), mais le mal était fait. La police avait reculé. Comme partout en Europe bruxelloise. Et ce recul est un appel à tous les envahisseurs : vous pouvez y aller, une fois entrés vous jouirez sans entrave des grasses dépouilles de l’Europe bruxelloise, ses allocations, ses foyers d’accueil, ses répartitions administratives, ses distributions de nourriture (prévoir toutefois ses propres épices, la cuisine manque parfois de piment, à Calais par exemple), ses femmes faciles à attraper et à violer sur la voie publique.
 

La police recule devant la synergie migrants-immigrés plus anciens

 
La guerre en Europe bruxelloise est en effet fraîche et joyeuse pour ces jeunes mâles aux appétits de conquête non inhibés par le politiquement correct : tout est butin, les promeneuses de la Saint-Sylvestre à Cologne, les passants que l’on poignarde en criant – ou pas -Allahou Akbar, et bien sûr le bien d’autrui, droit d’aubaine pris sur les infidèles. De la Suède à la Sicile, les migrants ont changé l’insécurité en Europe bruxelloise, ils font une guerre de rapine, un gigantesque rezzou pour une gigantesque razzia. Et la police dans tout ça ? Eh bien, la police recule. Car, en bagarre avec les migrants, mais en synergie avec eux lorsqu’il s’agit des keufs, il y a les bandes de banlieue. La police se fait caillasser et tabasser dans les « quartiers ». Chacun a en mémoire les policiers lynchés pour la Saint-Sylvestre (encore ! C’est le patron de l’immigration turbulente) à Champigny-sur-Marne. Ou les policiers cramés dans leur voiture à Viry-Châtillon. Et l’on ne compte plus ceux qui sont tués par les terroristes, déséquilibrés et loups solitaires issus de l’immigration.
 

La police recule : la grande trouille du grand rezzou

 
Résultat, la police a peur. Devant la foule allogène et criminogène, elle recule. Ses voitures s’enfuient. Ses membres reculent en tâchant de rester groupés. Ce n’est pas propre à la France. En Italie, en Espagne, la consigne est de reculer jusqu’à l’arrivée de moyens supérieurs du type canon à eau. L’héroïsme est déconseillé. En Belgique, à Spa, un policier vient de se faire abattre pour être intervenu par une dispute. La vraie guerre arrive. Elle se fait de moins en moins au cocktail Molotov improvisé ou au couteau, plus à l’arme à feu. Récemment à Marseille, un petit rezzou s’est offert une fantasia à la Kalachnikov. 
 
De nombreuses vidéos circulant sur le net mettent en image les effets de cette terreur sur le moral des policiers, de la Grèce à la Scandinavie. Les équipes de deux ou quatre policiers en voiture sont systématiquement prises à partie. Comme l’usage de leur arme leur est interdit, les policiers se font repousser, insulter, molester par des adversaires supérieurs en nombre ou simplement en agressivité, et ne reçoivent naturellement aucune aide de la population, au contraire.
 

Terrorisme et migrants font partie d’une même guerre d’invasion

 
Il y a trois ans, Daech menaçait de pousser 500.000 migrants à envahir l’Europe. Il y en a deux, le président tchèque Milos Zeman accusait les Frères musulmans d’avoir provoqué le début de la crise des migrants. Ces informations, parues dans le Point et le Figaro, n’ont pas été démenties. Il y a une guerre dont l’Europe bruxelloise est le théâtre, une guerre d’invasion où s’articulent immigration et terrorisme. Dans cette guerre, les militaires de l’opération sentinelles sont souvent attaqués eux aussi. Leur bilan est meilleur que celui de la police. Mais, même quand ils ont le droit d’ouvrir le feu comme tout récemment à Lille, ils laissent leurs agresseurs s’enfuir sans trop de mal. Les consignes données par l’Etat sont de ne pas s’opposer aux envahisseurs. Ce qui a pour effet, visible sur toutes les vidéos, que les migrants et certains immigrés plus anciens ne considèrent pas les forces de l’ordre comme les représentants de la loi d’un pays qu’ils respectent, mais comme une bande ennemie, contre laquelle il est loisible de se battre, et qu’il est gratifiant d’humilier.
 

Europe bruxelloise : guerre civile entre orthodoxes et hérétiques

 
C’est là qu’entre en jeu la guerre civile qui enflamme l’Europe bruxelloise entre les orthodoxes, Allemagne, Benelux, Espagne, Grande-Bretagne, et les hérétiques, c’est-à-dire le groupe de Višegrad auquel s’ajoutent depuis peu l’Autriche et l’Italie. Là-bas, la police ne recule pas, ou plus, devant les migrants, et les frontières sont défendues. C’est pourquoi Macron et Philippe morigènent Salvini : il est coupable de deux choses, d’agir et d’être populaire, à l’inverse d’eux, et, à l’inverse d’eux, de s’opposer au diktat du mondialisme qui a décidé la léopardisation de l’Europe. 
 
A preuve les récentes déclarations de Josep Borell, le ministre espagnol des affaires étrangères, considérant les migrants comme le « sang neuf » de l’Europe, confirmées par celles du leader wallon André Antoine qui fait le « choix démographique » de l’immigration, et par celles du président allemand Franz-Walter Steinmeier, lui aussi favorable à la poursuite de l’immigration, qui nie l’existence « d’Allemands de souche ». Pour ces fanatiques de l’Europe bruxelloise, l’ennemi c’est Salvini, Orban, c’est Kurz, ce ne sont pas les migrants envahisseurs ni les immigrés délinquants ou criminels : et c’est pourquoi la police recule, laissant les citoyens sans défense.
 

Pauline Mille

https://reinformation.tv/police-recule-migrants-guerre-eu...

 

Source : leblogalupus

jeudi, 23 août 2018

QUELQUE 115 MIGRANTS ONT PÉNÉTRÉ MERCREDI DANS L’ENCLAVE ESPAGNOLE DE CEUTA EN ESCALADANT LA HAUTE CLÔTURE FRONTALIÈRE AVEC LE MAROC

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2018

Quelque 115 migrants ont pénétré mercredi dans l’enclave espagnole de Ceuta en escaladant la haute clôture frontalière avec le Maroc, blessant légèrement plusieurs agents, ont annoncé les autorités. 

« Ils sont passés par dessus la clôture » de six mètres de haut et hérissée de barbelés qui entoure la ville, a indiqué un porte-parole de la préfecture.


Quelque 115 migrants ont pénétré mercredi dans l’enclave espagnole de Ceuta en escaladant la haute clôture frontalière avec le Maroc

Sept gardes-frontières « légèrement » blessés. Sept gardes-frontières ont été « légèrement » blessés suite à des brûlures d’acide et de chaux que leur ont lancé les migrants, a-t-il précisé. 

« Tout mon soutien aux forces de l’ordre qui affrontent de manière exemplaire le défi migratoire, en particulier aux agents blessés aujourd’hui », a tweeté le chef du gouvernement, le socialiste Pedro Sanchez. 

Des images diffusées par le journal El Faro de Ceuta montrent de jeunes migrants africains fous de joie d’être parvenus à escalader la double clôture, certains agitant un drapeau espagnol ou européen. 

(…) Europe 1 
  

http://www.citoyens-et-francais.fr/2018/08/ceuta-200-migr... 

Occitanie. Les restaurateurs préfèrent recruter des migrants plutôt qu’augmenter les salaires

Publié par Guy Jovelin le 23 août 2018
 22 août 2018

La crise des vocations dans la restauration sévit depuis plusieurs années. Pour faire face à cette situation certains préconisent une solution nouvelle, le recrutement de migrants sans papiers.

10 000 postes à pourvoir dans la restauration en Occitanie

Le secteur de la restauration connaît aujourd’hui une crise importante en France. Les professionnels se plaignent de ne pas parvenir à recruter les effectifs nécessaires pour la saison estivale. En tout, ce sont plus de 100 000 postes qui ne sont pas pourvus dont 10 000 pour la côte occitane. La raison ? Une rémunération jugée trop faible pour un travail particulièrement exigeant.

 

Les migrants à la rescousse des restaurateurs

Face à cette situation, les pouvoirs publics et les restaurateurs envisagent désormais une nouvelle solution. Plutôt qu’une baisse des charges qui permettrait d’augmenter les salaires et ainsi encourager les vocations, c’est la solution des migrants qui est aujourd’hui mise en avant. En permettant le recrutement massif d’immigrés clandestins, les restaurateurs pourront ainsi combler les manques de main d’œuvre tout en maintenant des salaires bas. Et pour cela ils sont prêts à assurer eux-mêmes la formation des nouvelles recrues.

Photos : DR

 

Source : lengadoc-info

mardi, 21 août 2018

Italie : les arrivées de migrants s’effondrent de 81%

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2018

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Les arrivées de migrants depuis l’Afrique s’effondrent en Italie, du fait du changement de gouvernement… et de politique. Les flux se sont réorientés vers une Espagne nettement plus permissive, et les arrivées de migrants en Italie ont chuté de 81% entre le premier semestre 2017 et le premier semestre 2018. Le nombre de décès en Méditerranée a aussi baissé de moitié, ce qui montre qu’une réglementation plus stricte en matière d’immigration sauve des vies.

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Selon les données de l’agence de l’ONU pour les réfugiés, 16.919 migrants sont arrivés par mer en Italie du 1er janvier au 8 juillet, contre 85.197 sur la même période en 2017. La baisse est particulièrement sensible sur le mois de juillet : 1782 contre 11.000 en juillet 2017.

Le nombre de décès de migrants en mer était de 2258 au premier semestre 2017 ; il est de 1058 au premier semestre 2018 (-53%). Pour rappel, en 2016 181.436 migrants étaient arrivés sur les côtes italiennes, et 4.578 étaient morts en mer : plus ils sont nombreux à tenter la traversée en raison d’un accueil trop permissif, plus il y a de morts… et plus les passeurs s’enrichissent.

Les pays d’origine des migrants indiquent que peu d’entre eux émigrent vraiment parce qu’ils fuient la guerre : la Tunisie est le pays d’arrivée de 3000 migrants (19%), suivie par l’Erythrée (2500 personnes, 16%), le Soudan (9%), le Nigeria, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali et le Pakistan. Et ce sont pour 71% d’entre eux des hommes majeurs ; les femmes ne représentent que 10% des arrivées. Le reste, ce sont des mineurs isolés étrangers, à 93% de sexe masculin, originaires essentiellement de pays africains (Gambie, Nigeria, Guinée, Sénégal, Mali, Côte d’Ivoire…).

Les départs se sont aussi réorientés : ainsi, ils ont quasiment cessé depuis les côtes libyennes, mais se sont multipliés depuis la Tunisie. En parallèle, les arrivées de bangladais – 10.000 étaient arrivés en 2017 en Italie – et de libyens se sont taries.

Cependant le gouvernement italien – qui vient d’annoncer un renforcement des expulsions – aura fort à faire pour mettre fin au laxisme des dernières années. De juin 2014 à juin 2017 ce sont ainsi 550.000 migrants qui sont arrivés en Italie, principalement originaires du Nigéria et de l’Érythrée. Un flux assez important dans un pays de 60 millions d’habitants (près de 1% de la population totale) qui a provoqué un choc culturel et finalement politique.

Les Italiens ont fini par balayer les hommes politiques installés depuis des décennies pour porter un gouvernement populiste (Lega – M5S) et nettement plus strict sur la question migratoire. Depuis, la Lega ne cesse de gagner du terrain dans les cœurs et les sondages.

Louis Moulin

Crédit photos : DR

Source : breizh-info