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mardi, 27 novembre 2018

Turin (Italie) : l’ancien village olympique devenu une zone de non-droit, un millier de migrants vivent dans un squat géant

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2018

Par  le 26/11/2018

 

Italie – Il y a un squat parmi les plus grands d’Europe qui se développe aux portes de Turin dans ce qui était autrefois le village olympique. « Ici, la police n’entre pas ».

Une misère humaine s’est installée dans les trois bâtiments qui avaient été construits pour accueillir les athlètes lors des Jeux olympiques d’hiver en 2006. Un monde à part entière qui se développe sur six étages et se glisse dans les profondeurs du sous-sol. En tout, environ un millier de migrants vivent ici dans des conditions hygiéniques et sanitaires inhumaines.

Un recensement précis est impossible, même pour les autorités. Nous savons seulement que 95% sont des hommes âgés de 25 à 35 ans, dont beaucoup sont clandestins, venant de Gambie, du Mali et du Nigeria. Surtout du Nigeria.

Des centres sociaux soutiennent depuis des années cette occupation illégale et, à Turin, forment un axe en collaboration avec les migrants, ce qu’ils appellent la «résistance» contre les expulsions.

Le responsable local du parti démocrate, Davide Ricca déclare: « Les problèmes les plus urgents sont dans les sous-sols où se cache un repaire de recel et d’illégalité. Les migrants ont été expulsés mais ont de nouveau réoccupés les lieux ».

(…) « Je n’ai pas de papiers, comme tant d’autres ici. Je suis ici depuis quatre mois, je vis dans les sous-sols », explique Bakar. Pourtant, le monde souterrain du village olympique avait été expulsé il y a un an. Les portes en acier installées en guise de protection ont toutefois été détruites et l’ancien monde s’y est réinstallé. Une masse infinie d’articles ménagers, de pneus, de déchets jonchent le sol.

(…)

Il Giornale via fdesouche

samedi, 24 novembre 2018

Ministre hongrois des affaires étrangères : « Il est inacceptable que l’on distribue ainsi aux migrants des cartes de crédit anonymes »

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2018

 

Ces dernières années, la Hongrie a dépensé près d’un milliard d’euros pour la défense de ses frontières sud.

Et les migrants qui arrivent à l’Ouest des Balkans disposent de cartes de crédit gratuites qu’ils ont reçues. C’en est trop pour nous ! Car personne à l’UE – hormis des pays d’Europe orientale – n’a demandé comment on pouvait aider la Hongrie à défendre ses frontières. Il est donc inacceptable que dans le même temps, l’ONU et les différentes instances de l’UE distribuent au migrants des cartes de crédits anonymes.

Déclaration de Péter Szijjártó, ministre hongrois des affaires étrangères, en conférence de presse.

Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch

Rappel : L’Union européenne attire les immigrants avec une carte de crédit prépayée

 

 

vendredi, 26 octobre 2018

Deux migrants violent une jeune fille de 16 ans et s’endorment à leur procès : « On doit tenir compte de l’aspect culturel » selon le médecin légiste

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

Par  le 24/10/2018

 

Höhenkirchen-Siegertsbrunn – C’est un crime qui avait fait la une dans tout le pays en automne 2017 : deux réfugiés auraient violé ensemble une adolescente de 16 ans dans les environs de la gare à Höhenkirchen-Siegertsbrunn. Les deux violeurs présumés Walid P. et Farid A. (noms modifiés), qui doivent répondre de leurs actes devant le tribunal de Münich, risquent plusieurs années d’emprisonnement. Les deux jeunes hommes risquent donc gros.

Pourtant, à la reprise du procès jeudi, les accusés s’assoupissent plusieurs fois devant le tribunal. Le juge Stephan Kirchinger finit par perdre patience : « Si vous voulez dormir, nous devrons interrompre la séance » déclare-t-il avec colère à l’adresse de Walid P.

Après cet éclat, les deux accusés suivent enfin attentivement les déclarations de l’expert médical. Celui-ci explique d’abord que tant les deux réfugiés afghans que leur victime étaient en état d’ébriété. Farid A. (18 ans) aurait même eu au moment des faits un taux d’alcoolémie de 1.86 pourmille. Alors que l’expert considère Walid P. clairement pleinement responsable de ses actes, il voit Farid A. « à la limite d’un contrôle diminué ».

Le spécialiste en médecine légale n’évoque cependant pas que cette intoxication. Il faudrait « également tenir compte du fait qu’il vient d’une culture différente », déclare le médecin au sujet de Farid A. « Le taux d’alcoolémie élevé de Monsieur A. a induit une désinhibition qui l’a fait dépasser sa capacité de jugement. » La pondération est « complètement différente quand on grandit dans cette culture et pas dans une culture occidentale ».

Au sujet de l’Afghanistan, le médecin déclare : « Là-bas, une femme ne vaut rien et l’homme passe avant tout. » La socialisation a une influence sur la manière de se contrôler. Selon l’expert, il est cependant également clair que A. avait connaissance du droit local. Le juge précise rapidement que pour lui, seule la consommation d’alocool joue un rôle dans l’évaluation d’une éventuelle baisse de la capacité de discernement. Il dit au médecin ne pas très bien comprendre en quoi le manque de socialisation influence la capacité de discernement. Le processus continue.

Merkur.de via fdesouche

mercredi, 24 octobre 2018

Revalorisation de l’allocation pour demandeur d’asile de 1.6% en 2019 et de 0.3% pour les allocations familiales !

Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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C’est proprement scandaleux. Alors que Macron et sa clique rognent sur toutes les dépenses, l’allocation pour demandeur d’asile est 5 fois plus revalorisée que les allocations familiales en 2019. Les familles françaises seront gratifiées d’une augmentation de 0.3%, tandis que l’aide des migrants suivra le cours de l’inflation…

Conclusion : les familles perdent en pouvoir d’achat, les migrants, non.

Pour dégager des économies et ainsi respecter le seuil de 3% de déficit du produit intérieur brut (PIB) exigé par la Commission européenne, le gouvernement a décidé d’indexer la majeure partie des prestations en-dessous de la hausse des prix à la consommation. Ainsi, les retraites de base, les allocations familiales et les aides au logement (dont l’APL) vont être revalorisées de seulement 0,3% en 2019 et 2020, sachant que l’inflation (hors tabac) est attendue à 1,6% en 2018. Les bénéficiaires de ces prestations vont donc perdre en pouvoir d’achat durant les deux prochaines années.

Pour ne pas pénaliser les Français les plus modestes, cette désindexation ne va pas s’appliquer aux minima sociaux. Comme Emmanuel Macron s’y était engagé durant la campagne, la prime d’activité, le minimum vieillesse et l’allocation aux adultes handicapés (AAH) vont même bénéficier de revalorisations exceptions (voir plus loin). Au final, ne seront pas concernées par la sous-indexation de 0,3% les prestations suivantes :

– L’allocation de veuvage

– L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), le remplaçant du minimum vieillesse

– L’allocation supplémentaire d’invalidité (ASI)

– Le revenu de solidarité active (RSA)

– L’allocation de solidarité spécifique (ASS)

– L’allocation pour demandeur d’asile (ADA)

– L’allocation temporaire d’attente (ATA). 

Source

vendredi, 19 octobre 2018

Saint-Pol-sur-Mer/Dunkerque (59) : des migrants ont pris possession de la piscine, les familles ont peur

Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2018

Par  le 18/10/2018 

Loin de moi l’idée d’être contre les migrants. Ils ont suffisamment de problèmes. Ce que je ne peux pas laisser passer, par contre, c’est qu’ils aient des gestes déplacés devant des enfants. »

Jocelyne Catoen décrit alors la scène à laquelle elle a assisté avec sa petite-fille de 6 ans. « Ils glissaient leur main sous leur slip de bain et se frottaient (le sexe, ndlr). Ils se lavaient peut-être, mais ça ne se fait pas quand on est entouré de femmes et d’enfants. Il s’agit de douches mixtes à la piscine Guynemer. »

(…) Jocelyne s’inquiète. « Ils sont de plus en plus nombreux. Il y a deux semaines, ils étaient une dizaine à l’heure du cours de natation de ma petite-fille. On avait pu se doucher. Sur la dizaine de douches de la piscine, trois restaient libres. »

Mais la situation a empiré la semaine suivante. « Je n’ai rien contre le fait qu’ils viennent à la piscine, mais, cette fois-ci, ils devaient bien être une cinquantaine. Toutes les douches étaient réquisitionnées et, dans les bassins, ils restaient groupés, sans bouger ni nager. Et leurs regards étaient loin d’être amicaux. Les enfants n’osaient pas s’en approcher. »

Les larmes de sa petite-fille l’ont poussée à agir. « Elle qui aime profiter de la piscine après sa leçon de natation ne voulait plus rester. Avec deux ou trois mamans, on a dû créer un passage entre les migrants, pour permettre aux petits d’avoir accès aux vestiaires. Ils étaient effrayés. »

(…)