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vendredi, 28 novembre 2014

Nicolas Sárközy : Israël « c’est le combat de ma vie »

 

Publié par Guy Jovelin

L’ancien président de la République Nicolas Sárközy se produisait lors d’une réunion publique à Boulogne-Billancourt mardi. À la toute fin de son intervention, deux questions ont été posées par le public. La première concernait les islamistes partis de France pour rejoindre les égorgeurs de l’État islamique (ÉI) au Levant, les mesures qu’il comptait prendre contre eux et contre les pays qui financent les groupes terroristes comme l’Arabie séoudite et le Qatar. La seconde, posée par une étrangère, portait sur la « diversité ».

Concernant les tueurs islamistes, Nicolas Sárközy a refusé – ou oublié – de répondre sur les individus partis de France. Il n’a pas évoqué une seule mesure ni contre les traîtres à notre peuple, ni contre les occupants. Il s’est par contre longtemps attardé sur les vertus de la « diversité » au Proche-Orient.

Il en a profité pour revendiquer un soudain amour pour l’Iran, pour l’Irak, pour la Syrie, pour la Russie, rappelant sa proximité avec le Qatar en le défendant et refusant d’avancer des mesures contre les pays qui soutiennent les groupes terroristes.

Surtout, près de la moitié du temps de la réponse à la question a été consacré à Israël alors que l’entité sioniste n’avait été évoquée à aucun moment par l’intervenant. Il a livré encore une étonnante échelle des valeurs selon laquelle la démocratie elle-même devait s’effacer devant la diversité.

« Pour ces pays, il y a beaucoup plus important que la démocratie : il y a la diversité. […] C’est pour ça qu’il faut défendre le droit inaliénable à la sécurité d’Israël parce qu’un Moyen-Orient et un Proche-Orient sans Juif qui y sont depuis des millénaires, ce n’est plus le Moyen-Orient et c’est n’est plus le Proche-Orient. Ça ne s’appelle pas la démocratie, ça s’appelle la diversité.
Et enfin puisqu’on en est là, et que ce n’est pas votre question, mais que ce sera ma réponse, je suis étonné de ce qui va se passer dans quelques jours où une résolution du Parti socialiste voudrait faire reconnaître de façon unilatérale [sic] l’État palestinien [huées], quelques jours après les attentats odieux et sanglants de Jérusalem [applaudissements].
Là encore je vous dois ma vérité. Je n’accepterai jamais que l’on remette en cause le droit à la sécurité d’Israël. Jamais. [applaudissements nourris] C’est le combat de ma vie.
Je vais vous dire une chose. Je me battrais – Patrick tu le sais – pour que les Palestiniens un jour aient leur État. J’ai pris la responsabilité – qui a été bien critiquée, souviens-toi, Claude – de faire rentrer les Palestiniens à l’UNESCO. Mais la reconnaissance unilatérale, quelques jours après un attentat meurtrier, alors qu’il n’y a aucun processus de discussion de paix, au hasard d’une motion déposée par le Parti socialiste pour régler les équilibres entre eux, cela ne je ne peux pas l’accepter et je demande à mes amis de ne pas la voter. On veut jeter de l’huile sur le feu ? On veut tout compliquer ? » a déclaré Nicolas Sárközy, déclenchant l’hystérie parmi les nombreux juifs présents dans la salle.

L’ancien président a très lourdement insisté encore sur la « diversité » lors de sa réponse à la dernière question.

« Je veux continuer à promouvoir des hommes et des femmes de la diversité, parce que je veux que nous ressemblions à la France et non pas à une partie de la France » a-t-il déclaré, évoquant la France comme telle que conçue par le projet mondialiste. Ce raciste antiblanc a reconnu n’avoir nommé Rachida Dati au ministère de la Justice uniquement parce que c’est une étrangère : « J’avais voulu Rachida Dati comme garde des Sceaux parce que je m’étais dit que Rachida Dati, avec père et mère algérien et marocain, pour parler de la politique pénale, ça avait du sens. » a-t-il lancé. Cette déclaration a provoqué une polémique dans les médias, dont aucun n’a rappelé les implications de plusieurs frères de Rachida Dati dans des affaires criminelles, notamment des trafics de drogues internationaux.

« Ou que Rama Yade, cette jeune femme arrivée à 8 ans […] c’était important que nous la droite et le centre républicains nous représentions la France dans sa diversité, parce que la France d’aujourd’hui elle est comme ça. Et si vous ne représentez pas la France dans sa diversité, la France ne se reconnaîtra pas en vous. Donc je crois à la représentation de la diversité » a ajouté Nicolas Sárközy, dans des propos à l’opposé des discours tenus devant les Français blancs du sud du pays il y a seulement quelques jours contre l’immigration-invasion.

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mardi, 18 novembre 2014

LE DESSIN DU JOUR !

LE DESSIN DU JOUR !

Ignace - Sarkozy contraint de se radicaliser

mercredi, 01 octobre 2014

« Nicolas Sarkozy, un scénario prévu ! »

Franck.jpegNous avons assisté à une belle démonstration de communication en politique.

M. Nicolas Sarkozy, humble et sûr de lui en même temps ; nous avons senti tout de même une maturité naissante.

Hormis ce constat réaliste, soyons pragmatiques, nous avons pu constater le côté manœuvrier de M. Sarkozy.

Nous nous en expliquons, quand il parle de référendum. A aucun moment il a mis en application ce procédé sur des sujets sociétaux ; en matière d’insécurité ou d’immigration.

Par exemple quand il était au pouvoir, en ce qui concerne l’emploi, son bilan avant de laisser la place à son successeur M. Hollande, a été calamiteux.

En outre il ose dire que l’alternative à ses propositions, et là il se place comme candidat en 2017 pour la pseudo droite, faisant fi de ses concurrents, serait le laxisme ou l’isolationnisme.

En gros le changement dans la continuité sauce Hollande et le repli sur soi sauce Le Pen.

Pour nous, il s’agit d’un schéma somme toute réducteur.

Bien sûr M. Hollande ne redressera jamais le gouvernail, Me Le Pen non plus, tant elle circule à l’aveuglette et à tâtons, en exploitant sans vergogne la colère et le désarroi du peuple français.

Le PS et le FN n’offrent comme perspectives que l’immobilisme et l’aventurisme.

Nous sommes dans un tunnel, voir un puits sans fond.

Il nous faut un guide. Le peuple français désire une oreille, une écoute et un leader qui ne se contente pas de belles prestations et de gesticulades.

Entre un homme spectateur de la vie économique française, un ancien Président de la République bateleur de foire et une Présidente de parti frôlant la caricature, n’ayant que l’invective à la bouche, les Français ne peuvent qu’être écœurés, perturbés, dégoûtés.

Assez de mensonges, de démagogie, de propos acerbes et abjects.

Soyons humbles et pragmatiques pour le bonheur du peuple français.

C’est ce que nous proposons au Parti de la France ! Rejoignez-nous !

Franck Pech

Responsable communication du Parti de la France 31

lundi, 22 septembre 2014

Pendant que la France agonise, l’UMP se divertit avec une nouvelle guerre des chefs

Publié par Guy Jovelin

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Avant son intervention sur France 2 hier soir, le Journal du Dimanche publiait un entretien de Nicolas Sárközy dans ses colonnes. L’ex-président failli, auxquels les Français ont même préféré François Hollande, se plaçait en chef de l’UMP de fait organisant seul ce parti – avec un nouveau pour faire oublier les scandales passés – selon sa volonté.

« Je vais changer le nom du parti, mettre en place une nouvelle organisation, installer une relève et faire revenir les adhérents et donateurs pour redresser les comptes. […] Si je réussis cette nouvelle formation, ils [Alain Juppé et François Fillon] ne pourront plus me rattraper. »

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Lors de son passage sur France 2 hier, il a évoqué à nouveau ses deux adversaires, avec un ton particulièrement condescendant :

« Alain Juppé c’est un compagnon, j’aurai besoin de lui. Je n’ai pas vu qu’il était candidat à la primaire de l’UMP. J’aurai aussi besoin de François Fillon »

a-t-il déclaré comme si la primaire n’avait pas lieu d’être.

Pendant que Nicolas Sárközy prenait la parole sur France 2 et lançait son appel à son « compagnon » Alain Juppé, ce dernier a fait paraître sur son site son programme, marquant autant son désintérêt pour son ancien chef de parti que sa volonté d’accélérer la cadence.

« Je ne suis pas une girouette. Si j’ai dit ça, c’est parce que j’y ai réfléchi, pensé, j’en ai envie et donc je vais aller jusqu’au bout. Je sais bien qu’aujourd’hui le match a commencé et que le tacle commence. On essaie de faire croire que je n’irai pas jusqu’au bout. Eh bien je vais en apporter la démonstration. Vous le verrez en 2016 et 2017 »

avait-il précisé dans la matinée, témoignant ailleurs de sa haine toujours intacte contre le Front national.

« L’intox a commencé […] je ne vais pas passer mon temps à me positionner par rapport à Nicolas Sarkozy, ce qu’il pense, ce qu’il est supposé penser ou ce que vous lui faites dire […] en matière d’ennuis judiciaires, vaut mieux pas se livrer à un match, hein »

s’est-il énervé après les premières violentes attaques de Nicolas Sárközy rappelant la condamnation pour corruption d’Alain Juppé.

« Je n’ai pas le culte des sauveurs, mais le culte des idées. Aujourd’hui, la question n’est pas de savoir qui peut battre François Hollande. A priori, tout le monde. […] Mon rôle au sein de la direction collégiale me commande de ne pas prendre parti, de rester au-dessus de cette compétition interne. Je ne donne aucune instruction »

a lâché de son côté François Fillon, sans même prononcer le mot de son ancien chef et tentant, lui aussi de se placer au-dessus de la mêlée. Comme ses deux adversaires principaux et tout comme Hervé Mariton et Bruno Le Maire, les déjà oubliés de la primaire.

Source : http://jeune-nation.com/2014/09/9538-pendant-que-la-franc...

dimanche, 21 septembre 2014

Sarkozy, un long travail commence – par Pierre Saint-Servant

Publié par Guy Jovelin

Face à l'escroquerie politique Sarkozy, un long travail commence

20/09/2014 – PARIS (NOVOpress)

Vendredi 19 septembre 2014, Nicolas Sarkozy a choisi avec l’amour de la forme et le sens de la dignité qui le caractérisent de confirmer son retour – serpent de mer depuis de nombreux mois – dans la vie politique française. Retour qui avait d’ailleurs été anticipé grâce aux nombreuses mises en causes judiciaires dont il est le protagoniste.

Sa déclaration, qui singe la grandeur et le sens des responsabilités mais ne sonne finalement que factice et cérémonieuse, frappe surtout par sa vacuité. Fatigue du sens dirions-nous avec Richard Millet. Une millième fois, nous est joué le coup du changement, de la rupture, du nouvel élan, de l’avenir radieux. Encore heureux que Séguéla ne soit pas passé par là, lui qui appelait il y a quelques jours sur les ondes de Radio Classique à un “espoir d’espérance” en évoquant Sarkozy. Sont-ils tombés bas ? Et depuis combien de temps poursuivent-ils ces discours de basse fosse, nous imposent-ils cet air irrespirable ?

Sa déclaration, qui singe la grandeur et le sens des responsabilités mais ne sonne finalement que factice et cérémonieuse, frappe surtout par sa vacuité.

Malheureusement, plusieurs décennies de culture de masse, de vide culturel, de déracinement acharné, de destruction de l’école, de la famille et de tous les lignages des hommes francs (c’est-à-dire libres) nous portent à la plus grande vigilance. Qu’une nouvelle majorité de Français se forme autour du vide empli de mensonges n’est pas chose impossible. A coup de matraquage médiatique et de “story-telling” savament orchestré, l’imposture peut à nouveau faire son nid.

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