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vendredi, 03 août 2018

Suivez le coq : le label d’établissements garantie non-halal

Publié par Guy Jovelin le 03 août 2018

Suivez le coq
Lancé à la fin de l’année 2016, le label Suivez le coq indique les boucheries ou les restaurants certifiés non-halal. Une initiative signée l’association Vigilance Halal. 

« La qualité de l’élevage à l’assiette ». C’est le maître-mot de l’organisation Suivez le coq, une plateforme mise en place sous l’impulsion de l’association Vigilance Halal, présidée par le docteur Alain de Peretti.

Sur son site internetSuivez le coq met à disposition des internautes une carte permettant de géolocaliser les établissements ayant reçu le label éponyme dans toute la France. Pour recevoir cette distinction, les boucheries doivent vendre uniquement de la « viande de tradition française », c’est à dire garantie 100 % non halal.

Lire aussi : Toulouse est la deuxième ville abritant le plus d’islamistes

Car tel est le combat de Vigilance halal qui milite pour le bien-être animal en s’opposant aux abattages rituels. « L’abattage halal des animaux, qui tend à devenir la règle alors qu’il n’est qu’une dérogation, pose une double problématique : la souffrance animale et les risques sanitaires. Les scandales qu’il induit ont entraîné une dégradation de l’image de marque des professions de la viande. ». L’association argument : « Plus de 70% des français sont contre l’abattage halal et sont prêts à favoriser dans leurs achats de la viande garantie non halal : il y a donc un marché énorme ! Cela a été confirmé par les bouchers adhérents du réseau qui ont gagné des clients. »

Lire aussi : Le plus grand édifice religieux de Toulouse sera… la mosquée du Mirail

Sur la carte à retrouver sur leur site internet de Suivez le coq, plusieurs dizaines d’établissements sont labellisés en Occitanie, dont une petite quinzaine en Haute-Garonne. Du Comminges à Toulouse et sa périphérie, en passant par le Lauragais ou le Muretin.

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Suivez le coqCartographie des restaurants et boucheries labellisés « Suivez le coq » en Haute-Garonne et ses alentours.

La promotion du réseau est faite par des bénévoles qui profitent de leurs trajets quotidiens pour démarcher un restaurant ou une boucherie en se munissant préalablement du kit-partenaire téléchargeable sur internet. Les arguments de « suivez le coq » pour l’abattage traditionnels et non-halal y sont listés.

Bertrand.

 

Source : infos-toulouse

mardi, 03 juillet 2018

Encore 5 projets de mosquées à Toulouse et dans l’agglomération

Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2018

Par  le 02/07/2018 

Après 13 ans de travaux, la grande mosquée de Toulouse a été inaugurée samedi 23 juin dans le quartier d’Empalot. D’autres édifices religieux sont actuellement en projet.

1. Basso-Cambo : le (futur) plus grand lieu de prière de la Ville

2. La Faourette : un permis de construire accordé

3. Une mosquée au nord de Toulouse

4. Un projet à Portet-sur-Garonne

5. Blagnac : le financement reste encore à trouver

dimanche, 01 juillet 2018

Toulouse : Une église profanée par des militants LGBT

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2018

 
 
 
 
La chapelle Notre-Dame du Férétra a été victime des bombes de peintures de militants LGBT, à Toulouse. Des slogans appelant à la profanation ont été découvert samedi matin. 

Les militants LGBT s’en prennent aux catholiques. Samedi matin, des graffitis ont été découverts sur les murs de l’une des plus anciennes chapelles de Toulouse. Notre-Dame du Férétra, qui accueille plusieurs centaines de fidèles chaque dimanche, suivant la messe dans le rite traditionnel, enseigné par le pape Pie V, au XVIe siècle, a été victime de dégradations sur son édifices. Plusieurs tags ont été découverts en fin de semaine. Le premier est une injonction selon les militants LGBT qui auraient supposément commis ces actes : « Satan punit les homophobes ». Sûrement une vérité révélée dans un sacro-saint écrit laïco-homo-transsexuel.

Sur un second tag, dévoilé par Autan-Réinfo, une menace est clairement écrite noire sur blanche – enfin sur rose, selon la couleur des briquettes de l’édifice. « Église en feu », « sale prêtre », peut-on lire. Une menace d’une profanation programmée ?

Cette chapelle n’est pas anodine dans l’histoire de Toulouse. Elle a accueillit la dépouille de saint Thomas d’Aquin en 1225. Une nuit durant, le corps du docteur de l’Église a été veillé avant d’être mené jusqu’au couvent des Jacobins, où sont encore visibles ses reliques.

C’est donc une ancienne chapelle, située place Saint-Roch, à l’entrée du quartier Empalot, qui a été victime de personnes malveillantes. Mais qui sont-ils ?

L’enquête avance petit à petit. Si les auteurs ne sont pas identifiés, leur profil ne laisse guère de doute. Un fidèle, ayant constaté les dégradations, confie à Infos-Toulouse : « Ce sont des anarchistes et des militants LGBT. Sur les murs, en plus des slogans pro-gays, il y a le symbole des anarchistes ».

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 22 juin 2018

Inauguration de la Grande Mosquée de Toulouse : l’imâm algérien veut un califat pour la « communauté supérieure »

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2018

Auteur : Pierrot

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La Grande mosquée de Toulouse


Trouvé sur l'Observatoire de l'islamisation : La Grande mosquée de Toulouse dite d’Empalot va être inaugurée en grande pompe ce samedi 23 juin  prochain.  Financée avec les contributions de l'Algérie qui pourchasse les Chrétiens, à hauteur de 213 000 euros et celui du Koweït pays bailleur de fond des groupes djihadistes, pour 131 000 euros. Le terrain avait été vendu par la mairie UMP-LR de Jean-Luc Moudenc à un prix qui avait scandalisé les professionnels locaux de l’immobilier. 

Un article de Robert Langlois fait le point sur ce coup de pouce foncier :

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mardi, 12 juin 2018

Toulouse inaugure sa grande mosquée de 2800 places financée entre autres par l’Algérie et le Koweit. Elle est dotée d’une école coranique.

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

Par  le 11/06/2018 

Au terme de treize ans de travaux et de collecte de fonds auprès des fidèles, la Grande mosquée de Toulouse, dans le quartier d’Empalot, sera officiellement inaugurée samedi 23 juin

Le 23 juin, une centaine de personnalités civiles et religieuses sont conviées par l’association du Cercle de dialogue civilisationnel à l’inauguration de La grande mosquée de Toulouse. Pour Mohamed Tatai, l’imam de la mosquée Al Nour d’Empalot et président de l’association qui porte le projet depuis la pose de la première pierre le 28 avril 2005, cette inauguration officielle marque la fin d’un parcours semé d’embûches qui mobilise depuis treize ans la communauté des quelque 3 000 fidèles qui fréquentent chaque vendredi la petite mosquée implantée depuis 1989 au pied des barres d’immeubles. Celle-ci disparaîtra au profit du nouveau lieu de culte dont le dôme doré surplombe la rocade. Six millions d’euros ont été nécessaires pour ériger cette Grande mosquée de Toulouse dont le nom a été déposé en préfecture au début des années 2000. L’essentiel du financement provient des souscriptions des fidèles de la mosquée Al Nour appelés trois fois par an à verser leur obole sous forme de dons ou de prêts sans intérêts. Deux financements d’États triés sur le volet pour préserver l’indépendance de la mosquée et de ses fidèles ont complété le budget au fil de l’eau. Le ministère des affaires religieuses d’Algérie a versé 213 000 € et celui du Koweït 131 000 €. Mais à deux reprises en 2006 et 2007 lorsque deux officiers Libyens ont proposé à l’imam de se rendre à Paris pour rencontrer Saïf al Islam le fils de Mouhamar Khadafi afin d’envisager un financement libyen de la mosquée, Mohamed Tatai leur a suggéré «d’aller construire une mosquée à Tripoli pour être sûre de tout contrôler».

La Grande mosquée de Toulouse comporte trois salles de prière, dont une réservée aux femmes, d’une capacité de 2 800 fidèles. Elle abrite également une école où sera enseigné le Coran, la langue Arabe, la religion et les sciences islamiques supérieures pour les adultes. Des cours de soutiens scolaires y seront également dispensés. Une dizaine de personnes devraient y être employées. Les ornements de ce lieu de culte ont été importés de plusieurs pays musulmans : les tapis et les portes richement décorées viennent de Turquie, les lustres d’Égypte, les stucs qui décorent les murs sont marocains et les ornements de marbre proviennent de Tunisie.