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jeudi, 22 mars 2018

Toulouse : la police est attaquée parce qu’elle arrête un « dealer »

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2018

Auteur : Pierrot


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Ce qui devait être une banale interpellation d’un dealer présumé a mal tourné, lundi vers 18 h 15 à Toulouse. Alors que l’homme recherché tentait de prendre la fuite en traversant un marché de la rue de Kiev, dans le quartier de La Reynerie (quartier bigarré de Toulouse), une patrouille de la Brigade spécialisée de terrain (BST) Mirail a été prise à partie par « une foule hostile », selon une source policière.

« Une centaine de personnes a lancé des cailloux et des légumes » sur les fonctionnaires.

Un policier légèrement blessé

L’un d’entre eux a été légèrement blessé au tibia. Des renforts sont alors arrivés et ont utilisé des grenades lacrymogènes pour « désencercler » leurs collègues.

Seul l’homme recherché pour trafic de drogue a été interpellé avant que la police ne quitte les lieux.

 

Source :  20 Minutes via  contre-info

dimanche, 04 mars 2018

Vol de téléphones portables à Toulouse : 4 ans de prison pour l’agresseur, un migrant clandestin congolais

Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2018

Par  le 03/03/2018

C’est devenu un sujet récurrent : les vols de téléphones portables. Jeudi, devant le tribunal correctionnel de Toulouse, un homme de 30 ans a été condamné à 4 ans de prison.

C’est d’ailleurs à ce sujet qu’un homme de 30 ans vient de comparaître devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Du 26 juillet 2017 au 11 janvier 2018, cet homme d’origine congolaise a dérobé plus de 9 téléphones portables. Des vols simples parfois aggravés avec des scénarios similaires et une seule et même cible : les femmes. Bien souvent, à proximité des stations de métro, c’est à bord de son vélo, capuche sur la tête, qu’il venait arracher le sac à main de ses victimes. Il récupérait les téléphones portables – de marque Samsung de préférence – parfois les cartes bancaires et prenait la fuite. Ils en gardaient quelques-uns, en revendaient d’autres, entre 100 et 150 € «au black» ou dans une boutique.

Mais parfois, pour arriver à ses fins, le voleur se montrait plus virulent. «Je marchais dans la rue avec une amie. D’un coup, il est arrivé derrière moi, il a mis sa main sur ma bouche comme pour me faire taire et m’a plaqué au sol. Puis, il est parti avec mon sac», a expliqué une des victimes à la barre, encore traumatisé par ce moment.  (…)

 

dimanche, 18 février 2018

Toulouse est la deuxième ville abritant le plus d’islamistes

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2018

   
 
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© Capture d'écran France 2

350 personnes suivies par les services de renseignement au motif de radicalisation, en Haute-Garonne. C’est le chiffre énoncé lundi par le préfet Pascal Mailhos, lors  de la présentation du bilan de la délinquance. Toulouse se placerait à la seconde position du classement, à égalité avec Marseille.

Avec Marseille et Paris, Toulouse est connue pour être un terreau fertile pour la radicalisation islamiste. Première ville à avoir été touchée par le terrorisme en France cette décennie, avec l’affaire Merah, elle est aussi un lieu de fréquentation salafiste, notamment dans le quartier du Mirail, qui a vu passer entre autres les frères Clain, auteurs de la revendication des attaques du 13 Novembre.

En Haute-Garonne, ce sont 350 personnes qui sont suivis pour motif de radicalisation par les services de renseignements. « Ce chiffre nous place à l’égalité avec Marseille », a précisé le préfet Pascal Mailhos, mardi 13 Février en conférence de presse. Ce sont 100 personnes de plus qu’il y a deux ans, et 50 de plus qu’il y a un an. Des suivis de ces profils signalés et fichés S sont effectués toutes les semaines par les services de l’État et du renseignement.

Lire aussi : Entretien exceptionnel avec Alexandre Mendel : Toulouse djihadiste !

Seulement 85 de ces 350 radicalisations seraient traitées en zone gendarmerie, le reste en zone police (Toulouse, Blagnac, Colomiers).

Les liens entre radicalisation et délinquance

Lors de la conférence de presse, le préfet a également insisté sur les liens entre radicalisation et délinquance. Sa conviction : « Lutter contre la délinquance, c’est lutter contre la radicalisation. Une partie de la radicalisation trouve ses moyens dans le trafic de stupéfiants et le trafic d’armes ». Le procureur de la République à Toulouse, Pierre-Yves Couilleau, partage ce constat : « Notre intuition c’est qu’il y a porosité entre délinquance de droit commun et radicalisation. Ces trois dernières années, nous avons signalé 29 personnes au parquet de Paris pour des liens présumés entre trafic et terrorisme, des enquêtes ont été initiées ».

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Source : infos-toulouse

lundi, 05 février 2018

Des armes en pleine rue pour le tournage d’un clip de rap

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

 
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Un groupe d’individu en pleine rue, les armes à la main, en pleine soirée dans le quartier des Argoulets. Ce n’était pas le tournage d’un film mais bien d’un clip de rap auquel ont été confrontés les habitants et les policiers, vendredi 2 février dernier à Toulouse. Une information relevé par La Dépêche. 

Démonstration de force de la part d’une dizaine de personnes à Toulouse, vendredi soir. Le tournage d’un clip de rap a été écourté par les policiers après avoir semé l’émoi dans le quartier des Argoulets à Toulouse. Vers 22 heures, de nombreux témoins ont aperçu ce groupe d’individu, les armes à la main rodant dans les rues. Après avoir alerté les policiers, inquiets des potentielles intentions, un grand nombre de fonctionnaires ont été contraints de se rendre sur place.

Une dizaine de personnes ont été contrôlés. Seules une personne a été placé en garde à vue pour détenir un pistolet à grenaille. Un second individu a fait l’objet d’une procédure simplifiée, lui qui était en possession d’un pistolet à plomb et à grenaille. Le tournage du clip n’avait aucune autorisation légale.

Plusieurs clip de rap sauvage ont déjà crée la polémique

Ce n’est pas la première fois que des tournages clandestins s’organisent avec l’exposition d’armes à feu. À Nice, en 2012, un groupe de rap niçois s’était illustré en déployant un drapeau algérien frappé du croissant sur le toit d’une église et tirant en l’air à coup de kalachnikov. Plus récemment, le rappeur Sofiane s’était permis de bloquer l’autoroute A3 en Seine-Saint-Denis, à deux reprises. Le parquet de Bobigny a requit, le 22 janvier dernier, une peine de trois mois de prison ferme, pour entrave à la circulation. Dans le clip visionné 32 millions de fois sur internet, on le voit attablé à une table de bistrot sur les voies de l’autoroute, consommant un café.

La rédaction d’Infos-Toulouse

 

Source : infos-toulouse

jeudi, 18 janvier 2018

Lycée Galliéni à Toulouse : 36 caméras pour protéger les profs

Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2018 

 

Mise à part l’installation de 36 caméras au lycée toulousain Joseph Galliéni, les enseignants, reçus au rectorat hier, ont fait chou blanc «mais le dialogue est ouvert». 

(…) Trente-six caméras suffiront-elles à changer la donne ? Force est de constater que le dispositif du conseil régional, qui a déjà assuré de nombreux travaux de mise en sécurisation, n’a pas suffi. Ils devaient permettre à ce lycée, situé route d’Espagne, de se doter d’outils performants : mise en place d’un sas sécurisé et d’un tourniquet pour l’entrée des élèves, une caméra de vidéoprotection sur le parvis, un portail coulissant automatique, un visiophone et des caméras sur le parking. Au total, 300 000 euros engagés. Sur près de 1 000 élèves scolarisés, 150 sont jugés «très difficiles» ou suivis par la justice dans cet établissement où le désarroi se lit sur les visages. Et où les dégradations multiples se chiffrent à 47 000 euros par an.

Bagarre en classe, élèves qui pianotent sur leur smartphone en plein cours, un autre qui se lève et se cogne la tête contre le mur avant de se rasseoir, Fanny Guichard à tout vu en sept ans d’enseignement au lycée polyvalent Joseph Galliéni. Cette professeure de physique-chimie, comme nombre de ses collègues, est à bout cette année. «C’est simple, j’ai demandé ma mutation en Polynésie, loin d’ici, je n’en peux plus».  (…)