Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 19 mai 2014

À Carcassonne, Manuel Valls fait interdire les hommages nationalistes, mais laisse les bandes ethniques ravager la ville

Publié par Guy Jovelin

 

Le protecteur des racailles, Manuel Valls, a affecté samedi une trentaine de policiers à la surveillance d’une cérémonie (« interdite ») en l’honneur de Jeanne d’Arc et Pépin le Bref et du repas amical qui l’accompagnait. Pendant ce temps-là, dans le quartier occupé d’Ozanam, des émeutiers étrangers ont commis trois incendies volontaires. Les pompiers et les policiers qui sont intervenus ont été caillassés et insultés. Aucune interpellation n’a été réalisée dans ce quartier où une église a été incendiée à la fin de l’année 2013.

Source

« Le Parti de la France : dérangeant ? »

Publié par Guy Jovelin

idéal,peupleA l’heure où tout le monde se satisfait d’un monde aseptisé, lobotomisé, où au final une partie du peuple accepte tout et n’importe quoi, nous, nous sommes l’espoir.

Certes nous ne sommes pas majoritaires, mais nous préférons la qualité à la quantité d’âmes perdues !

Notre but est de rassembler le peuple français avec notre idéal national, populaire et social.

Le travail est difficile, les attaques brutales contre nous, sans concessions, abjectes.

Tous les moyens sont bons pour nous étouffer !!!

Mais que les puissants sachent que rien ne nous fera taire, plus nous serons attaqués, plus nous serons combatifs et déterminés.

Les tenants de la liberté de « pensée », de par leurs manœuvres perfides, montrent leurs vrais visages, ceux de la dictature de la pensée unique, de droite comme de gauche.

Nous dérangeons parce que nous perdurons et que notre constat s’avère exact !

Certains esprits bien pensants nous ont déclaré la guerre ; qu’ils sachent que nous rendrons coup pour coup.

Nos existences ne seront pas vaines et les semences patriotiques et nationalistes que nous aurons semées trouveront leur aboutissement dans la renaissance du nationalisme intégral.

Nous, nationalistes français, sommes constitués d’un métal inébranlable, rétifs aux appels du système décadent.

Ce qui constitue notre force, c’est l’amour du peuple de France et son devenir.

« Que vive la France ! »

Franck Pech responsable communication PdF 31

 

Appelez-la Marine de Gaulle !

Le-Pen-Marine
Le 19 mai 2014
Scoop Boulevard Voltaire : Marine Le Pen vit une aventure avec Charles de Gaulle !
 
 

Marine est secrètement amoureuse. Elle n’ose pas encore avouer sa flamme, même stylisée, mais le désir n’est sans doute plus tenable. Oui, scoop Boulevard Voltaire : Marine Le Pen vit une aventure avec Charles de Gaulle !

Au début, la chose a été difficile pour papa. Parce que le Général, c’était pas trop sa tasse de thé. Mais alors pas du tout. Autant lui ramener un grand blackos rappeur. Jean-Marie, lui, c’était plutôt les gars de l’OAS qui le faisaient vibrer. Pas la grande Zohra ! Au fil du temps, pourtant, père aimant, il a fini par accepter l’inimaginable. Il se disait, au fond de lui, qu’on avait sans doute bourré le crâne de sa fille avec de Gaulle, qu’elle avait sans doute trop fréquenté ce diable d’Alain Soral, un gamin certes turbulent mais sympathique, une drôle de créature néogaulliste quand même ! Un soir, sa fille a osé lui présenter le grand dadais. Un escogriffe de près de deux mètres, beaucoup trop vieux pour son âge, en plus. Le gaillard avait l’étrange coutume de s’habiller en militaire et était toujours recouvert d’une épaisse poussière. Et puis cette bizarre habitude de pousser une gueulante dans des micros imaginaires… Marine était attendrie devant ce grand enfant mal fagoté.

Marine ne pouvait pas s’en empêcher. Les émissions télé passaient et chaque fois un peu plus, elle soupirait à l’évocation de l’homme du 18 juin. Elle commença à le citer : « Il n’y a qu’un malheur (c’est son expression préférée),le général de Gaulle l’avait bien dit, il faut reprendre le contrôle de notre monnaie. » Au sein de la grande famille du Front, la tension montait. Ambiance limite Petit-Clamart. Surtout que Marine fricotait de plus belle avec son copain Florian, lui aussi Colombeyphile. On commença à voir fleurir la croix de Lorraine dans certaines réunions, sur certaines affiches. Aïe ! Mais ça finissait par passer, car la figure du Général, si elle rebutait la vieille garde, passionnait les jeunes du parti. Et puis elle dirigeait désormais le mouvement, nom d’un quarteron !

De Gaulle devint alors le mot brûlant, celui qu’elle savourait à pleine bouche devant Ruth, devant David ou Léa. Durant les débats, les constipés de l’UMP en avalaient leurs factures de conférences fantômes. « Comment osez-vous vous réclamer du Généraaaal, vous madame, dont on connaît les tristes origines de votre parti », déclaraient pêle-mêle tous les ténors copéistes. Pourtant, le vent avait tourné. Des cendres du gaullisme, dont elle se disait l’héritière, la droite française avait fait de la pâtée pour chien. Vint un jour le tour du brave Guaino. Marine lui récita les dix commandements du gaullisme, tous en violente contradiction avec la politique de l’UMP. Le nègre de Sarko avala sa salive en priant que la pub arrive. Il avait senti que Marine Le Pen devenait Marine de Gaulle, captant la tradition et fusionnant l’irréconciliable avec la vigueur des convertis. Le futur nous dira si les mariés vécurent heureux et eurent de nombreux enfants !

dimanche, 18 mai 2014

Laurent Fabius a représenté la France au Global Forum de l’American Jewish Committee

Publié par Guy Jovelin

Lundi 12 mai, le ministre Laurent Fabius s’est rendu à Washington pour prendre la parole au Global Forum de l’American Jewish Committee en présence de diverses personnalités dont Hillary Clinton, John McCain, le ministre israélien Youval Steinitz ou encore Roger Cukierman, président du CRIF.

Le discours de Laurent Fabius était consacré en grande partie à la « lutte contre l’antisémitisme« .

« L’AJC est reconnu pour son leadership dans la protection des communautés juives, la lutte contre l’antisémitisme, et la sécurité d’Israël. Je suis heureux et honoré d’être ici avec vous. (…) Je voudrais aborder deux questions d’intérêt commun: la lutte contre l’antisémitisme, et les principales priorités de la diplomatie française au Moyen-Orient.

Permettez-moi de commencer par quelques mots sur la France, en ce qui concerne la lutte nécessaire contre l’antisémitisme. La communauté juive française, la troisième plus grande dans le monde, est indissolublement liée à la République française. La France révolutionnaire, au 18ème siècle, a été le premier pays européen à accorder la pleine citoyenneté aux membres de sa communauté juive. C’est en France, à partir du 19ème siècle, que tant de gens talentueux issus de familles juives ont prospéré dans les domaines de la culture, la science, la politique et les fonctionnaires comme supérieurs, contribuant au rayonnement de la France ainsi que pour le progrès de l’humanité. Le premier chef juif d’un gouvernement occidental était le Français Léon Blum, en 1936. (…) C’est pourquoi, comme l’a souligné le président français en mars dernier devant le Conseil représentatif des institutions juives de France, nous sommes «absolument intransigeants contre les actes d’antisémitisme, parce que chacun représente un coup porté à la France».

Laurent Fabius a insisté sur les mesures que la France comptait utiliser pour censurer les sites web litigieux.

Le ministre des Affaires étrangères a tenu à souligner que « la France est, comme vous le savez, le lieu de naissance d’une notion qui est spécifique, mais fondée sur des principes universels: nous l’appelons «la laïcité».« 

Laurent Fabius a également évoqué la situation internationale. D’abord le Moyen-Orient. Le ministre a rappelé que les coûts seraient lourds en cas d’un arrangement entre Israël et la Palestine. « Avec nos partenaires européens, nous avons proposé à Israël et l’Autorité palestinienne la création d’un «partenariat privilégié spécial» si un accord de paix est conclu. Cette offre, une contribution importante à la coopération régionale et de la paix, permettrait de renforcer pleinement la relation d’Israël avec l’Union européenne.« , a déclaré Fabius.

Après quelques généralités concernant la Syrie, l’Iran et l’Ukraine, Laurent Fabius a terminé en citant un propos d’Emile Zola écrit dans le cadre de l’affaire Dreyfus. Tous les codes de langage destiné au public de l’American Jewish Committee ont été scrupuleusement respectés…

Source

Jamel Debbouze accusé de meurtre depuis 20 ans…

Publié par Guy Jovelin

Le 17 Janvier 1990, Jean Paul ADMETTE (16 ans), fils de Michel et Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes.
Un train qui arrivait à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette main qu’il cache obstinément dans ses poches.

« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera de dire Marlène Admette. « Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée.
C’est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l’Ecole, tous sauf une jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »

Jamel fut poursuivi pour homicide involontaire suite à la plainte déposée par la famille, cependant, il obtiendra un non-lieu.
La mère ajoute que Jamel n’aurait jamais daigné présenter ses excuses à la famille Admette.

« Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes». «Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé.
Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé.»

«On ne nous a rendu que le corps. Oui, c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.

En 2007, Jamel Debbouze avait programmé une tournée à la Réunion. Il a dû l’annuler au dernier moment, évoquant un problème de santé. Pour les Admette, qui avaient manifesté en apprenant sa venue, il avait seulement eu peur de se retrouver face à eux.

Source