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samedi, 17 mai 2014

Journée de la jupe : polémique à tous les étages… (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

 

Il y a des « timing » plus heureux que d’autres. Ainsi, celui de la « Journée de la jupe », récemment tenue à Nantes. Là, aussitôt, les esprits s’enflamment, sachant que nos enfants se trouvent sommés (les garçons surtout) de venir à l’école en jupe ; et rouge à lèvres, si affinités.

Du coup, tout se barre un peu en sucette, comme l’aurait chanté France Gall à l’Eurovision, du temps où l’on ne portait pas les femmes à barbe au pinacle. Et de fait, toujours, tsunami sur la blogosphère ; paranoïa dans l’escalier et complotisme à tous les étages. Bref, de quoi s’agit-il, à l’origine ? D’une très nigaude riposte au sexisme ambiant, le tout remontant au téléfilm La Journée de la jupe (2009) dont Isabelle Adjani, d’origine maghrébine pour en rajouter au couscous, fut l’éphémère héroïne. Il s’agissait alors de « stigmatiser » le machisme des « quartiers ».

Et voilà que le bidule se réinvite dans le débat public. Avec Le Figaro qui part bille en tête. Yves Thréard dans ce vénérable quotidien : « Assez de cette manipulation mentale, du détournement digne – la lutte contre le sexisme – pour une cause subversive, de ce décervelage égalitariste qui veut tous nous faire ressembler à des avatars. N’en déplaise aux prêcheurs de l’indifférenciation, l’homme en jupe n’est pas le rêve de la femme, pas plus que la femme en pantalon n’a été l’avenir de l’homme. »

Assez logiquement, et non sans raison, Libération réagit sous la plume de Véronique Soulié, remettant cette initiative potache, et très nigaude, à la place qui lui revient de droit : « Au départ, une idée d’élèves nantais élus au conseil académique de la vie lycéenne : organiser une journée de lutte contre le sexisme baptisée “Ce que soulève la jupe”. Ce jour-là, filles et garçons, profs comme élèves, sont invités à porter une jupe ou un autocollant “Je lutte contre le sexisme ; et vous ?” » Bref, à peu près aussi con que SOS Racisme ou Ni putes ni soumises… Lire la suite

Des hommages funèbres oui, mais pas pour tout le monde !

Publié par Guy Jovelin

mali_4Une jeune photographe indépendante a été tuée dans une embuscade dans la région de Bouar, près du Cameroun et du Tchad.
Sa mort a été annoncée mardi par l’Élysée suite à quoi une minute de silence a été observée mercredi à l’Assemblée nationale. Camille Lepage est la troisième journaliste à mourir en Centrafrique ces dernières semaines . François Hollande est donc venu se recueillir pendant une demi-heure auprès de la dépouille de la journaliste française .

Or dans la nuit du 7 au 8 mai dernier, un huitième soldat français trouvait la mort au Mali. Si de nombreux Français se sont retrouvés au pont Alexandre III ce lundi 12 mai pour lui rendre un dernier hommage lors du passage de son cortège funéraire, on notera encore une fois l’absence du pantin qui sert de chef des armées .

Il ne s’agit pas ici de diminuer l’importance de la mort de la jeune femme qui menait un reportage sur les milices animistes et chrétiennes, il s’agit simplement de noter une fois encore le mépris de ce simulacre de chef d’Etat pour son armée !

« Ce drame montre une nouvelle fois combien est dangereux le métier des journalistes qui souvent mettent leur vie en péril pour continuer à nous informer », a souligné à la tribune le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone. A quand d’aussi jolies phrases lors d’hommages aux soldats morts en Opex ?!

Marie de Remoncourt

Source : http://www.contre-info.com/

vendredi, 16 mai 2014

Pour la première fois, un premier ministre célèbre la fête nationale d’Israël

Publié par Guy Jovelin

 

Manuel Valls – comme les autres membres de son gouvernement – ne célèbre pas Jeanne d’Arc, ni les fêtes catholiques, pas plus que les solstices. Invité régulier du CRIJF, il vient a contrario de participer mardi à la fête nationale israélienne de l’ambassade de l'État hébreu. C’est la première fois qu’un premier ministre en exercice participe à une telle cérémonie. Aucun média français n’a couvert l’événement ; seul l’un d’entre eux a publié une dépêche sur le sujet.

Source

Carl Lang et Martine Lehideux interviewés lors du défilé du 11 mai à Paris

Publié par Guy Jovelin

 Carl Lang et Martine Lehideux interviewés lors du défilé du 11 mai à Paris

Voir les vidéos ci-dessous Lire la suite

jeudi, 15 mai 2014

« La femme à barbe, nouvelle icône, symbole de l’inversion des valeurs ! »

Publié par Guy Jovelin

Franck.jpegNous pourrions croire à une mauvaise farce du plus mauvais goût, mais il n’en est rien.

Français, vous ne rêvez pas, dans ce monde où tout se bouscule, l’absurdité et la dégénérescence gagnent du terrain chaque jour.

Dernier exemple en date, cette « conchita d’opérette », invertie qui se permet de donner au monde un message de tolérance.

Cette personne est le symbole même de l’inversion des valeurs, elle est l’image du non-respect de la nature, en définitive tout ce que nous exécrons.

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Quelle vision affligeante que cette foule de groupies en transe devant cette femme à barbe !

Où allons-nous ? Quelle image donnons-nous à nos enfants devant un tel spectacle aussi sordide ?

Alors certes certains « bobos de service et intellectuels » aux neurones atrophiés, verrons dans notre constat une vision et pensée réactionnaire, réfractaire à toute forme d’évolution des mœurs.

A ces penseurs nous répondrons qu’ils ont tout à fait raison. Nous n’admettons pas l’inversion des valeurs, des mœurs, pour la bonne et simple raison qu'il existe un effet néfaste, pernicieux, nuisible aux générations futures.

Nous devons tirer la sonnette d’alarme avant qu’il ne soit trop tard.

L’heure est à la réaction face à cette submersion de valeurs décérébrées, l’avenir de nos enfants est en jeu.

A aucun moment, ceux-ci doivent conserver l’image de cette icône, folasse, qui se croit investie par les puissants du moment.

Nous avons trop longtemps subi ce type de comportement et nous devons tout faire pour « écraser le ver dans le fruit » : il n’en est que temps !

Franck Pech Chargé de communication PdF