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vendredi, 16 février 2018

RAPPROCHEMENT ENTRE L’AUTRICHE ET LA SERBIE

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

mercredi 14 février 2018par Michel Dantan

national-hebdo

autriche,rapprochement,serbie

L’anti serbisme qui à propos de la question du Kosovo envenimait les relations entre Vienne et Belgrade appartient désormais au passé. Le nouveau vice chancelier autrichien Heinz Christian Strache au cours d’une visite officielle à Belgrade vient en effet d’ouvrir un nouveau chapitre des relations entre les deux pays en affirmant qu’il comprenait la position serbe au sujet du Kosovo. N’hésitant pas à jeter ainsi une pierre dans le jardin des eurocrates bruxellois quitte à s’attirer les foudres de l’opposition autrichienne arc boutée sur des positions euro atlantistes et anti européennes, le vice chancelier autrichien reconnaît à la Serbie le droit de contester ce qui leur a été arraché par la force, autrement dit que l’indépendance du Kosovo a été accordée aux albanais en violation du droit international. Précédant sa visite à Belgrade Strache dans une interview au journal Politika avait tenu à rappeler que son parti le FPO avait toujours été opposé à la déclaration unilatérale d’indépendance du Kosovo et condamné le gouvernement autrichien pour avoir rallié le camp de ses partisans. Au cours de ses entretiens avec le premier ministre serbe Ivica Dacic, Strache a évoqué également l’idée selon laquelle les serbes du Nord du Kosovo avaient le droit à l’autodétermination et qu’à l’avenir tout règlement de la question du Kosovo devait prendre en compte les intérêts de la Serbie. Dans un contexte où les pressions qui s’exercent sur la Serbie pour lui faire reconnaître l’indépendance du Kosovo se font toujours aussi fortes, il est inutile de dire que les propos du vice ministre autrichien sont allés droit au cœur de son homologue serbe le premier ministre serbe Ivica Dacic. Ce dernier lui a exprimé au nom de la Nation serbe toute la reconnaissance que lui inspiraient ses propos et déclaré que son pays avait le droit d’aimer ceux qui partageaient les mêmes sentiments à son égard. 


Source : B92

Carl Lang invité par Martial Bild sur TV Libertés

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

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jeudi, 15 février 2018

Rétablissons la PEINE DE MORT pour les tueurs d'enfants

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

Maëlys, Fiona, etc. Le Parti de la France a un projet pour les tueurs d'enfants

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Gelos (64) : la tradition d’accueil du sud-ouest profite aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

Par  le 14/02/2018 
 
Deux Soudanais et un Afghan en plein cœur du Béarn (Pyrénées-Atlantiques). Arrivés au terme de leur exil, interminable et périlleux, ils ont enfin en poche le statut de réfugiés et un titre de séjour de dix ans. Leur nouvelle famille, ce sont les Machu. Ce couple d’enseignants à la retraite les accompagne depuis maintenant plus d’un an, depuis leur arrivée dans les environs de Pau. Cours de français, aides dans les déplacements, visites de la région : dans toutes leurs démarches, ils sont avec eux.


Elles sont loin, les montagnes d’Afghanistan. Aimal a, lui aussi, un statut de réfugié, et beaucoup de gratitude pour les bénévoles qui ont changé son destin. Ces réfugiés vivent aujourd’hui en colocation dans des appartements de l’agglomération de Pau. Et leurs anges gardiens ne sont jamais loin, comme ces retraités, les Campgrandessus, qui veillent sur des Soudanais et des Afghans. Les aider à poursuivre leurs études, à trouver du travail : c’est la dernière marche avant l’autonomie. Le centre de Béterette, à Gelos, dans la banlieue de Pau : c’est là qu’en octobre 2016 sont arrivés de la jungle de Calais 40 migrants, désormais réfugiés pour la plupart. C’est là aussi que s’est constitué le réseau d’une cinquantaine de bénévoles. Aujourd’hui, le centre est officiellement fermé, mais d’autres migrants se battent à leur tour pour obtenir l’asile en France et les bénévoles sont toujours là, à leurs côtés.

 

Source : fdesouche

L’agonie de l’Italie et le grand remplacement

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

 
POSTÉ LE 13 FÉVRIER , 2018, 11:24
agonie,grand remplacement,italie

On parle peu de l’Italie dans la grande presse française.

On en parle quand des vagues de « migrants » arrivent en Sicile ou sur l’île de Lampedusa.

On en parle quand on évoque Ventimiglia, ville sise sur le bord de la Méditerranée, près de la frontière avec la France, parce que des milliers de « migrants » remontant vers la France s’entassent à Ventimiglia.

On en parle, un peu, lorsque des élections ont lieu.
On en parlera au début du mois de mars, parce que des élections vont avoir lieu.

Le président du Conseil des ministres (c’est ainsi qu’en Italie on appelle le Premier ministre) actuel est un intérimaire de gauche qui a pris ses fonctions fin 2016 après que son prédécesseur, de gauche lui aussi, Matteo Renzi ait perdu un référendum.

Il n’occupera plus son poste fin mars, car la gauche va perdre les élections, qui verront sans doute le retour de Silvio Berlusconi, quatre-vingt-un ans, sous le regard consterné des grands médias.

On parlera donc, alors, du retour de Silvio Berlusconi et, comme pour d’autres politiciens qui déplaisent aux grands médias, on parlera de la grivoiserie du principal intéressé.

On reviendra sur des aspects financiers litigieux le concernant.

On ne parlera pas de la situation réelle de l’Italie.

Il faudrait pourtant en parler. L’Italie est dans une situation économique très difficile, et le clivage entre un Nord développé et un Sud sous-développé reste flagrant.

Mais l’Italie est surtout un pays qui meurt plus vite que d’autres pays d’Europe qui sont eux aussi en train de mourir.

Si, en France, les taux de natalité donnent une validité certaine aux analyses du grand remplacement énoncées par Renaud Camus et évoquées souvent par Éric Zemmour, en Italie la situation est plus catastrophique encore : le taux de natalité général est en effet très bas : 1,3 enfant par femme, ce qui est tellement en dessous du seuil de renouvellement des générations qu’on peut parler d’une forme de suicide collectif qui ne dit pas son nom.

Tôt ou tard, vingt personnes seront remplacées par treize personnes, puis ces treize, sauf inversion radicale des chiffres, seront remplacées par six ou sept personnes.

Les taux de natalité prenant en compte, d’un côté, les Italiens de souche et, d’un autre côté, les immigrants permettent de tracer un tableau plus sombre encore : ils sont officiellement de 2 enfants par femme pour les immigrants (et ce chiffre me semble très bas, et devrait être vérifié de près) et de 0,9 pour les Italiens de souche.

Le grand remplacement sera beaucoup plus rapide pour l’Italie que pour la France, et devrait être cataclysmique, dès lors que le capital humain des immigrants est bien plus bas que celui des Italiens de souche.

Les vagues de « migrants » qui arrivent depuis la chute du régime Kadhafi en Libye ne font que rendre une situation effroyable plus effroyable encore.

Des villages du Sud de l’Italie sont submergés par des hordes de gens totalement étrangers aux coutumes occidentales, et au comportement de prédateurs.

Ce qui se passe dans les villages du Sud se retrouve peu à peu ailleurs dans le pays.

Des violences parfois atroces sont commises.

Des actes de réponse aux violences peuvent résulter.

C’est ce qui s’est passé, il y a quelques jours, à Macerata, une petite ville autrefois paisible de la côte Adriatique.

Une jeune fille de dix-huit ans a été assassinée éviscérée, démembrée, découpée en morceaux.

Son assassin a été retrouvé. C’est un migrant venu du Nigeria. Les couteaux qui ont servi à l’éviscération, au démembrement et au découpage du corps ont été retrouvés dans le lieu où il dormait.

Cela aurait pu être un meurtre de plus, l’un de ceux dont les médias ne parlent pas.

Un jeune homme de vingt-huit ans a réagi avec colère.

Il a pris un revolver qui était en sa possession, et il est parti en voiture, pour tirer sur des migrants. Il en a blessé plusieurs sans en tuer aucun.

Il a été arrêté et a crié « l’Italie aux Italiens ». Il a été aussitôt présenté comme un abject criminel et un fasciste.
Nul ou presque n’a évoqué la jeune fille assassinée et l’assassin de la jeune fille.

Il risque fort, hélas, d’y avoir d’autres jeunes filles assassinées en Italie, et d’autres jeunes hommes qui réagissent avec colère dans les mois et les années à venir.

 

Source : les4verites