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vendredi, 10 février 2017

Front National – Déjeunant avec la Confédération des Juifs de France et amis d’Israël, Gilbert Collard déclare avoir toute sa vie œuvré pour Israël et promet une nouvelle purge

Publié par Guy Jovelin le 10 février 2017 


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Passionnante rencontre avec la Confédération des Juifs de France et amis d'Israël, ce matin !

Tandis que Nicolas Bay, secrétaire général du Front national, est revenu de son voyage en Israël, mandaté par Marine Le Pen, Louis Aliot et Gilbert Collard prenaient un petit-déjeuner au restaurant parisien Chez Françoise, le mercredi 8 février, à l’invitation de laConfédération des juifs de France et des amis d’Israël (CJFAI) présidée par Richard Abitbol et regroupant 18 associations juives.

Une trentaine de personnes participaient à cette rencontre. Il y a là Nicolas Lesage, directeur de cabinet de Marine Le Pen, Jean-Richard Sulzer, conseiller économique de la présidente du FN, et Michel Thooris, responsable de l’Union des patriotes français juifs.

Richard Abitbol s’y réjouit que Marine ait « éliminé » son père Jean-Marie Le Pen du FN. Puis le président du CJFAI interroge ses invités :

« Il y a encore des gens peu fréquentables au FN, comme M. Chatillon ou des proches de Rivarol. Que comptez-vous faire avec ces personnalités qui dérangent ? »

Le député (Rassemblement Bleu Marine) franc-maçon Gilbert Collard répond que «toute (sa) vie », il a « œuvré pour Israël, en raison de multiples amitiés ».

« Le dernier rempart de la civilisation judéo-chrétienne, c’est Israël. »

« Accordez-nous le droit d’avoir évolué, d’avoir réfléchi, d’avoir viré les cons qui corrompent toujours, partout où ils passent. Mais qui peut se targuer de ne pas avoir un con dans son groupe ? Les cons qui comptent il faut les virer. Et les cons qui ne comptent pas il faut les virer, parce qu’ils polluent. [La situation évolue] grâce à Marine, qui est intraitable sur la question, et qui va même jusqu’à prendre des sanctions immédiates, au mépris de toutes les règles de procédure le plus souvent, ce qui est un peu problématique. »

« Frédéric Chatillon, je ne le connais pas, assure Gilbert Collard. Chaque fois que je le vois, je l’évite. Je crois savoir qu’il n’occupe aucune place dans les instances du Front. (…) J’ai une position très simple. Les gens qui sont discutables, je suis pour qu’on les vire. Chatillon, personnellement, (…) je vous mets au défi de me voir en sa présence quelque part. Il ne serait pas là, on se porterait beaucoup mieux. »

Ensuite, c’est Louis Aliot, vice-président du FN, qui déclare que le judaïsme est « une partie de (lui)-même ».

« Mon grand-père était juif d’Algérie. Je connais un peu ce monde-là sans totalement le connaître. »

« Israël relève d’un pays ami, mais étranger, comme peut l’être l’Espagne. C’est un pays partenaire, ami, mais il se peut que les intérêts de la France ne soient pas ceux d’Israël. »

« Frédéric Chatillon n’a aucune responsabilité exécutive ou administrative au sein du Front national. Il n’est pas au bureau politique, il n’est pas élu du comité central, il n’est pas au bureau exécutif. Il est un prestataire, un technique. On peut l’aimer, on peut ne pas l’aimer, je comprends. Il ne s’occupe pas des affaires internationales, il n’a pas son mot à dire dans notre politique internationale. S’il avait son mot à dire, est-ce que vous croyez que Marine Le Pen tiendrait le discours qu’elle tient ? Est-ce que Gilbert Collard aurait tenu à l’Assemblée nationale les discours qu’il a tenu ? »

« Il est un extérieur qui pose problème dans certains milieux, je le conçois. Mais il n’a, en tout cas pour moi, aucune influence dans la politique et dans l’idéologie politique qui sous-tend notre programme. Je veux que ce soit très clair. Je suis aussi un partisan de cette ligne-là. Je n’ai aucune sympathie pour un certain nombre de militants historiques de causes palestiniennes ou pro-palestiniennes, ou d’extrême gauche. Encore moins du révisionnisme historique, ou encore moins d’une tolérance quelconque par rapport au régime nazi. Il faut que ce soit très clair. »

Le président de l’Union des patrons juifs de France (UPJF) a réagi en déclarant avoir donné sa démission de la CJFAI.

« Je suis un des fondateurs de la CJFAI. Aujourd’hui, c’est géré par trois ou quatre personnes, sans aucune consultation de ceux qui sont censés en être membres. Pour moi, le FN est une organisation infréquentable. Marine Le Pen a soi disant dédiabolisé le parti, mais elle garde les diables : Chatillon, Bruno Gollnisch, Philippe Péninque. » 

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 09 février 2017

Un Aveyronnais, employé à l'Assemblée nationale, sauvagement agressé dans le métro parisien

 Publié par Guy Jovelin le 9 février2017

 Jean-Michel Gaudin/Capture Facebook

Jean-Michel Gaudin/Capture Facebook

image: http://www.ladepeche.fr/images/pictos/image-zoom.png

Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale, a ouvert ce mercredi la séance des questions au gouvernement en rendant hommage à un agent du Palais Bourbon, qui réside à Estaing, en Aveyron, où son épouse tient un gite. Jean-Michel Gaudin a été sauvagement agressé la semaine dernière dans le métro parisien, en voulant porter des secours à des vieilles dames agressées, comme le rapporte Centre Presse. Il est aujourd'hui entre la vie et la mort. 

En fin de semaine dernière, Jean-Michel Gaudin, qui est employé comme serveur au bar de l’Assemblée nationale, prend le métro pour rejoindre son domicile parisien. Alors qu'il se trouve le quai, il est témoin de l'agression de vieilles dames par un groupe de jeunes gens.

Roué de coups en portant secours à une vieille dame

Le serveur aveyronnais tente alors de s’interposer pour porter secours à la personne âgée. Il est alors pris à partie par les quatre assaillants qui lui sautent dessus et le rouent de coups. Jean-Michel Gaudin s’écroule sur le quai et ses agresseurs s’enfuient, le laissant pour mort.

Souffrant de multiples contusions, hématomes et fractures, avec un pronostic vital engagé, il est transporté, dans le coma, dans un hopital parisien. Quelques jours après cette sauvage agression, son état de santé est jugé « stationnaire » par les médecins.

Le quartier des Aubiers au cœur d’une nouvelle polémique

 Publié par Guy Jovelin le 9 février 2017

Publié le 8 février 2017 dans Brèves

Ce quartier du nord de Bordeaux, où réside une forte population étrangère est de nouveau au centre d’une polémique.C’est France Bleu Gironde qui a révélé l’affaire au grand public : « Depuis un mois, sur la plateforme Youtube, est diffusé le clip du rappeur Benesao qui a été réalisé dans la cité des Aubiers à Bordeaux Lac, d’où le titre de la chanson « C’est la Cité ». Benesao, jeune marseillais de 19 ans, est venu s’installer depuis quelques mois à Bordeaux. Il veut faire carrière dans ce style de musique, mais les images de son premier clip ont beaucoup choqué. Drogue, armes et argent facile, rien de très valorisant pour ce quartier dit sensible, qui abrite 4.000 habitants et 54 nationalités. On y voit de jeunes enfants aux côtés d’autres beaucoup plus grands qui brassent des liasses de billet de banque, qui brandissent des armes, pistolets et fusils, sur fond de drogue ».

 

Source : infos-bordeaux

 

 

Inadmissibles violences d'Aulnay-sous-Bois : les journaleux ont choisi leur camp, « l’évangile selon saint Théo »

 

« Qu’est-ce qui a motivé cette interpellation ? » Voilà la bonne question, celle par quoi il faut commencer, la seule qui vaille d'être posée : elle l'est ce matin du mercredi 8 février, sur France info, par un syndicaliste policier ; presque une semaine après !

Il n'y a pas encore de faits absolument et intégralement établis dans ce que l'on peut appeler « l’affaire d’Aulnay », car tout bouge tout le temps et France info nous apprend même qu'une personne chargée de l'enquête n'a pas encore visionné la totalité des vidéos ! On ne peut donc pas - pas encore... - prendre une position définitive et adopter la réaction qu'elle induit, puisqu'on ne sait pas encore avec certitude qui a tort, qui a raison ; qui dit la vérité, qui ment ; qui a fait quoi, et pourquoi.

Mais la cléricature médiatique n'en a cure : elle a déjà tout fait : le procès, la condamnation (des policiers, évidemment), et la béatification-canonisation de « Théo », adopté par l'ensemble des journaleux et appelé uniquement ainsi, affectueusement « Théo », alors que, normalement, toute personne possède un nom et un prénom, non ?

Dans l'état actuel des choses, il semble seulement avéré que, au cœur de « la cité des 3.000 » d'Aulnay, connue pour du trafic de stupéfiants, quatre policiers patrouillent, le jeudi 2 février, quand une dizaine d'individus poussent le cri bien connu : « ça pue », qui avertit les guetteurs de l'arrivée des forces de l'ordre.

Les quatre agents parviennent à contrôler une dizaine de personnes sur les lieux. L'une refuse et rapproche son visage d'un des policiers en geste de défi. Le policier repousse l'individu fermement, et c'est à ce moment précis que le « jeune » - finalement interpellé - aurait attrapé l'un des policiers par le col, puis lui aurait tenu, en criant, des propos injurieux ; il lui aurait donné un coup de poing sur la pommette gauche. Les quatre agents décident alors de le prendre à part pour l'interpeller. L'un d'entre eux le ceinture mais le jeune homme se débat « très violemment ». C'est à ce moment-là qu'un des agents aurait sorti sa matraque télescopique « pour frapper Théo aux jambes », « pour l'empêcher de donner des coups de pieds ».

Après, il est clair qu'il s'est passé quelque chose. Il est non moins clair qu'il faut attendre que Justice et Police établissent définitivement la matérialité des faits avant de réagir. 

Cependant, on peut d'ores et déjà affirmer deux choses.

1. La réaction tribale des « jeunes » des cités est absolument inadmissible, et montre une fois de plus à quel degré de décadence nous en sommes arrivés. Les nuits de destruction systématique de mobilier urbain (que nous payons par nos impôts), d'incendie de véhicules particuliers (appartenant à des gens qui n'ont rien à voir avec « l’affaire ») le font comprendre aux plus obtus, aux plus aveugles, aux plus sourds : il y a chez nous, dans ce qui est encore notre « douce France », des centaines, des milliers de « zones de non-droit » où la racaille fait ce qu'elle veut, quand elle veut, comme elle veut... Et, bien sûr, cela n'est pas normal. Quel que soit l'évènement auquel on se réfère, aucune bande - ici, ethnique - ne devrait pouvoir mettre un morceau de France à feu et à sang. A Sevran, Villepinte, Clichy (communes voisines d'Aulnay) des chariots de supermarchés remplis de bouteilles pleines d'essence sont jetées n'importe où sur n'importe quoi. Bravo les « jeunes » ! Les réparations, après, c'est nous qu'on paye...

Le Système, qui mène depuis 1975 la suicidaire politique d'immigration-invasion que l'on sait ne fait que récolter ce qu'il a semé... mais dont il nous impose les conséquences désastreuses. 

2. La réaction des journaleux est révélatrice : alors que les déclarations du « jeune » interpellé ont varié à plusieurs reprises (des « déclarations évolutives » !) les journaleux ont adopté le jeune « Théo » et ne parlent plus de lui que de cette façon, amicale, chaleureuse, affectueuse : « Théo ». On dirait un membre de la famille, un petit frère ! Deux paysans français se suicident chaque jour, mais, là, les journaleux n'en parlent pas. Et, a fortiori, ne les appellent pas par leur prénom. Pourquoi cette hâte, alors que « l’affaire » n'est pas encore totalement élucidée, à prendre parti pour « Théo », cet amour pour « Théo », « Théo » par ci, « Théo » par-là : franchement, cette affection soudaine est louche, quand on connaît les opinions des journaleux, qui confondent si volontiers carte de presse et carte de parti (de gauche, et immigrationniste, évidemment). Rien que cela suffirait à rendre le « jeune » interpellé suspect...

Dernière chose : dite par l'interpellé plusieurs jours plus tard, les accusations d'insultes racistes (« bamboula » et autres) n'ont plus été reprises par lui, ensuite. Il y a fort à parier que SOS Racisme ou le Cran, dès le début de l'affaire, le 2 février, auraient hurlé à la mort si ces insultes avaient bien été proférées. Là c'est silence radio, qui équivaut à un aveu : l'interpellé a menti. Curieusement, depuis, il ne cesse même d'appeler au calme.

Bizarre, bizarre... Vous avez dit bizarre ? 

 

Source : lafautearousseau

mercredi, 08 février 2017

Lactalis : Tu crèves dans ta ferme et tu la fermes !

Publié par Guy Jovelin le 8 février 2017

Rédigé par LaVéritéSiJeMens le 08 février 2017.

Le groupe industriel mondialisé Lactalis, leader sur le marché des produits laitiers transformés, rompt unilatéralement les contrats de livraison des éleveurs ayant témoigné de leurs conditions de rémunération dans l’émission télévisée «Envoyé spécial». Le voile de la dictature économique permise par l’Union Européenne mondialisée se déchire ! Un exemple parmi d’autres de la casse sociale permise par Maastrict (1992). Quand les Français vont-ils comprendre qu’il faut sortir sans attendre de ce guêpier ?

Saluons le communiqué en date du 3 février 2017 du ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll, qui condamne la rupture par Lactalis des contrats d’éleveurs ayant témoigné dans l’émission Envoyé spécial et «appelle au dialogue afin maintenir des relations constructives au sein de la filière». Cette situation qui pourrait être perçue comme une anecdote, est pourtant révélatrice de la conception quasi-féodale qui sous-tend la «mondialisation heureuse». Nous analysons deux niveaux conceptuels, déterminants pour l’avenir de l’agriculture et de la France :

1- L’éleveur laitier est-il un entrepreneur indépendant, ou bien est-il le salarié de l’industriel qui est de fait son seul client ? C’est toute l’ambiguïté des héritages historiques de l’exploitation agricole, entité économique dont le statut n’a jamais cessé d’évoluer depuis l’antiquité. Aujourd’hui, l’éleveur est juridiquement son propre patron, mais en même temps le chef d’une entreprise que le code rural particularise totalement dans l’environnement législatif français. En effet, l’encadrement juridique de son activité est telle, que l’éleveur perd pratiquement toute capacité d’initiative, en dehors d’entrer comme un animal de somme dans le carcan d’un processus de production entièrement contrôlé par l’aval, c’est à dire par les industries agroalimentaires. Dans ce contexte, le poids économique de l’éleveur, c’est à dire sa capacité à peser dans une négociation sur le prix du lait, est devenu si faible qu’un géant mondial comme Lactalis peut ruiner un éleveur, le plus souvent endetté, en simplement refusant d’acheter son lait. C’est cela la mondialisation heureuse de l’après-Maastricht, et toutes les lois de modernisation de l’économie (LME) franco-françaises ne serviront à rien tant que les directives de l’Union Européenne prévaudront sur notre droit national. L’Union Européenne nous a transformés en eunuques, pouvons nous le supporter plus longtemps ?

2-L’agriculture est-elle faite pour produire ou pour nourrir ? Cette question est plus profonde, car elle renvoie à un choix de société. Avant la prise de conscience écologique, il était admis que ces deux objectifs n’en constituaient qu’un seul, et que la logique du marché appliquée à la production alimentaire ne pouvait que concourir à la satisfaction du plus grand nombre. Mais voilà, ce modèle montre ses limites : les ressources naturelles, notamment le sol et l’eau, ne sont pas inépuisables. Ils tendent même à devenir des denrées rares. Le productivisme exacerbé a donc une limite : il n’est pas durable d’une part (épuisement ou destruction des sols, érosion ou artificialisation, pollutions durables, etc…), et amène des conséquence négatives sur la santé des populations d’autre part (abus des vaccinations animales et des antibiotiques fourragers dans les grands élevages, introduction des accélérateurs de croissance, hyper-sélection animale etc…). Les choix sociétaux se posent donc en termes d’autonomie alimentaire sur le temps long d’une part, et en termes de santé des populations d’autre part. Ces choix sont fondamentaux, mais sont des choix stratégiques avec une perspective de long terme. Or notre quinquennat rabougri et les lobbyings économiques à court terme relayés par la commission européenne empêchent toute possibilité de se projeter dans l’avenir. C’est un drame : avec nos paysans c’est la France qui meurt.

Le dialogue c’est bien, mais la justice sociale c’est mieux. Or il est devenu évident sur cet exemple que nous sommes sur le chemin d’une dictature économique sans précédent. Il est encore temps de réinventer une France-état-nation qui garantit la liberté de son peuple souverain, car le marché dérégulé ne profite qu’à une minorité de riches apatrides et ne fait qu’appauvrir davantage les plus pauvres en France, donc les asservir. Les agriculteurs privés de leur revenu par la seule volonté d’un potentat industrialo-bancaire sont là pour en témoigner : leur situation qui sera bientôt la nôtre à tous est simplement inique !

 

Source : 24heuresactu