Source : novopress.info
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy Jovelin le 2 février 2017
Depuis l'arrivée, il y a un an de nouveaux soldats de la Légion Etrangère dans le camp du Larzac, le chiffre d'affaire des commerçants de La Cavalerie a nettement progressé. Les infrastuctures, collège notamment, peinent à suivre.
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : commerçants, larzac, légionnaires | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 2 février 2017
01/02/2017 – FRANCE (NOVOpress) : « Les écoles que vous allez découvrir n’ont rien à voir avec l’école publique. Elles sont hors contrat, parfois illégales, et même clandestines. On y enseigne à des enfants un islam souvent radical. » Ainsi début ce reportage de « L’Œil du 20 heures », rubrique d’enquête du 20 heures de France 2, diffusé hier sur la chaine publique.
France 2 s’est par exemple rendu au Mirail, à Toulouse, où se trouve une école primaire qui accueille une cinquantaine d’élèves. Elle est dirigée par Abdelfattah Rahhaoui, qui affirme que l’enseignement y est « classique ». Vraiment ? Dans le couloir, la caméra découvre une « assistante » entièrement voilée, comme si elle se trouvait en Arabie saoudite ! Et elle n’est pas la seule…
« Dans cette classe de CM1, à 9 ans, les fillettes elles aussi sont voilées. La religion prend beaucoup de place et les réponses semblent apprises par cœur. Nous interrogeons un élève : “Pourquoi vous êtes dans cette école ?“ “Parce c’est une école musulmane, et nous on est des musulmans et pour apprendre le Coran, le français, les maths et tout et tout et l’arabe aussi…“ Sur l’emploi du temps affiché en classe, huit heures et demie d’arabe, de Coran et d’éducation islamique par semaine, le matin et l’après-midi. »
A Saint-Denis, même topo ou presque. Là, l’école est clandestine. Déclarée nulle part ! « Nous nous faisons passer pour des parents qui cherchent à inscrire leur enfant. Nous abordons une enseignante. Elle nous explique la répartition des cours : “Le matin c’est les ateliers. Et l’après midi c’est tout ce qui est langue, arabe, Coran, anglais.“ »
« Quant aux parents, poursuit “L’Œil du 20 heures“, leurs motivations sont religieuses. Un parent nous dit :
“Tu vois, ta fille elle rentre, elle récite une petite sourate, des invocations, elle parle un peu arabe, c’est d’la bombe. C’est bien le Père Noël ? Non, c’est pas bien. “ »
A voir dans son intégralité.
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : écoles islamiques, école publiques, france, mirail, toulouse | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 1 février 2017
Un tiers de démissionnaires
Appeler les quelques 500 villes où le Front National a obtenu des élus, ça nous a pris du temps : des journées entières au téléphone. Résultat : sur les 1.518 conseillers municipaux Front National élus en 2014, 32% ne le sont plus. Beaucoup sont partis pour des raisons personnelles : déménagement ou changement de travail. Le problème, c’est que les remplacer s’avère parfois compliqué.
Un élu fantôme
C’est le cas par exemple à Cusset, dans la banlieue de Vichy. Lors des conseils municipaux, les absents sont toujours excusés. Tous, sauf Bruno Chabert l’unique élu Front national. Six mois que le siège est vacant. Voilà pourquoi : la tête de liste Front National élue en 2014, a siégé pendant un an. Suite à une mise en examen, il a démissionné.
Comme le prévoit la loi, la personne suivante doit le remplacer. Elle a refusé. Le numéro 3 de la liste est resté 6 mois. Le quatrième n’a pas siégé. Le 5ème, Bruno Chabert, est introuvable alors que la municipalité continue à le convier aux réunions du conseil.
Et si l’élu est aujourd’hui introuvable, c’est parce que la liste Front National a été faite un peu à la va-vite. Nous sommes allés voir Michel Manillère, 3ème sur la liste. Il admet ne pas bien connaître tout le monde. “Ce n’est pas une liste fantoche, mais il fallait trouver 33 personnes sur la liste. Je remercie les gars qui ont signé d’ailleurs”, explique ce dernier à notre micro.
Des dissensions politiques ?
Mais si autant de conseillers municipaux FN ont quitté leurs postes depuis 2014, c’est aussi que 12% d’entre eux ont renoncé à l’étiquette Front national. Dans le Var, le parti dirige la mairie du Luc en Provence.
Patricia Zirilli, ancienne de l’UMP, rejoint le rassemblement bleu marine en 2014. Elle est élue maire pendant un an puis jette l’éponge. Dans la presse locale, elle explique : “Je démissionne à cause des pressions d’une équipe (...) qui me reproche de “ne pas être assez FN””. A la mairie, on conteste cette version. Selon le nouveau maire frontiste, l’équipe municipale fonctionne beaucoup mieux aujourd’hui.
Au sommet du Front National, on conteste toute dissension politique. “C’est révélateur d’une construction rapide du parti”, explique Nicolas Bay, le secrétaire général du FN. Au parti à la flamme, on reconnaît néanmoins que l’objectif en 2014, c’était d’obtenir un maximum d’élus, quitte... à en perdre quelques uns en route.
source:leblogfrancetvinfo.fr
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : démissionnaires, élus municipaux, fn | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 1 février 2017
31 janvier 2017 par Pierrot
Lundi soir, vingt migrants ont protesté en manifestant à Talence, petite ville située dans l’agglomération bordelaise. En effet, depuis octobre, cinquante hommes célibataires ont été accueillis dans le château des arts (voir photo ci-contre) en attendant que leur dossiers d’accueil soit examiné en mars prochain. Les raisons de leur mécontentements sont évoquées par Sud-Ouest :
Ces demandeurs d’asile trouvent la procédure longue et n’apprécieraient pas tous les conditions d’accueil et d’accompagnement assurées par une association spécialisée, notamment par rapport aux habitudes alimentaires.
Nos associations bien-pensantes nous expliqueront-elles qu’il s’agit là d’esthètes qui goûtent peu le style néo-classique de la demeure ?
Source : contre-info
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : château, hébergement, migrants, talence | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 1 février 2017
Le bras de fer est engagé entre Marine Le Pen et Bruxelles. La présidente du Front national a refusé de payer les quelques 300.000 euros que lui réclame le Parlement européen dans l'autre affaire des assistants parlementaires. L'eurodéputée est accusée d'avoir rémunéré avec des fonds européens sa collaboratrice, Catherine Griset, qui travaillait essentiellement sur des questions concernant le parti.
Marine Le Pen avait jusqu'à minuit pour rembourser volontairement ce montant. Désormais, l'Office européen de lutte antifraude (Olaf) va prélever directement sur son salaire de députée européenne la somme. Au lieu de toucher 10.400 euros, elle gagnera 3.000 euros. En réponse, la présidente du FN a déposé plainte auprès du parquet de Bruxelles pour "faux intellectuel" contre la directrice de l’Olaf et le secrétaire général du Parlement européen, Klaus Well, au sujet de cette enquête sur des soupçons de fraude.
Si l'avocat de Marine Le Pen dénonce une "collusion" entre l'Olaf et l'instance européenne, les enquêteurs ont recueilli le témoignage de Catherine Griset, leur apportant des preuves. Embauchée comme assistante "accréditée" en 2010, cette amie de longue date de Marine Le Pen disposait d'un contrat stipulant qu'elle devait travailler et vivre à Bruxelles. Selon L'Obs, il n'en était rien.
"Un témoin anonyme a cependant déclaré aux enquêteurs que Catherine Griset n’avait 'jamais passé une semaine entière à Bruxelles'", détaille l'hebdomadaire.
Devant l'Olaf, Catherine Griset a expliqué être "logée par des amis" pour expliquer l'absence de bail à son nom. Quand ces derniers ont dû faire des travaux, elle a avancé avoir dormi "sur un canapé-lit". Concernant la scolarisation de sa fille dans les Hauts-de-Seine? Un choix personnel de la confier à sa mère et à son compagnon. Et si peu de traces font état de son passage au Parlement européen, c'est parce qu'elle rentrait "par le parking, dans la même voiture que madame Le Pen".
Pour la défense de Marine Le Pen, son avocat dénonce une pratique courante au Parlement européen de faire travailler pour le parti des assistants parlementaires. Au FN, ce serait une habitude. Outre Marine Le Pen, son père est en train de rembourser 320.000 euros, Bruno Gollnisch 275.000, Sophie Montel 77.000, Mylène Troszczynski 56.000 et Dominique Bilde 40.000. Au total, le montant à rembourser s'élève pour le parti frontiste à 1,1 million d'euros.
D'ici la fin février, Marine Le Pen est visée par une autre mesure de recouvrement. Cette fois-ci, il s'agit du salaire d'un montant de plus de 41.500 euros attribué à Thierry Légier. Rémunéré comme assistant parlementaire, il était en réalité son garde du corps. En parallèle de ces procédures de remboursement, le parquet de Paris a ouvert, le 15 décembre dernier, une enquête pour "abus de confiance", "recel d'abus de confiance", "escroquerie en bande organisée", "faux et usage de faux" et "travail dissimulé".
Source : bfmtv
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : marine le pen, olaf, parlement européen, rémunéré avec des fonds européens | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
Facebook | |