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jeudi, 16 février 2017

Algériens nés en France avant 1963, du nouveau pour l’acquisition de la nationalité française !

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2017

Algériens nés en France avant 1963, du nouveau pour l’acquisition de la nationalité française !
Le 25 octobre 2016, une note du ministère de l’Intérieur à l’attention des préfectures de la Métropole est venue clarifier la procédure de déclaration de nationalité française des Algériens nées en France métropolitaine avant le 1er janvier 1963 de parents algériens de statut civil de droit local.
 
Cette note ministérielle est passée complètement inaperçue, tant la situation de cette catégorie d’Algériens avait soulevé de nombreux débats au sein de la classe politique française. Pour rappel des faits, un amendement numéroté 794, signé par 95 parlementaires et déposé au Sénat français, avait suscité l’intérêt de nombreux Algériens.

Cet amendement a été finalement retiré et aujourd’hui, une note est venue le remplacer. La montagne a donc accouché d’une souris…

L’article de loi s’est donc transformé en instruction ministérielle.

Mais quelles sont les personnes concernées par cette note ?

Ces personnes doivent remplir 3 conditions cumulatives :

  • Etre nées en France ou dans un territoire ou département d’outre-mer (DOM et TOM) avant le 1er janvier 1963 ;

  • Etre nées d’un parent lui-même né en Algérie ;

  • Etre mineur au moment de l’indépendance de l’Algérie.

Cette note ministérielle précise également que le demandeur doit, au moment de la procédure, se trouver, de facto, en France ou sur un DOM ou TOM.

Une fois ces conditions remplies, la personne pourra introduire une demande de déclaration de nationalité française sur le fondement de l’article 24-1 du Code civil. Cet article dispose que : "La réintégration par décret peut être obtenue à tout âge et sans condition de stage. Elle est soumise, pour le surplus, aux conditions et aux règles de la naturalisation".

De surplus, aucune condition de stage (c’est-à-dire d’ancienneté sur le territoire français) et d’âge limite n’est exigée.

Cette instruction ministérielle étant trop récente, nous devrons attendre avant de connaître l’ampleur du nombre de personnes concernées.

Me Fayçal Megherbi

 

Source : lematindz

Rapports des policiers, vidéosurveillance : comment Théo a été interpellé

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2017

PAR AZIZ ZEMOURI

Modifié le - Publié le | Le Point.fr

"Le Point" publie des extraits du rapport d'un des policiers qui ont interpellé le jeune homme. Une version validée par les caméras de surveillance.

La cité des 3 000 le 7 février. Cinq jours après l'arrestation violente de Théo L., Aulnay-sous-Bois était en proie à de vives tensions. 
La cité des 3 000 le 7 février. Cinq jours après l'arrestation violente de Théo L., Aulnay-sous-Bois était en proie à de vives tensions.  © GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP
Que s'est-il passé le 2 février au soir, dans la cité des 3 000 à Aulnay-sous-Bois ? Selon Théo L., les policiers de la brigade spécialisée de terrain (BST) l'ont frappé alors qu'il était contre un mur, « tranquillement ». Le jeune homme, qui a porté plainte pour viol, dénonce un passage à tabac, des insultes racistes et surtout le fait qu'un des policiers lui a enfoncé volontairement une matraque dans l'anus. Hospitalisé, une blessure de 10 cm dans la zone rectale a été constatée et le jeune homme a eu une incapacité totale de travail de 60 jours.

Un nouveau Français d’origine turque, auteur de l’attentat du Nouvel an dans un night-club d’Istanbul

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2017

L’auteur de l’attentat d’Istanbul connaissait bien le Reina

Les néo-Français ne cessent de se distinguer en France comme dans le monde. Selon le média turc Cumhuriyet, un citoyen français d’origine turque serait l’organisateur de l’attaque de la nuit du Nouvel An 2017 dans le club La Reina d’Istambul qui a causé la mort de 39 personnes essentiellement d’origine européenne. Action dans laquelle on peut détecter cette haine de nombre de ces naturalisés pour la civilisation européenne. Qui le leur enseigne ? Quand on voit aujourd’hui François Hollande promettre des finances supplémentaires au quartiers des émeutiers, dont les émeutes ravagent les départements d’Île de France. L’organisateur de l’attentat d’Istanbul a été arrêté par la police turque. 

Le nom du suspect n’est pas mentionné, mais le site turc indique qu’il s’agit d’un citoyen français d’origine turque et dont les initiales sont A.S. Celui-ci figurait sur la liste de la police pour ses liens avec l’État islamique. L’homme d’origine turque mais naturalisé français avait loué un appartement qui a servi à l’auteur de l’attentat, qui lui est un ressortissant de l’Ouzbékistan: Abdoulgadhir Macharipov, arrêté fin janvier.

L’attaque meurtrière a été opérée par un individu muni d’un fusil d’assaut. L’assaillant a abattu en premier un policier et un civil, avant de tirer au hasard sur la foule des fêtards. La boîte de nuit est située dans le quartier d’Ortaköy, au bord du Bosphore, dans la partie grecque de la ville.

emiliedefresne@medias-presse.info

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 15 février 2017

Saint-Denis (93) : l’université musulmane veut doubler sa capacité d’accueil

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017 

 

Hebergeur d'image

Quelques étudiants discutent calmement dans le dédale de couloirs étroits. D’autres se concentrent sur leur copie, dans les salles de classe. Dans la minuscule bibliothèque tapissée d’ouvrages, c’est la même ambiance studieuse. Janvier est une période d’examens à l’Institut européen des sciences humaines (IESH) de Saint-Denis.

Son nom ne le dit pas, mais l’établissement est l’un des principaux centres de formation musulmans privés en France, et dispense des cours de langue arabe et de théologie à des étudiants post-bac. Il est installé depuis 2001 dans les anciens locaux d’une entreprise de matériel photographique, boulevard de la Libération. Mais les bâtiments, situés entre la gare SNCF et la Seine, sont devenus trop étroits, à en croire Ahmed Jaballah, fondateur de l’Institut (et ancien président de l’Union des organisations islamiques de France).

En quinze ans, souligne-t-il, l’IESH est passé de 180 inscrits à près de 1 500, parmi lesquels de jeunes étudiants, mais aussi un public plus âgé d’imams, de responsables associatifs…

La direction de l’établissement veut donc s’agrandir, avec un projet d’extension et de rénovation estimé à plus de 10 M€. D’après Ahmed Jaballah, le futur campus permettrait de doubler la capacité d’accueil. « Nous ne pouvons pas actuellement satisfaire la forte demande d’inscriptions car nous manquons de salles de cours et de bureaux. Notre salle de conférences est trop petite, tout comme notre bibliothèque qui rassemble 17 000 ouvrages », énumère le doyen.

Le projet prévoit la construction de deux nouveaux bâtiments. L’un dédié à l’enseignement, avec un auditorium et un amphithéâtre. Le second, plus petit, pourrait être loué pour des activités tertiaires (bureaux, librairie, salle de sport, centre médical…), et constituer une source de revenus pour l’association gérant l’IESH. Celle-ci indique aujourd’hui s’appuyer principalement sur les frais d’inscription pour couvrir ses dépenses de fonctionnement. Mais elle doit en appeler aux dons pour boucler son budget — une quarantaine de professeurs, salariés, vacataires ou bénévoles travaillent au sein de l’IESH. Mais elle semble optimiste sur sa capacité à financer les travaux à venir.

Aucune demande de permis de construire n’a encore été déposée, même si des discussions ont été amorcées dès 2011 avec les services techniques de la ville, « Des détails techniques restent à régler », indique l’IESH. La municipalité, qui a refusé de répondre à nos sollicitations, a toutefois indiqué ne pas s’opposer à la délivrance du permis de construire si le projet s’il respecte les règles d’urbanisme.

Dans l’immédiat, l’association a acquis un pavillon à La Courneuve, pour y loger quelques étudiants. A Saint-Denis, dans le meilleur des cas, les travaux pourraient démarrer fin 2018. Les premiers visuels laissent entrevoir des bâtiments tout en hauteur, censés pousser au cœur d’un quartier lui-même en pleine rénovation. Ahmed Jaballah défend l’idée d’un lieu « ouvert sur la société civile et son environnement social », « aux Musulmans comme aux non-Musulmans ». (…)

Source

 

Source  2 : fdesouche

Le gouvernement socialiste tente de minimiser le bilan des émeutes

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017

14 février 2017 par Pierrot

Selon le rapport confidentiel du préfet de police de Paris que s’est procuré Le Figaro, au moins 50 incidents dans une trentaine de communes en Île-de-France ont été recensés dans la nuit du 12 au 13 février, dont des violences sur policiers. Une «violence contenue» dans un «climat tendu»? C’est le moins que l’on puisse dire à la lecture de la dernière synthèse des faits de violence urbaine transmise par le préfet de police de Paris au ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux. Le Figaro a eu connaissance de ce document confidentiel, qui brosse sans fioritures le portrait d’une nuit d’émeute dans l’agglomération parisienne. Des événements survenus entre le 12 au 13 février et qui sont, pour l’essentiel, directement liés au climat inquiétant régnant dans les banlieues depuis l’affaire du viol présumé du jeune Théo, lors d’un contrôle d’identité le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois. Ils témoignent de la difficulté du métier de policier mais aussi de l’implication des forces de sécurité dans ce combat harassant contre des délinquants souvent très jeunes qui pratiquent une forme de harcèlement en bandes organisées.

Première surprise: le bilan global des incidents de la nuit pour la seule région parisienne est sans rapport avec les informations délivrées au compte-gouttes par le ministère de l’Intérieur.


 lire la suite : contre-info