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mercredi, 15 février 2017

L’armée de terre communique pour la Saint-Valentin

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017

14 février 2017 par Pierrot

L’armée « française » s’est fendue d’un post sur Facebook à l’occasion de la Saint-valentin… Ça devient très lourd, non ?

Source : contre-info

Vendredi 17 février : CARL LANG À CHATELLERAULT

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017

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mardi, 14 février 2017

300 personnes défilent contre la police à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2017

 

Un rassemblement en soutien à Théo, jeune habitant d’Aulnay-sous-Bois victime de violences policières après qu’il se soit violemment débattu lors de son arrestation, le 2 février dernier a eu lieu cet après-midi à Toulouse. La manifestation, qui s’est élancée à 15 heures de la place du Capitole a réuni 300 personnes qui ont déambulés jusqu’au quartier des Arènes, interrompant le trafic du tramway.

Suivis de près par plusieurs dizaines de policiers, les manifestants ont défilé le long de la Garonne avant de rejoindre la rive Gauche, Fer à Cheval puis les Arènes. Au cri de « Justice pour Théo », « Pas de justice, pas de paix », la foule composée majoritairement de jeunes militants d’ultragauche est allé jusqu’à scander « Policier suicidaire à moitié pardonné ». Des propos insultants et diffamants sur les policiers qui résument la violence quotidienne et l’hostilité d’une partie de la population. A en voir les pancartes « ACAB » (qui signifie « All Cops Are Bastards », traduisez par « Tous les flics sont des enc****) qui fleurissent le cortège, la tension était à son paroxysme.

Aucun incident majeur n’a été signalé et la manifestation s’est dispersée dans le calme mais sous surveillance aux Arènes.

 

Source : infos-toulouse

Ambiance colonie dans la Prison de Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2017

Après le scandale des photos publiées sur la page Facebook « MDR O Baumettes » en Mars 2015, où l’on pouvait voir des détenus exhibant téléphones portables, liquide et drogue dans la prison marseillaise, c’est aujourd’hui la prison de Seysses (au sud de Toulouse) qui paye les frais de son laxisme.

Lundi 23 Janvier 2017, une vidéo est publiée sur YouTube sous le nom « En Direct de la Prison de Toulouse« . Celle-ci provient du site internet Périscope, qui permet à n’importe qui de se filmer en direct et d’être vu par tout le monde. Lorsqu’on la visionne, seuls les barreaux aux fenêtres trahissent l’ambiance carcérale. Pour le reste on se croirait davantage en colonie de vacances ou dans une MJC de quartier.

Effectivement, les auteurs s’y vantent d’y mener « la belle vie » et sont fiers d’y afficher non seulement leur télé et leur musique, mais surtout la drogue éparpillée ça et là dans la cellule. « Il reste un peu de beuh d’Amsterdam, on a de la Bolivienne, du machin du bled…« , en somme rien qui diffère de leurs vies à l’extérieur. Il faut dire que Christine Taubira avait décidé de maintenir l’article 57 de la loi pénitentiaire de 2009, stipulant que la fouille systématique des individus revenant du parloir n’était pas obligatoire. Ainsi, le ballet est très simple : des connaissances amènent drogues et portables aux détenus via les parloirs puis les font circuler au sein même de la prison en cassant notamment les caillebotis des fenêtres donnant sur la cour de promenade.

Des conditions de travail bien plus précaires pour les surveillants

Outre le fait que les potentiels dealers puissent continuer leurs business en étant emprisonnés, c’est un véritable pied de nez aux gardiens qui est fait au travers de ce genre de vidéos. Gardiens désabusés et dépassés par les événements, qui ne peuvent même plus récupérer un téléphone portable sans recevoir des insultes et des menaces. Jérôme Massip, secrétaire général national du Syndicat Pénitentiaire des Surveillants ne croit pas que la vidéo ait été tournée à Seysses. La Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires de Toulouse n’a, quant à elle, toujours pas voulu s’exprimer sur le sujet…

A côté de ça, c’est un projet de construction d’une nouvelle prison à Muret qui est en train d’être étudié. Ayant pour fonction de désengorger la maison d’arrêt surpeuplée de Seysses en proposant 600 places de plus. La construction est annoncée pour 2020, cela laisse au moins le temps à l’administration pénitentiaire d’asseoir à nouveau son autorité ou, à défaut, d’équiper ses locaux de brouilleurs pour les téléphones portables, empêchant ainsi de nouvelles et scandaleuses provocations.

 

Source : infos-toulouse

Les Français peu incités à travailler plus, selon l'Insee

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2017

Par Guillaume Guichard Mis à jour

 

Les cas de très forte désincitation à travailler davantage étaient beaucoup moins fréquents en 2014 qu'à la fin des années 1990, note l'Insee.

 

Un actif sur deux voit sa hausse de revenu d'activité annulée de moitié par les impôts ou par la baisse de prestations sociales, selon une étude publiée lundi.

En France, l'incitation à travailler plus est faible, explique l'Insee dans une étude publiée lundi. La fraction d'une hausse de revenu d'activité mangée par les prélèvements obligatoires (impôts, cotisations sociales...) ou annulée par la baisse ou la perte d'une aide sociale (allocation personnalisée au logement...) «est élevée», écrivent les auteurs. En 2014, pour la moitié des actifs, plus de 57 % d'une augmentation de rémunération était absorbée par ces deux phénomènes!

Or, «un taux élevé peut conduire les individus à réduire leur temps de travail, à limiter leurs efforts pour obtenir une promotion ou développer une activité libérale ou entrepreneuriale, ou même sortir du marché du travail», expliquent les auteurs de l'étude.

Toutefois, les cas de très forte désincitation à travailler davantage sont «beaucoup moins fréquents en 2014 qu'à la fin des années 1990», grâce à la mise en place du RSA activité et de la prime pour l'emploi. Deux dispositifs financiers censés inciter à la reprise d'emploi aujourd'hui fondus dans la prime d'activité.

»» Lire aussi: En grève de la faim, elle réclame le droit de «vivre de son travail»

Les familles monoparentales particulièrement concernées

La part d'une hausse de rémunération ainsi consommée varie fortement selon les niveaux de revenus et les situations personnelles: elle peut être nulle pour 0,2 % des actifs et dépasser 81 % pour 5 % d'entre eux. Elle peut même atteindre 100% (voire aller au-delà). Dans ce dernier cas de figure, certaines prestations sociales se réduisent du même montant que la hausse de revenu. Leurs bénéficiaires ne trouvent alors aucun intérêt à travailler davantage.

Par ailleurs, les minima sociaux étant majorés pour les parents de familles monoparentales, ceux-ci font face à une incitation moins grande à travailler plus.

 

Source : lefigaro