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vendredi, 26 février 2016

Le patriarche Béchara Raï rappelle l’utilité de la peine de mort : « l’Etat a le devoir de protéger les citoyens des assassins et des criminels qui circulent librement »

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

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Tandis que le pape François lançait, le dimanche 21 février, à l’issue de la prière de l’Angélus, un nouvel appel pour l’abolition de la peine de mort au plan mondial, à Beyrouth, le patriarche Béchara Raï rappelait au même moment le droit de l’autorité publique d’appliquer la peine de mort.

Au cours de la messe qu’il présidait dimanche, le patriarche maronite a fait référence directe au Catéchisme de l’Eglise catholique, qui, dans son point n° 2266 (*), permet à l’autorité publique légitime de sévir par des peines proportionnées à la gravité du délit, “sans exclure dans des cas d’une extrême gravité la peine de mort”.

Le cardinal Béchara Raï, chef de l’Eglise maronite, dénonçait “l’apparente impunité qui entoure certains crimes, comme celui de l’assassinat de Marcelino Zamata à Achrafieh, la semaine dernière, et celui de Georges Rif, l’été dernier, à Gemmayzé”.

Les citoyens sentent désormais que l’Etat ne les protège plus, et les assassins croient que le champ pour eux est libre, qu’ils peuvent tuer quand bon leur semble, tant que la dissuasion est absente et qu’une couverture politique leur est assurée”, a-t-il constaté.

En tout état de cause, l’Etat a le devoir de protéger les citoyens des assassins et des criminels qui circulent librement. C’est à cette fin que les lois lui reconnaissent le droit d’appliquer la peine capitale”.

(*) Catéchisme de l’Eglise catholique, n° 2266: “Préserver le bien commun de la société exige la mise hors d’état de nuire de l’agresseur. A ce titre, l’enseignement traditionnel de l’Eglise a reconnu le bien-fondé du droit et du devoir de l’autorité publique légitime de sévir par des peines proportionnées à la gravité du délit, sans exclure dans des cas d’une extrême gravité la peine de mort”.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

« Il y a 3 millions de musulmans qui veulent arriver en Europe. Supposons qu’ils aient trois enfants. Ils seront 20 millions de plus dans 20 ans puis, un jour, ils seront 100 millions. » (le bourgmestre de Knokke)

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

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Depuis quelques semaines, des immigrés illégaux quittent Calais pour se rendre à la Côte belge en vue d’y trouver le moyen de rejoindre l’Angleterre. Le phénomène s’est accéléré avec l’annonce d’un prochain démantèlement de la « Jungle » de Calais.

Du côté belge, le gouvernement s’affole et prend des mesures essentiellement symboliques comme le rétablissement des contrôles à la frontière franco-belge. Mais les élus locaux des communes de la Côte belge font part de leur insatisfaction.

La rédaction de Sudpresse a contacté le Comte Léopold Lippens, bourgmestre de Knokke, station balnéaire huppée du Royaume de Belgique. Celui-ci a tenu des propos pour le moins décoiffants !

. « Ce qui commence à me pomper l’air, c’est qu’on ne parle plus que des migrants, de l’EI, des musulmans. »

. « Bon, les gens rentrent dans notre pays. Soit ils ont la permission de rester, ils sont en règle. Soit, ils sont illégaux. Alors, avec eux, qu’on fasse un camp comme à Guantanamo. Sans les torturer. Et qu’on les envoie dans leur pays! Et qu’on n’attende pas la décision du procureur du Roi pour leur demander de quitter le pays dans les 5 jours. » 

. « Les Français jouent les Sainte-Nitouche en laissant prendre le tram aux migrants de Calais. Ils s’arrêtent à La Panne puis ils prennent la direction de Zeebrugge où ils espèrent tenter l’aventure pour l’Angleterre. La police n’est plus assez efficace. Il y a 3 millions de musulmans qui veulent arriver en Europe. Supposons qu’ils aient trois enfants. Ils seront 20 millions de plus dans 20 ans puis, un jour, ils seront 100 millions. On ne veut pas de cela. On aurait dû rester dans une Europe à 9 et fermer les frontières! Heureusement qu’on a la N-VA. Avec les socialistes, on aurait 80.000 illégaux de plus. Et ils auraient reçu leur carte de séjour et ils pourraient voter aux prochaines élections! »

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Marseille : un professeur juif qui se disait victime d’une agression antisémite placé en garde à vue

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

25 février 2016 par admin4

Un professeur d’une école juive marseillaise, qui assurait, mi-novembre, avoir été agressé par trois hommes antisémites est entendu pour « dénonciation mensongère ».

Il faut bien reconnaître que ce schéma est devenu un grand classique…

« Son agression présumée intervenait moins d’une semaine après les attentats du 13 novembre à Paris. Un professeur d’une école juive, qui assurait avoir été agressé par trois hommes a été placé en garde à vue mercredi matin, selon La Provence. Il est entendu par les enquêteurs de la sûreté départementale de Marseille pour « dénonciation mensongère ». »

« Légèrement blessé. Le 18 novembre dernier, alors que la France est en pleine sidération post-attentats, un professeur d’une école juive de Marseille assure avoir été blessé à coups de couteau par trois hommes à scooter, dans le 13e arrondissement de Marseille. Selon son récit, ces derniers auraient proféré des menaces et des insultes antisémites, avant d’exhiber un tee-shirt estampillé Daech.
Le soir des faits, le préfet de police des Bouches-du-Rhône rassure, précisant quede très importants moyens policiers avaient été déployés pour en retrouver les auteurs. La victime, blessée aux bras aux jambes et au ventre, est hospitalisée, mais son pronostic vital n’est pas engagé. Il s’en sort avec quelques plaies et quitte l’hôpital le soir même.
Hollande avait appelé à une réponse impitoyable. L’affaire avait suscité une pluie de déclarations politiques et associatives. François Hollande avait vivement condamné cette agression, en appelant à une « réponse impitoyable ». Michèle Teboul, présidente du Crif Marseille-Provence, s’était dit « très choquée ». « Cela fait deux affaires du même type en très peu de temps », avait-elle relevé, se disant « très inquiète ».
Des incohérences dans le récit de l’enseignant. L’enquête, confiée à la sûreté départementale, a finalement mis en lumière les incohérences du récit de l’enseignant. « Les blessures font un peu rigoler si l’on peut dire, et les constatations médico-légales qui ont été effectuées ne collent pas à ce qu’il raconte, tout comme d’autres examens qui ont été réalisés au cours de ces semaines d’investigations », a confié une source proche de l’affaire, interrogée parLa Provence. »

Source Europe 1

THOMAS JOLY : « LE PARTI DE LA FRANCE SEMBLE ÊTRE UNE CIBLE PRIVILÉGIÉE DU GOUVERNEMENT SOCIALISTE »

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

Entretien publié dans l'hebdomadaire Rivarol du jeudi 25/02/16

Rivarol : Pourriez-vous expliquer pour quel motif vous avez été placé en garde à vue pendant 6 heures vendredi 19 février ?

Thomas Joly : « Le Parti de la France semble être une cible privilégiée du gouvernement socialiste »

Thomas Joly : J’étais convoqué à la gendarmerie de ma commune de résidence vendredi dernier pour être entendu à propos d'une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur ». On m’a signifié ma garde à vue dès mon arrivée. Il s'agissait en fait d'une procédure engagée par l'OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication) visant l'utilisation de deux photos pour illustrer des articles de mon blog (www.thomasjoly.fr) consacrés aux atrocités commises par DAECH et au meurtre par décapitation commis par l'islamiste Yassin Salhi en juin 2015. Les gendarmes qui m’ont reçu ont été extrêmement corrects et m’ont confié que ma garde à vue avait été réclamée par le Parquet. Lors de mon audition, j’ai signifié que je n’étais ni l’auteur de ces photos (trouvables en moins d’une minute sur Internet), ni l’auteur des crimes qu’elles illustraient. J’ai également déclaré que je n’avais fait qu’user de mon droit à la libre expression de mes opinions politiques tout en rappelant que la diffusion de ces photos n’avait pour objectif que d’accompagner en images des articles dénonçant la barbarie islamiste. Enfin, j’ai précisé que la diffusion jusqu’à la nausée de la photo d’un enfant mort échoué sur une plage turque n’avait semble-t-il pas scandalisé l’OCLCTIC ni le Parquet aux ordres de l’engeance socialiste, alors qu’elle était bien plus « accessible à un mineur » que celles que j’ai diffusées.

Cette minable petite intimidation politico-judiciaire est évidemment sans effet sur ma détermination à dire la vérité aux Français sur le danger islamiste dans un pays ravagé par la colonisation migratoire et dirigé par des irresponsables.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, ayant diffusé ces mêmes photos sur son compte Twitter, il sera intéressant de voir si elle subit le même traitement que moi.

Depuis l’instauration de l’état d’urgence, le Parti de la France semble être une cible privilégiée du gouvernement socialiste puisque certains de nos militants ont subi des perquisitions, d’autres une interdiction d’exercer dans le domaine de la sécurité (entrainant la perte de leur emploi). Des pressions ont aussi été exercées sur les établissements qui accueillaient nos réunions et nos activités sont étroitement surveillées par les services de renseignement.

Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités.

Toujours vendredi 19 février, des colleurs d’affiches du Parti de la France étaient attaqués à Marseille par des nervis d’extrême-fauche ? Que s’est-il passé ?

En effet, quatre de nos militants collaient des affiches du Parti de la France dans un quartier de Marseille lorsqu’ils ont été pris à parti par une bonne douzaine de voyous se prétendant « antifascistes », armés de battes de base-ball et de barres de fer. Les militants du PdF étant imperméables à la dévirilisation qui touche hélas une bonne partie de la jeunesse française, ceux-ci ont courageusement fait face à leurs agresseurs qui ont détalé comme des lapins à la première charge, ne laissant sur place que leurs militantes ! Cette anecdote est tout à fait significative de la lâcheté de ces individus qui, même en surnombre, prennent lamentablement la fuite dès qu’ils rencontrent la moindre résistance. L’adage « la rue appartient à ceux qui y descendent » prend ici tout son sens et doit être médité par tous les nationalistes qui se contentent de « militer » sur les réseaux sociaux.

Le Parti de la France organise son IIIe Congrès le 7 mai prochain, pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

Les statuts de notre mouvement prévoient le renouvellement de nos instances dirigeantes tous les trois ans, de ce fait le Parti de la France organise son IIIe Congrès qui se déroulera à Paris. Nous demandons la mobilisation de nos militants de la France entière pour faire de cette journée une réussite politique qui lancera la campagne du PdF en vue des échéances électorales de 2017.

Le matin, l’entrée sera limitée aux adhérents du Parti de la France qui éliront les membres du Conseil National qui ensuite élira le Bureau Politique. L’élection du Président du Parti de la France par les adhérents sera également effectuée. Carl Lang est bien sûr candidat à sa succession.

L’après-midi, le Congrès sera ouvert au public et un certain nombre de cadres du Parti de la France prendront la parole pour des interventions thématiques. Ce sera l’occasion de mettre en avant de nouvelles têtes, notamment des jeunes, symboles du renouvellement de nos cadres et de nos militants. Martine Lehideux et Roger Holeindre, respectivement vice-présidente et Président d’honneur du Parti de la France interviendront également, tout comme des personnalités extérieures au PdF dont nous divulguerons l’identité dans quelques temps. Enfin, le Président du Parti de la France clôturera la journée.

Ce congrès est un événement important dans la vie de notre mouvement politique qui, depuis 2008, a su se structurer, recruter, s’organiser et perdurer avec des moyens dérisoires grâce au travail et au dévouement de ses militants.

Dès sa création, Carl Lang avait annoncé que le Parti de la France ne serait pas un feu de paille et qu’il n’avait pas pour objectif de retomber dans les travers d’un Front National devenu une écurie électorale au service d’un clan. Le PdF entend incarner la droite nationale de conviction dont le devoir est de dire la vérité aux Français. Nous sommes la structure d’accueil naturelle de tous les déçus d’un Front National dévoyé, du souverainisme trop tiède, de la fausse droite dite « républicaine », du groupuscularisme stérile et de tous ceux qui souhaitent une véritable alternative nationale, populaire et sociale.

Le lendemain de notre Congrès, le dimanche 8 mai, nous participerons comme chaque année au défilé en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc.

Que pensez-vous de l’évolution du Front National et de la mise à l’écart de son fondateur, Jean-Marie Le Pen ?

Le Front National d’aujourd’hui, aux mains d’une parvenue sans foi ni loi et d’un inverti socialo-gaulliste, n’a évidemment plus rien à voir avec le grand mouvement de résistance nationale que nous avons connu auparavant. Ses dirigeants sont prêts à tout renier pour obtenir quelques miettes de pouvoir et, au mieux, gérer le déclin et la décadence de notre Nation, comme le font tous ceux qui nous gouvernent depuis des décennies. La dédiabolisation voulue de manière obsessionnelle par Marine Le Pen s’est révélée être un échec total lors des dernières électionsrégionales. Dans un contexte on-ne-peut plus favorable (attentats islamistes, crise des migrants, ras-le-bol anti-Hollande, etc), le FN version Philippot-mariniste a subi, lors de l’entre-deux tours, le même traitement que Jean-Marie Le Pen en 2002 après sa qualification au 2nd tour des élections présidentielles, et n’a remporté aucune région. C'est-à-dire que toutes les reptations, les reniements, les courbettes médiatiques et maçonniques, l’épuration de tous les éléments sains de la direction du parti, n’ont servi strictement à rien. Ni même l’ignoble trahison infligée à Jean-Marie Le Pen de la part de celle à qui il a tout donné, dans un manque de lucidité stupéfiant, alors même que ses plus fidèles compagnons l’avaient mis en garde depuis bien longtemps. Après avoir tué le père, la Présidente du Front National n’hésitera plus à couper aucune tête, y compris celle de sa nièce Marion qui, si elle prend trop d’importance et gagne encore en popularité, subira elle-aussi les foudres hystériques de sa tante. En outre, il est aussi possible que l’ambitieux Florian Philippot profite des ennuis judiciaires de Madame Le Pen pour organiser son éviction si elle se retrouvait mise en examen puis inéligible. Tout est possible au sein de ce panier de crabes, de ce cloaque pestilentiel qui n’a plus rien à envier au PS ou à la fausse droite.

Les patriotes lucides doivent faire leur deuil du Front National, arrêter de se bercer d’illusions électorales et rejoindre les véritables forces de résistance afin, non pas de participer au Système comme le désirent Madame Le Pen et ses porte-cotons, mais de l’abattre pour entreprendre la reconquête nationale et identitaire de la France éternelle.

Propos recueillis par Jérôme Bourbon

IMMIGRATION : UNE LOI IRRESPONSABLE VOTÉE EN CATIMINI !

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

« Jeudi 18 février, subrepticement, en catimini, dans l’indifférence générale, la cachoterie, le désintérêt absolu des médias, l’Assemblée nationale a définitivement adopté le projet de loi sur l’immigration de M. Valls et M. Cazeneuve. Pour Alexis Théas, juriste et universitaire, elle

complique davantage la lutte contre l’immigration illégale.


Immigration : une loi irresponsable votée en catimini !

Avec cette loi, le gouvernement donne des gages à la frange la plus idéologique du parti socialiste.

Cette réforme transforme profondément le système français de l’immigration. Pourquoi ne pas le dire, pourquoi le dissimuler? Il va de toute évidence dans le sens de l’ouverture, de l’accueil, du renforcement des droits des étrangers et de l’affaiblissement des outils de l’Etat dans la lutte contre l’immigration illégale.

La nouvelle loi adoptée hier prévoit un dispositif particulier en faveur des étrangers en situation irrégulière, malades en France, après trois mois de résidence. Ces derniers, atteints d’une maladie d’une exceptionnelle gravité – terme qui recouvre quasiment toutes les maladies graves, y compris psychiatriques – , s’ils n’ont pas les moyens personnels d’être soignés dans leur pays (revenu suffisant, couverture sociale, proximité d’un hôpital de son domicile), obtiennent le droit d’être régularisés en France et de bénéficier du système de soin français (article L313-11-11 du CESEDA). Il incombe à l’administration, si elle envisage de refuser de le régulariser, d’apporter la preuve qu’il dispose personnellement des moyens d’être soigné dans son pays. Ce dispositif ouvre un engrenage, un risque d’un appel d’air, dont on ne voit pas où il peut s’arrêter.

Enfin, la loi Valls-Cazeneuve rend infiniment plus compliquée la lutte contre l’immigration illégale. Elle supprime la rétention administrative de cinq jours pendant laquelle le préfet peut décider de garder un étranger en situation irrégulière en rétention, le temps d’organiser son départ. […]

La nouvelle loi a été voté dans un climat d’indifférence et de légèreté qui donne le vertige. Seul un député des Républicains était présent à l’Assemblée lors du vote final, expédié en moins d’un heure. Aucun des deux députés Front national n’assistait à cette séance (ni à la précédente). […] »

Source Le Figaro  via FDS

http://www.parti-de-la-france.fr/