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jeudi, 18 février 2016

Toulouse : le syndicat Unité SGP dénonce "l'agonie" de Police-Secours

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016

Dans un communiqué publié mercredi, le syndicat Unité SGP Police dénonce la paralysie de Police-Secours à Toulouse. Selon lui, un seul équipage est opérationnel pour répondre à environ 500 appels quotidiens.  

Une intervention de Police-Secours à Toulouse © Max PPP

© Max PPP Une intervention de Police-Secours à Toulouse

 
A Toulouse, Police-Secours censée répondre aux appels sur le 17 est paralysée,selon le syndicat Unité SGP Police.

"Ce jour, comme très régulièrement, 1 seul équipage est opérationnel pour mener les interventions sur la circonscription, une configuration inacceptable, tant en semaine que le week-end", indique le syndicat dans un communiqué."Pareille situation a de quoi inquiéter puisque cette mission essentielle d’aide et assistance d’urgence représente une moyenne de 500 appels « 17 » quotidiens, poursuit-il.

Unité SGP Police dénonce donc "le manque flagrant de personnels affectés à cette mission prioritaire et la mauvaise qualité de réactivité du service public « POLICE » face aux évènements auxquels les équipages sont confrontés".

Ces Brigades « Police-Secours » auraient été divisées par moitié sur une décennie pour atteindre "un seuil de rupture aujourd’hui avéré". D'où cette mise en garde d'Unité SGP sur "un état de fait dont les conséquences pourraient s’avérer dramatiques, et qu’il est inconcevable de maintenir ainsi".
 

Mariage pour tous en Italie : même des prêtres sont pour !



Mgr Nunzio Galantino, secrétaire de la Conférence épiscopale italienne (CEI)

Mgr Nunzio Galantino, secrétaire de la Conférence épiscopale italienne (CEI)

Officiellement, depuis la prise de position publique plus ferme affichée par le président de la Conférence Épiscopale Italienne, le cardinal Bagnasco, l’Église en Italie est contre le mariage pour tous en discussion actuellement au parlement tout en acceptant de reconnaître certains droits aux couples de mêmes sexes. Position d’ailleurs plutôt conciliante par rapport à la doctrine traditionnelle de l’Église catholique qui interdit l’homosexualité et les unions hors mariage.  Position qui devrait donc remporter plus facilement l’unanimité au sein des ecclésiastiques d’aujourd’hui pétris d’idées nouvelles et soumis à la pression de la modernité.

Mais nous sommes à l’ère de l’Église conciliaire, de la liberté de conscience sans repères, du sentimentalisme larmoyant, et surtout du personnalisme chrétien qui affirme le primat de la personne et la bonté de toute action dans la mesure où elle respecte la personne humaine et contribue à son épanouissement. Ce n’est plus Dieu la fin ultime des actions humaines mais l’épanouissement de l’homme !

La position du cardinal Bagnasco est donc loin de faire le consensus parmi les évêques et prêtres italiens. Bien pire, les évêques se disputent sur cette question, ce qui ne peut que laisser pantois tout catholique fidèle à la doctrine traditionnelle de l’Église. Le secrétaire de la CEI, Nunzio Galantino, qui n’a jamais vraiment été en phase avec la fermeté du cardinal Bagnasco, prend ses distances vis-à-vis des dernières déclarations du président de la CEI qui souhaite un vote secret au Parlement italien.

Parmi les prêtres, même désunion, même absence de repères doctrinaux vraiment catholiques. Le voyage du quotidien La Stampa dans les églises de Turin est plus que révélateur : « dans l’ensemble les prêtres sont plus ouvert que l’Église officielle ».

Contradictions du prêtre salésien qui reconnaît, auprès du jeune homosexuel qui veut se marier et qui l’interroge,  que « l’homosexualité est une déviance », que « le mariage est toujours entre un homme et une femme » tout en affirmant que « Si tu désires un fils, je ne me sens pas de te dire non » et que le manque de figure maternelle est un problème qui « se dépasse. Et puis il y a toujours les grands-mères. »

Démission du curé qui admet honnêtement que l’Église est divisée : « Chaque prêtre te dira une chose diverse. Ce que je te dis moi c’est : ne décident ni les évêques ni les politiciens, c’est toi et ton compagnon devant Dieu. »

Incohérences d’un autre qui ne reconnaît pas l’homosexualité comme une maladie, affirme qu’on peut être homosexuel et catholique si on ne vit pas « l’homosexualité dans le péché. »Pour ensuite expliquer : « Je suis favorable à cette loi. Le mariage est chose bien différente, mais c’est juste d’étendre les droits et les devoirs. En revanche chaque enfant a besoin d’un  pape et d’une maman. » 

Affabilité de ce prêtre ancien qui se dit favorable aux unions civiles : « Même, il faudrait appeler les choses par leur nom : mariage homosexuel. Mon conseil cependant est de bien y réfléchir avant. C’est le même conseil que je donne aux couples hétérosexuels. »

Embarras du jeune religieux qui répond : « Tu dois affronter ton chemin de foi, je ne peux te dire autre chose. Même le pape ne peut décider de ce qui est moral et de ce qui ne l’est pas. »

Un seul ose parler fermement : « L’homosexualité est une dépravation. Tu te trompes en acceptant ta condition, tu dois réagir. Tu es jeune, je suis sur que tu pourrais guérir. »

Mais de quel poids sera-t-il face au tout jeune prêtre pour qui  « Il y en a qui dressent des murs, et d’autres qui construisent des ponts, moi je choisis les ponts. » en paraphrasant le pape François. Et de continuer « Je ne peux pas dire que l’amour soit seulement entre un homme et une femme parce que je sais que ce n’est pas ainsi. L’Église est lente, mais elle y arrivera. »

L’Église conciliaire, véritable auberge espagnole où toutes les options semblent permises et acceptables, y arrivera peut-être.

Mais comme l’a dit le jeune prêtre, « même le pape ne peut décider de ce qui est moral ou pas », la doctrine traditionnelle de l’Église catholique sur le « mariage » homosexuel, elle, ne changera pas ! Et c’est Non !

Francesca de Villasmundo

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Doit-on changer le titre de « Pierre m’aimes-tu ? » en « François qui aimes-tu ? » ?

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016

 

Synode : toutes les voix de la subversion se réjouissent

C’est la question que l’on est en droit de se poser après la lecture du livre de l’abbé Daniel le Roux que La Porte Latine vient de mettre en ligne et, en même temps, de remettre à l’honneur.

Ce très beau et très fort texte, publié en juin 1988, a été postfacé par Mgr Marcel Lefebvre, le fondateur de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X. Il a été écrit suite au scandale provoqué par la réunion de « toutes les religions » à Assise le 27 octobre 1986(1). Le prélat, qui a pleuré de honte à l’occasion de cette rencontre interreligieuse, écrit notamment :

« La lecture de ces pages qui précèdent et présentent le vrai visage de Jean-Paul II sont terrifiantes et remplissent l’âme catholique et romaine d’épouvante et de tristesse.

Elle suscite aussi des problèmes graves à la foi du catholique fidèle, problèmes souvent insolubles et qui expliquent la perplexité et la confusion qui envahissent les esprits les plus solides et les chrétiens les plus convaincus.

Le Pape c’est la « Pierre » placée par Dieu à la base de Son Église, c’est celui dont la foi ne doit pas défaillir, qui confirme ses frères, qui paît les brebis et les agneaux, qui, assisté par l’Esprit-Saint, a dirigé l’Eglise pendant près de vingt siècles, conférant ainsi à la Papauté un crédit moral unique au monde.

Est-il concevable que depuis les années 1960 le Siège apostolique soit occupé par des Papes qui sont la cause de l’« autodestruction de l’Eglise » et y répandent « la fumée de Satan ». Évitant même de nous poser la question sur ce qu’ils sont, nous sommes bien obligés de nous poser des questions sur ce qu’ils font et de constater avec stupeur que ces Papes introduisent la Révolution de 89 dans l’Eglise(1) avec sa devise, sa charte, directement opposées aux principes fondamentaux de la foi catholique. »

Et chacun peut comprendre l’horreur qui a saisi « l’évêque de fer » lorsqu’on lit ce qui s’est passé ce funeste 26 octobre 1986 :

« Nous nous rappelons avec consternation les poulets décapités sur l’autel de Sainte-Claire selon des rituels tribaux, et le sanctuaire de l’église Saint-Pierre profané par une statue de Bouddha placée sur l’autel, au-dessus des reliques du martyr Vittorino… Nous nous rappelons les prêtres catholiques qui se sont prêtés à des rites d’initiation d’autres religions… » (2)

« Je peux en parler en témoin oculaire. J’ai vu de mes yeux des choses qui sont objectivement scandaleuses, comme la profanation des églises par des cultes païens : le dalaï-lama dansant devant le tabernacle qu’on avait surmonté d’un bouddha ; les Indiens d’Amérique invoquant les quatre vents, leurs frères, dans l’église Saint-Grégoire ; les sorciers animistes mis sur un pied d’égalité avec le vicaire du Christ ; l’occultation du crucifix ; la messe catholique seul rite exclu (…). Telle qu’elle s’est déroulée, la journée d’Assise a été un scandale public, une offense au premier Commandement… »

Loin de cesser, les scandales se sont tellement multipliés que Mgr Fellay a fait parvenir en 2004 à Rome, à l’occasion du 25ème anniversaire de l’élection de Jean-Paul II, un texte de 40 pages intitulé « De l’oecuménisme à l’apostasie silencieuse, 25 ans de pontificat » (4) dans lequel il reprend à son compte les inquiétudes, les interrogations, les manquements à la doctrine que son illustre prédécesseur avait déjà dénoncées.

Nous sommes en 2016. 30 ans après Assise, 12 ans après l’interpellation de Mgr Fellay à Rome et… rien n’a changé. Bien au contraire. Les choses empirent et même Benoît XVI a réitéré la cérémonie interreligieuse d’Assise en octobre 2011 et a continué ses visites dans les temples protestants, les synagogues et les mosquées.

Son successeur semble à tel point accélérer le mouvement en direction de toutes les fausses religions (5) qu’il apparait désormais comme le chef d’un syncrétisme religieux de fait à telle enseigne que la question suivante peut, en effet, lui être posée : « François qui aimes-tu? ».

Et Dominus flevit…(6)

Christian LASSALE

Source : http://www.medias-presse.info/

L’Autriche ferme ses frontières, les migrants resteront donc en Italie

 Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016

Résultat de recherche d'images pour "autriche"Face aux vagues d’immigrés clandestins qui submergent les pays du vieux continent, ce n’est plus Tous pour un et un pour tous, mais Sauve qui peut !

Schengen est bien mort, que les technocrates européens et les politiciens vendus aux grands groupes industriels qui veulent de la main d’œuvre à bas prix le veuillent ou non. Certains pays de l’Union Européenne, avec un certain retour au bon sens et face à l’incapacité de l’union Européenne à défendre leurs intérêts, saisissent, enfin, la gravité du danger qui les menace économiquement, culturellement, ethniquement, et prennent en conséquence des mesures de fermetures des frontières et de renvois des immigrés, qui ne sont des réfugiés que dans l’esprit falot de dame Merkel.

Et tant pis pour les pays qui croient encore aux contes de fées et au happy end hollywoodien ! Et tant pis, aussi,  pour le voisin submergé !

C’est officiel : l’Autriche a annoncé, par les voix  de son ministre de l’Intérieur  Johanna Mikl Leitner e de son ministre de la Défense Hans Peter Doskozil,  la fermeture des frontières avec l’Italie et les contrôles systématiques pour limiter le flux de migrants chez eux. Leitner n’exclut pas aussi l’utilisation de clôtures si nécessaires.

« La décision du gouvernement autrichien de restaurer les contrôles aux frontières avec l’Italie est très grave, a dit Deborah Bergamini, responsable de la Communication de Forza Italia. L’Autriche défendra les points de passage avec l’Italie pour empêcher le flux des migrants et cela signifie que non seulement le nombre d’immigrés dans notre pays ne diminuera pas, étant donné que les relogement à l’étranger des demandeurs d’asile sont pratiquement arrêtés, mais ce nombre est destiné à grandir parce que les débarquements continueront tant que la paix en Syrie et en Libye ne sera pas rétablie. L’Europe veut notre argent mais ensuite elle fait retomber sur nos épaules tout le drame de l’immigration, dans l’indifférence et l’impuissance du gouvernement italien. »

Il est certain que les pays méditerranéens qui font face au continent africain sont les plus vulnérables car les premiers abordables pour les migrants : ce sont eux qui doivent faire face aux débarquements sauvages de milliers de clandestins, chaque jour, sur des milliers de km de côtes maritimes. Le drame de l’immigration repose, en effet, avant tout sur eux.

Les Européens, à la botte des intérêts américains et israéliens et à la suite des folies guerrières du  français Bernard-Henri Levy, ont semé la guerre et l’anarchie en Libye et en Syrie. Et la paix n’est pas pour demain !

C’est donc une politique ferme de fermeture totale des frontières, d’opposition à tous débarquements sauvages, de renvois systématiques, à l’envoyeur, des embarcations clandestines qui traversent la méditerranée, qui doit être mise en place par l’ensemble des pays européens. Mais encore faudrait-il que le gouvernement italien, selon le désir du peuple péninsulaire, ait la volonté de mettre un terme à l’accueil des migrants. Ce qui n’est pas le cas…déplaire aux lobbies immigrationnistes et à la bien-pensance mondiale est trop difficile pour ces politiciens démocrates !

Francesca de Villasmundo

Source : http://www.medias-presse.info/

Le dhimmi du jour est le maire de Courbevoie, Jacques Kossowski

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016

mosquee_courbevoie
17/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)

Pendant la menace d’attentats islamistes et l’état d’urgence, l’islamisation continue. À Courbevoie, les habitants ont pu découvrir leur future mosquée, sur terrain municipal bien sûr.

Le bail emphytéotique de 80 ans pour un terrain communal de Courbevoie pour la construction d’une mosquée d’une surface au sol de 680m2 avait été signé fin juin. Ce week-end, les Courbevoisiens ont pu découvrir leur future mosquée lors d’une journée portes ouvertes de l’actuelle salle de prière dirigée par l’ACMC, l’association Cultuelle des Musulmans de Courbevoie. Le bâtiment pourra recevoir environ 1 800 fidèles, avec salles de prière pour femmes séparées, bien entendu. Si le style est bien d’inspiration orientale, il ne comporte pas de minaret, c’est toujours ça.
courbevoie_mosquee
Il faut croire que ce projet était d’une grande importance puisque la présentation des maquettes et plans s’est faite en présence du préfet des Hauts-de-Seine, Yann Jounot, du président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, de militants de gauche, en passant par les adjointes de droite de Courbevoie, Aurélie Taquillain et Puteaux.
Le parisien relève aussi la présence de « riverains, un peu sur la réserve ». Ce délicat euphémisme dit bien la joie des voisins d’entendre bientôt l’appel à la prière.

Si la laïcité suppose le respect de tous les cultes, elle n’implique pas d’en favoriser une par l’octroi de conditions particulièrement favorables pour l’implantation de ses lieux de culte, faut-il le rappeler une nouvelle fois. Par l’octroi d’un bail emphytéotique dont le montant des loyers reste mystérieux, la présence de son adjointe à cette journée portes ouvertes, consacrant l’importance que le projet revêt à ses yeux, Jacques Kossowski mérite bien son titre de dhimmi du jour.

Crédit photo : Agence XXM architecturesvia


 
Source : http://fr.novopress.info/