Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 31 mars 2016

Le bouffon

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2016

© Alexander Demianchuk/ITAR-TASS Photo/Corbis

Et maintenant qui va porter le chapeau ? C’est à ce jeu-là que la droite libérale et la gauche socialiste vont jouer quelques jours encore. C’est le chef de l’Etat lui-même qui a lancé la partie en annonçant qu’il renonçait à la révision constitutionnelle. Laquelle devait introduire dans la loi fondamentale la déchéance de la nationalité, l’état d’urgence et, on ne sait trop pourquoi, en prime sans doute, la réforme du Conseil supérieur de la magistrature. La faute à qui ? A « une partie de l’opposition qui est hostile à toute révision constitutionnelle », a assuré le chef de l’Etat. Il en a pourtant imputé aussi la responsabilité aux députés, y compris socialistes : « Je déplore profondément l’attitude (des députés et des sénateurs) qui n’ont pas réussi à dépasser les frontières partisanes. »

Ils n’ont pas réussi ? Mais lui avait réussi, il y a quatre mois, à Versailles, devant le Parlement réuni en Congrès, opposition et majorité confondues, députés et sénateurs l’applaudissant debout ! Tout le monde alors était d’accord pour procéder à la déchéance de la nationalité des seuls binationaux coupables de terrorisme, le président prenant soin de préciser que la mesure ne devait « pas avoir pour résultat de rendre quelqu’un apatride », ce qui excluait les Français n’ayant que cette nationalité-là. Que s’est-il passé pour que la montagne de la réforme accouche non pas d’une souris, ce qui serait déjà quelque chose, mais d’un courant d’air ?

Il se passe que nous avons un président velléitaire, opportuniste, sans autorité, flanqué d’un Premier ministre, censé être le chef de la majorité et qui ne maîtrise rien, lui non plus, et surtout pas le groupe PS à l’Assemblée nationale qui n’en fait qu’à sa tête. Finalement, les élus socialistes ont expliqué qu’en novembre, à Versailles, ce n’est pas la déchéance de la nationalité des binationaux qu’ils avaient applaudie mais le chef de l’Etat, chef de guerre contre le terrorisme. La frénésie égalitaire des socialistes les a donc conduits à voter la déchéance pour tous. Après avoir essayé, timidement, de braver la fronde, Hollande et Valls se sont inclinés, toute honte bue. Si François Hollande a pu ravaler avec tant d’aisance son discours de Versailles, c’est qu’il n’y croyait guère. La majorité sénatoriale, elle, a simplement repris son projet initial : déchéance pour les seuls binationaux. Et Hollande lui reproche de ne s’être point alignée sur son reniement en avalisant le texte des députés ! Il demandait en somme aux sénateurs d’opposition de venir à son secours pour pallier la défaillance des députés de ce qui s’appelle encore la majorité ! Il était question d’union nationale et on en est à ces dérisoires jeux politiciens, provoqués par un Hollande en déroute.

La déchéance de la nationalité née d’une tragédie s’achève donc en pantalonnade. Le chef de l’Etat est déconsidéré, affaibli, si cela est encore possible tant il est déjà dans un abîme d’impopularité. Mais sa personne n’a guère d’importance. Le pire est qu’à cause de lui et de ses revirements, les terroristes islamistes et autres criminels binationaux ne pourront pas être déchus de la nationalité française. Ces tueurs de Français resteront nos compatriotes ! La défaite du président est aussi leur victoire.

Par Guy Rouvrais

 

 

Condamnation de Karadžić : et si on rappelait les causes de la guerre ?

 

 

La lourde condamnation de Radovan Karadzic par le TPIY ne peut surprendre personne, et certainement pas l’intéressé lui-même.

 
La lourde condamnation de Radovan Karadžić par le TPIY (Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie) ne peut surprendre personne, et certainement pas l’intéressé lui-même. Ce dernier aurait pu reprendre à son compte la déclaration de Slobodan Milošević lors de sa présentation devant le même tribunal : « Je ne suis pas ici pour être jugé mais pour être condamné. » C’est qu’en effet, cette machine judiciaire ad hoc n’a pas été instituée pour juger impartialement des hommes, ni même des actes commis par eux, mais pour écrire l’Histoire dans le sens qui convient aux puissants qui l’ont instaurée.

En l’occurrence, la sentence qui vient d’être prononcée, comme toutes celles qui l’ont précédée, a pour but d’ancrer à jamais dans les esprits que les États-Unis ont agi pour le bien de l’humanité en détruisant la Yougoslavie, en écrasant la Serbie et en favorisant l’instauration d’un État islamique en Europe. Ceux qui s’y opposaient étaient forcément coupables. C’est naïveté de croire qu’on jugeait les moyens, alors qu’on jugeait les fins (il suffit de constater la clémence avec laquelle le TPI a jugé les crimes de la partie adverse).

La condamnation de Karadžić était tellement prévue qu’elle constitue un non-événement. La seule chose qui mérite qu’on s’y arrête est la servilité avec laquelle nos médias ont accueilli la nouvelle, reprenant à l’occasion tout le catalogue du manichéisme déployé dans les années 90, et méprisant souverainement les apports faits par les chercheurs honnêtes pour rétablir la vérité des faits.

Dans le présent contexte international et national, la condamnation de Karadžić et l’obstination de nos médias dans la cécité prennent un caractère sinistrement ironique. Le propre des procès politiques est de focaliser l’attention sur les faits bruts (dans le cas présent : crimes de guerre, « génocides », violences en tout genre), au besoin en les trafiquant, et d’éliminer la prise en considération des causes et des mobiles. Aussi prend-on grand soin de ne pas rappeler ce qui a mis le feu aux poudres en Bosnie et mené aux événements (effectivement détestables) prétendument jugés.

Il est donc très politiquement incorrect (mais conforme aux exigences de la vérité historique) de rappeler que cette guerre civile a eu pour cause unique et déterminante le refus des Serbes de Bosnie (33 % de la population) de devenir les citoyens de seconde zone d’un État islamique, dans le cadre d’une sécession de la Fédération yougoslave unilatéralement décrétée par la partie musulmane, sous la conduite d’Izetbegović (d’où le fait qu’ils aient eux-mêmes fait sécession au sein de la sécession).

Dans un article publié sur ce site, Fabrice Garniron a clairement montré comment le prétendu « multiethnisme », dont on nous a rebattu les oreilles, était un miroir aux alouettes à l’intention des gogos de l’Occident, Izetbegović ayant par ailleurs proclamé sans ambiguïté ses véritables intentions.

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

Sans Benzema, c’est vraiment mieux !

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2016

Porter le maillot des Bleus nécessite une certaine exemplarité.

Le temps de deux matchs en quatre jours, le débat qui agitait le Landernau footballistique et politique serait-il réglé ? L’équipe de France a marqué trois buts contre les Pays-Bas, ce vendredi, et quatre contre la Russie, ce mardi. Le tout sans Benzema, qu’une intense campagne médiatique tend à rendre indispensable à l’équipe de France.

Rappelons que ce joueur, aux statistiques fort moyennes en équipe de France (1 but tous les trois matchs, en tirant les penalties, c’est bien éloigné des scores des meilleurs attaquants du monde), qui ne cache pas son mépris pour la France, boude « La Marseillaise », crache par terre à la fin de l’hymne français, joué au lendemain des attentats du Bataclan, est impliqué dans quelques affaires de droit commun, dont le célèbre chantage à la vidéo torride contre son « copain » de l’équipe de France, Mathieu Valbuena, qu’il a qualifié au téléphone de« tarlouze ».

Cela n’a pas empêché le président de la Fédération française de football, le socialiste Noël Le Graët, d’éclater en sanglots, quand il a dû annoncer que « Karim » n’était pour l’instant plus sélectionnable avec un tel dossier. Ensuite, il a qualifié de « racistes » ceux qui s’acharnaient à dire qu’il ne pouvait plus revenir chez les Bleus. Puis Zidane, son entraîneur à Madrid, nous a expliqué que « Karim » était indispensable à la France. Enfin, L’Équipe nous a fait le coup d’un numéro spécial, avec une couverture « Le monde entier nous l’envie » – rien de moins.

On fait difficilement mieux dans la façon d’utiliser le football pour faire passer un message politique, au service de la société multiculturelle, des chances pour la France, pays colonialiste qui devrait tout au monde musulman. Surtout dans un contexte où une clique politico-médiatique fait tout pour absoudre l’islam (religion affichée de Benzema) des crimes de ses disciples à Paris et à Bruxelles. La France championne d’Europe grâce à « Karim », quel beau message pour les allumeurs de bougies et les adeptes des minutes de silence.

Sauf que même dans le milieu politique, cela commence à couiner. Manuel Valls en personne, mais aussi le ministre des Sports, Patrick Kanner, ont fait savoir que porter le maillot des Bleus nécessitait une certaine exemplarité, ce qui, selon eux, n’était pas tout à fait le cas de Benzema. Et puis, surtout, il y a la réalité du terrain. Sept buts en deux matchs, un football champagne, des joueurs qui paraissent fiers de porter le maillot de l’équipe de France, qui chantent presque tous « La Marseillaise », cela nous change de l’équipe des islamo-racailles où nous devions subir la présence des Anelka, Ribéry, Nasri, Ben Arfa et Benzema, qui faisaient souvent la une de la presse, dans la rubrique « faits divers ».

Symbole terrible : Benzema tire tous les coups francs de l’équipe de France depuis des années et n’en a jamais mis un au fond. En deux matchs, Antoine Griezmann, le talent à l’état pur, et Dimitri Payet, ont mis deux superbes coups francs directs.

Rappelons que, malgré une campagne médiatique intense, 70 % des Français s’opposaient au retour de l’avant-centre du Real Madrid (sondage Odoxa réalisé pour RTL et Winamax).

Didier Deschamps, capitaine des champions du monde, en 1998, aujourd’hui sélectionneur des Bleus, ne peut pas ignorer que le patron de l’équipe 1998, Aimé Jacquet, avait laissé à la maison les deux meilleurs joueurs français du moment, Éric Cantona et David Ginola, pour préserver la cohésion du groupe. Dans cet esprit, il doit laisser Benzema à la maison et ne sélectionner que des joueurs qui aiment la France et sont dignes de porter son maillot.

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

6 730 SDF sont morts dans la rue ces trois dernières années en France

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2016

31 mars 2016 par admin4

6.730 morts dans la rue en trois ans en France. S’ils avaient été clandestins, paradoxalement, ils auraient bénéficié des aides destinées aux prétendus réfugiés. Mais dans leur grande majorité il s’agit de simples français, souvent de souche, écorchés par la vie. De ceux qu’on abandonne au profit des étrangers, surtout lorsqu’ils sont clandestins, vers qui se portent tous les fonds de solidarité publics, anciens et nouveaux. C’est le Quotidien du Médecin,peu suspect d’inventer des histoires, qui donne ce chiffre.

Près de 7.000 « sans domicile fixe » seraient morts dans la rue entre janvier 2008 et décembre 2010 explique-t-il : « Rien que pour l’Ile-de-France nous recevons des signalements de décès tous les jours, un peu par hasard. (…). Là, c’est énorme »

Et encore, ce chiffre n’est-il pas  exhaustif !

Être sans domicile fixe induit un risque très élevé de mortalité, rappellent les auteurs. Les études menées à l’étranger, notamment aux États-Unis et au Canada, rapportaient un taux de mortalité entre 3 et 13 fois supérieur à celui de la population générale. Et ce sont surtout les hommes jeunes qui meurent dans la rue. «  Les causes de décès ne sont pas très différentes de celles de la population générale », explique Lise Grout. « Il s’agit pour les hommes de cause cardiaque, ou externe, agressions, suicides, qui sont celles que l’on retrouve dans la population masculine au même âge. Sauf que l’âge moyen de décès dans la rue est de 45 ans contre 77 ans dans la population générale ».

L’INSEE reportait une augmentation de 50 % des SDF au cours de la dernière décennie et estimait à 144.000 le nombre de personnes vivant dans la rue en 2012.

Quand le nombre de Sans-domicile-fixe atteint de tels chiffres, il ne s’agit plus de marginaux, mais d’un phénomène de société. Une société qui ouvre ses portes et le fruit de ses impôts aux jeunes étrangers d’autres continents, en quête de conditions économiques meilleures, mais qui les ferme à ses propres ressortissants.

Source : MPI

Bourrage de crâne anti-raciste : Géant Casino pollue même vos tickets de caisse !

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2016

31 mars 2016 par admin4

casino

« Les services de propagande de l’État tournent à plein régime.

Quoi que vous fassiez, où que vous alliez, vous ne pouvez y échapper.

Et la grande distribution – déjà pourvoyeuse de halal, corans et autres abayas – s’en fait la complice servile et disciplinée – mais pas désintéressée pour autant je suppose – comme en témoigne ce ticket de caisse remis lors de mon passage au magasin Géant de ma ville.

Combien nous coûte ce prosélytisme systématique – spots TV, campagnes d’endoctrinement et d’embrigadement à destination des élèves, d’affichage et de tracts à destination de tous, de subventions des officines anti-françaises, et autres festivals de la diversité – d’où le racisme anti-blancs est exclu ?

Combien touchent les actionnaires de cette chaîne de magasins pour diffuser ce message émis par le « Défenseur des droits »  des « minorités » discriminées, forcément discriminées par les de-souche, racistes, forcément racistes, que nous sommes ?

Si, comme moi, vous êtes las de ce bourrage de crâne, qui stigmatise et jette l’anathème sur les Français attachés à leur culture, à leur mode de vie, à leurs traditions, et qui ne peut qu’inciter « ceux que nous n’avons pas invités » à nous cracher à la gueule avec la bénédiction de ceux qui nous dirigent droit dans le mur, je vous invite à dire son fait, de façon ferme mais courtoise, au « Défenseur des droits » sur son site : www.egalitecontreracisme.fr

Vous pouvez, de même, interpeller le service consommateurs des magasins Géant:https://www.geantcasino.fr/service-consommateurs/ Tél : 0 800 13 30 16

La Résistance, ça commence, parfois, par des mots bien sentis, pour éviter de finir par des coups, des larmes et du sang ! Et on peut être ferme sans insulter, inutile de s’exposer à une plainte judiciaire. »

Philippe BESCOND-GARREC sur : resistancerepublicaine