Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 31 mars 2018

Quand l’intelligence devient artificielle

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2018

Rédigé par notre équipe le 30 mars 2018.

A l’occasion du Sommet intelligence artificielle « AI For Humanity » qui s’est tenu le 29 mars au Collège de France, Macron a joué une de ses partitions favorites : les nouvelles technologies à la sauce jeunesse en marche. Les commentateurs sont ravis, ils ont l’impression que la France rentre de plein pied dans l’ère de l’intelligence artificielle. Après avoir fait une croix sur l’intelligence, elle devient artificielle. De quoi faire de la France un des leaders mondiaux en la matière ? La mission s’annonce ardue… 

Un milliard et demi d’euros. Voilà l’enveloppe que l’Etat entend mettre sur la table pour faire de la France « l’un des leaders de l’intelligence artificielle ». D’ici à 2022, la France entend faire entendre sa voix dans un domaine qui s’annonce très prometteur. Un sujet d’autant plus inévitable qu’il entre parfaitement dans le grand livre de la communication du locataire de l’Elysée. Il faut paraître transformer l’économie et mettant l’accent sur les technologies de demain. L’intelligence artificielle est donc un sujet en or et méritait bien le cirque politique habituel.

Des millions pour quel objectif concret ?

Comme à chaque représentation, le numéro ne laisse place à aucune improvisation. On envoie le mathématicien et député En Marche Cédric Villani faire un rapport qui colle miraculeusement aux vues d’Emmanuel Macron. Le rapport déjà rédigé par les petites mains élyséennes servira donc d’axe pour les prochaines mesures tout en se déchargeant des quelques amendements imprévus comme le doublement des salaires en début de carrière pour les chercheurs. Pourquoi bien rémunérer des têtes pensantes puisqu’elles font leurs classes dans des laboratoires hors d’âge avant de s’expatrier vers des cieux plus cléments ?

Bref, la machine est lancée et permettra de financer plusieurs projets comme dans le secteur des voitures autonomes et la santé. Sur le milliard et demi d’euros promis, près d’un tiers est destiné aux entreprises spécialisées dans l’intelligence artificielle et à leurs projets. La Bpifrance doit contribuer à l’élan à hauteur de 70 millions d’euros et on espère que les financements privés suivront avec 500 millions d’euros investis d’ici à la fin du quinquennat. Côté objectifs, il ne s’agit pas moins que de concurrencer les géants américains et chinois. Pas de panique, la France par l’intermédiaire de son chef adoré a d’ores et déjà déclaré qu’elle entendait obtenir le concours de son bienveillant voisin allemand. A chaque coup de menton, Berlin en soutien présumé n’est jamais loin…

Mais le petit milliard et demi injecté au petit bonheur la chance peut-il vraiment faire la différence face à une nation comme la Chine dont les intelligences réelles (et non artificielles) sont soutenues par un plan d’investissements de 60 milliards de dollars qui court jusqu’en 2025 ? Est-ce bien raisonnable de faire mine de se lancer dans la course au véhicule autonome pour ne finir qu’à la remorque des Etats-Unis qui se sont engagés dans ce pari il y a déjà longtemps ? Il faut craindre que cette nouvelle « priorité » de l’exécutif ne soit que de la poudre aux yeux destinée à préserver l’image d’un président jeune et moderne.

Un président qui a du mal avec ses semblables car lors de son discours il n’a pas pu s’empêcher de dénoncer la présence de « trop de mâles blancs quadragénaires, formés dans les grandes universités européennes ou américaines ». Les Français qui ont la tare d’être blancs sont priés de laisser leur place. Ce n’est pas une approche très cool ni « bottom up » pour reprendre l’affreux anglicisme du président au sujet de la démocratie. Décidément, rien ne nous sera épargné. Une intelligence artificielle au pouvoir nous libérerait-elle de toutes ces bêtises racialo-genrées ?

 

Source : 24heuresactu

Edouard Philippe confie la lutte contre les propos politiquement incorrects sur le net à Laetitia Avia, qui avait brutalement mordu un taxi

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2018

Auteur : admin4

Le Premier ministre de (l’Anti)France Édouard Philippe a un grand projet pour le quinquennat en cours, la « lutte contre le racisme et l’antisémitisme », autrement dit contre les Français qui expriment leur refus de l’invasion migratoire ou de la dictature du CRIF. Voilà apparemment le principal problème de la France, selon les politiciens… Edouard Philippe a donc mandaté le député macroniste africain Laetitia Avia, qui s’était illustré récemment en mordant violemment à l’épaule un chauffeur de taxi qui lui avait déplu…

avia.jpg

Ceux qui tiennent des propos politiquement incorrects sur internet

doivent-ils craindre physiquement Laetitia Avia ?!

Avec Avia sont mandatés Karim Amellal et Gil Taïeb (vice-président du CRIF).

Le racisme anti-blanc n’existe donc toujours pas officiellement, apparemment, alors qu’il est de loin le plus pratiqué en… France.

Laetitia Avia produit sur twitter la lettre de mission :

Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter
Laetitia Avia
 
@LaetitiaAvia

J'ai reçu d'@EPhilippePM ma lettre de mission sur le renforcement de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme sur internet. Objectifs : construire un projet que la  portera en , rendre + effectives les sanctions existantes, s’inspirer des bonnes pratiques étrangères.

Ces femmes qui se convertissent à l'islam

Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2018

De Sabine de Villeroché sur Boulevard Voltaire :

Images"Marine, 18 ans, compagne de Redouane Ladkim, le tueur de Trèbes, convertie à l’islam depuis deux ans, complice… Émilie König, 33 ans, partie faire le djihad, originaire de Lorient, « demande pardon et cherche à revenir en France »… Combien sont-elles, ces petites Françaises de souche, à « changer de vie » pour embrasser le Coran ? Un chiffre hallucinant révélé par une étude réalisée par des chercheurs britanniques en 2011 (relayée sur le site Atlantico) estime à près de 70 % de femmes parmi les Européens qui se convertissent à l’islam ! 

Dans la plupart des cas, rien ne prédestine ces filles à la religion d’Allah. Biberonnées aux droits de l’homme à l’école de la République, nourries de télé-réalité dès leur plus jeune âge, elles jettent aux orties tout ce pour quoi leur mère et grand-mère ont combattu : égalité, pilule, avortement… et font le choix d’une autre religion et d’un autre modèle social… Rien ne semble les arrêter : ni la perspective du port du voile ou de la burka, ni même l’idée d’être reléguée à un statut inférieur à celui de l’homme. Faut-il leur rappeler que, devant un tribunal de la charia, la parole d’un homme vaut celle de deux femmes ?

Comment expliquer cet échec de transmission et, d’abord, que leur a-t-on transmis ? Les témoignages de ces « petites fiancées de l’islam » devraient tous nous interpeller et nous aider à y voir clair.

Le phénomène de mixité sociale et son effet de contagion crèvent les yeux de ceux qui ne veulent rien voir. Nul besoin d’aller chercher dans ces écoles hors contrat « charia compatibles » devenues subitement la cible du gouvernement. Il suffit de se rendre dans certaines banlieues françaises, là où la majorité des écoliers est musulmane. Par peur de paraître différentes, ou simplement pour éviter ce harcèlement dont on ne parle pas, les filles y font « semblant » de faire le ramadan, de se comporter et de s’habiller comme la majorité de leurs comparses. Vient ensuite le besoin de faire partie du groupe pour recréer du lien social, se sentir moins seules. Et ce ne sont pas les enseignements des profs de l’Éducation nationale, trop occupés à faire repentance pour leurs ancêtres, qui leur donneront tort. Les petits musulmans à qui on n’apprend pas à aimer la France méprisent les valeurs républicaines ; les écoliers de souche, eux, rasent les murs.

Le « besoin de donner un sens à leur vie » est une des grandes motivations invoquées par ces jeunes converties ; triste constat d’échec de l’Église de France, qui privilégie le dialogue au détriment de l’enseignement car, parmi les converties, certaines, il faut le reconnaître, sont issues de familles catholiques. Absence de transmission ? Et puis, il y a aussi le témoignage de Nathalia (23 ans, mère au foyer en Haute-Loire), qui l’avoue tout crûment : en portant le voile, « je me sens tellement mieux car je suis maître de mon corps et de ma sexualité ». Conséquence de l’hypersexualisation de cette société que certaines ne peuvent plus supporter ?

Restent, aussi, les raisons du cœur car tomber amoureuse d’un « soldat de dieu », c’est, pour elles, retrouver cette part de virilité que le féminisme étouffe un peu plus chaque jour chez le mâle blanc. La nature étant ce qu’elle est, comment en vouloir à ces jeunes filles de ne pas retrouver dans leur milieu naturel ces qualités masculines qui les font rêver ? Beaucoup de naïveté de leur part qui les conduit tout droit au cauchemar. L’arrivée massive de musulmans sur notre sol ne doit pas occulter ces nombreuses conversions de nos jeunes filles à un islam conquérant. Une prise de conscience s’impose : nos valeurs républicaines ne font pas le poids. Et ces jeunes filles sont les mères des Français de demain."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 30 mars 2018

AUJOURD’HUI, VENDREDI SAINT

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

Il n’est pas inutile de rappeler que le Vendredi Saint est la commémoration religieuse célébrée par les chrétiens le vendredi précédant le dimanche de Pâques. Il marque le jour de la crucifixion et de la mort de Jésus-Christ.


Aujourd’hui, Vendredi Saint
 Aujourd’hui l’Eglise catholique latine et les Églises catholiques orientales qui suivent le calendrier grégorien commémorent la Passion du Christ.  

2000 ans plus tôt, le Christ est condamné à la Crucifixion sous Ponce Pilate.  

Humilié et épuisé par sa croix, Jésus entame son chemin de croix. Lourde, écrasante, la croix pèse sur tout son corps. Il ne cesse à aucun instant de croire en son Père « Je ne suis pas seul, puisque le Père est toujours avec moi » (Jean 16, 32).  

Malgré la pire des souffrances humaines, il reste fidèle à son Père. Chacun de nous est appelé à accueillir et à vivre des épreuves et des deuils. Mais nous ne sommes pas seuls à les porter. Jésus est avec nous.  

Jésus tombe plusieurs fois sous le poids du bois de la croix. Nous comprenons que Jésus prend sur lui nos fautes et nos péchés. Après avoir été dépouillé de ses vêtements, Jésus est cloué sur la croix.  

Vers la sixième heure (environ midi)¸le ciel s'assombrit et demeura obscur jusqu'à la neuvième heure (trois heures de l'après-midi). Jésus meurt sur la croix. 

Son corps est remis à Sa Mère, la Vierge Marie, et mis au tombeau. L’Eglise entre dans le grand silence du Samedi Saint.
 

France 2 dévoile un club de sport proche de salafistes à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

 
   
France 2 salle de sport lutte

Capture d'écran : L'œil du 20h

Une enquête de l’Œil du 20h, sur France 2, a révélé l’existence à Toulouse d’un club de lutte amateur, dont l’un des membres serait proche des milieux salafistes, et où s’effectueraient des recrutements djihadistes. Un courrier a été envoyé au Préfet de la Haute-Garonne par le maire de Toulouse.

Les services de l’État ont analysé le fait que les salafistes « ont stratégiquement ciblé les salles de sport pour leurs recrutements », après « le prosélytisme sur internet et au sein des associations culturelles ». Un fait devant lequel vient d’être confronté la Mairie de Toulouse après les révélations d’une enquête diffusée sur France 2.

C’est un reportage diffusé le mardi 27 Mars, dans le magazine d’enquête « L’Œil du 20h » qui a mis le feu aux poudres. Dans ce reportage, dont beaucoup d’images ont été tournées en caméra caché, on y découvre un club de lutte en plein cœur de la ville rose, touché par « l’intégrisme religieux ».

Un « intégrisme salafiste » qui s’exprime notamment avec le rapport aux femmes du club, leur fréquentation ayant chuté de 90 % entre 2014 et aujourd’hui. Les témoignages indiquent pour elles des obligations vestimentaires, comme le port de manches longues et de jogging, mais également l’interdiction de s’entraîner avec les hommes, comme l’atteste cet échange pris en caméra caché :

« – C’est la seule femme ici ?
– Oui. C’est la seule fille.
– Qui combat avec la fille pour qu’elle progresse ?
– Les petits, ceux pour qui ça ne pose pas de problème par rapport à la religion, parce qu’ils sont petits. Et après, ceux qui ne sont pas musulmans.
– Toi tu luttes avec elle ?
– Non. »

Lire aussi : Mendel : « Trèbes c’est l’échec de la loi antiterroriste »

Selon ActuToulouse, la mairie de Toulouse n’était pas au courant de la possible radicalisation d’un des membres de ce club de lutte. Pourtant, ce club était sous surveillance des services de renseignement. 

La réaction du Maire

Le lendemain de la diffusion de ce reportage, Jean-Luc Moudenc a envoyé un courrier au Préfet de la Haute-Garonne et de l’Occitanie, dans lequel il demande explicitement de fournir « toutes les informations sur ce club de lutte » ainsi que « la liste de toutes les associations sportives qui seraient sous la surveillance de l’État ». La Mairie de Toulouse a mis jusqu’à présent une salle à disposition de ce club au complexe sportif Léo Lagrange.

 

Source : infos-toulouse