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jeudi, 29 mars 2018

Verdun (55) : ils s’introduisent dans un carmel pour convertir des religieuses à l’islam et perturbent les vêpres, ils sont relaxés

Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2018

Par  le 28/03/2018

 

Deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, s’étaient introduits dans un carmel en novembre pour demander aux sœurs catholiques de se convertir, sans quoi elles iraient en enfer.

Le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) a relaxé mercredi deux hommes qui avaient exhorté les sœurs d’un carmel à se convertir à l’islam lors d’un office.

« Aucun lien ne peut être fait entre vos agissements et un acte terroriste. Les termes et expressions employés, s’ils ont pu perturber les religieuses, ne sont pas spécifiques à un discours radical, provocateur ou voulant faire peur à autrui », a exposé la présidente du tribunal.

La magistrate a relevé l’altération du discernement au moment des faits des prévenus, souffrant de troubles psychiatriques. Le procureur avait requis dix mois de prison avec sursis à l’encontre des deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, pour « les violences psychologiques » infligées aux carmélites.

Le 10 novembre 2017, ils avaient sonné à la porte d’un carmel à Verdun pour « échanger sur la religion », ont-ils raconté. L’un deux avait expliqué à Sœur Marie-Josèphe que « la religion musulmane pouvait corriger ce que la religion chrétienne avait de faussé, selon lui », a-t-elle témoigné.

« Il m’a dit deux fois que si je ne changeais pas, j’irais en enfer […] sans agressivité, mais avec une insistance répétitive », a-t-elle poursuivi. La religieuse aux cheveux blancs, qui a salué avec un grand sourire les prévenus à l’ouverture de l’audience, a affirmé ne pas avoir été impressionnée. « Ma foi chrétienne me dit qu’on ne va pas en enfer comme ça ! », s’est-elle exclamée.

Les deux hommes avaient ensuite assisté aux vêpres dans la chapelle, déchaussés « par respect des lieux », ont-ils précisé. Ils avaient prié à voix haute, perturbant l’office.

À la fin de l’office, « je me suis approché de Sœur Marie-Thérèse et je lui ai susurré à l’oreille :’Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer’», a relaté le plus âgé.

 

Attentats de l’Aude : une militante végan se réjouit de la mort du boucher du supermarché

Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2018

Par  le 28/03/2018

 

Après la mort du boucher du supermarché, tué par le terroriste, elle a publié un message se réjouissant de sa mort, sur Facebook.

” Ben quoi, ça vous choque un assassin qui se fait tuer par un terroriste ? Pas moi, j’ai zéro compassion pour lui; il y a quand même une justice”. La phrase, écrite par une utilisatrice Facebook se présentant comme militante végane, n’est pas restée longtemps en ligne.

Rapidement signalée par les utilisateurs du réseau social, choqués qu’elle se félicite de la mort du boucher du Super U de Trèbes dans l’attaque.

Une enquête pour ”apologie du terrorisme” a été ouverte par le parquet de Foix après la publication de ce message. Sa publication, repérée par les services de l’Etat a été rapidement retirée, selon Karine Bouisset, procureure de la République de Foix, interrogée par la Dépêche du Midi. La Confédération française de la boucherie-charcuterie a condamné ces propos, tout en appelant à la retenue. Le mur de cette utilisatrice est rempli de messages injurieux depuis la publication de ce message.

 

m6info.yahoo via fdesouche

LE GRAIN DE SEL DE JEAN CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2018

« FICHES « S » ? LA METHODE ROOSEVELT ! Longue est la liste des crimes commis par les adeptes de Dae’ch dans notre pays : deux gendarmettes abattues en 2012 dans le Var, un chef d’entreprise décapité, la tuerie de « Charlie Hebdo » et de l’hyper cacher de la Porte de Vincennes, deux policiers assassinés devant leur enfant, à leur domicile dans les Yvelines, deux jeunes filles égorgées à la Gare Saint-Charles de Marseille, un policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier, bien sûr, les massacres du Bataclan et de Nice, les crimes de Mérah à Toulouse.


On nous dit, à la louche, qu’il y aurait une vingtaine de milliers de suspects fichés « S » qui se baladent dans la nature,plus ou moins surveillés par nos services de sécurité et de renseignement. Sachant qu’il faut, au minimum, une dizaine d’agents pour effectuer la surveillance d’un terroriste potentiel 24 h sur 24, on mesure là, l’impossibilité matérielle qu’il y a à assurer une totale sûreté à nos concitoyens. 

Expulser les suspects étrangers, supprimer la double nationalité  

D’efficaces mesures pourraient, pourtant, être prises rapidement. D’abord expulser tous les suspects étrangers dans leur pays d’origine, retirer la citoyenneté française à ceux qui ont une double nationalité, - on ne peut être à la fois de Sparte et d’Athènes, de Rome et de Florence !-, refuser le retour des familles de « repentis » des théâtres d’opération de l’Etat islamique, supprimer toutes les aides sociales à ces suspects.Et, bien sûr, n’accorder de visa aux ressortissants des pays touchés par l’islamisme militant, qu’au compte-goutte. 

Roosevelt n’avait pas fait dans le détail ! 

Le 7 décembre 1941, une attaque aéronavale japonaise commandée par l’amiral Tojo, en deux vagues successives d’un total de 400 avions, avaient détruit 188 appareils US, tué 2043 Américains et blessé 1178 autres à Pearl Harbour, dans l’ile d’Oahu, archipel des îles Hawaï. La réaction ne se fit pas attendre. Le 19 février 1942, soit deux mois après, le Président des Etats-Unis Roosevelt, signait l’ordre d’incarcération des quelques 110 000 Japonais et Américano-japonais résidant aux USA. Dans le cadre du War relocation centers, ils étaient internés : hommes, femmes, vieillards et enfants, dans des baraquements dressés en toute hâte dans les Etats de Californie, de Washington et d’Oregon, sur la côte Ouest.Après expulsion des indésirables du territoire français, les autorités françaises devraient interner ou mettre en résidence forcée tous les autres « fichés S ». De Gaulle le fit à l’encontre des patriotes « Algérie française », hélas une référence ! Cela nécessiterait, certes, une logistique importante. Mais l’armée, la gendarmerie et leurs réservistes sont là : camps de toile et Algécos feraient l’affaire. Demandons la recette à l’ancien Shérif Arpaio du comté de Phoenix, en Arizona, où il est candidat républicain aux sénatoriales, il connait son affaire ! Et rien n’empêcherait ceux à qui le goût de la semoule viendrait à manquer d’aller demander l’asile dans un pays du Maghreb ou du golfe par exemple ! 

Un héros français 

Le sacrifice suprême du colonel Arnaud Beltrane qui a offert sa vie pour sauver un otage, est la marque d’un homme d’honneur. Combien de ces étoilés et autres politiciens présents à la cérémonie des Invalides seraient capables d’un tel geste ? Qui d’entre nous ? Soyons honnêtes, fort peu. C’est d’autant plus écœurant que cet hommage rendu à l’héroïqueofficier, avait comme une odeur de récupération par un pouvoir qui, s’il ose, enfin, désigner l’ennemi, n’a pas, - pas encore ? -, choisi tous les moyens, TOUS les moyens mis à sa disposition pour éradiquer ce mal qu’est l’islamisation rampante de notre patrie avec, surtout, son volet fondamentaliste. 

Islamophobie ? 

Certains diront que l’on ne peut stigmatiser un segment de la population et, qu’en aucun cas, il ne faut pratiquer l’amalgame. C’est vrai que beaucoup de nos compatriotes musulmans vivent sous le règne de l’omerta, et qu’ils ne sont, ni de près, ni de loin, des adeptes du terrorisme islamiste. Mais force est de constater que les « territoires perdus de la République » et autres « zones de non droit », sont les taches noires de la triste peau de léopard qu’est  devenu l’hexagone, et que ce ne sont ni des Lapons, ni des Esquimaux, encore moins des bushmen qui les peuplent. Et c’est là que se pratiquent de juteux  trafics divers et variés. Les autorités militaires, en tout cas, en sont bien conscientes, puisqu’elles entrainent leur infanterie dans des « Cenzub », ou Centre de combat en zones urbaines. Et mon petit doigt me dit que des officiers israéliens nourris des expériences au Sud-Liban et dans la bande de Gaza, doivent inspirer nos penseurs militaires ! Car, un jour,  à défaut d’un inacceptable consentement d’une partition du pays, il faudra bien reconquérir tous ces quartiers, toutes ces cités sans âme, où leterrorisme islamiste trouve un fertile terreau en dépit des milliards déversés depuis des années dans le cadre de l’inefficace « politique de la ville ».En un mot comme en cent, « il faudra prendre le taureau par les cornes », si je puis dire ! 

Jean-Claude ROLINAT 

mercredi, 28 mars 2018

160 clandestins, soutenus par la CGT, se mettent en grève : régularisés !

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

 
 

160 travailleurs clandestins, sans papier, d’origine africaine, étaient employés par des entreprises de la région Île de France.

Le 12 février 2018, ils se sont mis en grève, ce qui est plutôt rarissime, et ils ont certainement eu raison, cela, bien entendu, avec l’appui de la CGT.

Et cela peut paraître étonnant car, jusqu’à preuve du contraire, la CGT défendait les travailleurs français contre justement les travailleurs détachés, et plus « détachés » que des immigrés clandestins c’est difficile à trouver.

Les 6 entreprises qui employaient, en toute illégalité, ces « travailleurs africains » : Défi Technology (Intérim), SEPUR (Ordures ménagères), GLS (Logistique), EVENT THAI (Plats cuisinés), STLG (Collecte de déchets) et CHRONOPOST (Livraison de colis), seront, nous l’espérons, très sévèrement sanctionnées car elles ont enfreint la loi en toute connaissance de cause en employant ouvertement une main d’œuvre étrangère et clandestine, non déclarée.

Mais là où cette affaire tourne à la dérision la plus totale, c’est sa possible, pour ne pas dire probable, conclusion.

En toute logique ces entreprises devraient être condamnées à de très fortes amendes et les 160 travailleurs clandestins et sans papier renvoyés chez eux.

Ce n’est pas le cas, loin s’en faut.

D’un côté la CGT ne cache pas sa satisfaction, alors que, contrairement à ce qu’elle affirme haut et fort : « Ces travailleurs n’amènent aucune richesse, bien au contraire, ils travaillent pour un salaire nettement inférieur et la seule richesse profite uniquement à leurs employeurs, donc au « patronat » qui, jusqu’à présent (mais peut-être qu’avec Emmanuel Macron, président, la cible se détourne de son objectif initial, si l’on tient compte du peu de succès obtenu par les récentes manifestations « de masse ») était « l’ennemi » de toujours. »

De l’autre côté, les 160 clandestins, sans papier et illégaux, ont obtenu un engagement de régularisation de leur situation par les autorités afin qu’ils puissent être embauchés régulièrement.

Ils ont ainsi obtenu, par la grève, le droit de travailler et de vivre en France.

Il s’agit là d’une décision qui risque de ne pas « tomber dans l’oreille d’un sourd » et de faire des milliers d’envieux !

N’est-ce pas le but recherché et par le patronat et par l’Union européenne et donc par la France de la  République En Marche…mais vers quelle destinée ?

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S Et la moitié par des personnes déjà condamnées, selon LCI

Publié par Guy Jovelin le 28 mars2018

 

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S  

 
 

Lundi 26 mars, Jennifer Knock, dans sa chronique "Les indispensables" diffusée dans 24h Pujadas sur LCI, est revenue sur la réalité autour des personnes "fichées S" pour radicalisation. Si on prend les plus grosses attaques terroristes commises en France depuis 2012, sur les 31 terroristes impliqués, 20 étaient fichés S, soit les deux tiers, a-t-elle expliqué. Parmi ces djihadistes, on trouve : Mohammed Merah, qui a perpétré les tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban ; Amedy Coulibaly, prôneur d'otages de hyper cacher en 2015 ; Larossi Abballa, qui a assassiné des policiers à Magnanville, en juin 2016.

Les autres terroristes n'étaient pas fichés S, mais étaient connus des services de renseignement, a indiqué Jennifer Knock. C'est notamment le cas de Salah Abdeslam, qui n'était pas fiché en France mais en Belgique. En outre, selon la jeune femme, la majorité de ces terroristes a déjà eu affaire à la police. Plus de la moitié d'entre eux avait un casier judiciaire, souvent pour des délits de droit commun.

 

Source : atlantico