Évoquant le livre, Le Progrès titre « le sombre visage du débarquement », rappelant de manière voilée la surreprésentation des Africains de l’armée américaine dans ces crimes, ces « voyous à qui la France avait été vendue comme une “aventure érotique” ». Lors de la parution du livre aux États-Unis, l’auteur avait précisé que les faits n’étaient certainement pas « un grand secret pour les Normands, mais certainement une surprise pour les Américains. [Ils] ont toujours en tête le vieux mythe du GI viril et sans tache ».
Alors que des récits fantaisistes n’impliquant en rien les Américains remplissent des bibliothèques entières, il a fallu attendre 2014, 70 ans après, pour que ces faits soit portés à la connaissance du public américain, dont il n’y a plus à craindre la réaction sur les mensonges et les crimes de ses gouvernants.
dit-on en Normandie… En octobre 1944, 152 soldats ont été poursuivis en justice. Parmi eux : 130 Afro-américains.
Des faits qui évoquent les crimes organisés sous le commandement du criminel de guerre française le général Juin en Italie en 1944, qui permit aux troupes afro-maghrébines de violer plusieurs milliers d’Italiennes – et même d’Italiens.