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mardi, 03 juin 2014

Les réalités stratégiques du Traité Transatlantique/TAFTA par Christian Harbulot

Publié par Guy Jovelin

Christian Harbulot, directeur de l’Ecole de Guerre Economique et auteur du récent livre « Sabordage – Comment la France détruit sa puissance » (164 p. Ed. Thermos, disponible ici) revient sur les enjeux du traité transatlantique, et sur la nécessité pour les pays européens de « couper le cordon » avec les Etats-Unis.

Source : http://www.contre-info.com/les-realites-strategiques-du-t...

Italie : Film porno antiraciste avec des clandestins de Lampedusa

Publié par Guy Jovelin

03/06/2014 – ROME (NOVOpress) - C’est le nouveau mot d’ordre des antiracistes : le gang bang interracial. Les Femen l’ont lancé en France, une actrice porno l’a mis en pratique en Italie.

Sur sa page Facebook, la « pornostar » Valentina Nappi a posté une photo où elle pose fièrement avec « au moins une dizaine d’hommes de couleur » – selon un site internet qui a compté. Avec, en guise de légende, cette apostrophe au secrétaire fédéral de la Ligue du Nord, Matteo Salvini : « Je te le dédie, mon premier blowbang in black. Ils sont tous clandestins ». La Nappi a ensuite posté ce nouveau message : « Les filles, baisez avec les Noirs ». Ces messages ont été partagés avec enthousiasme par des sites immigrationnistes comme « J’abats les murs »  qui voit là « des leçons antiracistes ».

 
Valentina Nappi a ajouté une photo.
Photo de Valentina Nappi.

Le site nationaliste Voxnews – par allusion à l’opération « Mare nostrum » de la marine italienne, lancée par le gouvernement italien sur injonction du « pape François » – titre : « Orgia nostrum ». Et il commente : « Le monde de la pornographie est en parfaite adéquation avec les fanatiques de l’accueil : ce sont des dépravés qui veulent que leur terre soit violée. L’immigration est un mauvais film porno ».

Source : http://fr.novopress.info/168403/italie-film-porno-antirac...

La prison, lieu de "radicalisation" islamiste

Publié par Guy Jovelin

La prison, lieu de "radicalisation" islamiste
C'est en prison que Mehdi Nemmouche, le suspect des meurtres du Musée juif de Bruxelles, aurait basculé vers l'islam radical, un phénomène pris en compte par le ministère de la Justice mais difficile à appréhender, à quantifier et parfois même à détecter. Lire la suite

Mehdi Nemmouche, un Français comme vous et moi ? (par Gabriel Robin)

 

Publié par Thomas Joly

Mehdi Nemmouche, Français âgé de 29 ans, est soupçonné d’avoir tué quatre personnes au Musée juif de la ville de Bruxelles. L’individu se serait rendu en Syrie en 2013, probablement pour participer au djihad. Plusieurs contributeurs de Boulevard Voltaire, dont moi-même, avaient souligné le danger mortel que représentaient ces jeunes radicalisés partis s’aguerrir en Syrie. Il n’a pas fallu attendre bien longtemps pour qu’un de ces psychopathes ne passe à l’action meurtrière.

Notre gouvernement, ridicule comme bien souvent, a pris les devants du problème par l’intermédiaire de son ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Dans un tweet du 26 mai 2014 devenu rapidement célèbre, celui-ci tend une main vers ces jeunes égarés : « Aux jeunes qui partent en Syrie, je veux dire qu’il y a 1.000 combats à mener dans la République, pour la France ». Ce discours transcendant aurait certainement convaincu messieurs Merah et consorts de renoncer à leurs sombres projets. Surtout que, désormais, le gouvernement a mis en place un Numéro Vert anti-djihad à la disposition des apprentis terroristes.

De qui se moque-t-on ?

Les djihadistes n’ont que faire de la « République » socialiste, ni même de la France ! Ils ne se sentent pas français, ils haïssent notre pays et sa culture et se fichent éperdument des bonnes intentions universalistes de Christiane, Najat et Bernard.

D’ailleurs, les commentaires sur le susnommé Nemmouche dans les médias étaient, comme bien souvent, empreints d’euphémismes. Le suspect est présenté comme un Français, « originaire » de Roubaix. Son ancienne avocate, Maître Soulifa Badaoui, s’est d’ailleurs complaisamment étalée à la télévision, elle parle d’un jeune homme « intelligent et vif d’esprit, respectueux des règles et respectueux des autres, de son avocat et des juges ». L’expert psychiatre qui l’avait auditionné dans le cadre d’une affaire de droit commun classique estimait même qu’il était d’« un niveau intellectuel légèrement supérieur à la moyenne ». Bientôt, on nous expliquera que c’est la faute de la société, de ces méchants Français qui ne lui ont pas donné sa chance. L’islam n’a rien à voir là-dedans, pas plus que la faillite totale de l’intégration des populations étrangères…

Cette culture de l’excuse n’a que trop duré, nous en avons assez. Aucun Français n’est responsable des meurtriers fanatisés, la France non plus. Et il est temps d’affirmer que l’identité légale n’a rien à voir avec l’identité réelle et vécue. Mehdi Nemmouche n’a de français que sa carte d’identité, rien de plus.

Source

lundi, 02 juin 2014

En Centrafrique, la sauvagerie est de retour (par François Jourdier)

Publié par Guy Jovelin

 

On peut craindre de voir un jour Paris accusé injustement, comme au Rwanda, d’avoir favorisé l’épuration confessionnelle en Centrafrique.

Après un certain calme depuis le début de l’opération Sangaris, la situation est en effet désolante, marquée par des drames à répétition. Le 25 mai, trois jeunes musulmans qui se rendaient à un match de football de « réconciliation » sont massacrés. La presse locale précise que « leurs organes sexuels et leur cœur ont été retirés ». Le 28 mai, l’église Notre-Dame-de-Fatima est attaquée et au moins une quinzaine de chrétiens, dont l’abbé Paul-Émile Nzalé, sont massacrés par des assaillants venus du PK5, dernier quartier musulman de Bangui. En représailles, les chrétiens s’en prennent alors à une mosquée.

Rien ne semble désormais arrêter l’escalade.

Les Français, qui n’étaient que 1.600 au début de leur mission, pour un pays plus grand que la France, ont cherché d’abord à s’interposer entre les communautés. Désormais, les 2.000 soldats français et les 5.800 soldats africains de la MISCA (Mission internationale de soutien à la Centrafrique) sont vilipendés par une partie de la foule au côté de Catherine Samba-Panza, la présidente de transition, qui est perçue comme la protégée de Paris.

Ce qui est navrant, c’est qu’en Centrafrique, il n’y avait pas, avant l’arrivée de la coalition rebelle musulmane Séléka, de conflits interreligieux.

Jusqu’à la colonisation française, les populations de cette région servaient de vivier humain aux esclavagistes musulmans venus du Soudan : elles se convertirent donc massivement au christianisme. Les Centrafricains de souche sont à 95 % chrétiens et animistes, les 5 % restants vivant dans l’extrême nord-est du pays. Les musulmans de Bangui étaient alors pour la plupart des étrangers, surtout des commerçants tchadiens ou maliens qui étaient acceptés. Lire la suite