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samedi, 07 juin 2014

Entre Bourvil et BHL, portrait-robot du djihadiste 2.0 (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

Alors comme ça, à l’étonnement médiatique général, il y aurait encore en France des esprits exaltés prêts à mettre leur peau au bout de leurs idées… Sans blague ! Et même que ça ferait des morts… Sandec !

Eh bien oui, c’est ainsi. Tout le monde ne rêve pas de finir trader à Wall Street ou de gagner au loto. Après, chacun selon ses rêves ou ses idéaux. Dans les années 60 du siècle dernier, les gosses de bourgeois appelaient révolution et lutte armée de leurs vœux. Pour des Serge July, des André Glucksmann, des Benny Lévy et autres révolutionnaires de Foire du Trône, la démocratie était tenue pour un « vice bourgeois », tandis que la révolution se trouvait au bout du canon.

Quel pastis ! Pour aller court, c’est toute l’histoire de Dominique Raimbourg, relatée par Libération de ce lundi dernier. Un député socialiste de Loire-Atlantique, magistrat vétilleux, ambiance Robespierre, qui se replonge dans ses souvenirs de djihadisme trotskiste, lorsque membre de l’AMR, Alliance marxiste révolutionnaire : « Ils avaient tous des pseudos de héros révolutionnaires. Je trouvais ça ridicule, alors j’ai choisi Zorbec le Gras. De toute façon, on ne s’en souvenait jamais. Au téléphone, ça donnait : Ici, le commandant Machin. Qui ? Ah, c’est toi Gérard ? » Au fait, le Dominique Raimbourg en question n’est autre que le fils d’André Raimbourg, plus connu sous le pseudonyme de Bourvil.

Cette génération aura donc joué à la révolution. Jusqu’au jour où tout bascule. Jeux olympiques de Munich, en 1972. Là, on ne rigole plus : prise d’otages d’athlètes israéliens par l’OLP, police allemande au premier rang et hommes du Mossad en embuscade. Il y a du sang sur le tarmac. Fin de récréation.

De ce jour, nos gauchistes d’opérette demandent l’asile politique au Café de Flore et feront ensuite carrière, qui dans la pub, qui au Monde, à Libération ou au Figaro. Les seuls qui iront jusqu’au bout ? Les desperados d’Action directe, qui persistent à penser que les lendemains du Grand Soir ne comptent pas que pour des prunes. Et aujourd’hui ? Les mêmes en version 2.0 ; mais issus du quart-monde immigré. Ils ne lisent ni Marx et encore moins Bakounine. N’ont du Coran qu’une connaissance issue du téléphone arabe. Se mélangent un brin les pinceaux entre Oumma et McDo, djihad et jeux vidéo. Et, surtout, ont pris pour argent comptant ce qu’ils voyaient à la télévision ou sur Internet : soit l’affreux Bachar el-Assad, que la France de François Hollande a manqué d’aller bombarder.

Ce sont des enfants perdus. Mais qui, au moins, à rebours d’un BHL faisant le beau au Festival de Cannes avec des « démocrates » libyens d’opérette, auront été jusqu’au bout de cette logique absurde. Absurde, quoique finalement logique. Mais guère plus que notre monde finissant, soit dit en passant.

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D-Day : quand l'émotion médiatique remplace l'histoire

Publié par Guy Jovelin 

 Mémorial de la paix de CaenFIGAROVOX/OPINION - Alors que l'anniversaire du D-Day est célébré en grande pompe, le sociologue Jean-Pierre Le Goff dénonce une relecture de la bataille de Normandie à l'aune de l'individualisme victimaire et me... Lire la suite »

vendredi, 06 juin 2014

De la théorie du genre à l’agender…

Publié par Guy Jovelin

 
« La théorie du genre n’existe pas », Najat Vallaud-Belkacem vous l’a dit et répété. Et pourtant, pas moyen d’échapper aux campagnes destinées à « créer de l’empathie pour les transgenres ».  L’exemple du jour ? La photographe Chloe Aftel se fait connaître un peu partout, des Etats-Unis à l’Allemagne, du Pérou à l’Italie, sans oublier la France, en raison de son intérêt particulier pour les portraits d’individus  »agenres » ou « genderqueer ».

Chloe Aftel voit – comme par hasard – son projet de portraits intitulé « Agender » bénéficier depuis quelques semaines d’articles enthousiastes. Son geste est militant. « J’ai trouvé cela fascinant que ce groupe de gens galvanise le débat autour de ce qu’est le genre » , affirme Chloe Aftel à Vocativ qui parle de « genderqueer nation ». Tous ses modèles ont la particularité de ne s’identifier ni au genre masculin, ni au genre féminin. Quand ils parlent d’eux, ces individus préfèrent employer le pronom indéfini they

« Ce n’est pas adhérer aux deux genres, ni à l’un des deux, c’est n’adhérer à aucun des genres. Ce n’est pas l’absence de genre, et ce n’est pas ne pas me soucier de mon genre. En fait, c’est plutôt le contraire – je m’en soucie énormément. Tout comme mon expression de genre, et ma perception de genre. J’ai un genre, et il est neutre. », raconte l’un des modèles de Chloe Aftel.

On attend avec impatience l’individu qui va nous raconter qu’il a la perception d’être un poisson ou une chèvre…

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Le Progrès « puni » pour avoir osé rapprocher nationalités et criminalité (par Marie Delarue)

Publié par Guy Jovelin

 

En France, la criminalité, c’est comme la ratatouille, mais pas question de se renseigner sur les légumes qui la composent. Je m’explique. Au marché, on achète des tomates, des poivrons, des aubergines, des courgettes, de l’ail, des oignons… et tout ça, dans la gamelle, fait une belle ratatouille. Eh bien, chez nous, on a juste le droit de soulever le couvercle et de regarder ce qui mitonne.

Le 22 avril dernier, le quotidien Le Progrès a voulu transgresser la règle. S’appuyant sur le « rapport SIRASCO » de la police judiciaire, il a publié un dossier consacré aux crimes et délits commis dans le département, titrant en une : « Délinquance, criminalité organisée, qui fait quoi dans le Rhône ? » Et d’affiner le sujet en offrant au lecteur un classement en fonction des « nationalités impliquées » par type de délit. Bref, un œil sur ce qui entre dans la ratatouille de la criminalité.

Horreur !

Ce genre de révélation est en soi, on l’a très vite compris, un délit bien supérieur à tous ceux dénoncés dans le papier. D’autant que, bêtement, il faut le reconnaître, les infographistes maison ont opéré un étrange classement, rangeant dans la colonne nationalités des « Roms », des « toxicomanes », des gens « des cités de Marseille », des « Africaines », chacun avec sa spécialité : cambriolages, vols de ferraille, prostitution, etc.

Aussitôt, tollé des associations, dénonciation en incompétence de la part des confrères, railleries de Canal+, remontrances du gouvernement et des ligues de vertu, kilomètres d’insultes sur les réseaux sociaux, plaintes et représailles.

La direction a présenté des excuses, s’est lavé les mains, la bouche et le reste à l’eau de Javel, a mis les infographistes au piquet avant de se couvrir la tête de cendres.

Traumatisé, un pigiste a même tenté de laver l’affront « en rappelant notamment sur sa page un épisode héroïque : le quotidien s’est sabordé et a stoppé sa publication en 1942, tandis que la zone libre était occupée par les nazis, pour ne reprendre que deux ans après, au moment de la Libération », nous rapporte Rue89. Pauvre garçon, inutile de te déculotter ainsi, c’était peine perdue.

Et pourtant… Le Progrès est à la pointe, si l’on peut dire ; c’est même un phare de l’antiracisme, organisateur depuis 6 ans de la soirée « Diversité et entreprises » au cours de laquelle sont récompensées par des trophées des « initiatives locales en rapport avec la “promotion de la diversité” ». Un rachat par anticipation, en somme, des bons points dans la musette, un crédit de bonne conduite ? Que nenni. La soirée a bien eu lieu lundi 2 juin dernier, mais amputée des 17.000 euros qu’avait promis la région Rhône-Alpes. Sa vice-présidente, Mme Farida Boudaoud, chargée de la Culture et de la Lutte contre les discriminations, l’a dit : « Je ne me voyais pas cautionner cet événement après un article pareil. Pas possible. » Ben tiens.

Le MRAP, SOS Racisme, l’UEJF et quelques autres ont porté plainte contre le journal, accusé d’incitation à la haine raciale et de fichage ethnique.

Au fond, on lui reproche d’avoir mal saisi le concept de nationalité, et mal fait son boulot. En face de « vol de câbles électriques », il aurait fallu écrire Roumains et non Roms. Quant à la colonne prostitution, un petit coup d’œil au dernier rapport du Sénat aurait éclairé nos amis du Progrès. En effet, on peut y lire : « Au début des années 1990, 80 % des personnes prostituées étaient françaises. » […] Aujourd’hui, « 90 % des personnes identifiées en France comme prostituées sont de nationalité étrangère. Selon l’OCRTEH, celles-ci sont pour l’essentiel originaires de Roumanie, de Bulgarie, du Nigeria, du Brésil et de Chine. » Mais est-ce bien publiable ?

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jeudi, 05 juin 2014

« Sortie de l’euro : rêve ou réalité ? »

Publié par Guy Jovelin

logo-pdf-vertical.jpgalternative,franc,sortie de l'euroA en croire M. Stéphane Le Foll, ministre du gouvernement du Président François Hollande, cette sortie de l’euro serait catastrophique et apocalyptique.

Il est vrai que nous pourrions lui donner raison, cette monnaie constituant un symbole absolu, un credo, une réalité à laquelle chaque concitoyen devrait apporter son soutien et surtout sa soumission.

Ceci étant, le constat est plus complexe ; bien sûr une sortie unilatérale de l’euro pourrait être préjudiciable pour le peuple français du fait de l’hégémonie allemande

Chacun sait que l’Etat allemand n’a aucun intérêt  à sortir de l’euro suprême si j’ose m’exprimer ainsi !

Il est des paramètres cependant à prendre en considération, l’euro monnaie d’escrocs ne sert que les intérêts des Etats-Unis d’Amérique et d’un petit peuple dont je tairais le nom, bien que cette monnaie a été créée pour contrebalancer la surpuissance américaine.

Hormis ce diagnostic général, revenons à des éléments plus concrets.

Savez-vous que les denrées de première nécessité ont vu leurs prix augmenter dans des proportions indécentes depuis l’année 2000, date du passage du franc à cette monnaie maudite ?

Dans la même proportion les salaires ont stagné et progressé de manière insignifiante !

Alors Messieurs les biens-pensants, lorsque vous nous parlez de pouvoir d’achat et d’un apport lié à l’euro, de deux choses l’une :

        -     soit vous augmentez les salaires du fait du passage à cette monnaie de    voleurs,  en prenant en considération l’inflation des prix, liée à ce changement.

 -  soit vous agissez sur les prix à la consommation, en imposant une politique rétablissant les tarifs en cours en franc en 2000, tout en maintenant les salaires en euro en 2014.

Dans ce cas vous aurez fait un effort et vous aurez œuvré pour le pouvoir d’achat du peuple français.

Dans le cas contraire, tous vos discours resteront vains, ce à quoi malheureusement nous croyons.

Nous proposons, nous, au Parti de la France une alternative, novatrice et ambitieuse, celle-ci consiste à re dynamiser le pays, à réactiver ses forces vives, tenant compte de tous les acteurs économiques de cette France laborieuse ; cette France des petits, moyennes classes, cette France multiple, des agriculteurs, des ouvriers, des PME, PMI etc. : tous ceux qui contribuent à l’essor national.

N’oublions pas pour autant la France qui souffre, celle des oubliés, demandeurs d’emploi, qui souvent, sont les laissés pour compte de cette société matérialiste, individualiste.

A ceux là, nous leur envoyons un message d’espoir : Français, nous ne vous oublions pas !

Les filles et fils de France font parti intégrante de nos priorités.

Vous êtes la chance de la France, nous sommes vos défenseurs.

Votre avenir est notre avenir ; car par de là nos existences, c’est la France éternelle qui perdurera après nous et après vous.

Franck Pech responsable communication PdF 31