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lundi, 23 juin 2014

Bonnets Rouges : retour sur un désastre prévu et prévisible (par Boris Le Lay)


 

Publié par Guy Jovelin

 

Le mouvement des Bonnets Rouges, créé par des paysans et des nationalistes de Cornouaille et du Léon, dirigés par des gauchistes, a fini à Nantes mené par une femelle sur un char de sodomites financé par la CGT. Conclusion logique s’il en est.

Le collectif de Carhaix, dit des “Bonnets Rouges”, n’est plus que l’ombre de lui-même.  L’échec de la mobilisation autour des préfectures et sous-préfectures la semaine dernière a démontré l’énorme erreur commise par les éléments anti-nationalistes et anti-identitaires du collectif. Avec un nom qui revient : Jean-Pierre Le Mat.

Socialisme et antiracisme à tous les étages

Tout a commencé en novembre 2013 à Quimper. Et tout y a fini le même jour. Une seule chose expliquait l’échec à venir : les nombreuses bannières bretonnes et la masse impressionnante des bonnets rouges étaient couvertes par les chants de… Manu Chao, une épave droguée adepte d’un anarchisme folklorique nappé de tiers-mondisme et de promotion de l’immigration.

Qu’un rassemblement populaire composé, quoiqu’en dira ensuite la bande de Carhaix, d’électeurs de droite et d’extrême droite mais aussi d’abstentionnistes, soit formellement organisé comme un happening gauchiste signifiait la fin du mouvement. Ses premiers organisateurs n’étant que des cancres gauchistes, cela ne pouvait finir autrement. Les chiens ne font pas des chats.

Christian Troadec se paya le luxe de signifier à l’envi qu’il “combattait le Front National”, c’est-à-dire l’électorat anti-immigration qui vote de plus en plus pour cette organisation française. Au lendemain des élections européennes, si Troadec avait eu du succès dans les communes rurales du Finistère, il ne pouvait ignorer que le grand vainqueur était le FN, nouveau venu sur la scène politique bretonne. Et ceci sans militants ni organisation. Finis donc les mantras socialistes sur la “Bretagne ouverte sur le monde” et autres “Bretagne terre d’immigration”, sans parler des “Les Bretons ne sont pas racistes, ils ne votent pas FN”. Lire la suite

dimanche, 22 juin 2014

Le 22 juin 1929, le Vatican « s’arrangeait » avec le gouvernement mexicain.

Publié par Guy Jovelin

Et signait des « accords de paix » – ce qui fut vécu par de nombreux catholiques comme une trahison – aux conséquences sanglantes.
Il demandait aux Indiens catholiques, qui s’étaient légitimement révoltés face au gouvernement socialiste et franc-maçon virulemment antichrétien, de déposer les armes sous peine d’excommunication !

Le 1er décembre 1924, le président mexicain avait privé de droits civiques les catholiques (laïcs et prêtres) sous prétexte qu’ils obéissaient à un souverain étranger, le pape ! Il avait expulsé le nonce, l’ambassadeur du Vatican, ainsi que tous les ecclésiastiques étrangers. Il avait interdit les congrégations enseignantes et fermé pas moins de 20.000 églises !

 Le clergé se rebiffa et suspendit le 31 juillet 1926 l’administration des sacrements dans tout le pays pour une durée de trois ans. Les paysans indiens du Jalisco se soulevèrent contre les autorités de la capitale au cri de «¡ Viva Cristo Rey !» (Vive le Christ-Roi !), dans un parallèle frappant avec le soulèvement des Vendéens en 1793, en lutte contre les Républicains. Ils furent appelés les Cristeros.

Avec 50.000 combattants, ils constituèrent la plus importante rébellion qu’ait jamais connue le pays et parvinrent à conquérir la moitié des 30 États de la Fédération.
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Sondage Ipsos : un Français sur cinq croirait à l’existence des Illuminati

Publié par Guy Jovelin

Un Français sur cinq croit à l’existence de cette société secrète et est convaincu que ses membres « tirent les ficelles de l’économie mondiale », selon un sondage Ipsos pour Fleuve Editions, révélé mercredi 18 juin par Le Parisien.
Le quotidien trouve d’ailleurs cela « préoccupant »… Mais pour qui ?

La société secrète des Illuminati, appelée originellement « illuminés de Bavière » est censée avoir été dissoute fin XVIIIe par le gouvernement bavarois, ce qui a toujours été contesté, notamment par l’abbé Barruel qui dans ses fameuses mémoires, lui prête un rôle fondamental dans la Révolution française.

Le quotidien explique que « les adeptes de la théorie du complot sont persuadés que depuis sa disparition, en 1789, elle a basculé dans la clandestinité ».

Le thème des Illuminati est en quelque sorte devenu à la mode après avoir fait l’objet d’un roman de l’écrivain scandaleux Dan Brown, en 2000.

« Peu de spécialistes pensaient que le phénomène Illuminati avait pris une telle ampleur, souligne Le Parisien. La Miviludes, mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires [elle-même dirigée par des franc-maçons...-NDCI], estimait ainsi récemment qu’un ‘mouvement de fond’ était en train d’émerger, mais sans pouvoir le quantifier. »

L’étude exclusive Ipsos pour Fleuve Editions a été réalisée en mai 2014 sur un panel de 1 500 individus de 15 à 65 ans.

Source : http://www.contre-info.com/#

« Maman Taubira veille sur ses enfants qui ont fait de grosses bêtises » (par Éric Zemmour)

Publié par Guy Jovelin

Source : http://www.thomasjoly.fr/

samedi, 21 juin 2014

La digestion de Marine Le Pen (par François-Xavier Rochette)

Publié par Guy Jovelin

Marine Le Pen est une petite cachotière ; elle nous lit en secret à Perpignan, à Montretout, à l’arrière de son bolide, sous serre horticole, ou dans sa chambre à coucher en compagnie de son Louis Aliot d’ascendance sépharade. Elle lit RIVAROL, elle n’en rate pas une ligne, parce qu’elle ne néglige aucune source argumentaire : non seulement elle veut apparaître comme la princesse du logos à l’instar de son pire ami Alain Soral qui travaille indirectement pour elle avec son association antiraciste Egalité et Réconciliation, mais elle veut surtout anticiper, avec une touchante abnégation, les attaques du gros média prêt à enclencher la phase 2 de l’opération Marine. Elle lit RIVAROL, elle nous lit, c’est son plus grand secret. Sa raideur soudaine face aux journalistes du Système découle en tout cas d’une croyance toute nouvelle qui pourrait bel et bien devenir réalité, comme nous le prévoyons depuis des années.  A quoi rime en effet cette blitzkrieg contre le microcosme journalistique qui l’a, hier pourtant, fait naître ?  Avec ce message laissant dégager une grande fébrilité dans le camp de Marine Le Pen : Ne venez pas nous chercher des noises, des poux dans la tête ou des morpions ailleurs ! La vie privée des cadres et militants frontistes n’intéresse  pas la presse, dégagez ! Ne jouez pas au plus malin avec nous, ou vous en subirez les conséquences ! Œil pour Œil, dent pour dent, comme dirait Jean-Richard Sulzer. Chaque journaliste traitant de la thématique frontiste, mariniste et marinière, sera ausculté à la loupe selon un article du Figaro qui relaie les propos très violents (à propos des journaleux) du chef de cabinet de Marine Le Pen, Philippe Martel (qui n’est autre qu’un ancien collaborateur d’Alain Juppé, ce qui en dit long sur les fanfaronnades du bonhomme). Oublié Christophe Forcari de Libération qui évoquait constamment dans ses papiers la fille de JMLP au milieu des années 2000. La dédiabolisation de Marine par ci, la dédiabolisation de Marine par là, les restaurants et les coups avec icelle, les rencontres très professionnelles avec l’homme à la face de nain Bruno Bilde, tous ces vomis conjugués des mignons et des tâcherons contre la vieille extrême-droite homophobe au profit de la nouvelle génération, ouverte, plus encline à courber l’échine rapidement devant tout ce qui brille. Nous comprenons bien que, dans un premier temps, le Système avait tout intérêt à promouvoir les médiocres du parti lepéniste et les individus équivoques, les mous, les professionnels sans valeur, les libéraux, les sodomites liés dans une macédoine répugnante à une communauté pour qui la race et la nation n’ont pas plus d’importance qu’un préservatif usagé. Le Système a définitivement neutralisé le FN lorsqu’il a décidé d’épurer carrément ses membres par le biais de la Le Pen, de son nième compagnon Aliot, de Jean-Richard Sulzer, l’Israélite crépu du mouvement, de Briois, du bègue Bilde, puis de Philippot, l’homme à la vie privée si privée et ancien élève particulier de Paul-Marie Coûteaux. Le Système n’avait qu’à mettre en avant, incessamment, dans ses télés, dans ses radios, dans ses journaux, dans ses magazines, sur ses sites Internet, la nouvelle patronne de l’extrême-droite française pour la couronner de fait, et cela sans escompter sur la moindre contribution de son harem de mignons et de gitons.  Séquelle que l’Engeance exposa dans ses media après seulement la consécration de la benjamine des filles Le Pen. Comme si cette tribu devait contribuer par son existence même à la légitimation d’une certaine évolution sociétale. En quelques années, l’oligarchie est donc parvenue à diluer la doctrine nationaliste, à stariser celle qui en est la première responsable, à asseoir une nouvelle représentation de nationaux sans feu mais à l’esprit comptable, à valider l’immigration installée et l’avortement industriel derrière un programme patriotique minimaliste. Jérôme Bourbon l’écrivait la semaine dernière : « Disons-le franchement, si c’est pour maintenir l’enseignement de la Shoah à l’école, conserver les lois Pleven et Gayssot, l’avortement libre, le PACS et le mariage homosexuel, garder en France les millions d’immigrés qui occupent le pays, se soumettre aux desiderata du CRIF, conduire une politique résolument laïciste, maintenir un niveau insupportable de prélèvements obligatoires, ne pas réduire fortement la violence et le chômage, cela ne présente aucun intérêt. » Nous nous rendons également compte que l’évolution du discours tend chaque jour davantage vers cette normalisation systémique intégrale.  Le seul talent des commissaires politiques du FN était de « laisser faire », ou de dédramatiser au sein du parti le démantèlement idéologique de sa ligne programmatique.

Cependant la comédie démocratique ne peut nourrir qu’un nombre limité d’acteurs professionnels. Il n’est donc pas sûr que les protagonistes des partis institutionnalisés acceptent sans combattre la venue de ces nouveaux fonctionnaires de notre indigénat. Et, malgré tout, la prise du pouvoir par Marine et ses gugusses nous apparaît bien improbable, et ce n’est pas ces 25% des votants aux dernières Européennes qui nous feront changer d’avis. Car, voilà, l’étape du Scandale ne fait que commencer.

Le désenchantement charismatique par le scandale

Nous l’avons maintes fois répété. Un « outsider » politique n’a pas fait le plus dur dans sa tentative d’accès au pouvoir tant qu’il n’a pas franchi victorieux la phase de scandales que lui concoctent ses opposants. A plusieurs reprises, nous avons en effet évoqué dans RIVAROL ce que nous appelons à propos l’expérience boulangiste, moment historique pendant lequel les forces républicaines ont atomisé l’image du général Boulanger qui avait profité jusque là d’une popularité formidable. C’est alors la première fois, en cette fin du dix-neuvième siècle, que l’oligarchie sous masque démocratique utilisait le scandale pour abattre un concurrent gênant. L’opération « Marine Le Pen » va-t-elle connaître prochainement sa phase 2, celle où le media écorchera jusqu’au sang l’image de l’héritière de la famille bretonne ? La une de Closer du 30 mai dernier évoquant un couple Le Pen-Aliot qui battrait de l’aile ( ?) et la réaction fulgurante des intéressés pratiquant (ce qu’on appelle) un selfie d’un flasque baiser pratiqué entre deux tas de terreau dans une serre horticole et balancé impudiquement sur le réseau social Twitter afin de couper court à l’indicible rumeur témoignent peut-être de l’avènement de l’étape numéro 2. Les journalistes affirment voir là l’indice d’une inévitable « pipolisation » de Marine Le Pen qui fait désormais partie de la famille politicienne française. Cette dernière sait bien, parce qu’elle nous a lu, que cet argument n’est que le prétexte à son étrillage médiatique qui vient. Elle est en alerte et prête à bondir sur tous les journalistes qui tenteraient de salir son image de femme rebelle et virile. Nous savons le gros media ingrat envers ses chouchous d’hier et d’aujourd’hui. Surtout lorsque leurs petites vedettes sont des acteurs du microcosme politique. Valorisées, glorifiées un temps au nom d’une stratégie hermétique pour le commun des mortels, les petites stars seront ensuite vilipendées  dans le respect de l’agenda de cette même stratégie. Mais cette sale histoire de couple qui sentirait le gaz constitue-t-elle vraiment l’amorce de la déflagration tant redoutée par Marine Le Pen ? Nous en sommes encore, de notre côté, au stade des conjectures tant le Système manie l’art de la diversion avec maestria.

Les experts la veulent enlisée

Elles sont pour le moins éloquentes ces multiples déclarations bienveillantes à l’égard du nouveau fn émises par des antinationalistes notoires. A l’instar du politologue spécialiste de l’Islam, Olivier Roy, qui se félicite de l’évolution doctrinale de la PME lepéniste qui s’inspirerait d’une sorte de nouvelle droite. « Elle cesse notamment d’être conservatrice sur les questions de famille et de sexualité. Le Front national compte aujourd’hui plus de partisans du mariage homosexuel parmi ses électeurs que l’UMP, si l’on en croit les derniers sondages », répond pour Le Monde  (30 mai) Olivier Roy à Nicolas Truong. Plus loin, cet expert en Mahométans et en immigration bienheureuse utilise un discours d’une incroyable ironie avant de conclure avec une pointe de mauvaise foi lorsqu’il évoque la nouvelle situation politique des banlieues. « Le passage à droite de la Seine-Saint-Denis et du quartier nord de Marseille est fascinant (sic). Il y a deux explications, osent notre cosmopolite de l’intérieur : ou ce sont les jeunes Blancs qui votent à droite, ce qui suppose qu’ils sont majoritaires dans les quartiers et qu’ils ne les ont pas quittés, ou bien ce sont des secondes générations d’immigrés qui votent Front national, ce qui prouverait que l’intégration fonctionne. » De qui se moque-t-il ce xénophile ? Il serait bien évidemment idiot de croire l’une ou l’autre des causes avancées par l’universitaire immigrationniste ! Pourquoi des jeunes maghrébins votent-ils en nombre pour Le Pen ? En premier lieu parce que le FN présente de plus en plus d’allogènes comme candidats frontistes pendant les élections (c’est le cas en Région parisienne), et les cousins votent pour les cousins. Mais la raison principale réside dans le fait que les beurs et enfants de beurs et beurettes se fichent comme de leur première boulette de shit des patriotes en carton pâte représentés par une famille de professionnels des projecteurs. Le vote FN d’origine maghrébine et black constitue en réalité une « grosse quenelle » adressée à toute la France, une quenelle signifiant que les peuplades immigrées ne craignent pas Marine Le Pen, pis que les bandes ethniques des cités rient d’elle et de son entourage d’invertis. Le message est clair, il est retentissant : Allez, viens, Narine, bouffonne, allez tiens, prends la batte, prends-la, tiens Narine, prends le gun, prends-le,  va-s-y Narine, on t’attend !  Voilà comment est considérée Marine Le Pen dans les quartiers. Et l’on ne voit pas très bien comment elle, la multi-divorcée qui ne s’oppose pas à l’avortement de masse, elle qui a fait du fn une pouponnière à sodomites, comment cette femme pourrait être différemment perçue par ceux prônant malgré tout certaines valeurs familiales. L’argument du patriotisme, de ce patriotisme de plus en plus répandu par le biais des Soral, des Dieudonné, des Camel Bechikh, est un autre bobard balancé par Olivier Roy. Un intellectuel dépassé qui doit certainement ignorer la signification réelle de ce terme puisqu’il explique la venue progressive des immigrés au FN par une première expérience ratée au Parti socialiste dont les cadres n’auraient pas donné suffisamment de places pour ces chances pour la France. Bref, le FN offrirait beaucoup d’opportunités pour les Arabes sérieux avides d’ascension sociale. Le discours d’Olivier Roy est assez amphigourique, mais ce dont nous sommes sûrs, c’est que Le Pen ne constitue pas le Père Fouettard des banlieues. Aussi les concurrents du FN ne peuvent compter sur une prétendue angoisse communautaire ou sur une réaction d’importance des allogènes d’Hexagonie pour espérer un recul du parti. Olivier Roy mise, sans l’avouer, sur le scandale, sur les scandales, et plus généralement sur l’érosion  de l’image de marque du Front national, établi de plus en plus dans l’univers politicien et donc soumis à la routinisation d’une vie politique d’une très fade banalité et d’une croissante vulgarité. Notre politologue va cependant plus loin en « regrettant que le FN n’ait pas gagné plus de mairies, car, explique-t-il, c’est la vie municipale qui vous apprend la politique (sic) et vous forme… ou vous disqualifie » ! Le professeur Roy ne précise pas que la disqualification du politique résulte aussi, et surtout, de la mise en perspective de sa position et de ses actions par le media systémique ; un gros media qui a besoin de grains à moudre pour tailler un beau costard à sa cible. Franchement, la vie intime de Marine Le Pen ne nous intéresse absolument, et ne parlons pas de celles de Steeve Briois, Bruno Bilde, Florian Philippot et tant d’autres. Mais il est évident que les Closer et autres Voici du troisième millénaire vont se nourrir de ce que nous ne voulons surtout pas savoir.  Comme le disait Aristote, il y a des choses qu’il vaut mieux ne pas connaître. Et, disons-le, si cette étape de scandales intensifs, de ringardisation, de démonétisation d’un parti si dédiabolisé qu’il en a perdu toute substance, ne se produit pas, ce sera alors la dernière preuve de sa soumission absolue envers une oligarchie qui n’a pas l’habitude de s’incliner sans combattre férocement et sans aucune pitié.  En attendant le carnage médiatique, de véritables nationalistes organisés en petits moles de militants inaccessibles au découragement s’organisent à travers toute la France. A mille années lumière de la déconfiture doctrinale exigée de Marine Le Pen, de vaillants nationalistes, regroupés autour d’un petit mouvement appelé Lorraine Nationaliste, ont répondu, par exemple, le 30 mai, par leur présence, leur banderole, leurs fumigènes à une vague de sodomites paradant dans une sorte de marche de la fierté dans les rues de Nancy. Plus personne ne pensait que cela était encore possible, déblatérait un inverti emplumé dans un quotidien régional…

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