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mercredi, 04 janvier 2017

Migrants : alerte sur le sud-ouest

 Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

frontière espagnole,migrants,sud-ouestLa frontière espagnole ne nous amène pas encore les hordes de migrants, musulmans pour la plupart, que connaît la frontière italienne. La raison en est simple : les enclaves espagnoles de Ceuta et Mellila, en Afrique du Nord, résistent opiniâtrement à l’invasion des Africains qui tentent de les submerger. Ces territoires de l’Europe en Afrique sont sous la pression quotidienne de ces miséreux qui exigent leur part de l’Europe. Depuis 2016, le mouvement s’est encore accéléré et augure mal pour 2017.

Plus de 50 gardes-frontières marocains et espagnols ont été blessés, dimanche, en tentant de défendre une clôture-frontière de l’enclave espagnole de Ceuta, en Afrique du Nord, contre l’assaut d’un millier de migrants africains.
Deux migrants ont réussi à atteindre le sol espagnol. Blessés en tentant d’escalader la clôture de six mètres de haut, ils ont été emmenés à l’hôpital par la police espagnole. Cent autres migrants avaient escaladé la clôture, mais les forces de l’ordre espagnoles avaient réussi à les repousser.

Le mois dernier, plus de 400 migrants avaient réussi à franchir la clôture de Ceuta, à l’occasion d’un des plus grands assauts de ces dernières années. Des centaines de migrants africains subsahariens, qui vivent illégalement au Maroc et lui posent un problème de sécurité redoutable, tentent, chaque année, d’entrer à Ceuta et Melilla, les deux enclaves espagnoles en Afrique du Nord, dans l’espoir d’arriver en Europe.

La plupart des migrants qui tentent de traverser sont interceptés et retournés au Maroc. Ceux qui sont interceptés sur les clôtures sont, soit rapatriés vers le Maroc, soit relâchés. Des milliers d’autres tentent d’atteindre l’Europe en traversant la mer Méditerranée, souvent dans de petites embarcations trop fragiles pour affronter la haute mer. Dimanche également, un navire du service de sauvetage maritime espagnol avait dû secourir 52 migrants qui tentaient d’atteindre la cote sud de l’Espagne dans un de ces trop frêles esquifs.

Ces vagues de migrants, deviennent de plus en plus agressifs dans leur volonté d’investir l’Europe. Décidément, leur action, qui demande la force et la vigueur d’hommes jeunes, ressemble autant à celle d’une armée en marche qu’à l’exode de désespérés fuyant leurs pays ravagés dont nous abreuvent les ONG et les instances dirigeantes de l’Europe. Les appels au Djihad en provenance de l’État Islamique, qui prêchent ce type d’invasion sur l’Europe, confirment de plus en plus cette sombre intuition.

Source : The Associated Press

 

Source : medias-presse.info

En Suède, des migrants se plaignent de leurs conditions de vie et de la difficulté à trouver une petite amie

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

Suède migrants plaignent conditions vie difficulté petite amie
 
On n’y pense pas assez. Les Syriens qui ont fui la guerre pour venir grossir les rangs des demandeurs d’asile et des clandestins dans les pays européens, rassemblés dans des centres, objets de surveillance, ont du mal à trouver du travail, une petite amie, et n’ont même pas une maison à eux. En Suède, plusieurs d’entre ont décidé de parler de leur mal-être. Les migrants se plaignent de leurs conditions de vie. Leurs difficultés sont même telles qu’ils se sentent « tués une seconde fois »… Ces lamentations sur un rêve qui s’écroule témoignent des attentes démesurées des migrants qui considèrent que tout leur est dû, et aussi des motivations réelles de leur « fuite » : il semblerait que le souvenir des privations, des dangers, des bombes ne compensent pas les inconforts qu’ils trouvent dans un pays aussi développé que la Suède, et dont ils attendaient tout – monts et merveilles, et de l’argent de poche pour en profiter. Voilà qui donne à réfléchir.
 
Premier point : les migrants présents en Suède sont largement financés par les Suédois eux-mêmes, leurs allocations, leurs logements, leurs traitements médicaux étant financés par le contribuable local.
 

Mohammad Jumaa, migrant, dénonce des conditions de vie qui le « tuent une seconde fois »

 
Mohammad Jumaa, réfugié syrien, n’en accuse pas moins la Suède de l’avoir condamné, lui et ses congénères, à une « vie misérable ». Sa tribune a été accueillie par un média public suédois, où il a donc pu exprimer son insatisfaction vis-à-vis des pouvoirs publics locaux. Cela fait plus d’un an, dit-il, que lui-même et d’autres migrants attendent de se voir proposer « une vie bonne et naturelle », emploi bien rémunérateur à la clé. « Nous sommes des êtres humains, pas des animaux qui ont seulement besoin de manger et de dormir ! », se plaint-il.
 
En Suède, les migrants sont « obligés d’attendre » dans de mauvaises conditions, notamment en ce qui concerne le logement. « Je suis un homme honnête et honorable. De nombreux réfugiés maudissent le jour où ils sont arrivés ici. Je n’arrive pas à croire que c’est la Suède ! », écrit Juuma, accusant le pays de se vanter à tort d’être une « superpuissance humanitaire » : « Pourquoi nous avez-vous ouvert la porte en tant que réfugiés, si vous ne pouvez pas nous aider à vivre une vie digne, respectable et bien remplie ? »
 
Lorsque l’on sait dans quelles conditions sont arrivés des centaines de milliers de migrants qui se sont imposés en Europe sans demander s’il y avait de la place pour eux, cela ne manque pas de sel.
 

La Suède accueille mal ses migrants, et tant pis s’il y en a trop

 
Mais Mohammad Jumaa ne veut même pas en entendre parler : « Ne me dites pas que c’est parce que vous avez tant de réfugiés en Suède. Je le sais. Mais je ne comprends pas pourquoi vous voulez nous tuer une seconde fois. Ce temps d’attente, c’est la même chose que de nous tuer… Attendre c’est la même chose que de mourir… Cela provoque beaucoup de stress… Beaucoup de ressentiment… » Et de mettre en garde : beaucoup de réfugiés pensent comme lui et c’est aux Suédois de leur montrer leur vraie préoccupation à leur égard, de les traiter « comme des êtres humains et non comme les animaux ou des numéros ».
 
Mardi dernier, un autre Syrien, réfugié comme lui, avait la parole sur la radio publique suédoise : Mahmoud a une revendication simple. « Je veux une maison », a-t-il répété, parce qu’il est en appartement et que cela réduit ses chances de trouver une petite amie. La journaliste Katarina Gunnarsson ose observer que la chambre où il lui vit – payée par le contribuable suédois – « ressemble à une chambre d’hôtel ». Mahmoud s’attendait à autre chose, et il veut le faire savoir :
 
« J’espérais fortement avoir ma propre maison particulière. Et alors ils me donnent cet appartement. C’est comme un camp de réfugiés. Quelle est la différence ? », tempête cet ancien habitant de Damas. « J’ai 25 ans et je n’ai jamais eu de petite amie. Je suis encore vierge. Je cherche une petite amie, je cherche une femme. Mais c’est impossible, comment vais-je pouvoir vivre dans cette chambre ? »
 

De la difficulté à trouver une petite amie, un bon emploi, une maison de rêve…

 
La journaliste lui a quand même rappelé que beaucoup de Suédois seraient ravis de disposer d’un tel appartement à Stockholm à l’heure où le pays est aux prises avec une grave crise du logement. Réponse : « Je suis venu en Suède et j’avais le fort espoir de pouvoir me créer une vie ici. Mais après avoir vécu ici pendant un an et huit mois, j’ai commencé à perdre espoir. » Réfugié ou migrant économique ? Pas besoin d’être devin pour répondre…
 
Dans le complexe d’appartements modulaires spécialement construits pour les migrants à Norrtälje, Mahmoud n’est pas le seul à se plaindre. De nombreux migrants – près de la moitié des habitants de l’ensemble – ont participé à une manifestation en août pour faire comprendre qu’ils s’attendaient à se voir attribuer des appartements indépendants et permanents, des logements à part entière, plutôt que de devoir partager une cuisine avec les autres migrants. Certains d’entre eux souffrent de dépression et même de pensées suicidaires, ont fait savoir leurs porte-parole.
 
Mais pourquoi ne rentrent-ils pas en Syrie ? Il auraient au moins la satisfaction d’être chez eux.
 

Anne Dolhein

 

Source : reinformation

Quand Bruno Le Roux manipule les chiffres des voitures brûlées

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

Bruno Le Roux. Photo ©AFP
Bruno Le Roux. Photo ©AFP
 

Chiffres. Le ministre de l’Intérieur, comme ses prédécesseurs, a communiqué les chiffres sur la nuit de la Saint-Sylvestre. Il a volontairement minimisé le nombre de véhicules incendiés en instrumentalisant les chiffres.

Premier bilan du 31 décembre pour Bruno Le Roux, récemment nommé ministre de l’Intérieur. Selon un communiqué, il se félicite de ce réveillon 2016 qui s’est déroulé “sans problème majeur”, car en effet “le phénomène des voitures incendiées” a été “contenu”.

  
 

Une hausse de 17,5% de voitures brûlées en un an

Le communiqué précise que “cette année encore, le bilan des véhicules brûlés montre qu’aussi intolérable soit-il, le phénomène est contenu par rapport à 2016, avec 650 mises à feu directes, là où elles étaient à 602 l’an passé”.

  
 

On ne peut parler de “phénomène contenu” lorsque, sur les seules mises à feu directes, on distingue une hausse de 8% par rapport au 31 décembre 2015. Par ailleurs, cibler les seuls chiffres des mises à feu directes est mensonger quand on veut évaluer le nombre réel de voitures brûlées en cette nuit de la Saint-Sylvestre.

  

Ses prédécesseurs, Bernard Cazeneuve et Manuel Valls, prenaient en compte l’ensemble des voitures brûlées. Or, forcément, les chiffres de mises à feu est moins significatif car plusieurs voitures peuvent subir des dommages par la propagation d’un même feu.

  

Le ministère de l’Intérieur a finalement transmis des données à LCI ce lundi 2 janvier. En réalité, 945 voitures ont été incendiées pendant la nuit de la Saint-Sylvestre. Le 31 décembre 2015, 804 véhicules étaient incendiés. Soit une hausse de 17,5% en seulement un an.

 

Une hausse d’autant plus frappante que depuis 2013, les chiffres étaient à la baisse : 804 voitures brulées en 2015, 1067 en 2014, 1193 en 2013. Mais heureusement, ce phénomène a été “contenu”.
 

NON AU FRONT NATIONAL

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

Photo de Guy Jovelin.

mardi, 03 janvier 2017

ROGER HOLEINDRE DÉDICACE SON DERNIER LIVRE !

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2017

Roger Holeindre dédicacera son dernier livre "La reconciliation nationale" de 9 à 16 heures samedi 7 janvier à la brasserie Le Magenta, 1 place de Magenta, 92210 Saint Cloud