Berlin : Joyeux Noël de Daesh. Si ce n’est pas une guerre de religion, cela lui ressemble
♦ La compassion pleurnicharde et médiatique a atteint Berlin
Au lendemain d’une attaque à la niçoise contre un marché de Noël, on a assisté à un scénario bien rodé et assez répugnant. La compassion et la douleur sont matérialisées par des fleurs et des bougies.
Les médias recueillent le sentiment exclusif de ceux qui veulent continuer le vivre-ensemble et le « pas d’amalgame ».
Il n’y a pas de trêve des confiseurs pour la désinformation. Il faut le dire clairement, nous ne voulons pas vivre avec les tueurs religieux de nos enfants ; nous voulons qu’ils meurent ou soient mis hors d’état de nuire définitivement. Ce sentiment de plus en plus partagé en Europe et aux Etats-Unis, c’est celui que les médias, collabos du terrorisme par antiracisme, veulent étouffer dans des reportages et des témoignages orientés ou bidons.
C’est Noël tout de même qu’ils veulent assassiner. Si ce n’est pas une guerre de religion, alors qu’est-ce que c’est ?
Noël est, pour les islamistes, un défi. En effet, c’est avant tout la fête des enfants et elle a été intégrée depuis longtemps par la population issue de l’immigration musulmane. Le sapin fait partie de tous les foyers, mais ses racines sont européennes, sinon chrétiennes, et cela les islamistes ne le supportent pas. Ils s’attaquent à nos traditions surtout celles partagées. L’objectif est clair. Et dans le même temps, au nom d’un laïcisme qui est un Cheval de Troie de l’antiracisme complice de l’islamisation, certains idiots utiles veulent interdire les crèches. On n’a pas besoin d’être chrétien pour apprécier la beauté des crèches ou l’enchantement de la messe de minuit.
L’Allemagne, frappée au cœur de sa principale tradition historique, ne va certainement pas se contenter de pleurer. Le sentiment anti-Merkel va croître au profit des partis qui défendent le peuple allemand. La madone des migrants persiste dans une ligne politique intenable qui se révèle de plus en plus comme une trahison au nom de « l’étranger au-dessus de tout » par antinazisme conformiste et alignement suspect sur les intérêts américains. Cette chancelière qui venait de l’Est et au passé assez flou pendant la période marxiste est tenue sinon par la CIA en tout cas par l’idéologie mondialiste dont elle est au cœur de l’Europe, pour la gouvernante la plus funeste. Hollande suit.
Cet attentat de Noël vient nous rappeler que des musulmans mènent une guerre de religion à notre civilisation et à ses racines. Tous les Européens sont concernés, où qu’ils soient dans le monde, de Washington à Sydney en passant par Paris et Berlin… et Moscou.
Nous devons faire la guerre et pas seulement en Irak et en Syrie mais sur nos territoires et si nos institutions démocratiques en sont incapables, il faut changer ces institutions.
« Le nationalisme c’est la guerre », disait Mitterrand qui s y connaissait dans sa jeunesse en nationalisme. Aujourd’hui, le mondialisme islamiste c’est la guerre et contre lui une seule arme efficace : le retour des nations armées et combattantes pour leurs peuples et leurs cultures.
Il ne faut pas, même à Noël, tendre la joue droite, mais sortir l’épée du fourreau.
Jean Bonnevey
23/12/2016
Source : polemia