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samedi, 14 janvier 2017

Le 14 janvier 1794 : le Tribunal révolutionnaire de Toulouse est crée

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

 

« Le tribunal révolutionnaire de Toulouse a fonctionné pendant 99 jours du 25 nivôse aux 3 floréal An II, soit du 14 janvier au 22 avril 1794. 179 causes ont été traitées. Cette justice exceptionnelle et expéditive était confiée à douze jurés, un accusateur public, trois magistrats et un président. Manœuvres ou propos contre-révolutionnaires, intelligences avec les ennemis de la patrie, outrages aux bons patriotes, tels étaient les griefs et les accusations. Les preuves paraissaient toujours suffisantes. Le jugement précédait de quelques heures l’exécution à mort. Le département de la Haute-Garonne compte 24 victimes de la Terreur.

Le 22 avril 1794, le tribunal révolutionnaire disparaît, mais les Jacobins de Toulouse envoient à toutes les Sociétés afiliées à une circulaire les engageant à tenir « d’une main le soc qui prépare la terre à produire des moissons fécondes et, de l’autre, le glaive destiné à frapper tout ennemi de la liberté. » Ce zèle emphatique ne sauve pas les tribunaux d’exception. »

 

Propos recueillis du livre : Axel Duboul, Le Tribunal révolutionnaire de Toulouse, Privat, 1894

 

Source : infos-toulouse

Toulouse : Ils foncent sur une voiture de police et prennent la fuite à 160 km/h

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

FAITS DIVERS Quatre hommes ont été interpellés au Mirail après une course-poursuite sur les chapeaux de roues. Le conducteur n’a pas hésité à percuter la voiture des policiers…

Des policiers qui interviennent de nuit à Toulouse. Illustration
Des policiers qui interviennent de nuit à Toulouse. Illustration - A. GELEBART / 20 MINUTES

Un policier a été légèrement blessé dans la nuit de jeudi à ce vendredi, dans le quartier de Bellefontaine, à Toulouse. Il faisait partie d’une patrouille appelée sur place peu après minuit à la suite de coups de feu.

Lorsque les fonctionnaires sont arrivés sur les lieux, ils se sont retrouvés face à une Peugeot 605 avec quatre hommes à son bord. Son conducteur n’a pas hésité à foncer sur le véhicule de police, qui a reculé de plusieurs mètres sous le choc.

Positif à l’alcool et aux stupéfiants

La voiture a ensuite filé sur les chapeaux de roues, prise en chasse par d’autres policiers appelés en renfort. Les fuyards ont pris tous les risques, circulant notamment à 160 km/h sur la route de Seysses. C’est là que, fatalement, en grillant un feu rouge, ils sont entrés en collision avec une autre voiture.

>> A lire aussi : Toulouse: Surpris par la police en train d'acheter du cannabis, il demande à être remboursé

Les occupants de la Peugeot - l’un âgé de 30 ans et les trois autres de 23 ans - ont tenté de s’enfuir à pied mais ils ont été rapidement interpellés. De source policière, le conducteur avait consommé de l’alcool ainsi que des stupéfiants, et du cannabis a été retrouvé dans le véhicule.

 

Source : 20minutes

Le retour au Moyen Âge

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

POSTÉ LE 10 JANVIER , 2017

décadence d' l'occident chrétien,dîme saladine,france,invasions,moyen âge,ratsLa France, au cours de son histoire, a subi plusieurs invasions – la dernière d’entre elles étant celle des rats. Les rats sont partout. La presse nous informe qu’à Paris, les rats sont si nombreux que plusieurs jardins publics ont été fermés. Même constat à Marseille. Comment a-t-on pu en arriver là , en 2016 ?

C’est qu’en raison des changements de populations, les règles d’hygiène sont de moins en moins respectées. À Paris, dans ce qu’on appelle les « beaux quartiers », vous ne pouvez pas sortir sans voir sur les trottoirs des poubelles renversées dont le contenu fait le bonheur des rats, des matelas usagés, des cuvettes de toilettes cassées. Dans les quartiers « moins beaux », c’est évidemment la même chose.

Le problème, c’est que les rats sont les vecteurs du virus de la peste. Au Moyen Âge, ils ont provoqué des épidémies dramatiques, comme la peste noire qui fit 25 millions de victimes en Europe, alors beaucoup moins peuplée qu’aujourd’hui. La peste, qui reste endémique en Asie, pourrait donc réapparaître en France, où elle s’ajouterait à ces maladies que l’on croyait éradiquées et qui sont de retour, notamment la tuberculose, en raison de l’afflux de migrants venus du Tiers-monde.

Le Sida est, lui aussi, un cadeau de la décolonisation. Son virus était localisé en Afrique centrale, mais s’est répandu sur la terre entière avec l’immigration des populations africaines, en Europe et surtout en France.

L’insécurité, aussi, est partout, comme au Moyen Âge, au temps des « grandes compagnies ». S’agissant de la France, on compte 13 000 vols, 2 000 agressions physiques, et 200 viols par jour. En réalité, plus encore, car beaucoup de ces agressions ne sont pas déclarées. Cette délinquance s’est considérablement renforcée avec le terrorisme, arme de l’islam. La presse en parle jour et nuit, invitant les Français à être vigilants.

Mais comment être vigilant en face d’un immigré qui cherche à vous égorger pour vous voler votre portefeuille et vous punir d’être chrétien ? Prendre une arme et abattre l’agresseur peut vous vouloir 10 ans de prison. En un mot, sortir de chez soi, c’est maintenant prendre des risques. Il n’y a plus de châteaux forts où se réfugier.

Le Moyen Âge est aussi de retour pour ce qui est des tracas de la vie quotidienne. Autrefois, sous la double férule du seigneur local et de la règle religieuse, on payait la dîme et on effectuait des corvées. Il faut dire que cette dîme était parfois tout à fait justifiée, comme le fut la dîme saladine, créée par Henri II en 1188 pour financer la 3e croisade contre les musulmans dirigés alors par Saladin, le calife à Bagdad. C’était un Kurde entouré de Turcs et de Syriens. On pourrait donc recréer une dîme, non plus saladine, mais pour une croisade toujours dirigée contre le calife de Bagdad, maître de l’État islamique.

En ce domaine, le Moyen Âge est toujours là. Il s’est même aggravé, car aujourd’hui, les seigneurs au pouvoir, c’est-à-dire la nomenklatura démocratique et socialiste, ont perfectionné la dîme du Moyen Âge en la multipliant par 5, s’emparant de la moitié du revenu des sujets. De façon générale, cette nomenklatura fait preuve d’une imagination fiscale sans limite, faisant regretter le Moyen Âge. N’a-t-elle pas mis au point un loyer à payer à l’État, même si vous êtes propriétaire de votre logement ? Les grands prêtres de la nomenklatura socialiste vous disent : « Si vous n’étiez pas propriétaire, vous devriez payer un loyer pour vous loger. Eh bien, ce loyer, vous allez le verser à l’État. » Par exemple, M. X est propriétaire de son pavillon qu’il a acquis après plusieurs décennies d’économies pour être tranquille et ne pas verser de loyer. Il pourrait louer ce pavillon 2 000 euros par mois. L’État socialiste exigera de lui qu’il lui remette le montant de ce loyer théorique ou, tout au moins, une partie de ce loyer. C’est un projet que la nomenklatura devrait mettre à exécution si, en 2017, le peuple lui renouvelait sa confiance, ce qui, fort heureusement, est assez peu probable, les serfs et les manants commençant à comprendre ce qu’est le socialo-communisme, c’est-à-dire un système qui exploite le peuple et le trompe en permanence.

On voit donc que cette situation est pire qu’au Moyen Âge, où il n’y avait tout de même pas 10 500 lois, 127 000 décrets et un nombre incalculable d’arrêtés en vigueur qui font que vous êtes emm… tous les jours par les nouveaux seigneurs républicains et socialistes. Même la belle de Cordoue, qui règne à Paris, a fait, quant à elle, tant et si bien que l’on ne peut plus circuler en voiture dans la capitale. Au Moyen Âge, à cheval, on allait beaucoup plus vite !

Pour terminer, une observation : Noël est la fête la plus importante, en tout  cas la plus populaire, de la chrétienté. C’était une fête placée à l’origine sous le signe de la pauvreté et de l’espérance. Aujourd’hui, c’est un festival de surconsommation, sous le signe du foie gras, des huîtres et du poulet de Bresse. C’est là un détournement, une perversion de Noël, qui souligne la décadence de l’Occident chrétien où, le paganisme étant de retour, on dirait que tous les consommateurs célèbrent non pas Noël, mais le solstice d’hiver. Jésus de Nazareth n’est pas né dans une brasserie, que je sache !

 

Source : les4verites

Magdi Cristiano Allam : Violents ou « pacifiques », ils veulent tous islamiser nos sociétés

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

Par le 13/01/2017  

[Magdi Cristiano Allam est un journaliste italien d'origine égyptienne. Musulman converti au christianisme, il vit en permanence sous la protection de la police.]

En premier lieu, il est essentiel d’identifier la nature de la menace, à savoir qu’il s’agit du terrorisme islamique. Car il est trompeur de parler de terrorisme international ou de djihadisme en sous-entendant que cela n’a rien à voir avec l’islam. C’est ainsi qu’on conforte la thèse selon laquelle les terroristes sont mauvais tandis que l’islam est bon.

Nous ne vaincrons pas le terrorisme islamique tant que les gens n’auront pas l’honnêteté intellectuelle et le courage humain de dire que c’est précisément l’islam qui est la racine du mal, car ce sont les terroristes islamiques qui, plus que les autres, respectent à la lettre et complètement ce qu’Allah a prescrit dans le Coran ainsi que ce que Mahomet a dit et fait. [...]

[Une autre] faiblesse de la stratégie du gouvernement [italien], c’est qu’elle se concentre sur les moyens et ignore l’objectif. Le terrorisme n’est qu’un moyen, l’objectif est l’islamisation de la société. Les terroristes islamiques veulent atteindre ce but par la violence, tandis que d’autres groupes islamiques plus rusés comme les Frères musulmans, les wahhabites, les salafistes et de façon générale les musulmans modérés qui contrôlent les mosquées poursuivent le même objectif de nous soumettre à l’islam en s’appuyant sur notre peur de l’islam.

À cause des terroristes islamiques qui coupent les têtes, nous faisons alliance avec des terroristes islamiques qui coupent les langues – avec ceux qui nous ont obligés à donner à l’islam une légitimité sans tenir compte de la violence qu’il contient. Si nous nous mettions à la place des musulmans soi-disant modérés, nous comprendrions qu’ils ont un grand intérêt à coopérer avec les autorités pour trouver et faire arrêter les terroristes islamiques. Car plus on arrête de terroristes, plus s’accroît la peur parmi les gens, plus nous plaçons notre confiance dans ceux qui veulent nous islamiser « pacifiquement » et nous facilitons ainsi leur succès. Le gouvernement ne doit pas se contenter d’empêcher les attentats islamiques. Il doit avant toute chose empêcher que nos enfants soient un jour soumis à l’islam.

(Traduction Fdesouche)

Il Giornale

Lille: une association d’aide aux migrants aurait détourné des centaines de milliers d’euros d’argent public

 Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

Par le 12/01/2017

De l’argent public aurait été escroqué pendant plusieurs années dans cette structure d’aide à l’intégration et de lutte contre les violences faites aux femmes. La présidente, la directrice et son frère seront jugés le 3 février.

 

SAFFIA (Solidarité aux femmes et familles d’ici et d’ailleurs) est en pleine tourmente judiciaire. Un important détournement d’argent public est soupçonné au sein de cette association. Basée rue de Châteaudun, à Fives, elle a pour objectif principal d’accompagner des personnes étrangères ou issues de l’immigration. Parmi ses actions, la lutte contre les violences faites aux femmes.

Créée en 1990, elle jouissait d’une bonne réputation auprès des institutions. Elle assurait des permanences dans les mairies de quartier. SAFFIA était aussi membre de la Codrese, une instance préfectorale chargée d’étudier les dossiers de sans-papiers. Et elle a été auditionnée pour des rapports parlementaires ou du Haut Conseil à l’Intégration. Elle était financée par la municipalité, l’État, le conseil régional et le Département.

Mouvements de fonds suspects

Tout a basculé en 2013. À l’époque, Tracfin, organisme de lutte contre le blanchiment, signale des mouvements de fonds suspects entre le compte bancaire de SAFFIA et celui de la directrice, Une enquête est ouverte à la brigade financière de la PJ de Lille.

Selon un proche du dossier, la directrice percevait un salaire de 5 000 euros net. « Mais elle n’était pratiquement jamais dans l’association. » Pour les enquêteurs, elle aurait perçu indûment 148 000 euros depuis 2010. Son frère aurait, quant à lui, touché un salaire de 1 000 euros mensuels versés par SAFFIA depuis 2011. Les policiers estiment qu’il s’agissait, là encore, d’un emploi fictif.

De plus, les investigations mettent en cause des demandes de subventions. Elles se sont fondées sur des activités qui n’auraient presque pas existé. Les financements ont malgré tout été accordés. « Rien n’a été vérifié : il y a des choses à revoir dans le contrôle des subventions, juge la même source. On est sur une escroquerie de grande ampleur : plus c’est gros, plus ça passe ! »

Plainte des institutions

La PJ évalue à plusieurs centaines de milliers d’euros le montant des détournements entre 2010 et 2014. Elle n’est pas remontée plus loin dans le temps en raison du délai de prescription. L’État, la mairie, le Département et le conseil régional ont porté plainte et, précisent-ils, cessé leurs financements à SAFFIA.

La présidente, la directrice et son frère seront jugés le 3 février par le tribunal correctionnel, indique le parquet de Lille. L’association existe toujours, mais on ignore si les deux dirigeantes impliquées sont toujours en fonction. Contactée, elle n’a pas répondu à nos sollicitations.

source :fdesouche via lavoixdunord