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vendredi, 20 janvier 2017

Sondage : les Français considèrent la classe politique comme non empathique, ­corrompue et qui ne tient pas ses promesses

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2017

19 janvier 2017 par Pierrot

Le baromètre de la confiance politique du Centre de recherche de Sciences Po (disponible ici ou ci-dessous) est une enquête sur la confiance des Français vis à vis de la politique (institutions, hommes politiques etc…). Pour 89 % des sondés, les responsables politiques « ne se préoccupent pas de ce que pensent les gens comme nous » ; pour 75 %, ils sont « plutôt corrompus » ; 40 % des personnes interrogées éprouvent de la « méfiance » en pensant à la politique et 28 % du « dégoût » ; seules 11 % d’entre elles ont « confiance » dans les partis et près des trois quarts (70 %) estiment que « la démocratie ne fonctionne pas bien en France ». 

Cevipof baromètre confiance politique – vague8 – janvier 2017 from lesechos2

 

Source : contre-info

jeudi, 19 janvier 2017

Répétez après moi : "Le grand remplacement n'existe pas"

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2017

La preuve avec ces élèves de 3e du collège Thomas-Mazaryk de Châtenay-Malabry, qui ont passé la journée au ministère de l’Education nationale ou ils ont déjeuné avec Najat Vallaud-Belkacem :

 

Source : lesalonbeige

Obama : Bon débarras !

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2017

POSTÉ LE 18 JANVIER , 2017

obama-1.jpgDans le film Quo Vadis, tiré du livre de Henryk Sienkiewicz, Pétrone fait ses adieux à Néron qui se croyait un grand artiste : « Passe encore, Néron, que tu aies assassiné ta mère et ton épouse, incendié Rome et autres ignominies, mais comme tu as massacré la musique, comme j’ai souffert à écouter tes vers insipides… »

Pareillement, on pourrait tenir à Obama ce langage :
« Passe encore, Barack, que tu aies voulu transformer l’Amérique à ton image, en en faisant une république bananière, l’endettant plus à toi tout seul (20 trillions de dollars) que tous tes prédécesseurs, tout en accroissant la pauvreté et le chômage alors que toi, tu passais plus de temps à jouer au golf, à lever des fonds pour ton parti, ou encore à te prélasser en vacances luxueuses de 3 semaines avec une suite pléthorique, plus de temps qu’à travailler.

Peu importe, du reste, que tu n’aies jamais sérieusement travaillé, utilisant ton « téléphone et ton stylo » comme un gangster son arme à feu, pour décider et signer, unilatéralement, des décrets présidentiels ineptes et même des accords internationaux sans consulter le Congrès : 90 % de tes décisions et lois anticonstitutionnelles, dont ton abominable Obamacare, pourront être annulées.

Passe encore, Barack, que tu aies menti au peuple américain, avant et pendant toute ta présidence funeste, sur tout, et rejeté le blâme pour tous tes échecs sur Bush, les républicains, Fox News ou des pays étrangers… Que tes deux élections soient dues à des mensonges élaborés avec un cynisme rare (2008), des faits sanglants soigneusement travestis et des trahisons cachées au public (2012) et que tu te sois tiré de l’obscurité, et aussi toujours tiré de tout, grâce à la discrimination positive : le peuple a fini par voir quel charlatan tu étais et il a choisi ton exact contraire pour oblitérer ton œuvre maligne.

Passe encore, Barack, que tous les scandales de ta présidence aient été étouffés par les médias complaisants et par tes ministres de la justice, outrageusement politisés comme tous tes agents gouvernementaux ; que tu aies délibérément créé ou attisé les divisions nationales, en jouant la carte de la race et des droits civils, tes obsessions. Tes scandales seront tous jugés tôt ou tard. Tu as bradé l’Amérique aux ayatollahs et aux Frères musulmans et, de Benghazi à Alep, par ton manque de leadership et tes politiques absurdes, tu as du sang sur les mains. Et là, il devient impossible de ne pas te condamner, Barack, d’autant que tes victimes, ce sont aussi tous les citoyens américains qui subissent tes libérations de prisonniers récidivistes, ou encore les policiers, blancs et noirs, abattus par une vermine que tu soutiens ouvertement.

Ton cas est accablant, Barack ! Non seulement tu n’as jamais été un vrai président des États-Unis, plutôt pantin placé à la Maison Blanche par ceux qui tirent tes ficelles, chargé de miner le pays et la civilisation occidentale de l’intérieur, mais tu ne montres aucun signe de réflexion sur toi-même, encore moins de contrition, et en plus, tu persistes à te croire moralement supérieur à ceux, majoritaires désormais, qui te méprisent.

Surtout, toi, l’individu mal élevé et sans culture, tu crois vraiment au mythe bâti dans un but politique, selon lequel tu serais « un être d’exception, cérébral et grand orateur » ! Tu ne mérites pas plus cette réputation surfaite que ton prix Nobel. Il y a des cerveaux dans la gauche radicale américaine, ô combien pervers, mais toi, Barack, tu n’es qu’un bon exécutant.

Quant à tes discours, ils nous auront assommés par leur longueur, leurs platitudes et tous les mensonges révisionnistes, les contre-vérités, les statisti­ques truquées, les vantardises et tes plaisanteries tellement minables suivies des gros rires des crétins qui t’écoutent, au point que, oui, Barack, nous avons toujours fini par zapper tes oraisons comme tes geignardises.

Et, sans ton téléprompteur, tu sais bien que tu bégaies.

Voilà où tu rejoins Néron, Barack, dans cette illusion ultime sur toi-même, entretenue par les sycophantes américains et européens, qui te fait croire que tu peux continuer à nuire et te pavaner à Washington, au lieu de retourner à Chicago, dans le but précis, autant que mauvais, de diriger une obstruction systématique et organisée contre ton successeur, à la tête d’un groupe financé par Soros, dit Obama Inc., et de faire de toi le président en exil de tous les irrécupérables d’extrême gauche ! Sera-t-on, un jour, débarrassé de toi ?

Même ta sortie manque de classe, Barack. Jamais canard boiteux n’avait boité si bas ! »

 

Source : les4verites

Bois-d’Arcy (78) : l’infirmière de la prison trafiquait de la drogue et des téléphones par amour pour « Rasta-Rasta », un détenu

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2017

Par le 18/01/2017 
 Sa vie a basculé en quelques mois. Quelques mois d’une relation extraconjugale avec un détenu de la maison d’arrêt de Bois-d’Arcy. Quelques mois pendant lesquels Morgane, 39 ans, a franchi la ligne rouge. Elle est devenue le maillon d’un vaste trafic qui a alimenté la prison. Elle a presque tout perdu.

Pour cette infirmière, ce vendredi 13 janvier n’était vraiment pas à placer sous les auspices de la chance. Après plusieurs heures d’instruction, les juges l’ont condamnée à 18 mois de prison avec maintien en détention. Ils lui ont également signifié une interdiction d’exercer son métier pendant 5 ans. Autant dire que la décision résonne comme un glas professionnel.

L’enquête démarre en septembre 2016. Sous couvert d’anonymat, un détenu indique à un surveillant qu’un certain Rasta-Rasta propose des téléphones sous le manteau. Un appareil contre 200 à 850 euros selon le modèle. Il pourrait aussi fournir de l’alcool dans le format d’une petite bouteille d’eau. Dans les couloirs de la prison, il se murmure que Rasta-Rasta, alias Yann B., aurait réussi à séduire l’infirmière Morgane. La police est alertée. L’enquête est bouclée en décembre. Le douze de ce même mois, Morgane est arrêtée chez elle, à Saint-Cyr-l’École.

En perquisition, treize téléphones, des chargeurs, des kits main libre, un peu de cannabis et 800 euros en espèces sont découverts. Morgane craque. Elle avoue tout. En août, à son retour de vacances, Yann lui a fait des avances. « Il était entreprenant. Et puis il m’a embrassée. J’étais épuisée physiquement et moralement. Mon travail, ma famille… Il m’a subjuguée. Il a trouvé les paroles. Nous avons eu plusieurs rapports dans mon bureau ».

[...] Paradoxalement, personne ne s’étonne dans la salle d’audience. Il semble que des détenus possédant un téléphone ne surprennent plus. Au mieux, on apprend les tarifs en vigueur dans la prison. Jusqu’à 850 euros donc pour un smartphone. La résine flambe à 1 000 euros les 100 grammes contre 300 euros à l’extérieur. Les 50 cl d’alcool valent 50 euros.[...]

Source :fdesouche via 78 Actu

Il faut supprimer le Conseil supérieur des programmes !

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2017

PAR

C'est à cette instance soi-disant indépendante que l'on doit les nouveaux programmes de l'école : du "milieu aquatique standardisé" au "prédicat"…

"Le prédicat", dernière invention du Conseil supérieur des programmes...
"Le prédicat", dernière invention du Conseil supérieur des programmes... © AFP
Les programmes des candidats à la présidentielle sont encore imprécis. Il est un point, pourtant, sur lequel toute personne sensée qui veut redresser la France ne devrait pas hésiter longtemps. C'est le sort qui doit être réservé au Conseil supérieur des programmes (CSP), auquel on doit les nouveaux programmes de l'école et du collège. Le « milieu aquatique profond standardisé » pour définir une piscine, c'est lui, de même que le « duel médié par une balle ou un volant » pour désigner un sport de raquette ou encore « la construction d'un projet expressif » pour qualifier l'acrobatie. Sans oublier la nouveauté qui fait polémique depuis quelques jours, le « prédicat ». Cette notion de linguistique pointue devient une des bases de l'enseignement de la grammaire à l'école. C'est le dernier avatar de la « grammaire de texte », cette mode pédagogique qui est un peu à l'apprentissage de la langue ce que la méthode globale est à celle de la lecture. Mais pouvait-on s'attendre à mieux de la part du CSP, conseillé par une batterie d'« experts » autoproclamés et invisibles ?