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vendredi, 27 janvier 2017

Des armes de guerre dans le squat des Arènes, le RAID intervient à Toulouse

 Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2017

Plus de 400 personnes, pour la plupart des clandestins vivent en toute illégalité dans un squat des Arènes, depuis novembre 2015. Mais en ce début de l’année, la situation empire : des riverains affirment avoir aperçu des armes de guerre, obligeant le RAID à intervenir. 

C’est actuellement le plus grand squat connu de l’agglomération Toulousaine. 400 personnes vivent au fond de l’impasse des Arènes dans quatre bâtiments et deux hangars, propriété de la banque Natixis, transformés depuis l’hiver dernier déjà, en favelas. Bulgares, roumains, marocains et quelques français cohabitent dans des conditions plus que précaires, dans l’illégalité la plus totale.

Occupé depuis novembre 2015, l’affluence n’a fait qu’augmenter depuis ce temps. Malgré l’avis favorable à l’expulsion rendu par la justice, la préfecture ne veut pas « brusquer les choses ». Pourtant la situation est de plus en plus délétère. Vols, bagarres et maintenant armes à feu.

Des coups de feu et des armes de guerre

« J’ai entendu des coups de feu. J’ai vu des personnes avec une kalachnikov, un fusil de chasse, une batte de base-ball et un pistolet. Le RAID est venu. » explique un riverain au quotidien La Dépêche.

Dans la nuit de dimanche à lundi, l’antenne locale du RAID est intervenu au sein du bidonville. Ils ont été pris à partie par une vingtaine d’individus cagoulés alors qu’une interpellation était en cours. Mais les policiers d’élite n’ont retrouvé aucune arme dans le squat. Pourtant les habitants du quartier sont formels et s’inquiètent pour leur sécurité et celle de leurs enfants : « Nous avons vu ces armes. C’est très inquiétant. Imaginez qu’un gamin ou n’importe qui passe à côté au moment où ils tirent ! »

 

Source : infos-toulouse

"Chauffeur de bus, j'ai pris ma retraite après avoir vu et subi trop d'agressions"

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2017

Un dépôt de bus, dans le nord de Paris.

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Le bilan statistique de la délinquance en 2016 montre une importante augmentation des violences, notamment dans les transports en commun (+7%). Vols et agressions font partie du quotidien des chauffeurs de bus ou de métro. Christophe, chauffeur de Noctilien, témoigne pour RMC.fr.

Christophe était chauffeur de bus en région parisienne. En août 2016, il décide de prendre sa retraite à cause des nombreuses violences auxquelles il assiste dans son Noctilien. 

"J’ai été chauffeur de bus pendant 37 ans, dont 10 ans sur le N22, le Noctilien qui va de Juvisy, dans le 91, à Châtelet. Après avoir vu et subi trop d’agressions, j’ai pris ma retraite en août 2016. Les violences faisaient partie du quotidien, et allaient d’une simple insulte jusqu’à la tentative de viol. Lorsque je demandais aux usagers de valider leurs titres de transport, certains me répondaient que je n’avais qu’à 'fermer ma gueule'. Si j’insistais, ça se finissait mal. 

L’agression de trop, qui m’a fait prendre ma retraite, s’est passée cet été, lorsque j’ai justement demandé à un voyageur de me présenter son titre de transport. Il m’a regardé, et avec sa main, il a mimé le geste de me tuer. J’ai voulu porter plainte pour menace de mort. Les policiers ont regardé la vidéo et ont bien vu la personne faire ce geste. Mais la direction n’a pas souhaité que j’aille au bout, elle préfère défendre le voyageur. Le manque de soutien envers le chauffeur de bus est un véritable problème. Quand on essaie de faire respecter les règles, on nous demande de nous taire.

Pour la direction, les chauffeurs de bus ne doivent pas s'interposer

Les jours où j’allais travailler, je me demandais ce qui arriverait. Chaque jour il y a des problèmes, et toutes les agressions sont traumatisantes. Avant, les violences se terminaient avec un œil au beurre noir et n’allaient pas bien loin. Aujourd’hui les voyageurs possèdent des couteaux, des flingues… Lorsque j’ai commencé à exercer ce métier, à la fin des années 1980, tout le monde validait son titre de transport, c’était une habitude. Maintenant, la direction nous conseille de ne plus les demander et de tourner la tête. Du coup, les gens ne paient plus… Une première porte s’est donc entrouverte.

Un soir, une dizaine de jeunes est montée dans le bus, vers la Place d’Italie, dans le XIIIe arrondissement. Deux jeunes filles étaient assises à l’avant, elles allaient en boîte de nuit et s’étaient fait belles. Les jeunes ont commencé à les aborder, à devenir de plus en plus pressants. Après des attouchements, ils se sont bagarrés entre eux pour savoir qui allait les violer en premier. Pendant ce temps, les autres voyageurs présents dans le bus baissaient la tête ou levaient leur journal pour ne pas voir la scène.

J’ai déclenché une alarme discrète, puis je me suis interposé comme j’ai pu: je me suis mis devant les deux victimes, et j’ai dit aux agresseurs 'Si vous voulez les toucher, il faudra me passer sur le corps avant'. Je savais très bien que j’allais au casse-pipe. Les policiers sont arrivés juste à temps, puis les jeunes se sont dispersés après avoir cassé les vitres du bus. Après ça, j’ai été reçu par la direction qui, chaque année, félicite des chauffeurs qui ont secouru les usagers. L’un des directeurs m’a dit: 'Bon là, ça s’est bien terminé mais vous savez, il ne faut pas s’interposer. S’il était arrivé quelque chose, on se serait retournés contre vous'.

Les postes de sécurité, peu nombreux et inutiles

L’alarme discrète sert à prévenir un poste de sécurité. En Île-de-France, il n’en existe que quatre la nuit. Si l’un d’eux se trouve dans le centre de Paris, et que nous roulons au nord ou au sud, le temps qu’ils arrivent, des gens peuvent se faire agresser trois ou quatre fois et mourir. Donc ils ne servent à rien."

Propos recueillis par Alexandra Milhat

 

Source : bfmtv

A prendre avec le sourire : les deux contradictions de Renaudo...

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2017

 

L'horrible tête de veau du 21 janvier, une tradition républicaine, toujours en vigueur ...

Régulièrement, spécialement à chaque 21 janvier, un certain Renaudo surgit et ressurgit. Dans le langage ordurier qui est le sien, il accable Louis XVI d'insultes qui ne salissent et ne rabaissent que lui, Renaudo, avant de retomber dans une profonde absence, un profond silence, l'une et l'autre bienvenus, qu'il ne rompra que le 21 janvier suivant : nihil novi sub sole...

L'affaire est attristante, pour lui surtout, mais nos commentaires, libres, lui seront dorénavant fermés. Une dernière évocation, donc, de ce triste sire, avant que de le laisser à ses élucubrations, et, pour ce faire, adoptons le meilleur parti : celui d'en rire !...

Risible, en effet, et doublement, est l'argumentation (?) du citoyen Renaudo :

1. Il dit se réjouir de la mort du Roi, mais il est, évidemment, contre la peine de mort ! Logique, cohérence, quand tu nous tiens !...

2. Il déclare fonder son hostilité à la royauté - et donc son républicanisme - sur le refus de l'hérédité, de l'héritage, de tout ce qui est « reçu ». Fort bien. Mais, alors, qu'il mette ses actes en accord avec ses paroles, au lieu de, chaque année, venir nous casser les oreilles avec les mêmes propos orduriers : il refuse l'hérédité ? Mais, ses parents lui ont-ils demandé son avis avant de le mettre au monde ? Qu'il renonce donc à tout ce qu'il a reçu de ses parents, en commençant par les biens matériels, et, surtout, surtout, en finissant par renoncer à.… la vie !

Certes, cela s'appelle se suicider, et c'est interdit par l'Eglise, mais, l'Eglise, Renaudo n'en à que faire, il a sa Nouvelle Religion Républicaine ! Alors, chiche, en plein accord avec ses principes, au nom du refus de l'hérédité, que Renaudo refuse sa vie, horriblement héritée de ses parents, une bonne fois pour toutes, et qu'il y mette fin ! Cela nous fera des vacances, et puis, surtout, n'oublions pas que, comme on dit dans le jargon, ce sera un suicide, certes, mais un suicide « citoyen », un suicide... « républicain » !

Mais, comment saluer cet acte citoyen et républicain ? On ne pourra évidemment pas lui dire : « A Dieu Renaudo » (Dieu, quelle horreur !). Alors, « A l'Être suprême » ? Ou bien « A la Déesse Raison » ? Toute suggestion est la bienvenue.

En tout cas, dorénavant, pour cet énergumène, ce sera « porte close » ...

 

Source : lafautearousseau

jeudi, 26 janvier 2017

Manifestation des policiers, jeudi 26 à 21h30 à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2017

 

Jeudi 26 janvier à 21h30, les policiers en colère donnent rendez-vous aux citoyens au Monument aux morts de François Verdier pour une manifestation nationale. Infos-Toulouse sera de la partie. Nous vous transmettons leur communiqué : 

« En coordination avec l’UPNI (Union des Policiers Nationaux Indépendants) soient toutes les associations et collectifs des policiers en colère constitués depuis le début du mouvement! 
Nous ne lâcherons rien jusqu’à avoir obtenu les revendications demandées !
Nous voulons travailler en sécurité pour nos citoyens et non pour le compte des politiciens et ce, dans des conditions dignes !
Venez nombreux soutenir votre police. »

 

Source : infos-toulouse

Il y a plus de 4’000 terroristes potentiels en France

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2017

 
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Michel Garroté - Entre 15'000 et 16'000 hommes, femmes et mineurs, sont aujourd’hui enregistrés au sein du 'Fichier des Signalements pour la Prévention de la Radicalisation à caractère Terroriste' (FSPRT). Une précieuse base de données nationale, créée au mois de mars 2015 par un décret non rendu public, et qui recense les islamistes radicaux français ou résidents sur le territoire. Au mois de novembre 2016, 5'325 radicalisés domiciliés à Paris ou dans les sept autres départements franciliens figuraient dans ce fichier. 4'030 d’entre eux font l’objet d’un suivi plus soutenu.
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Ces personnes ont été identifiées, notamment après l’exploitation des appels téléphoniques adressés par des particuliers à la plate-forme de signalement du 'Centre National d’Assistance et de Prévention de la Radicalisation' (CNAPR). Cette évaluation est, notamment, réalisée en tenant compte des indicateurs de basculement dans la radicalisation tels qu’un comportement de rupture avec l’environnement familial, un changement d’apparence physique ou vestimentaire ou une pratique religieuse hyper ritualisée.
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Par ailleurs, en fonction de la dangerosité des personnes figurant dans ce fichier, il est décidé d’un suivi spécifique. Sur les 15'000 à 16'000 radicalisés au niveau national, entre 3'000 et 4'000 sont considérés comme les plus dangereux et sont suivis spécifiquement par la DGSI.
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Michel Garroté pour http://lesobservateurs.ch/
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http://www.leparisien.fr/faits-divers/cartographie-secrete-des-radicalises-25-01-2017-6614952.php#xtor=AD-1481423553