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lundi, 03 avril 2017

A ne pas manquer ce soir, 20h40 sur KTO, « Prêtres sous la Terreur » ou « Quand la France exterminait ses prêtres »

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2017

 

A dire vrai, le titre exact, que nous aurions évidemment préféré, eût été : « Quand la France révolutionnaire exterminait ses prêtres ». Car pas plus que la Révolution, le peuple français n'a jamais voulu l'assassinat du roi, puis de la reine, et le long et monstrueux infanticide du petit roi Louis XVIII ; ni l'assassinat des prêtres, dont il est ici question ; ni le génocide vendéen...

Mais, enfin, ne boudons pas notre plaisir, car si KTO n'est pas une grande chaîne généraliste (nous parlons ici uniquement en terme d'audience) il est toujours bon que, où que ce soit ; la vérité soit dite et établie sur l'horreur absolue que représenta la sinistre période révolutionnaire.

Elisabeth Caillemer a vu « Prêtres sous la terreur », félicitant KTO qui « apporte sa pierre à l'édifice du politiquement incorrect en diffusant un excellent documentaire consacré à la déportation et au massacre de milliers de prêtres sous la Révolution ».

Factus obediens usque ad mortem (obéissants jusqu'à la mort) : lorsque les terroristes révolutionnaires lancèrent, comme un défi, à la face de la France, de l'Europe et du monde, leur message totalitaire, la France entière se souleva contre eux, lançant le message exactement contraire, celui de la liberté intérieure, face à l'oppression d'un pouvoir sans limite qui, ne se reconnaissant aucune autorité supérieure, se révélait vite mille fois plus tyrannique que les antiques oppressions qu'il prétendait abolir.

L'expression la plus achevée de ce soulèvement se trouva évidemment dans tout le Grand Ouest, mais plus des deux tiers des département nouvellement créés furent en état d'insurrection armée contre l'intrusion de la folie barbare dans le royaume qui fut, jusqu'en 1789, celui de « la douceur de vivre » (Talleyrand). 

A ce soulèvement massif et quasi général de la très grande majorité du peuple français, la Révolution répondit par la seule chose qu'elle connaissait vraiment : la Terreur !

1064058210.jpg« Juillet 1790, - reprend Elisabeth Caillemer -l'Assemblée constituante adopte la Constitution civile du clergé... Rome où la Révolution, il faut choisir ». La majorité des ecclésiastiques refuse de prêter serment : on les appelle « réfractaires ». Le régime qui commence sa prétendue devise par « Liberté » commence par interdire aux gens leur liberté intérieure ! Les prêtres « réfractaires » (appelés aussi « insermentés ») sont pourchassés par les républicains, dont le troisième mot de la devise est - rappelons-le- « Fraternité » ! « A Paris - dit Elisabeth Caillemer - 180 prêtres retenus captifs dans le couvent Saint-Joseph des Carmes sont massacrés. Le documentaire nous emmène aussi dans l'Ouest de la France, berceau de la résistance contre-révolutionnaire. Là-bas, la folie meurtrière des sans-culottes se déchaîne. Fusillades à Angers, noyades à Nantes, emprisonnements à Rochefort. Exposés de manière chronologique et didactique, ces faits terrifiants témoignent surtout de la haine anticléricale et de la violence inouïe de la république naissante, dont les méthodes n'ont rien à envier à celles de Daech. »

Eh ! oui : n'en déplaise à nos modernes Mélenchon ou Hamon, qui ne cessent d'en appeler aux mânes des grands ancêtres, ceux-ci comptent en fait parmi les pires criminels de toute l'histoire de l’Humanité ; ils sont la matrice d'où sortiront tous les monstres et toutes les horreurs du XXème siècle : Staline, Hitler, Mao Zedong, Pol Pot, Ho Chi Minh, Ceaucescu, Castro, la Stasi et la Securitate, le Goulag et le Lao Gai... 

Rappelons, par ailleurs, que les nazis n'ont rien inventé, et que le monstrueux massacre d'Oradour sur Glane a eu son précédent, en Vendée, aux Lucs sur Boulogne, en 1794, soit 150 ans auparavant * ! 

Toute occasion de faire la lumière sur ces monstrueux évènements est bonne à prendre, et la vérité doit être dite, à temps et à contretemps, afin de faire cesser le Mémoricide, deuxième crime que la République idéologique ajoute à son premier - le génocide vendéen - puisqu'elle refuse toujours, plus de deux siècles après, de dire la vérité sur la Terreur et le massacre des Français sur laquelle elle s'est construite, et sur laquelle notre actuel Système, qui reconnaît en elle ses fondements, repose également.

 

Source : lafautearousseau

L’ancien maire de Londres dans la tourmente pour avoir parlé de collaboration entre le nazisme et le sionisme

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2017

Royaume-Uni – Au cours d’une audience disciplinaire au sein du parti travailliste, Ken Livingstone, ancien maire de Londres et membre du parti travailliste, a réaffirmé jeudi qu’Adolf Hitler était favorable au sionisme et qu’il y avait une « vraie collaboration » entre les nazis et les sionistes allemands avant la Seconde Guerre mondiale.

L’ancien maire de Londres avait déjà déclaré l’an dernier qu’Hitler avait encouragé les juifs d’Allemagne à s’installer en Palestine, « avant qu’il ne devienne fou et qu’il ne finisse par tuer 6 millions de juifs ».

« Quand le mouvement sioniste a demandé au gouvernement nazi s’il pouvait interdire aux rabbins juifs de faire leurs sermons en yiddish et ordonner qu’ils les fassent en hébreu, [Hitler] a accepté ».

Jeudi dernier, Ken Livingstone était convoqué à une audience disciplinaire du parti travailliste pour décider son éventuel renvoi du parti, en raison de ses opinions sur les liens entre Hitler et le sionisme, qui ont déjà conduit l’an dernier à sa suspension du parti travailliste par le chef du parti Jeremy Corbyn.

Ken Livingstone a déclaré que « lorsque, en juillet 1937, de nombreux nazis de haut rang se sont réunis pour cesser d’envoyer des Juifs en Palestine parce qu’ils pourraient créer un état juif, une directive d’Hitler est arrivée en pleine réunion qui disait ‘non, nous continuerons cette politique’ ». « Toutes les personnes qui étudient l’histoire savent tout cela, c’est vrai », a poursuivi l’ancien maire de Londres.

Livingstone avait été suspendu du parti travailliste à la suite d’une interview à la BBC datant d’avril 2016 dans laquelle il avait déclaré : « rappelons-nous quand Hitler a remporté son élection en 1932, sa politique de l’époque était que les Juifs devraient être déplacés vers Israël. Il soutenait le sionisme ».

« Toute suggestion affirmant que mon intention était d’établir une équivalence entre le nazisme et le sionisme est entièrement fausse », a ensuite précisé Ken Livingstone.

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 02 avril 2017

Jelloul et Vallaud-Belkacem signent une convention sur l’apprentissage de l’arabe en France

 

Une convention a été signée hier, vendredi 31 Mars, entre la Tunisie et la France portant sur l’apprentissage de la langue arabe à l’école primaire en France, et sur le projet de création d’une école tunisienne à Paris.

La signature de cet accord est intervenue lors d’une rencontre, hier au siège du ministère, entre le ministre de l’Education, Néji Jalloul, et la ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche française, Najat Vallaud-Belkacem.

La ministre française était hier dans nos murs, à l’occasion de la tenue vendredi à Tunis de la 3ème conférence ministérielle de recherche, de renouveau et d’enseignement du dialogue 5 + 5.
 

 

Source : gnet

France, fille ingrate de l’Eglise

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2017

Les dernières données sur la croyance en Dieu (celui des chrétiens, donc pas Allah) en Europe est très instructive. La France est le 4e pays le plus athée de l’Union Européenne, derrière la République Tchèque, l’Estonie et la Suède.

Une analyse plus pointue de chaque pays permet de déterminer des tendances. La République Tchèque est logiquement en première position avec 16 %. Ce pays protestant, berceau de l’hérésie de Jean Hus, disposant dans sa ville de Prague de l’une des capitales du talmudisme, n’est guère surprenant à cette place. La République Tchèque a toujours été un pays gangréné par l’apostasie. Seul pays d’Europe de l’Est où des religieuses se sont déshonorées en collaborant avec l’armée rouge pour des tâches immondes, l’ombre méphitique du Golem de Prague plane sur cette nation.

L’Estonie et la Suède, deux autres nations protestantes, sont à la 2e et 3e place avec 18 % de croyants.  Ce sont deux nations riches, dont enferrée dans les croyances matérialistes, d’autant plus que l’Estonie a subi le joug soviétique de 1940 à 1941 et de 1944 à 1991, ayant subi une importante saignée de population (un tiers de la population environ a succombé dans les camps de la mort soviétiques). Quant à la Suède, elle est dans le même cas que les Pays-Bas : nation en voie de décadence totale, malgré des ultimes résistances de plus en plus grandes, dévoiement de la pensée chrétienne vers un ethno-masochisme peccamineux, pays moribond puisque pays à âme morte.

La France est donc 4e avec 27%. Pays de la guerre civile, la France vit depuis 228 ans sous un joug cathophobe qui a délibérément saigné à blanc les provinces catholiques lors de la boucherie de 1914-18 et qui, en 1944, a liquidé un nombre conséquent de catholiques lors de l’épuration gaulchévique et sa centaine de milliers de morts (97.000 à 150.000). La France a cependant été le fer de lance de la révolte des fidèles catholiques contre la soumission des autorités religieuses à Mammon, que ce soit en 1976 avec Mgr Lefebvre ou en 2014 avec La Manif pour Tous.

En 5e position, on trouve le Danemark et les Pays-Bas, deux pays connus par la licence des mœurs y régnant et par leur appartenance au monde protestant. Deux pays qui, étant allé au fond du puit de la déchéance, commencent à remonter lentement sur le plan politique, aidés il faut le dire par l’attitude des colonies de peuplement musulmanes.

A la 7e place ex-aequo, la Slovénie et la Lettonie, avec 32 % de croyants. La Slovénie, plus riche des pays de l’ex-Yougoslavie, tour à tour membre de l’Empire austro-hongrois, du Royaume de Yougoslavie, annexée par l’Allemagne nazie puis incorporé dans la Yougoslavie communiste, a subi les influences étrangères plus souvent mauvaises que bonnes. Quant à la Lettonie, l’autre pays protestant de l’URSS avec l’Estonie, les églises protestantes n’ont pas su comme en Pologne transformer l’essai.

En 9e position, la Finlande, toujours pays protestant avec 33 %. Longtemps pauvre, donc moins infectée que la Suède, la Finlande est également en proie désormais à une prise de conscience identitaire, qui ne se transforme pas une prise de conscience religieuse de par la faute d’une « élite » religieuse aussi vendue au « Prince » de ce monde que ses politiciens.

En 10e position, le plus athée des pays orthodoxes, la Bulgarie avec 36 % seulement de croyants. Ayant payé un lourd tribut à la résistance contre l’envahisseur ottoman et l’oppresseur communiste, l’église orthodoxe n’a pas su obtenir les mêmes positions qu’elle a acquise dans la Russie proche, dans un pays où les communistes sont encore puissants et moins inféodés à l’Union Européenne que les anciennes nomenklaturas d’Europe orientale.

En 11e position, ex-aequo, la Grande-Bretagne et la Belgique avec 37 %.  La Grande-Bretagne a vu l’église anglicane souffrir d’une vague de départ sans précédent suite à son inféodation aux dogmes planétariens sur les questions des mœurs.  L’abandon des classes populaire par un clergé La situation de la Belgique a été en partie similaire à celle de la France quant à l’ineptie du clergé. Clergé gauchisant qui a réussi à braquer la très catholique Flandre en rejetant les partis identitaires

En 14e position, ex-aequo, l’Allemagne et l’Autriche avec 44 %. Les clergés allemands et autrichiens étaient déjà gangrénés par le modernisme depuis le début du XXe siècle (Benoît XV fut élu en lieu et place de Rafael Merry del Val au cri de « plus d’intégriste sur le trône papal » scandé par les évêques allemands et autrichiens). La Bavière constitue encore un bastion de l’Eglise, tout comme le Tyrol de l’autre côté. Les catholiques sont légèrement majoritaires sur les protestants, ces derniers ayant payé au prix fort les massacres ethniques de 1945.

En 16e position, la Hongrie avec 45 %. Autre pays profondément catholique où l’Eglise fut persécutée par les communistes (pour la majorité juifs), c’est aussi un pays où, comme en Pologne, les anciens tortionnaires communistes repeint en rose social-démocrasse et soutenus par Bruxelles et Washington ont été supplantés par une droite de conviction qui rend coup pour coup.

En 17e position, la Lituanie avec 47 %. Celui des pays Baltes qui est le plus fidèle à la foi est aussi le seul des trois qui est catholique.

En 18e position, l’Espagne avec 59 %. Pays profondément catholique, elle l’est encore majoritairement grâce à un clergé qui tient encore la route. Les atrocités communistes ne datent que de 80 ans, la vigilance est encore de mise, le clergé ayant même osé défier le premier ministre israélite Zapatero et le juge Garzon.

En 19e position, la Slovaquie avec 63 %. La partie catholique de la Tchécoslovaquie, seul pays d’Europe dirigé par un ecclésiastique au XXe siècle, a toujours défendu fermement sa foi, la rapprochant plus de Budapest que de Prague. La mutation des communistes locaux en nationaux-communistes est un élément prouvant l’importance de la foi.

En 20e position, la Croatie avec 69 %. Pays catholique rival de la Serbie orthodoxe et de la Bosnie musulmane, elle s’est battue de 1919 à 1939, puis de 1945 à 1993 pour arracher sa liberté. Les catholiques militants ont été le fer de lance de la lutte pour l’indépendance et il en reste encore une combattivité certaine.

En 21e position, ex-aequo le Portugal et l’Irlande avec 70 %. Deux pays assez similaires, qui ont connu une misère propice à l’émigration, où l’Eglise est partie prenante de l’identité nationale, même si l’épiscopat commence à baisser sa garde, l’Europe y veillant…

En 23e position, l’Italie avec 74 %. Pays catholique dont la capitale est le siège papal, la foi y est encore profondément ancrée, l’Eglise y ayant été persécutée il y a près d’un siècle (sous la maison de Savoie, un prêtre en soutane risquait la prison s’il n’était pas « en service »).

En 24e position, ex-aequo la Grèce et la Pologne avec 79 %. La Grèce voit l’église orthodoxe jouer un rôle capital (et que l’Europe voudrait bien voir détruit, d’où son soutien aux opposants en toc de Syriza contre la vraie opposition qu’est l’Aube Dorée). Même chose en Pologne, où l’église catholique – colonne vertébrale du pays – a été le fer de lance de résistance contre les nazis, les communistes et maintenant les européistes.

En 26e position, Chypre avec 88 %. Pays orthodoxe confronté à une occupation-colonisation de la partie septentrionale de l’île, ce qui met les chrétiens dans une position de combat, propice au maintien de la foi.

En 27e position, la Roumanie avec 92 %. Pays d’une grande pauvreté, la Roumanie fait partie du monde orthodoxe. Particulièrement persécutée sous le régime communiste (notamment par les juifs Pauker et Roman) et étant comme en Pologne le socle de la résistance, l’église orthodoxe a encore une influence déterminante pas encore entamée selon l’axiome « plus un pays est pauvre, plus la foi y est intense », l’homme ne pouvant adorer deux dieux en même temps…

Il n’y pas de données ni pour le Luxembourg, dont on sait que le taux de croyance est entre 40 et 49 %, ni pour Malte qui se situe entre 70 et 79 %.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

samedi, 01 avril 2017

[Revue de presse] Les réfugiés : richesses pour l’Europe ?

Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2017

Paris Vox – 7 étudiantes de l’école européenne de droit de Toulouse ont décidé de réaliser une conférence le 1er avril prochain à Paris afin de « valoriser l’apport des réfugiés en Europe ».


Le programme de la soirée sera riche et constitué de deux parties.

  • 18h30 : Exposition du photographe NnoMan autour d’un Buffet convivial
    19h30 : Succession d’interventions ayant pour thème commun “les réfugiés, richesses pour l’Europe”.

Les intervenants seront :

  • Aref Sultani, membre du BAAM asso (bureaux d’aide aux migrants)
  • Vincent Fillola, membre d’Avocats Sans Frontières
  • Mr Touzeil-Divina, professeur agrégé de l’Université Toulouse Capitole

Afin de prouver l’apport et la richesse culturelle des migrants plusieurs intermèdes musicaux sont prévus avec des performances de rappeurs afghans et syriens. Une performance d’un violoniste aura lieu également.

Les étudiantes déplorent l’absence de femmes intervenantes pour intervenir sur la question des réfugiés, aussi nous leur conseillons une visite au centre de Migrants de La Chapelle dans le 18ème arrondissement de la capitale ou elles constateront que les femmes sont peu représentées dans les réfugiés à Paris. (Voir notre reportage : https://www.parisvox.info/2017/02/10/centre-daccueil-repo...)

A aucun moment, en revanche, les organisatrices ne déplorent l’absence de contradicteurs ou d’opposants à leur vision angélique de l’immigration.

Soulignons que cet événement a été financé par des internautes https://www.leetchi.com/c/projet-de-prenons-la-parole .

L’événement est présenté ici : https://www.facebook.com/RefugeesESL/

 

Source : infos-toulouse