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jeudi, 06 avril 2017

La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ? L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2017

4 avril 2017

Nous recevons de notre consœur Irène Dimopoulou, Directrice du journal EMPROS, cet article interpellant.

La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ?

L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée

Le gouvernement d’Alexis Tsipras, se voit démuni chaque jour dans les sondages. Malgré le soutien populaire reçu dans deux élections, en février et en septembre 2015, et le NON majoritaire de plus de 60% des voix lors du référendum de juillet 2015, contre les mesures de l’ infâme « Mémorandum », SYRIZA, formé par une coalition d’organisations de la Gauche radicale, n’a pas pu tenir ses promesses pour une sortie du pays du programme d’austérité imposé par le Fonds Monétaire International et la Banque Centrale Européenne. Avec le taux de sans emploi montant à 23 % de la population, (plus de 45 % chez les jeunes), et les salaires et pensions taxés à un tiers, le parti gauchiste cherche à consolider sa base électorale qui lui échappe. Selon les sondages, SYRIZA serait en troisième position derrière son prédécesseur au pouvoir, le parti du Centre-droit, Nouvelle Démocratie, alors que la droite nationaliste de l’Aube Dorée qui se trouve en troisième position a cimenté une base électorale de 7 à 10% qui monte à 15% et même 19% dans certaines régions du pays.

Ayant déjà souffert deux départs de cadres et députés, dont l’ex-présidente du parlement grec, qui ont ensuite fondé des partis gauchistes contre l’euro et l’adhésion du pays à l’Union Européenne, SYRIZA, cherche à rattraper le territoire perdu. Il devrait donc polariser le climat pour retenir ses adhérents, en soulignant son profil anti-patriotique, anti-droite, anti-nationaliste et en même temps soutenir ses groupuscules qui se nourrissent de jouer à la guérilla urbaine.

Il est évident, par exemple, que la lutte en faveur des immigrés clandestins est dans les mains d’un groupuscule de l’extrême gauche, dit ANTARCIA (Mutinerie), qui soutient toute action pro-islamiste et anti-identitaire. Le ministre de l’intérieur, a même répondu au parlement que les « jeunes gens » qui détruisent systématiquement la propriété publique, ne seraient interpelés « que s’ils dépassaient certaines limites », qu’il ne voyait pas, évidemment, dépassées par les incendies et les cocktails molotov lancés contre des véhicules du transport public, par exemple.

C’est dans ce climat que le matin du 31 mars 2017 à 9h30, des hommes masqués et portant des massues ont attaqué la siège de l’administration centrale d’Aube Dorée a la rue Mesogeion, juste en face de l’école de Police, et a quelques mètres du ministère de l’intérieur.

L’attaque s’est déroulée en pleine heure de pointe sur la grande avenue Mesogeion. N’ayant pas pu forcer l’entrée blindée de l’immeuble, les assaillants ont endommagé la librairie-boutique d’Aube Dorée, au rez-de-chaussée, aspergeant aussi la façade de peinture rouge.

La police arrivée sur les lieux une bonne dizaine de minutes plus tard, a interpellé onze personnes mais les a finalement relâchées. Des militants du groupuscule ANTARCIA, également sympathisants de SYRIZA, comme le président de la communauté Pakistanaise, sont des témoins au procès en cours contre l’Aube Dorée, initié en septembre 2013, après son ascension dans les sondages qui, selon le Secrétaire du gouvernement de la Centre-Droite de l’époque, « lui enlevaient des votes »…

Il est également intéressant de noter que la date choisie pour une attaque contre la seule voix politique et militante des nationalistes en Grèce, qui revendique la victoire des forces nationales contre l’ insurrection communiste, dite « guerre civile » qui finira avec la victoire des forces patriotiques en 1949, n’est autre que celle de l’ attaque des communistes contre la Gendarmerie de la ville de Litohoro, tuant 9 gendarmes et deux soldats. L’attaque avait signifié le début de la guerre civile…

Faisant preuve de leur esprit combattant, des militants Aube Dorée ont organisé le 1er avril, une action politique au centre du Pirée ainsi qu’au quartier d’Ampelokipi, près de siège du parti, avec grand succès, distribuant des centaines de documents d’information imprimés aux passagers, qui les ont reçus avec enthousiasme.

Contre le terrorisme et la dictature ténébreuse des médias, l’Association Populaire Aube Dorée poursuit son activité politique légitime.

IRENE DIMOPOULOUDirectrice du journal EMPROS

 

Source : medias-presse.info

Damas accusé de l’ attaque chimique en Syrie : nouveau bobard de la bien-pensance ?

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2017

C’est un cœur unanime de la presse bien-pensante, des politiciens du système, du pape François lui-même, de la communauté internationale, pour dénoncer l’attaque chimique d’hier en Syrie, dans le village de Khan Cheikhoun, tuant 72 personnes, et pour en rendre responsable, sans aucunes preuves, le gouvernement de Damas. Et déculpabiliser ainsi les fameux rebelles syriens, vrais combattants islamistes, vrais djihadistes égorgeurs en habits de modérés, chouchous de la conscience morale universelle qui veut la mort au propre et au figuré de Bachar el-Assad.

Ce dernier refuse cette accusation. Le porte-parole de la défense russe a déclaré, peut-on lire sur RT France

«que l’aviation syrienne avait détruit un entrepôt où l’opposition dite «modérée» gardait des stocks d’armes chimiques dont certaines devaient être envoyées en Irak. (…) Face à ces accusations, la Défense russe s’est dite prête à présenter des preuves irréfutables que l’aviation syrienne avait en réalité visé un entrepôt où les rebelles stockaient des matériaux chimiques.

«D’après les données du contrôle russe de l’espace aérien en Syrie, le 4 avril de 11h30 à 12h30 [heure locale], l’aviation syrienne a frappé un entrepôt d’armes chimiques et d’équipement militaire des terroristes, situé dans l’est du village rebelle de Khan Cheikhoun», a déclaré le porte-parole de la Défense russe, Igor Konachenkov.

«Dans cet entrepôt se trouvaient des ateliers pour la production de bombes chargées d’explosifs toxiques. Depuis ce grand atelier, les terroristes envoyaient des munitions contenant des substances chimiques en Irak. Leur utilisation a été prouvée maintes fois par les organisations internationales, ainsi que par les autorités irakiennes», a-t-il poursuivi. Ces mêmes munitions chimiques avaient été utilisées par des rebelles lors de l’attaque chimique d’Alep en 2016, a fait savoir le porte-parole de la Défense russe, qui avait participé à l’enquête de l’année dernière.  

Le gouvernement syrien de Damas réfute toute utilisation d’armes chimiques :

«Nous récusons totalement toute utilisation de matériau chimique ou toxique à Khan Cheikhoun. L’armée n’en a jamais utilisé et n’en utilisera nulle part», lit-on dans le communiqué de l’armée syrienne. » 

La Russie a fait savoir aujourd’hui qu’elle continuerait à coopérer avec la Syrie et qu’elle juge inacceptable le projet de résolution présenté par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni condamnant l’attaque chimique présumée en Syrie :

«Le texte présenté est catégoriquement inacceptable. Son défaut est d’anticiper les résultats de l’enquête et de désigner des coupables»,

a déclaré Maria Zakharova lors d’une conférence de presse, dénonçant un projet «anti-syrien» et de nature à aggraver encore la situation.

Pour le spécialiste en sécurité Charles Shoebridge, interrogé par RT France, la Syrie n’avait aucun intérêt stratégique et politique à conduire une telle attaque en l’état actuel du contexte et des relations diplomatiques plutôt favorables au régime de Damas.

« Aujourd’hui, il y a ce grand incident présumé, et une fois de plus – ce n’est probablement pas une coïncidence – demain commence une conférence très importante à Bruxelles entre l’ONU et l’UE. »

« Dans le contexte actuel, en dépit de toute évidence qui puisse apparaître, parfois susceptible de faire l’objet de manipulations, il faut se poser la question de la motivation de Bachar el-Assad à faire une chose pareille, à ce moment particulier quand il obtient des victoires à travers le pays. Quelle serait alors sa motivation pour provoquer la condamnation de la communauté internationale à ce moment précis ? »

Et de conclure raisonnablement  :

« Ceux qui ont vraiment profité de cette attaque ce sont les rebelles eux-mêmes, car ils ont obtenu un grand avantage géopolitique au moment où ils luttent de manière stratégique, comme de manière géopolitique. Néanmoins, seule une enquête indépendante établira les faits sur le terrain, qui permettrait de tirer une conclusion définitive. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 05 avril 2017

Soupçons d'emplois fictifs au FN : la justice enquête sur David Rachline

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2017

Par Emmanuel Galiero Publié

 

Soupçons d'emplois fictifs au FN : la justice enquête sur David Rachline

Le parquet de Lille a ouvert une enquête préliminaire sur des soupçons de fraude du groupe Front national au conseil régional de Nord-Pas-de-Calais. Le directeur de campagne de Marine Le Pen figure parmi les collaborateurs visés.

Après l'enquête sur les assistants parlementaires européens du Front national, Marine Le Pen se voit soupçonnée d'avoir fourni un emploi fictif à son directeur de campagne, David Rachline. Dans son édition de mercredi, Le Canard Enchaîné évoque l'ouverture par le parquet de Lille d'une enquête préliminaire pour détournements de fonds publics au conseil régional de Nord-Pas-de-Calais (Hauts de France aujourd'hui), durant la période 2010-2015. La justice s'interroge sur la nature exacte des travaux accomplis par les collaborateurs du groupe Front national qui se serait appuyé sur 35 collaborateurs, contre 12 au PS et 8 à l'UMP.

L'un des salariés déclarés à l'époque n'est autre que David Rachline, l'actuel directeur de campagne de Marine Le Pen. A-t-il bénéficié d'un emploi fictif? «C'est absolument faux», dément Jean-Richard Sulzer, qui fut secrétaire général de Marine Le Pen dans le Nord en 2012. «Le poste de David Rachline était réel. Nous avons partagé les mêmes locaux à Hénin-Beaumont. Etant une très bonne plume, il travaillait comme rédacteur et il a bien vécu une période héninoise. Cette enquête fera chou blanc» promet le frontiste.

Une «peau de banane»

Mais comment explique-t-il l'ouverture d'une telle enquête? Pour Sulzer, si la justice a voulu se pencher sur le sujet, c'est sans doute parce que le turn over des collaborateurs du groupe FN était effectivement très important durant cette période. Selon nos informations, le tempérament réputé difficile d'un responsable frontiste local, aurait été la cause principale de ces mouvements.

Affirmant ne pas avoir été au courant de cette enquête, Jean-Richard Sulzer estime aussi que cette affaire relève davantage d'un coup politique, destiné, selon lui, à affaiblir Marine Le Pen. «C'est une peau de banane jetée à quelques encablures de la présidentielle. Il n'y a jamais eu de pouponnière d'emplois fictifs dans le Nord. Bien sûr, l'objectif est d'atteindre sa campagne via son directeur de campagne» accuse le conseiller économique de la candidate à la présidentielle.

 

Source : lefigaro

Suède : les féministes dégagées par les musulmans qu’elles ont fait venir…

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2017

4 avril 2017 par Pierrot

 …Et on ne va pas les plaindre… Elles goûtent désormais au « patriarcat » sauce orientale…

Clémentine Jallais pour Reinformation.tv : Ironie du sort ? Logique étourdissante plutôt… Rattrapées par la réalité de la charia, des féministes quittent les régions envahies par les musulmans. Alors qu’elles glapissent des années en faveur de l’immigration, en faveur des portes grandes ouvertes et de l’accueil de la diversité dans cette Suède vraiment trop suédoise, aujourd’hui, elles s’enfuient, confrontées à une gent masculine adepte de la soumission de la femme sur laquelle elles ne peuvent rien.

Le pire, c’est que ça ne les empêche pas de continuer leur travail de sape qui détruit l’homme occidental chrétien, préparant ainsi sa soumission au mâle musulman, indemne de leurs assauts idéologiques. En voient-elles seulement le paradoxe ? Rien n’est moins sûr.

Les féministes baissent les bras face à la « police autoproclamée des mœurs »

C’est le diffuseur suédois SVT qui le rapporte : certaines féministes suédoises quittent maintenant les coins « difficiles » de leur pays, contrôlés par des fondamentalistes islamiques.

Nalin Pekgül, du Parti social-démocrate suédois des travailleurs, vit dans la banlieue de Tensta à Stockholm depuis 30 ans. Mais l’ancienne ministre évite désormais le centre-ville parce qu’elle ne se sent plus en sécurité, en raison du harcèlement des hommes musulmans : « À Tensta, je suis un visage connu et je n’ai aucun désir de provoquer des problèmes quand je suis harcelée (…) Plus on en débat, plus on attire l’attention sur ces questions, et plus les vrais fondamentalistes deviennent enragés ».

Le magazine Breitbart rapporte ses confidences : « La situation des femmes dans la vie publique dans la région s’est détériorée au cours des dernières années. Elle a noté qu’il y a eu une augmentation du fondamentalisme religieux parmi les hommes de la région, dont beaucoup proviennent d’origines migrantes. Pekgul a tenté de lutter contre la tendance en organisant des réunions de cafés mais a rapidement abandonné l’idée ».

Pour l’ancienne activiste de gauche, Zeliha Dagli, c’est pire : elle a carrément fui sa banlieue de Husby. Il y règne, selon ses mots, une « police autoproclamée des mœurs » qui tente de contrôler le comportement des femmes. Et les féministes sont particulièrement ciblées : Zeliha Dagli a été clairement menacée.

Celle qui avait fondé le réseau « Féminisme de banlieue » a déménagé dans la ville de Stockholm, où elle dit qu’elle peut « parler et s’habiller comme elle le veut »…

L’accueil tout azimut des immigrés musulmans

Par leur geste de départ, de retrait, ces féministes confirment qu’il existe bel et bien des « zones de non-droit », celles dont il est interdit de prononcer le nom, ni même la possibilité. La charia y règne, comme le soulignait le journaliste du New American. En 2014, les paramédicaux suédois ont réclamé des gilets pare-balles ; tous ceux qui y entrent peuvent être pris pour cibles, des taxis aux pompiers, en passant évidemment par les policiers ou les équipes de télévision.

Qu’on remette les choses au clair. Où étaient ces féministes lors de l’appel à la folie migratoire ? A la tête de cette défense des migrations du tiers-monde. Un article du New American souligne l’ironie de cette situation.

Souvenons-nous des déclarations de l’ancienne présidente du Parti social-démocrate et féministe de choc, Mona Sahlin : « Les Suédois doivent être intégrés dans la nouvelle Suède. L’ancienne Suède ne reviendra jamais » disait-elle en 2001. C’est aux autochtones d’être intégrés, aux indigènes d’accepter le cadeau socio-culturel des envahisseurs (les anticolonialistes se mordent la queue).

Aujourd’hui, elles héritent de leur propre politique face à une population migratoire principalement issue du Moyen-Orient et de l’Afrique. Et le stade du harcèlement est dépassé… En 2015, un article du Gatestone Institute rapportait que les crimes violents en Suède ont augmenté de 300 % depuis 1975. Et que, cette même année, 421 viols avaient été signalés à la police, contre 6.620 en 2014…

1975 : l’année où le gouvernement suédois a décidé d’adopter un régime d’immigration qui devait transformer la Suède en un pays « multiculturel »…

A noter, évidemment, que 77,6 % des violeurs du pays sont identifiés comme « étrangers » (donc issu en très grande majorité de pays musulman). Et c’est encore sous-estimé dans la mesure où les violeurs musulmans de deuxième génération sont enregistrés comme « Suédois ».

L’emblématique paradoxe de la Suède

La nation la plus féministe du monde est donc celle qui a accueilli le plus grand nombre de migrants musulmans par habitant, le plus grand nombre d’adeptes de la soumission de la femme, citoyenne de seconde zone, personne humaine de second plan.

Un paradoxe effrayant mais explicable par l’aveuglement que provoque l’idéologie cosmopolite doublé de la réalité du combat progressiste occidental contre le mâle – combat féministe qui dure depuis plusieurs décennies. Christina Hoff Sommers, en avait fait un livre en 2001, « The War Against Boys », qui décortique ce raisonnement selon lequel les garçons sont des privilégiés depuis le début et tout au long de leur vie : le mâle doit être mis au ban, relativisé dans son essence même, et rabaissé, au profit de la femme, éternelle victime.

Seulement ce retournement révolutionnaire ne fut à l’œuvre que dans les pays occidentaux, d’héritage chrétien (alors même que c’est la religion du Christ qui donna à la femme toute sa grandeur). Laissant aux autres l’intégrité de leurs rapports, en particulier et surtout les plus inégalitaires, les plus violents, les plus musulmans.

Mieux, ils les ont accueilli, en les défendant, qui plus est (la faute d’un musulman violeur n’est pas la même que celle d’un mâle blanc). Et qu’arrive-t-il d’une société qui a méprisé, dévirilisé ses hommes et accueille leurs antagonistes ? Elle est conquise.

Les féministes se retrouvent forcées à respecter ce contre quoi elles ont lutté toute leur vie, la masculinité. Et elles continuent à mépriser les chiffes molles qu’elles ont elles-mêmes contribué à faire naître… On vit décidément une époque épatante, comme dirait l’autre.



Source : contre-info

mardi, 04 avril 2017

QUAND NOUS ARRIVERONS, ILS PARTIRONT !

Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2017

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Thomas Joly