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samedi, 28 octobre 2017

LE GRAIN DE SEL DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2017

ON MARCHE SUR LA TETE, CA NE TOURNE PLUS ROND !

Le grain de sel de Jean-Claude RolinatLa France, vieille terre de plaisanteries « gauloises », pour certaines certes, un peu trop « graveleuses », deviendrait-elle une austère planète de puritains anglo-saxons ou d’hypocrites mahométans, qui cacheraient derrière une morale compassée leur malaise avec le « beau sexe » ? L’affaire Weinstein, ce puissant producteur Hollywoodien qui « facturait » aux vedettes de cinéma et autres starlettes en devenir, ses bons offices et son piston en échange de « services sexuels », a ouvert une boite de Pandore qu’il sera bien difficile de refermer. Elles sont venues, elles sont toutes là, les GwynethPaltrow, Angelina Jolie, Ashley Judd, Emma de Caunes, Judith Godrèche, Léa Seydoux et autre Rosanna Arquette, pour accuser cet homme de 65 ans au physique ingrat, il est vrai, pour ses assauts répétitifs et insistants, et même de viols. Il n’en fallait pas plus pour que nos militantes féministes s’emparent du sujet. C’est tout juste si dans tout mâle, ne sommeillerait pas un cochon prêt à bondir sur le sexe dit faible et à se livrer à une razzia sur la gent féminine ! Nos Marlène Schiappa, sous-ministre de quelque chose, Isabelle Adjani et moult journalistes vedettes de la « grande » presse, sans oublier la députée  Obono et l’activiste Caroline De Haas, « twittent » allégrement sur le sujet. Toutefois, à noter que  certaines de toutes ces pasionarias s’opposent dans Libération notamment, «  à pénaliser des populations paupérisées et racisées » ! Nous ne savions pas que les « races » existaient encore, puisque la gauche les a retirées du vocabulaire et, d’autre part, on ne peut que s’étonner que ces pétroleuses aientla mémoire si courte : auraient-elles oublié les agressions sexuelles réelles pour le coup, commises massivement par des immigrés à Cologne et dans d’autres villes allemandes ? Se rendent-elles, à pied, dans certains quartiers de Paris et de banlieue, où les femmes, quand elles sortent, rasent les murs ou sont interdites d’entrer dans les cafés ? Il en est même une qui a proposé « d’élargir les trottoirs » ! Il faut raison garder et ne pas faire comme le gouvernement, vouloir légiférer à chaud sur la question du harcèlement sexuel, un phénomène qui n’a pas attendu les frasques de DSK ou de Weinstein pour être, tristement, d’une quotidienne actualité. Il y a déjà un arsenal judiciaire pour le réprimer. Mais attention, n’allons pas trop loin pour combattre un mal par un autre mal. Dans notre société de tradition « franchouillarde », la pudibonderie est aussi nocive que la vulgarité des insultes ou l’obscénité des propositions. Les chansons de « corps de garde » ou celles des carabins font partie de notre folklore. Prenons garde d’une judiciarisation à l’Américaine. Demain, pourrons-nous encore admirativement siffler discrètement sur le passage d’une jolie fille, même si c’est un peu vieillot, toucher amicalement l’épaule d’une collègue ou lui dire sur le ton de la plaisanterie, « t’as d’beaux yeux tu sais », sans que le soir même un juge d’instruction ne vous délivre un billet d’écrou ? Il en va du harcèlement des femmes comme du racisme : ne commandez pas dans une pâtisserie un « nègre en chemise » ou ne demandez pas au bistro un « petit noir bien serré » ou un « p’tit jaune » ! A l’extrême rigueur, dans le premier cas, exigez une « religieuse enceinte », il ne vous en coutera judiciairement rien et, dans le second, un expresso et un pastis ! Nous sommes entrés dans l’ère de la confusion des mots et des suspicions dans les intentions et les gestes. Les blagues croustillantes et graveleuses seront chassées de notre vocabulaire et, avec, toute la gouaille d’une époque. Il est vrai que tout le monde ne peut avoir l’esprit d’un Sacha Guitry, mais le « parler popu », l’argot, l’allure « Gavroche », ont aussi leur charme.  S’il convient de réprimer avec la plus grande fermeté les violences sexuelles et les propositions douteuses, les gestes scabreux, déplacés,  ou l’usage de son rang pour obtenir une faveur, - la fameuse « promotion canapé »  -, l’art de la séduction ne saurait être confondu avec ces actions-là. Je disais, plus haut, que le couvercle de la boite venait de s’ouvrir. 

 Qui n’a pas dénoncé son «  cochon » ? 

Des réputations vont s’effondrer sans qu’aucune vérification ne puisse être faite. Au diable la présomption d’innocence.Des noms circulent, Jean Lassalle, Christophe Arend, Pierre Joxe, Tariq Ramadan et la presse à sensation s’en empare. On confond, semble-t-il, dénonciation et délation. Des furies en appellent même, via internet, à dénoncer « les porcs » ! Allons, mesdames, qui n’a pas son cochon à jeter en pâture ?C’est tout juste, question de standing, si la dernière des vieilles filles au visage ingrat n’aura pas, elle aussi, subi les derniers outrages, de préférence de la part d’un curé, ce serait tellement mieux pour salir l’Eglise ? Francis Bergeron dans le numéro du quotidien PRESENT du mardi 24 octobre, concluait son papier par la phrase suivante : -«  Dans ces affaires-là, il faut donc raison garder, même si certains des hommes mis en cause n’ont visiblement pas su garder la leur ». Nous la ferons nôtre et surtout, « ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain »  

Jean-Claude R O L I N A T

Poutine met en garde la jeunesse contre la submersion de l’Europe chrétienne et la disparition de son identité

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2017


Lors du festival Mondial de la Jeunesse à Sotchi, Vladimir Poutine au cours d’une discussion avec les jeunes de tous les pays, souligne que le monde chrétien blanc était en train de se faire submerger par les afflux migratoires des peuples de cultures et religions extra-européennes. Non seulement il veut éviter un tel sort à la Russie, mais il a plaidé pour une vaste union des pays européens unis dans une même identité afin de préserver le poids mondial central que leur spécificité culturelle et ethnique représente pour l’avenir de l’humanité.

Traduction intégrale de l’extrait vidéo :

« Regardez seulement ce qui se passe dans le monde: l’Inde, notre voisine, a une population de 1,2 milliards d’habitants. Et la Chine une population de 1,5 milliards. Les USA continuent de recevoir de plus en plus d’immigrés et, pour autant que je puisse en juger, sa population chrétienne blanche est déjà en état d’infériorité numérique.  Vous dites « bien sûr« , mais cela a changé seulement récemment. Les Chrétiens blancs [aux USA] sont devenus une minorité, moins de 50% à présent. Ce que je suis en train de dire c’est que le monde est en train de se diriger vers un changement dramatique global. Je ne dis pas que c’est bien ou mal, je dis juste que des changements globaux se passent. Vous avez dit que la Russie est un vaste territoire et c’est un fait – de sa partie occidentale à ses frontières orientales, c’est un espace eurasiatique. Mais pour ce qui concerne sa culture, sa langue, son appartenance linguistique et son histoire, c’est indubitablement un espace européen puisqu’ il est peuplé par des gens de cette identité. Je dis ça parce que nous devons préserver tout cela si nous voulons rester une attraction importante dans le monde. Et je ne dis pas cela dans une optique militaire ou rien de cela. Nous ne devons pas nous diviser et revenir en arrière, c’est-à-dire refaire la guerre entre la France et la Russie de 1812-14, mais plutôt regarder pour l’avenir des façons de construire un futur commun et suivre ce chemin. Il s’agit de savoir comment nous pouvons préserver ce vaste espace et ces peuples en tant que centre mondial de poids pour nos relations avec les pays asiatiques et le continent américain. Si cela ne se fait pas, cela signifiera la fragmentation [du continent] entre entités quasi-nationales mineures d’États qui perdront leur poids mondiale de centre indépendant. Si on le préserve, cela sera un gros avantage pour le développement humain, parce que [l’identité européenne] est une part majeure de la culture mondiale et et doit être assurément préservée.»

Par ailleurs, au cours de ces mêmes rencontres de Sotchi, le président Poutine avait déjà mis en garde les jeunes contre les dangers des manipulations génétiques qui vont contre les lois divines.

Le Festival Mondial de la Jeunesse et des Étudiants a été créé en 1947 par les soviétiques. Le Festival de Sotchi qui a ouvert ses portes le 15 octobre 2017, en est la 19ème édition et s’est donc perpétué par-delà de la chute de l’URSS: La moitié des jeunes sont venus de l’immense empire russe, l’autre moitié venait de 150 pays du monde.

Voici un reportage d’Arte, tendancieux comme il se doit, mais qui donne des images intéressantes pour se faire une idée de la répercution que peuvent avoir dans le monde auprès des jeunes, les paroles du Président de la Fédération de Russie, des observations qui sont en rupture complète avec le langage du monde soviétique passé et du monde occidentale en pleine soviétisation actuelle:

Pour remettre la démocratie et Arte à leur place, il faut se rappeler, entre autres exemples, les pacifiques manifestants français contre le mariage gay qui ont été frappés, mis en prison par la police politique et condamnés, juste pour avoir manifesté au cours d’une manifestation autorisée …

Un reportage du festival de la Jeunesse de Sotchi paru sur le site du Kremlin:

 

Emilie Defresne

Source : medias-presse.info

vendredi, 27 octobre 2017

Danger

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2017 

maxresdefault.jpgL'homme qui est à la tête de la France, n'aime pas son pays. Au mieux, il fait semblant. Pour lui, la France est une nation dépassée. L'Europe seule compte dans son esprit. Il ne cesse de le dire. « Je suis venu vous parler d'Europe, a-t-il déclaré à la Sorbonne. Encore, diront certains. Ils devront s'habituer parce que je continuerai. Et parce que notre combat est bien là, c'est notre histoire, notre identité, notre horizon, ce qui nous protège et ce qui nous donne un avenir. »

Voilà ce que pense le président de la France. Et il suffit de l'écouter pour se rendre compte que déjà, dans sa conception, la France n'existe plus en tant que nation ; elle n'est plus qu'un legs du passé. Peu lui chaut que les industries françaises disparaissent. Pour lui l'échelle nationale est devenue obsolète et inefficace ; il n'y a plus rien à faire à ce niveau. C'est sa conviction profonde. « La bonne échelle, dit-il, c'est l'échelle européenne ». Tout est dit. Qu'importe qu'Alstom soit récupéré par Siemens. Au contraire ! Il n'y voit aucun inconvénient. Comprenons bien : l'histoire de France, c'est aussi bien l'histoire de l'Allemagne que l'histoire des autres peuples d'Europe. Le seul mal qui les a entachés, c'est le nationalisme. L'identité est commune, commun l'horizon. Tous les programmes qu'il définit à longueur de discours, n'ont de sens que dans ce cadre européen, voire mondial. Il ne conçoit de développement que dans cette vue. Pourquoi des réformes institutionnelles en France ? Pour mieux l'intégrer dans l'Europe, pardi ! Pourquoi des réformes institutionnelles en Europe ? Pour mieux la renforcer et la doter de toutes les prérogatives de la souveraineté !

Il se dit l'héritier des pères fondateurs. Il en a l'esprit, affirme-t-il ; il veut rompre avec les frilosités et les peurs. Il n'a qu'un ennemi multiforme et qu'il ose nommer : « nationalisme, identitarisme, protectionnisme, souverainisme de repli... ». Il se voit à la tête d'un grand mouvement libérateur ; il anticipe les prochaines élections européennes ; il donne des dates. Tout doit être achevé en 2024. La nouvelle gouvernance européenne sera en place, pense-t-il ; les grands projets, du numérique à la transition écologique, des nouvelles dispositions européennes sur l'enseignement aux techniques les plus avancées du travail, seront dans leur vitesse de croisière ; et la France se sera enfin mise à l'heure de l'Europe. Macron aura rempli son rôle. Il lui restera sans doute à assumer la suite : il n'est pas difficile de deviner de quoi il s'agit. Car il faut bien présider, n'est-ce pas ?

Le problème, c'est que rien ne se passe comme prévu. Macron aime se comparer à Napoléon. Et, en effet, il a le même défaut. Bainville écrit dans son remarquable Napoléon : « On voit l'idée naître, grandir, s'emparer de l'esprit de l'empereur jusqu'à ce que, selon un penchant qui s'aggrave chez lui, il regarde comme fait ce qui peut et doit se faire puisque sa raison l'a conçu ». Il s'agit de la campagne de Russie. Macron raisonne en politique de cette même façon et, lui, depuis le début ! Il s'obstinera, il le dit. C'est là le danger, le grand danger.

Les Allemands ont voté ; l'Allemagne n'est plus la même. Macron rêve d'un traité de l'Élysée renforcé quand il n'y a déjà plus de couple franco-allemand. Macron s'imagine que l'Angleterre - il l'a dit - allait revenir dans l'Europe quand le Brexit va devenir définitif. Macron fustige les nations quand l'Espagne se bat pour survivre et que l'Europe attise les divisions. En un mot, Macron est en pleine utopie, comme tous ses prédécesseurs mais plus qu'eux encore, s'imaginant résoudre les impossibles problèmes de leur République en les projetant dans une Europe idéale qui n'a. jamais existé et qui existera de moins en moins. Terrible vérité politique : Macron, sentant la légitimité de son pouvoir déjà se dérober sous ses pieds, part en quête obsessionnelle d'une légitimité « autre », nouvelle, grandiose, imaginée dans un « ailleurs » qu'il façonne en idéal rationnel et enthousiasmant. Patatras ! Le revers sera cinglant. Fasse le ciel que le pire ne survienne pas !

À quand le chef de l'État dont la légitimité sera suffisante pour n'avoir à aimer, d'abord, que la France. Les autres aussi, mais après. ■

 

Source : lafautearousseau

Le communautarisme LGBT s’assume. L’inverse est interdit…

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

 Exemple de communautarisme LGBT assumé. On notera au passage que LGBT rime avec politisé !

A l’inverse, un propriétaire qui refuserait de louer un bien immobilier à des gens LGBT se retrouverait devant le tribunal avec la certitude d’être condamné. Cherchez l’erreur…

 

Source : medias-presse.info

« Eurislam » : le rapport de l’UE sur les discriminations contre les musulmans et la lettre dhimmi du commissaire Timmermans

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2017

Eurislam Timmermans UE discriminations musulmans

Frans Timmermans

L’agence de l’Union européenne pour les droits fondamentaux a publié en septembre une enquête sur la minorité musulmane et les discriminations dont cette minorité souffrirait en Europe. Comme on pouvait s’y attendre avec une étude réalisée depuis Bruxelles, ce rapport nous apprend que les musulmans cherchent bien à s’intégrer aux sociétés dans lesquelles ils vivent, mais qu’il y a encore beaucoup de travail à faire sur les autochtones pour mettre fin aux discriminations à l’encontre des disciples de Mahomet. Plus encore que ce rapport, c’est le message 100 % dhimmi adressé par le premier-vice président de la Commission européenne Frans Timmermans, chargé de l’Amélioration de la législation, des Relations inter-institutionnelles, de l’état de droit et de la Charte des droits fondamentaux, qui a de quoi faire rire ou pleurer, mais qui s’inscrit totalement dans le projet Eurislam de l’Union européenne.

 

Timmermans assure les musulmans que l’UE est leur amie face aux discriminations dont ils font l’objet dans les États membres

 
Publié sur son compte Twitter le 21 septembre à l’occasion de la « Journée d’action européenne contre le discours de haine à l’encontre des musulmans » (sic) et du nouvel an des musulmans « commémorant l’émigration du prophète de la Mecque à Médine – l’hégire – qui marque la naissance de l’islam en tant que communauté unie dans la foi » (re-sic), ce message souligne d’emblée que « la communauté musulmane, dans toute sa diversité, occupe une place importante dans le paysage européen ». Puis de continuer sur le fait qu’il faut renforcer le dialogue pour que les musulmans soient parties prenantes de la société européenne (au singulier dans le texte), et de les assurer que la Commission européenne est pour eux « un ami fidèle qui les aidera à pratiquer leur foi et leurs traditions en paix dans nos sociétés démocratiques ». Le paragraphe difficilement évitable sur les attentats terroristes des « dernières décennies » souligne que ces attentats visaient la société européenne dans son ensemble et qu’ils n’ont pas épargné « nos citoyens musulmans » (re-re-sic).
 
« Certaines attaques cherchaient à diviser encore plus notre société en visant spécifiquement nos citoyens juifs et la diversité qui est la force de l’Europe. » Et les chrétiens dans tout ça ? Pas un mot. L’égorgement du père Hamel et les projets d’attentats contre des églises ? Passés à la trappe. De fait, le mot « chrétien » n’apparaît pas dans la lettre de Timmermans, à croire qu’il n’y a que deux religions en Europe : la religion musulmane et la religion juive, et que les discriminations ne visent que les adeptes de la première (les attentats contre les juifs ne visant en fait qu’à diviser « notre » société).
 
Ce qui ressort du rapport de l’agence des droits fondamentaux de l’UE et qui est confirmé par le vice-président de la Commission européenne, c’est qu’il faut encore travailler sur les habitants non musulmans de l’Union européenne pour les aider à s’adapter à la présence musulmane toujours plus nombreuse, et que c’est ainsi qu’on mettra fin non seulement aux discriminations mais aussi au terrorisme islamique.
 

Projet Eurislam : une intégration à double sens pour créer un vaste melting-pot européen dont l’islam sera une composante essentielle

 
Ce projet de soumission dhimmi face aux nouveaux arrivants et à leurs descendants, mais aussi en réponse aux coups portés en Europe par les djihadistes, s’inscrit en fait dans la logique du projet Eurislam de l’Union européenne. Ce projet est décrit par ses auteurs comme visant à créer une société européenne multiculturelle sans frontières dans laquelle la population autochtone aurait à s’adapter elle aussi aux valeurs et traditions des nouveaux arrivants. Ceci avec le soutien du Parlement européen qui, dans sa résolution du 12 avril 2016 « Apprendre l’Union européenne à l’école », affirme à l’intention des Etats membres que « les enseignements et le matériel scolaires devraient inclure des informations sur la diversité au niveau de la religion ou des convictions, de l’origine ethnique, de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre » et qu’« une sensibilisation accrue aux avantages des politiques européennes, comme la libre circulation des personnes et des services dans l’Union et les programmes de mobilité de l’Union, peut contribuer à un sentiment d’appartenance à l’Union européenne, à un esprit de solidarité et à une acceptation des sociétés multiculturelles et multi-ethniques ».
 
Tel est encore le but poursuivi par l’exposition « L’islam, c’est aussi notre histoire » ouverte en septembre au Musée de l’Europe à Bruxelles, après un report de plusieurs mois pour cause de terrorisme islamique. « Nous voulons expliquer aux Européens que l’islam fait partie de la civilisation européenne, que ce n’est pas une importation récente mais qu’elle a des origines qui remontent 13 siècles auparavant », a confié à Associated Press (AP) Isabelle Benoit, l’historienne qui a conçu l’exposition.
 
La nouveauté de ce début du XXIe siècle par rapport aux siècles passés, ce ne serait finalement que cette volonté des « élites » européennes de se servir de l’immigration musulmane et de l’islam comme diluant des identités nationales et instrument de lutte contre les valeurs chrétiennes.
 

Olivier Bault

 

Source : reinformation.tv